Kentin 12 Fanstasme Assouvi
Le soir, souvent jétais trop fatigué pour entreprendre quoi que ce soit car en plus de la salle de sport, je faisais aussi de la course. Après le repas du soir, elle me faisait enfiler un legging à elle sans rien dessous, elle me conduisait à quelques kilomètres de la maison et je devais rentrer en courant.
La pratique intensive du sport avait partiellement calmé mes envies. Le soir jétais crevé et docile. Je mendormais comme un bébé. Jacceptais beaucoup mieux les escapades de Corinne. Je linterrogeais moins sur ses relations avec Pierre. Je nallais plus que rarement sur les sites porno. Je ne pratiquais plus la masturbation pénienne même lorsquelle me laissait sans mon étui. Par contre je navais pas renoncé à la masturbation de mon petit trou avide. Il marrivait dimaginer quun homme viril se vide en moi comme lavait fait Pierre. Mais dans mes fantasmes il ne sagissait plus de Pierre. Nos relations sétait nettement refroidie depuis la soirée coquine avortée. Il me fuyait. Et cest vrai que pour ma part le fait de ne pas assumer notre relation mavait meurtri.
Corinne sévertuait à mexciter et à me provoquer quand nous étions tous les deux en sortie. Elle se frottait à moi, membrassait, me caressait à travers le pantalon.
-Il faut me dire si ça tembête, mais tu mexcites vraiment avec tes petites pommes dans des dessous de filles. Tu es tellement craquant.
Un après-midi, alors que nous étions en promenade. Elle me proposa soudain de nous arrêter sur une plage. Cétait en semaine, il ny avait pas grand monde. Je navais pas de maillot. Elle par contre avait son sac de plage dans le coffre et de mit enfila son une pièce. Le tissus noir moulant rendait son corps désirable. Moi pour ma part, je me suis mis torse nu et jai gardé mon pantalon.
- Tu ne vas pas rester en pantalon à la plage; ça fait plouc.
-Je te rappelle que je nai pas pris de maillot et en plus tu sais ce que jai dessous.
- Si tu veux je te prête le bas de mon deux pièces.
-Tu es folle ou quoi. Si les gens sen aperçoivent
-Tu les vois où les gens?
Cest vrai quil ny avait pas grand monde.
-En plus moi , ça mexciterait de te voir en monokini sur la plage. Je crois que jen deviendrais incontrôlable, mon doudou.
Son regard était coquin. Elle a posé sa langue sur mon téton la fait tourné puis la mordu. jai sursauté.
-Alors tu le fais
Je nai pas su lui résister en je me suis contorsionné pour ôter mon shorty pour en filer le bout de tissus.
-Tu vois ce nétait pas si dur
Je savais par expérience que même si la nature ne mavait avantagé, ma queue était capable de sortir par lélastique.
-Tu sais que ça te vas plutôt bien. Mets-toi debout.
Je regardai à droite et à gauche pour voir si personne ne nous regardait.
-Finalement, on voit à peine la bosse. Je pense que pourrais même porter des strings si on parvenait à cacher tout ça.
Je me suis allongé de nouveau. Elle sest collée à moi et ma embrassée à pleine bouche. Elle a même retirer les bretelles de son maillot et jai senti ses seins réchauffés de soleil se coller à moi. Elle avait perdu toutes ses anciennes pudeurs au contact de Pierre. Je me suis mis à bander.
-Et bien, quest-ce que je sens là. Depuis combien combien de temps tu nes pas
-Je naime pas parler de ça.
-Tu sais cest naturel que tu le fasses. Jai lu que les hommes doivent se purger pour que leur semence ne leur monte pas à tête. Cela ne me fait pas plaisir, tu le sais bien, mais si cest la nature, on ny peut rien .Et, de toute façon, comme nous ne faisons plus lamour de manière traditionnelle...
-Plus dune semaine. Dix jours si tu veux savoir.
-Je peux arranger ton problème si tu veux. Retourne-toi.
Je me suis mis sur le ventre. Elle a craché dans sa paume. Sa main est venu au contact de mon sexe dans le petit maillot de bain de fille.
-Allez, Doudou. Baise ma main comme si cétait ma chatte.
Jai commencé des petits mouvements.
- cest bien, mon chéri, continue.
Les sensations commençaient à monter petit à petit. Mes ondulations devenaient de plus en plus amples. Ma respiration aussi.
-Vas-y, baise moi la main, je veux te sentir grossir encore et encore.
Elle me susurrait tout cela à loreille. Je gémissais. Jétais follement excité. Javais atteint le point de non retour et jai fini par explosé dans sa paume.
-Tu en avais une dose, dit-elle en essuyant sa main sur le devant du maillot et sur le bas de mon ventre. Elle sest retournée et a repris son livre.
-Et moi, comment je fais maintenant?
-Et bien cest simple, tu vas à leau et tu te rinces. Tu ne tes jamais demandé ce que je faisais quand tu te vidais entre mes jambes?
Jai donc du me rincer dans leau glacée du début de saison pour me débarrasser du foutre que javais émis. Et je dois dire quau retour mes attributs avaient la taille dun modeste bigorneau.
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Corinne se donnait encore et toujours à Pierre. Mais javais limpression que leur relation baissait dintensité. Une impression, ou étais-ce le fait que je my intéresse moins qui rendait la chose plus banale? Dun autre côté elle me maintenait dans état de fatigue qui me faisait accepter ma condition. Jétais un homme docile mais les provocations quelle ne manquait pas de me faire lorsque nous étions de sortie réveillaient mon excitation. Un désir vain car je savais que le seul plaisir quelle retirait de moi était celui de mon humiliation et de ma frustration. Jusquà ce quelle sen lasse, son mâle serait Pierre. Il me suffisait dattendre.
A loccasion de petite vacances elle me proposa de me faire rencontrer un homme capable dassouvir mes pulsions sexuelles. Loccasion de la soirée avec Pierre avait été un fiasco. Elle avait choisi de contacter des hommes pour moi via un site de rencontres.
- Je me sens prête à toffrir. Il faut bien que tu fasse ce que de ton côté tu me laisses faire. Je sais que vais en souffrir car tu es à moi.
- Si cest uniquement pour te faire du mal, il vaut mieux laisser tomber
- Non, même si ça me fait mal Jespère pouvoir chasser cette idée qui te hante. Je suis persuadée que cette obsession de préférer les mecs te quittera une fois la chose essayée.
Elle a donc cherché un mec. Elle le voulait mûr et expérimenté.
Elle a fini par entrer en contact, avec un mec dune cinquantaine dannée, le courant passait bien, du moins par SMS. Elle me faisait suivre leurs contacts. Jétais plus curieux quattiré par ce type dexpérience épistolaire.
Elle prit rendez-vous avec lui dans un bar et sempressa de partager les photos de leur rencontre.
- Jai rencontré le mec, il ma fait bonne impression , il vient demain en début daprès-midi
Je vous laisserai seuls. Tu es toujours Ok?
-On fait comme tu as décidé.
En fait, ce nest pas ce que pensais. Je trouvais ce type procédé complètement artificiel. Je ne goûtais pas la méthode. Je nen avais avais plus envie.
- Cest bien mon coeur, je suis contente que tu ailles au bout de ton envie. Moi demain jirai voir des copines comme ça vous aurez ainsi le temps de faire connaissance. Il te plaît?
- Cest un beau mec, grisonnant et expérimenté, daprès ce que tu mas laissé voir. Je suis sûr que tu as bien choisi. Et puis j y pense depuis trop longtemps
- Tu sais ce que jaimerais que tu fasses, que tu mettes une petite culotte sexy; une des miennes. Ça mexciterait de te savoir en dessous sexy pour le recevoir...
Je rêve, ou ma femme est en train dentrer dans mon jeu...Jhésitais entre lenvie de la mettre à quatre pattes et la baiser violemment pour lui rappeler qui était lhomme, et la remercier de maccompagner aussi bien dans un tournant de ma vie sexuelle.
- A une condition chérie, que tu ne me voies pas avec
tes sous vêtements
- Bien-sûr mon amour, juste savoir que tu la mise me suffira....
Le lendemain matin, à mon réveil, je trouvai un string noir, au devant en dentelles; je lavais plusieurs fois vu sur ma femme...
Je lai essayé en me disant que je ne rentrerais pas dedans...si, un peu tendu, mais il mallait...Cette sensation de gêne entre les fesses a vite laissé place à une autre sensation; je sentais mon cul excitant, javais même envie daccen mon déhanchement en marchant.
Ça mexcitait et minquiétait à la fois; mec, chienne, homo, bi, hétéro, quest ce que jétais en train de faire, ou mettais-je les pieds. Avais-je raison daller au bout, pourquoi ais-je tant envie de connaître le sexe avec un mec, pourquoi ne me vois-je quen passif ? Tout se mélangeait encore dans ma tête, mais jétais décidé. A lheure du rendez-vous, elle membrassa et séclipsa, me souhaitant "un bon moment"...
Ça sonne. Je tremble...jouvre, je nouvre pas, je suis tout bizarre, apeuré, mais excité. Jappuie sur le bouton de linterphone...Cest fait, il arrive; que dois-je faire, je lui propose un verre, on se tutoie, je commence à le toucher? tout se bouscule...
Il sonne à la porte, jouvre. Entre un bel homme, fidèle à la photo, calme, souriant. Je linvite à sasseoir, et lui sert un verre. Je massieds à côté de lui, un peu timide, le coeur battant. On discute de choses et dautres, de nos passions de nos hobbys. Il y des silences parfois, pesants. Si il ne fait rien, je ne bougerai pas. Je me jure. Voyant ma gêne, il finit par mattirer doucement vers lui. Je résiste un peu, cest inconscient...
Puis je sens sa main sur ma queue...je me mets à bander, de plus en plus. Puis il passe sa deuxième main sur ma nuque, et mattire vers sa bouche. Cest rugueux, le contact de ses lèvres est étrange, je suis habitué à la douceur de la femme, et je sens sa langue entrer dans ma bouche, me fouiller, je me laisse faire, et ma queue saffole, je commence à aimer, à chercher sa langue, à lembrasser sensuellement, et ça me plaît
Embrasser un mec cest comme embrasser son double. Doucement, il me glisse à loreille.
-Tu es très belle, tu me plais beaucoup
Belle? je ne comprends pas, mais je lis le désir dans ses yeux...
Il me tire vers le sol, et me met à genoux devant lui, tout en baissant son pantalon aux chevilles...mon coeur bat, ma bite mouille...
- Lèche mon slip, et fais durcir ma queue me dit -il avec douceur
Je mexécute, ma volonté de résister est nulle à cet instant, et je me mets à lécher son slip, sensuellement. Sa queue gonfle sous le coton, je la sens durcir, et ça me plaît de provoquer cela chez lui; je lèche de plus belle, il mordonne de le regarder en même temps. Je comprends que désormais et pour les prochaines heures, je lui appartiens, et je commence à me sentir comme une salope. Il sort sa queue par le côté de son slip, et dirige, toujours avec une douce assurance, ma tête vers ce sexe dhomme durci par le plaisir du contact de ma bouche.
Je passe ma langue dessus, ça sent le poivre et le musc, je trouve cette odeur presque excitante bien que très masculine, et je commence à le sucer, lentement, et jy prends goût, à tel point que je bouge mon cul, commence à me branler, et gémis en même temps.
Sa respiration accélère, je sens cet homme, fondre sous les caresses de ma langue, et jaime ça, je nai plus de doutes, tout saccélère... il me demande denlever mon pantalon.
Presque timide, je lenlève, et me trouve face à lui, en string.
Jentrevois une lueur dans ses yeux; ça lui plaît, linitiative de ma femme était bonne; il se lève, et en me roulant une pelle passionnée commence à me toucher le cul, et passer sa main sous lélastique. Je gémis, bouge mon cul de gauche à droite tant ses mains excitent mon cul.
- Tu es une vraie salope, ton attention me plaît beaucoup, jai envie de toi!
Cette phrase résonne; je suscite lenvie chez un mec, je le prends par la main, et lattire vers la chambre, en prenant soin de rouler du cul comme une petite allumeuse.
Il me met à quatre pattes sur le lit, tire ma queue en arrière, et commence à me masturber. Je sens ses doigts écarter mon string, puis une langue chaude envahir mon anus...il me lèche, pénètre ma rondelle avec sa langue, je gémis, jen redemande, mon cul est trempé de sa salive, et une sensation de chaleur envahit mon ventre...puis, il vient en face de moi, je suis toujours à 4 pattes, le cul en attente, la bite dure, gagné par une pulsion soudaine et intense : être sa chienne, et me faire prendre!
Il présente son sexe à ma bouche, et naturellement, je le suce, le lèche, my soumets, comme une petite pute...Toujours en douceur, je sens un doigt entrer dans mon cul, puis deux, il titille, écarte, enfonçant en même temps sa queue dans ma bouche, ma tête tourne, jai chaud, je veux être à lui!
Puis il revient se placer derrière moi, Il a enfilé un préservatif sans que je men rende compte. Je sens sa queue se frotter entre mes fesses, je me frotte, tente de me reculer pour la sentir, dure, dans ma raie, mon souffle saccélère lorsque je la sens à lentrée... Je réalise que je suis sur le point de me faire prendre le cul par un homme qui métait inconnu tout à lheure, je ne bande plus, mais je me trémousse de plus belle, pour mettre fin à cette interminable attente...
- Baise-moi, lui dis-je avec une voix de petite soumise en chaleur.
Il me tient fermement le cul, et commence à me pénétrer. Cest un peu douloureux au début, mais je sens que mon cul est trempé et glissant. Avec fermeté mais une douceur calculée, il entre petit à petit. Une sensation de plaisir sempare de moi, je sens ses va-et-viens, et sa bite entrer en moi. Je commence à gémir, à bouger comme avec Pierre. Sauf que cest plus un pote mais un homme quasi inconnu qui me baise, et jadore ça, je suis une chienne, une salope qui satisfait un mec et qui le fait bander...je commence même à donner de la voix, avec des petits cris, chaque fois que je sens ses poils contre mon cul, signe quil mencule profondément.
Je sens son sexe entier en moi, à genoux sur le lit, lui dans mon dos en train de menculer lentement et en profondeur, et il tourne ma tête pour membrasser avec passion; jai sa queue dans le cul, sa langue dans la bouche, je suis comblé, possédé, je lui appartiens, et je veux quil me prenne encore
Il sait tellement bien y faire
Il sallonge ensuite sur le dos, et na même pas besoin de parler; la salope qui était en moi a pris le dessus, je place une jambe de chaque côté de ses hanches, et menfonce sa queue...il me baise, me tenant le cul avec ses deux mains, et je suis en chaleur, je cherche sa bouche, je bouge sur sa queue, et atteins une excitation jamais connue jusquici...Soudain, mon coeur manque de sarrêter, mes jambes se mettent à trembler, et lexcitation descend dun coup!
Je constate presque avec effroi, mêlé à un sentiment de honte étrange, que ma femme est rentrée, sans bruit, et me regarde me faire baiser et me comporter comme une salope sous les coups de queue de ce mec. Je ne sais plus quoi faire. Etais-ce prévu entre eux? l Depuis combien de temps est elle là? Est-ce que je marrête, tout se mélange à nouveau dans ma tête.
Lhomme tourne la tête, et la voit, toujours en moi à ce moment, il continue, et ne paraît pas plus étonné que ça.
-Entrez si vous voulez lui dit-il. Si vous voulez participer...
- Non merci. Je vous regarde tous les deux depuis tout à lheure, vous êtes beaux
Je suis tétanisé, je la regarde, elle me sourit.
-Vas-y , je veux te voir bouger sur la queue de ton homme
Enhardi par ces propos, le mec reprend mon cul en main; je suis en train de me faire baiser devant ma femme. Un peu gêné, je commence néanmoins à gémir. Ma femme est maintenant face à moi, je crie, je me fais limer la chatte, elle sapproche de moi, et me dit
-Tu aimes vraiment, dis le moi.
-Oui jaime, mon amour.
-Tu aimes quoi? me dit-elle dun ton sévère, dis le!
-Jaime me faire baiser.
-Alors mets toi sur le dos, je veux te voir soumis à une bite les jambes écartées
-Oui, obéis à ta femme ajouta lhomme.
Je me mis sur le dos, un peu troublé, gêné mais terriblement excité finalement par la tournure que prenait les choses, et le mec saisit sa queue et me lenfonça dans le cul.
Puis il la sorti, et remis plusieurs fois, je sentais mon cul souvrir et se fermer à chaque fois. Pour finir, il continua de menculer de plus belle. Ils voulaient mentendre crier. Il saisit ma queue, et commença à me branler, en me regardant me crisper sous les coups de bite. Je narrivais pas à bander
-Tu es une vraie salope, tu aimes la bite en fait...Regarde toi, tu narrives a bander avec une queue dans le cul...maintenant, tu vas sucer , et je voudrais ensuite jouir dans ton cul, pour prendre possession complètement de la petite soumise en string que tu es...toi tu ne jouiras pas, je veux te laisser en chaleur pour commencer le dressage que ta femme va timposer. Jai failli exploser plusieurs fois tant la sensation dêtre une femelle ma excitée.
Je me suis laissé faire, encore, quel choix avais-je, désormais. Corinne mavait vu rouler des pelles à un mec et me frotter en couinant sur sa queue pour finir par lui demander de me baiser, comment maintenant refuser un scénario?
Je me mis donc à genoux, et commençais à le sucer. Me femme tenait sa queue dune main, et ma tête de lautre, et menfonçait littéralement son sexe en bouche, le sortait, me le frottait contre les lèvres, en me disant que jétais bien à ma place. Je ne me touchais pas, mais je sentais quand même un filet de liquide séminal couler; jétais en transe, dirigé par ma femme sur la queue dun bel homme mûr qui venait de faire de moi sa soumise sexuelle; je jubilais intérieurement.
Puis jai senti le pénis de mon mec se contracter; jai cru quil allait venir dans ma bouche, mais il senleva violemment, me remis sur le dos, enfonça sa queue dun coup en moi, et déchargea son sperme dans mon cul, mécrasant de tout son poids, et menfonçant sa langue dans la bouche.
Quand il eut fini, je cherchai ma femme du regard dans la chambre; plus personne, elle sétait envolée . Mon cul coulait encore du sperme de mon initiateur, et je me sentais soumis, comblé, mais toujours en chaleur...il membrassa encore quelques minutes, me faisant sucer sa langue, en enfonçant ses doigts dans ma chatte, puis sarrêta net, et commença à se rhabiller.
Je lai raccompagné à la porte.
- Tu vas revenir me baiser hein...?
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