La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°791)

Une venue tardive au Château -

23 heures venaient de sonner à l’impressionnante horloge en chêne massif verni du grand couloir capitonné de velours lorsque Marie frappa et entra dans la chambre de Monsieur le Marquis d’Evans. Comme tous les soirs, elle lui apportait sa tisane ce qui lui facilitait la digestion, disait-il. Il régnait toujours en Maître sur son immense domaine et cela toujours avec la même autorité.

Bel homme, Monsieur le Marquis d’Evans mordait aux plaisirs de la vie à pleines dents et toutes Ses femelles étaient flattées de se faire saillir par Lui. Ses nombreuses conquêtes lui donnaient dans la région une réputation sulfureuse mais que Lui-même assumait pleinement et sans complexe. Aussi lorsque, Marie, une gamine de dix-huit ans, avait été engagée à l’époque comme bonne au château, elle avait considéré cela comme une aubaine. Et Lui, Il avait sous la main une jeune femelle, mignonne tout plein et obéissante par surcroît. Lorsqu'il l'avait déflorée, elle avait considéré cela comme naturel. C'était semble-t-il dans l'ordre des choses. Il était plus âgé qu'elle mais ça ne comptait pas…

Déposant la tisane, sur la table de chevet, Marie regarda le Marquis d’Evans qui attablé à son meuble-secrétaire style Louis XV était en train d’écrire de sa plus belle plume.

- Ah Marie, Merci… J’ai invité pour ce soir une dame se prénommant Chris. Cela fait déjà longtemps que j’entretiens avec elle une relation via internet des plus virtuelles mais aussi très excitante tant la belle est motivée dans sa soumission. Elle ne devrait pas tarder, j’ai déjà envoyé Walter la récupérer à la gare du village au train de 22h30.
- C’est ce que je venais annoncer à Monsieur le Marquis, Walter est arrivé, il n’y a pas deux minutes et à laisser Votre nouvelle acquisition dans Votre grande Bibliothèque Privé. Elle vous y attend … Mais buvez Votre tisane, avant d’aller l’accueillir je ne voudrais pas que Vous trouviez mon infusion refroidie à Votre retour.


- Marie, tu es pour moi, une véritable mère… Tu as raison cette infusion a une odeur si agréable que je saurais l’éclipser. Je la savoure et je descends voir un peu comment se comporte cette Chris …

Le Marquis entra en silence par une petite porte latérale et dérobée dans Sa Bibliothèque. Bien cachée des regards cette porte placée entre deux étagères emplie de livres était haute jusqu’au plafond. Il s’immobilisa sans être vu. D’où il était placé, il avait une vue d’ensemble sur les vastes étagères de manuscrits qui avaient traversés les siècles et qui étaient venus s’accumuler ici par tous les aïeux du Noble, par tous les différents Marquis d’Evans qui se sont succédés au fil des siècles dans cette demeure ancestrale.

Il n’entendit aucun bruit, et tournant la tête à droite puis à gauche, il ne vit rien .. personne … Mais où donc était cette Chris ? Quand tout d’un coup, il aperçu dans un angle mort à sa droite, une paire de belles jambes, aux bas noirs, perchée sur un escabeau. Occupée à lire les titres sur les tranches des livres sur des rayonnages hauts placés de la Bibliothèque, Chris n’avait pas pu tenir à juste attendre sans rien faire devant cette caverne d’Ali Baba de trésors littéraires. Passionnée de culture, elle avait vite eu fait d’attr un escabeau pour se délecter d’ouvrages qu’elle aurait tant voulu posséder. Le Marquis d’Evans s’approcha alors tout doucement. Chris absorbée à découvrir des titres d’œuvres du XIII ème siècle n’entendit pas venir le Maître des lieux.

Alors, Il lui saisit une cheville et lui passa doucement la main sous la jupe noir, remontant le long de ses jambes. Elle avait poussé un petit cri de surprise tout en ayant faillir lâcher un exemplaire rare d’un Cantique des Créatures de Saint François d'Assise, écrit dans le dialecte italien de l'Ombrie autour de 1220, quand elle avait senti une main s'insinuer sous sa culotte. Quand elle vit qui était le propriétaire de cette main plus que baladeuse, elle se sentit rassurée et se laissa faire sans dire un seul mot.
Elle lui sourit même appréciant cette entrée en la matière. Quoi de plus excitant d’avoir enfin en face d’elle celui qu’elle était venu rejoindre et, de plus, dans Sa Bibliothèque et, de plus est, sur un escabeau ! D’un signe du doigt sur la bouche, Il lui avait intimé l'ordre de se taire faisant comprendre qu’elle devait se laisser faire sans broncher. Chris n’avait d’ailleurs aucune envie de se rebeller, bien au contraire, elle appréciait déjà les doigts vicieux du Marquis lui fouiller sa chatte qui ne tarda pas à s’humidifier d’avantage ....

Tout s'était passé très vite, sans fioritures. Soulevée et descendue de son perchoir par les bras musclés du Noble, plaquée contre l’étagère, les fesses reposant sur un petit rebord dépassant de l’étagère, assise ainsi le dos contre les livres, Chris écarta instinctivement les jambes. Il avait déjà troussé sa jupe et baissé sa culotte. L’embrassant de mille et fougueux baisers dans son cou et sur sa bouche si chaude les deux langues s’entremêlaient. Il lui tenait les bras écartés en l’air et plaqués eux aussi contre les parois séparant les livres. Puis il avait sorti sa queue sans plus de préambule tant la passion, la fougue de s’accoupler était intense et, lui soulevant une jambe d’un petit coup de Sa hanche, il s'était enfoncé en elle sans ménagements. Et c’est si excitée, qu’elle sentit Ses coups de butoir. La volumineuse bite labourait son ventre. Soudain, au bout de quelques minutes le sperme avait jailli en elle, en de longs jets épais et dans des râles de plaisir que le Marquis laissa s’échapper. Elle jouissait en même temps en ne pouvant pas retenir ses cris qui résonnèrent dans toute la pièce, elle sentait son souffle court dans son cou. Puis Il s'était dégagé, satisfait

- Tu es une bonne chienne … Rhabille-toi et agenouille-toi

Elle s'était tant bien que mal rajustée et ne savait comment essuyer le liquide qui s'échappait de son vagin et coulait le long de ses cuisses et lui collait ses bas noirs contre s peau.
Puis agenouillée elle le regardait du coin de l'oeil, Lui était aller s’asseoir à son bureau de la Bibliothèque. Relevant le regard sur elle, Il fixa ses yeux de son regard dominateur et Chris ne pu s’empêcher de baisser les yeux devant Lui. Il prit la parole sur un ton froid mais tellement envoûtant pour Chris :

- Saches qu’ici, j’userai et rai de toi, suivant Mon humeur, quelque soit le lieu ou l'heure. Toujours des étreintes à la sauvette ou plus longues selon mon bon vouloir mais où seul Mon plaisir importera. Tu es ma nouvelle chienne et j’attends faire de toi ce que bon me semblera. Est-ce clair ? Maintenant choisit : Soit tu me dis ‘’Oui Maître, je serai ce que Vous voulez que je sois » soit tu quittes ce château tout de suite et tu n’entendras plus jamais parler du Marquis d’Evans. Je n’ai qu’à sonner Walter qui peut te ramener de suite à la gare pour le train de 00H15 …
- Heu … Je … voui … oui Maître, je serai ce que Vous voulez que je sois
- Alors tu viens de sceller ton destin … Je vais appeler ma fidèle Marie, la cuisinière, elle te donnera tout ce qu’il faut pour que tu sois bien logée et bien nourrie. Tu porteras des habits de soubrette mais tu devras te déshabiller à mon simple claquement de doigt et cela partout dans le château dans n’importe quelle circonstance et même s’il y a du monde autour de toi. Et tu porteras aussi à ton cou un collier à mes armoiries, ainsi qu’une laisse. Je t’affecte au service de Marie. Ainsi tu l’épauleras aux cuisines et tu feras les taches quotidiennes, servir à table et m’apporter désormais mon infusion chaque soir si je te sonne. Est-ce clair ?
- Oui … Maître … Merci Maître de m’accepter à votre service, rajouté Chris qui comme hypnotisée savait à l’instant qu’elle avait obtenu enfin ce qu’elle attendait depuis si longtemps, être une soumise à part entière.

Le lendemain matin Chris suivait à la lettre les consignes autoritaires de Marie qui ne l’a ménageait pas mais qui restait tout de même correcte avec elle.
Et n'est que le soir, que Monsieur le Marquis l'avait fait monter dans sa chambre. Il devait être onze heures du soir et il avait sonné à l'office pour réclamer son infusion. Il était déjà couché. Chris monta et elle venait à peine de poser la tasse sur la table de chevet et alors qu'elle allait se retirer, qu’Il l'a saisi par le bras et lui avait exigé de se déshabiller d’un claquement sec de doigts. Intimidée, elle s'était exécutée. En petite culotte et soutien-gorge, elle attendait.

- Enlève tout, je veux te voir nue !

C'était un ordre. Elle dégrafa alors son soutien-gorge et lorsqu'elle se pencha pour faire glisser sa culotte, il put contempler à loisir sa poitrine. Deux jolis petits seins, impertinents, bien ronds avec les petits bouts roses qui pointaient fièrement au centre des aréoles plus claires. Le reste était tout aussi charmant. Le bassin large, des cuisses pleines, des mollets bien formés, bref une fille solide et en bonne santé.

- Tourne-toi et penche-toi que je voie ton cul de chienne !

Elle pivota et il put contempler à loisir la chute de ses reins. Des fesses amples comme il les aimait !

- Approche ! Viens près de moi dans le lit ! Mon Dieu que tout ça est beau !

Elle ne savait que dire, alors elle monta sur le lit, se glissa sous le drap et s'allongea à son côté, figée mais aussi excitée de la situation.

- Détends-toi ! N'aie pas peur ! Je veux juste te faire du bien ! Tu vas voir comme c'est bon !

Joignant le geste à la parole, il commença à la caresser tendrement. Il se pencha sur elle et l'embrassa. Sa langue mouillait ses lèvres qu'il força lentement à s'entrouvrir à la recherche de la sienne tandis que sa main glissait le long de son échine descendant sur ses fesses. Elle frissonna. Rassurée, elle s'abandonnait. Elle vint se blottir contre lui et sentit contre son ventre battre la verge tendue de son Maître. Instinctivement elle souleva sa jambe pour accen le contact sur sa motte. Il avait rejeté le drap et elle le vit pour la première fois entièrement nu, en érection. C'était réellement un bel homme. Il souriait et semblait moins sévère que d'habitude. Elle était fascinée par sa queue, noueuse qu'une grosse veine parcourait sur toute la longueur. Le gland entièrement décalotté était énorme, rouge violacé. Enhardie, elle saisit la bite dans sa main. Elle était chaude, dure et souple à la fois.

- Oui caresse-moi ! Regarde, tu me fais bander, petite cochonne !

Elle la sentait vibrer sous ses doigts.

- Oui, branle-moi, plus vite ! Fait bien coulisser tes doigts sur la peau ! Tu aimes, belle petite chienne ?
- Oui Maître ! Ce qu"elle est dure !

Au bout de quelques minutes, Il la fit s'étendre sur le dos et lui écarta les jambes. Elle sentit d'abord son souffle chaud sur le bas de son ventre puis le contact de sa langue sur sa fente qu'Il ouvrait délicatement avec ses doigts. Au fur et à mesure que la langue la léchait, elle sentait monter en elle de nouvelles sensations. Une chaleur insoupçonnée envahissait son ventre qu'elle tendait sous la caresse. Elle souleva sans résistance son cul quand il glissa une main sous ses fesses qu'il malaxait. Un doigt dans sa chatte il la branlait tandis que sa langue suçait son petit bouton. Un vrai délice. Elle n'avait que rarement ressenti quelque chose d'aussi agréable. Elle crut quelle allait défaillir. Il se redressa et vint s'accroupir sur elle, la tête toujours enfouie entre ses cuisses. Elle avait maintenant la verge et les couilles énormes qui pendaient au-dessus de son visage. C'est tout naturellement qu'elle ouvrit la bouche pour l'accueillir. Il usait de sa bouche comme de son sexe, entrait et sortait de plus en plus profondément. Quand il s'enfonça au fond de sa gorge, elle faillit .

- Oui, suce, serre la fort entre tes lèvres ! Tu sens comme elle vibre ?

Elle émit un grognement qu'il prit pour un acquiescement à la façon dont elle resserra ses cuisses.

- Mais tu vas m', diablesse ! Attends, tu vas voir comme je vais te branler ! Tu sens mon doigt dans ta foufoune ?
- Oui Maître… c'est trop bon … n'arrêtez pas, s’Il vous plait !

Elle s'ouvrait pour lui faciliter l'accès. Ce n'était plus un mais deux doigts qui s'enfonçaient dans sa chatte, qui la fouillaient. La langue avait délaissé le bouton pour descendre plus bas dans la raie toute mouillée pour s'attarder sur son petit trou. Jamais elle n'avait imaginé une chose pareille et pourtant si douce : Se faire lécher le cul. La salive dégoulinait mélangée à ses propres secrétions. Elle fondait ! Elle gémit quand elle sentit un doigt forcer sa rondelle pour la dilater. Ça brûlait un peu ! Mais les coups de la langue pointée qui forçaient son anus apaisèrent très vite la douleur. Elle savait qu'il l'entraînait sur un bien doux chemin et se laissait faire, docile et attentive.

- Dis-moi, c'est bon ça ? Tu sens ma langue qui entre dans ton petit cul ?
- Oui, encore ! Encore !

Il lui bouffait le cul depuis un moment quand soudain elle sentit monter du fond de son ventre et de ses reins un plaisir nouveau, violent qui l'envahissait partout. Elle ne se contrôlait plus et se sentait partir. L'orgasme la submergea, elle jouissait ! Elle serrait convulsivement ses cuisses puis se relâcha, étourdie. Elle aurait voulu que cela ne finisse jamais !

- Alors, petite chienne, on a joui à ce que je vois ! Putain ce que tu mouilles, tu es trempée !

Il l'avait prise dans ses bras et la serrait contre lui, fier de l'avoir menée au plaisir. Reconnaissante elle se pelotonnait contre sa poitrine, ronronnait comme une chatte. Puis la folle nuit avait continué.

- A ton tour de me faire jouir, petite salope ! Regarde dans quel état tu m'as mis ! Ma bite va éclater !

Il avait d'abord voulu jouir dans sa bouche. Il était tellement excité que cela avait été très rapide. Elle avait cru suffoquer lorsqu'il avait déchargé au fond de sa gorge. Le sperme lui avait soudain rempli la bouche et il lui avait maintenu la tête jusqu'à ce quelle avalât. Momentanément apaisés, ils étaient restés dans les bras l'un de l'autre. Il lui avait murmuré des mots tendres au creux de l'oreille, disant qu'elle était belle et que son corps le rendait fou. Puis ils s'étaient assoupis, repus.

Plus tard dans la nuit, alors qu'il reprenait vigueur, il l'avait réveillée et ils avaient fait l'amour. Elle sur lui d'abord. Empalée sur sa bite, c'est elle qui imposait la cadence selon l’ordre de son Maître tandis qu'il lui pétrissait les seins et les fesses. Ils voyaient monter le plaisir de l'autre dans leurs regards qui se croisaient. Quand il sentit qu'il allait exploser, il la serra très fort contre lui, écrasant ses seins contre sa poitrine et lui enfonça un doigt au fond du cul comme s'il avait craint qu'elle ne s'échappât. L'orgasme avait été intense. Ils avaient joui simultanément. Pleine du jus de ses couilles, chaud et onctueux, qui lui tapissait le vagin, elle avait gardé au fond de son ventre la bite encore dure de son amant. Elle était sur un nuage ! Chris n'avait jamais pu oublier cette première nuit d'amour. Lui non plus car depuis ce jour-là, leur relation avait changé, s'était approfondie, les sentiments étaient existants désormais entre eux deux. Sa façon à lui de l'aimer. Elle lui était devenue très vite indispensable ! Chaque journée, elle espérait que son Maître l’a fasse sonner, pour Lui monter son infusion … Et très souvent elle fût appelée à la ‘’tâche’’.

Et ce soir-là, encore une fois elle avait envie de Lui . La chaleur au creux de son ventre trahissait son impatience ! « Je suis vraiment sa chienne » pensa-t-elle, un sourire gourmand au coin des lèvres. Aussi ne se fit-elle pas prier lorsque, d'un geste de la main, Il lui demanda de le rejoindre dans le lit suite à Son claquement de doigts ! …

(A suivre ...)

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