La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°790)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°789)
Monsieur le Marquis attrapa la fine laisse qui pendait à ma chaîne qui me servait de collier, tirant dessus pour me faire mettre à genoux, et Il mentraîna au travers des couloirs jusquà sa chambre. Là, mis à part que le Maître dirigeait tout comme le Dominant quIl était, javais plus limpression davoir à faire à lhomme, plus quau Maître. Il était dune tendresse incroyable, dune douceur pas possible ! Javais limpression dêtre une Déesse, chérie, cajolée, tout en restant la chienne D/s du Maître Vénéré ! Tous mes orifices furent combler cette nuit-là, tous profitèrent à un moment ou à un autre de la si précieuse semence du Noble. Le Maître me prit dans de multiples positions. Nous finîmes par nous endormir enlacer. Jaurai voulu que cette nuit, si tendre, si douce, ne se finisse jamais ! Le peu de temps que nous prîmes pour nous reposer, je ne rêvais que de Lui, de Domination saine, qui me rendait tellement heureuse ! Le soleil se leva, laissant paraître des rayons lumineux dans la chambre. Monsieur Le Marquis était déjà réveillé. Il me regardait méveiller doucement. Dès que je laperçus, je me précipitais hors du lit, et me prosternait devant Lui, allant jusquà Lui baiser tendrement les pieds.
- Redresse toi Ma chienne ! A genoux, et ferme les yeux !
Je pris la position exigée, tandis que jentendais Monsieur le Marquis séloigner. Quand Il revint près de moi, Il resta un moment silencieux. Puis Il me retira mon collier de chaîne, avant de rester à nouveau immobile pendant de longues minutes. Je me sentis vide et je luttais contre lenvie de porter ma main à mon cou désormais nu.
- Je suis fier de toi. Tellement fier de toi, quaujourdhui je décide de te faire rentrer officiellement dans mon cheptel ! Aujourdhui, Je te remets ton nouveau collier, portant officiellement Mes Nobles Initiales MDE. Aujourdhui plus que jamais, tu Mappartiens ! Plus rien ne sera jamais comme avant !
Et sur ces mots, je sentis un collier se refermer sur mon cou, non pas en cuir simple comme celui que je métais acheté il y a trois ans, mais en métal.
- Maître, cher Maître Vénéré ! Je nai pas de mots pour Vous exprimer en cet instant toutes les émotions qui me submergent ! Je Vous remercie humblement, mais sincèrement, de cette infinie confiance dont Vous me témoignez, et que jespère que je mériterai à jamais ! Je Vous jure fidélité, respect, dévotion, adoration et obéissance ! Je dépose à Vos pieds mon corps, mon cur et mon âme. Faites-en ce que bon Vous semblera, car je sais quils ne seront jamais en danger physique ou moral auprès de Vous. Maître, je Vous aime profondément, dun amour pur et toujours grandissant, qui na rien à voir avec lamour vanille, un amour D/s, qui se rapproche bien pour le coup de déesse, car il est comparable à lamour que lon peut porter à un Dieu.
- Ma chère petite chienne, Ma nouvelle soumise Marion MDE, je sais ta dévotion totale à mon endroit, et je naurai pas décidé de te remettre ce collier si tu nen étais pas digne. Par égard pour ta vie vanille, il peut se retirer, mais je veux que tu le portes à chaque fois que cela te sera possible, et donc sur tout le chemin du retour. Maintenant ouvre la bouche, et sers moi de fourreau pour ma noble queue qui ne demande quà senfouir au chaud !
Jobéis, trop heureuse de faire plaisir au Maître ainsi ! Il me coucha à même le sol sur lépais tapis et je vis lombre du corps de Monsieur le Marquis sabaisser sur moi et sa queue entrer dans ma bouche et aller butter au fond de ma gorge et me dit avec appétit :
- Maintenant suce moi, je ne veux plus tentendre !
Je mouillais à son initiative quil prit en se mettant lentement en position du 69 desserrant ainsi mon entrecuisses pour étirer mes chairs et faire ouvrir ma chatte un peu plus.
- Je te baptise aujourdhui du nom de Chienne-Soumise Marion MDE ! Et maintenant, va te nettoyer dans ma salle de bain, et reprends ton allure de femme vanille. Tu me trouveras sur le perron du Château. Jai un dernier cadeau pour toi.
Tandis que le Maître sortait de la chambre, je me relevais et aller dans la salle de bain. Je narrivais pas à me rendre compte que ce week-end était terminé, quil allait falloir que je retrouve ma vie « calme » de femme au foyer ! Certes je ne me voyais pas privée de mes deux filles et de mon mari, mais pourtant, à ce moment précis, je navais aucune envie de quitter le Château ni Son propriétaire ! Lorsque Walter, le Majordome, qui mattendait devant la porte de la chambre, maccompagna jusquà la grande porte de ce lieu ancien, je tremblais, malgré la température douce extérieure.
- Je connais ton désir de porter sur toi une marque dappartenance à Celui auquel tu appartiens, sans pour autant que cela te soit dommageable dans ta vie vanille. Je tiens à ce que, pour Moi, tu portes ce bijou en permanence !
Pour le coup, je ne pouvais penser à ma tenue ! Je magenouillais devant le Maître, fondant une fois de plus en larmes, et couvrant Sa mains de baisers, jusquà ce quIl me relève, me serre dans Ses bras. Il me passa la chaîne de main, refermant Lui-même le cadenas-fermoir symboliquement, en murmurant :
- Tu mappartiens !
Et sans un mot, Monsieur le Marquis maccompagna jusquà ma voiture. Là, il membrassa tendrement, langoureusement, ouvrit ma portière et me fit pénétrer dans le véhicule. Après un dernier baiser sur le dos de la main qui portait désormais la chaîne quIl venait de moffrir, il claqua la portière et retourna dans le Château.
(A suivre
)
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