Leslie Nr38
Leslie NR38 Nouveaux récits
Le congrès Mais pas que, suite et fin
Il est tôt quand je me réveille, le soleil commence à se lever à lhorizon, je sors de ma cabine et monte sur le pont où je découvre Manon, qui repose nue.
Elle est belle, les seins hauts, gonflés, son ventre orné dun petit rubis que je navais pas vu hier et le mont de Vénus lisse parfaitement épilé, avec juste ce petit trait de poils courts qui met toute la vulve en valeur et laisse les grandes lèvres brune apparentes.
Javance vers elle, je sens à son regard tout le désir qui brule en elle et quelle est impatiente de se donner dans ce petit matin. Lentement en me regardant dans les yeux, elle écarte les cuisses, se cambre légèrement pour faire ressurgir son mont de Vénus et souvre le sexe de ses doigts.
Elle moffre de façon impudique son intimité qui luit sous le soleil naissant et lentement dégage la perle de son écrin. Je la viole des yeux, tout en mapprochant delle, le sexe déjà gonflé devant cette provocation indécente.
Elle se redresse et empoignant mon membre, elle le hume dabord, puis du bout de sa langue lèche mon gland avant d mordiller la hampe, puis doucement, ouvrant doucement ses lèvres, engobe mon sexe au plus profond, jusquau fond, lentement.
Ses mains se crispent sur mes fesses et elle me suce avec désir et passion, sans hâte, mais profondément. Je gémis sous sa bouche accueillante, puis je marrache de sa bouche et magenouille entre ses jambes
Ecartant ses cuisses sur toute la largeur du matelas, elle me lance :
- Viens !
Elle me laisse la lécher, lexciter, son ventre monte et descend comme la houle du petit matin, ma langue comme sinsinue entre ses lèvres, elle mouille et coule de bonheur. En appui sur ses mains et ses pieds, elle se soulève pour aller au-devant de ma langue, la guide de ses déhanchements pour la guider suivant ses désirs.
Je minterromps et mempare des fesses, forçant Manon à se retourner pour quelle se mette à quatre pattes sur le matelas, cul en lair, et là jécarte ses fesses et dégage son illet fripé.
- Hoo, gémit-elle, se doutant de ce qui va suivre.
Jai dardé ma langue entre ses fesses et lui lèche le pourtour de lanus, la faisant grogner de contentement. Ma langue a le barrage et une main a investi sa vulve, lindex posé sur son bouton damour. Mes caresses catapultent Manon en avant pour échapper au plaisir trop aigu.
Je me redresse et place ma queue bandée au bord de son sexe brûlant et lentement ma queue senfonce dans son sexe complètement trempé.
Manon saccroche au matelas, penchée en avant, tandis que je la défonce de plus en plus rapidement, de plus en plus puissamment
Manon, en jouissant dun dernier coup de rein, hurle son plaisir en disant :
- Ohhh, cest trop
.
Le sexe encore dressé, je me retire de sa vulve, elle me regarde et passe une main entre ses cuisses. Constatant que son fourreau intime nest pas plein de mon sperme, elle me dit :
- Mais tu nas pas joui !
Alors, elle se met à caresser lentement son sexe, ses doigts titillent son bouton gorgé de désir, senfoncent en elle. Elle gémit, se doigte, se masturbe en regardant fixement mon sexe dressé.
Ses doigts vont et viennent, elle feule, le ventre creusé par le plaisir, la respiration courte et le regard hagard.
Tremblante, elle se laisse glisser sur le matelas, sur le dos, passe ses mains sous ses cuisses et ramène ses jambes vers son buste. Puis ainsi, pliée en deux, les yeux perdus dans lhorizon du petit matin, elle me laisse investir ses reins, forcer son petit trou étoilé
Elle me laisse le temps quil faut en me regardant dun air presque suppliant, celui de jouir en elle, alors me laissant aller, je jouis au fond de ses reins.
Puis Manon, se relève, me prend par la main et me dispose en levrette, puis se glisse derrière moi et me lèche les testicules, puis le périnée, crache sur son anus, y insinue sa langue pointue, desserre mon anneau secret, le stimule et le pénètre de la langue.
Je frémis emporté par le viol de cette langue qui me fouille.
Je feule tandis quelle entame un lent va-et-vient, semparant en même temps de ma queue gonflée pour me masturber, puis elle me dit en relâchant son étreinte :
- Je tai fouillé les reins de mon doigt, jaimerais tenculer avec un gode ceinture.
- Jaimerais bien ça, lui dis-je.
- Alors dans ta cabine tout à lheure
Après le petit déjeuner les hommes sont parti faire de la pêche sous-marine, accompagnée de Cathy qui vu sa tenue ne pensait pas quà attr des poissons, mais plutôt de faire fourrer pas les eux mâles, enfin le résultat était quils nous laissaient seuls avec Manon pour nos ébats
Sitôt disparus, Manon mentraina dans sa cabine où elle mallongea sur le lit et commença à me sucer, très rapidement je fus en érection et elle sattaqua à mon illet quelle lécha pour bien lhumidifier. Puis me sentant prête, elle sharnacha se son gode ceinture qui était sous loreiller. Elle se plaça alors entre mes jambes en me disant :
- Je vais te sodomiser mais je veux te regarder
Et elle enfonça son gode en me faisant gémir, non pas que lengin était long, mais la largeur mécarta subitement lanneau, et elle rajouta :
- Tu le sens bien, il est large et jadore men servir sur les petits culs comme le tien !
Et elle me sodomisa pendant de longues minutes en me regardant dans les yeux et scrutant mes réactions, tour en me branlant dune main.
Elle avait lhabitude et donnait de grands coups de reins aussi bien quun homme, sur son visage je pouvais voir le plaisir quelle prenait et cela me fit jouir et me répandre sur mon ventre
Elle continua encore de longues minutes, me tirant des soupirs à chaque pénétration, puis heureuse de mavoir donné du plaisir, elle se retira et me demanda de la sodomiser une nouvelle fois.
A la tête que faisaient nos trois complices de retour de leur plongée, nous avons tout de suite compris avec Manon, queux aussi avaient pris du bon temps, mais pas quà chasser le poisson sous leau
Le rets de la journée se passa entre baignades et complicités dordres plus physiques que verbales, en allant me coucher mon petit trou me lançait un peu, suite aux nombreuses sodomies quil avaient subis dans le cours de la journée.
Le lendemain, Claude vint me réveiller alors que tout le monde dormait encore et mentraina dans sa cabine où Cathy reposait, recouverte dun drap sur la couchette. Claude me fit comprendre ses désirs et Cathy se réveilla en sentant que je montais sur la couchette, derrière elle.
Elle comprit ce qui lattendait quand, en relevant la tête, elle vit Claude assis dans le fauteuil près delle et moi nue près delle, certainement quelle avait vécu cette expérience dans le passé.
La lumière du petit matin éclairait la cabine, lui permettant de voir le sourire qui illuminait le visage de Claude, puis elle sentit que je tirais le drap qui la recouvrait et sous lequel elle était nue, mais sans savoir que cétait moi...
- Surtout ne te retourne pas, lui demanda Claude.
Elle devait se sentir complètement exposée à mon regard, le drap maintenant enlevé, offerte nue, les reins offerts, alors elle serra les cuisses pour cacher son sexe qui baillait.
- Tu as vu son beau cul ?
Claude savait que sa femme était désirable ainsi offerte et il allait réaliser un de ses fantasmes, la voir faire lamour avec une transsexuelle, se faire prendre par elle, bien quil sache que je lavais déjà prise, mais lexcitation provoquait en lui une belle érection quil ne cachait pas à Cathy, comme par fierté.
- Vas-y, me dit Claude, moi je me contente de regarder, Cathy à lhabitude !
Cathy sentit mes deux mains la saisir par les hanches pour la tirer en arrière et agrippant loreiller, elle enfonça son visage dedans pour un gémissement danticipation.
Puis elle se laissa faire, abandonnée au désir, sentant mon sexe raide et brûlant posé dans la raie de ses fesses, alors elle écarta les cuisses en se cambrant davantage.
Alors, sa vulve souvrit et Cathy soupira et poussa un petit cri quand mon membre se posa sur son intimité, la faisant se cambrer encore plus.
Elle releva la tête et chercha le regard Claude qui la regardait, offerte sur la couchette avec ses grands yeux mouillés démotion et damour.
Cathy se mordit la lèvre inférieure en sentant mon sexe la pénétrer dun coup, jusquà la garde. Elle cria, dune voix rauque sous cette pénétration sauvage, sentant mon membre qui la violait.
La bouche entrouverte, doù aucun cri ne sortait, Cathy cherchait lair afin de ne pas perdre conscience.
Claude aimait observer Cathy se faire prendre par un autre et Cathy aimait se donner ainsi en spectacle à son homme, cela tenait du rituel
Cathy poussait de petits cris rauques, tandis que je la limais en profondeur, butant au fond contre sa matrice, savourant les palpitations de la vulve ouverte et trempée autour de mon sexe sous lil attentif de Claude qui se branlait en regardant. Puis, soudain, Claude se redressa le sexe dressé et attrapa Cathy par les cheveux, et enfonça son sexe dans sa bouche avide.
Il soupira de plaisir, quand la langue de Cathy entrepris une sarabande effrénée autour de son gland, en tentant de prendre toute la longueur du sexe de son homme dans sa bouche déformée.
Cathy saccrochant au sexe Claude dune main, envoyait lautre entre ses cuisses pour agacer son clitoris de son doigt.
Le sexe Claude violait sa bouche tandis que je la pénétrais en la tenant par les hanches, prise ainsi Cathy gémissait et râlait de plaisir.
Puis, Cathy se laissa soudain emportée par lorgasme, tétanisée par le plaisir qui se répétait dans son corps, au bord de lévanouissement.
Alors profitant de ce moment de relâchement, jai violé lillet de Cathy dun pouce hâtivement couvert de salive, avant de lâcher tout mon plaisir en quelques coups de reins, en me vidant à longs jets brûlants dans le sexe qui se crispait autour de mon sexe.
Claude jouis à son tour dans la bouche de Cathy
Pour finir, Cathy nous demanda de la sodomiser, ce que nous fîmes en jouissant lun et lautre dans son fondement
La fin de mon périple sacheva par un au revoir, les deux couples ayant décidés de prolonger leur croisière
A suivre
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