Rendez Vous À La Banque : Carine Et Elsa
Le rendez vous avec ma conseillère était pris depuis une semaine. Javais cédé. Harcelée au téléphone, javais fini par accepter de discuter avec elle. Voilà plusieurs mois que javais un crédit sur mon compte (ça change, après des mois de découvert), elle voulait me proposer des placements, très intéressants, bla-bla-bla
Carine S, cest ainsi que sappelle ma banquière avait gagné, javais accepté. Je nétais pas disposée à signer quoi que ce soit, cétait juste par lassitude que javais pris ce rendez vous.
9h45, jarrive à lagence, légèrement en avance, jai rendez vous à 10h00. On me dit de massoir et de patienter, Carine S, va me recevoir très rapidement.
Voilà, cest tout moi, arriver en avance et perdre mon temps à attendre.
La vingtaine de minutes dattente a finalement passé très rapidement.
Je ne me suis pas du tout intéressée aux brochures et flyers à ma disposition, jai plutôt passé mon temps à regarder la petite jeune au guichet recevoir les clients. Une jolie brunette répondant au prénom dElsa daprès le badge quelle portait. Maximum 22, 23 ans. Plutôt petite, une beau regard bleu, les cheveux attachés en chignon, elle était toute mimi.
A chaque fois quelle se levait pour fouiller dans les tiroirs du meuble derrière elle, pour sortir un chéquier, je reluquais ses formes plutôt avenantes. Quelle joie, quand elle devait fouiller dans les tiroirs du bas, elle saccroupissait et sa jupe, qui lui arrivait au dessus du genou remontait sur ses cuisses. Superbe spectacle, dont je ne me laissait pas.
« Madame, cest à vous, Carine S., est disponible, elle va vous recevoir »
La voix dElsa me tire de mes rêveries.
« Cest le bureau au fond à droite, elle vous attend »
- Merci
La porte est ouverte, le panneau annonce bien que cest le bureau de Carine S., je frappe
« Entrez »
Une grande femme vient maccueillir, tout sourire.
Elle me tend la main pour me la serrer. Sa poignée de main ferme dabord, devient plus légère sur la fin. On dirait quelle ne lâche ma main quà regret. Ca a duré lespace dune seconde, mais jai limpression quelle a gardé mes doigts dans les siens. Tout le temps où nos mains ont été en contact, son regard na pas lâché le mien.
Elle minvite à massoir, sur le siège devant son bureau et regagne son propre fauteuil de lautre côté.
Le plateau de son bureau en verre fumé, me permet de voir ses cuisses gainées de noir, se croiser. Lair de rien, je me délecte du spectacle du bas de sa cuisse que sa jupe a dévoilé, de son genou, de son mollet, de sa cheville et de son pied enfermé dans des escarpins à hauts talons.
Ses jambes sont magnifiquement proportionnées. Ce nest pas une femme, cest un idéal féminin.
On se reconcentre Laeti
Mon regard remonte vers son visage.
On est là pour un entretien sur des placements bancaires, rien dautre, tu ne vas pas te faire ton cinéma.
En remontant, mon regard sarrête sur la poitrine. La première impression était la bonne, elle a de beaux et gros seins. Le chemisier tendu ne laisse aucun doute la dessus.
Le visage !! Je me concentre et je lécoute, je ne signe rien, je tergiverse, je fais semblant dhésiter, je demande un délai de réflexion et je pars faire les magasins, histoire dépuiser ce crédit sur mon compte !! Quon en parle plus !!
Fixer son visage narrange rien. Bien au contraire.
Les traits fins, un maquillage discret mais classe, qui cache à peine les première rides de la quarantaine, des yeux noisettes, un nez très légèrement retroussé, un grain de beauté juste au dessus du coin de la lèvre. Elle passe une mèche de cheveux rebelle derrière son oreille et elle chausse une paire de lunette, et là je défaille
.
Femme à lunettes, femme à
.
Bon, je me calme, elle va ment commencer à me parler de taux, de capital, de conditions tarifaires, me montrer des graphiques et des courbes (non, pas des courbes, ça va me faire penser aux siennes), tout ça va refaire tomber le soufflet, ça va me calmer direct. Parce que là, je suis en train de commencer à mouiller ma culotte, je le sens.
« Bien Mademoiselle, comme nous en avons discuté au téléphone
. Bla-bla-bla, il y a des possibilités bla-bla-bla
. Sommes placées
bla-bla-bla »
Je confirme, ça calme. Je ne suis plus trop là au bout de trois minutes.
« Par contre, je vois que vous avez été six moïs consécutifs à découvert » me dit-elle dune voix autoritaire
- Euh oui, mais cest terminé
- Bien sur, elles disent toutes ça. Quand on y a gouté, on y revient toujours. Cest ainsi, on ne se débarrasse pas de ses vices, on les entretiens.
- Pardon ? Je ne comprends pas
- Tu ne comprends pas ? Je vais texpliquer moi
- Je ne vous permets pas de me tutoyer, on est où là ?
La moutarde me monte au nez, elle se prend pour qui ? Je ne suis pas là pour me faire engueuler
Cest moi ,la cliente !!
« Je vais texpliquer ma petite Laetitia. On crois quon peut tout faire, que jamais on ne paye ses bêtises, si toute peine mérite récompense, tout écart mérite punition. Tu comprends ?
- Non, je ne comprends rien !! Dailleurs je pars dici, Vous vous croyez où , je vais écrire à votre directeur moi !!!
- Non, tu ne partira pas sans avoir fait pénitence
Elle se lève, ouvre son tiroir et en sort un martinet à lanières de cuir, en même temps, elle décroche son téléphone :
« Elsa, tu peux venir, jai une cliente récalcitrante là »
Elle magrippe par les cheveux, me lève du fauteuil et me penche en avant sur le bureau.
« Ah Elsa ! Laetitia ici présente a été une très vilaine fille, dépensière, effrontée, et en plus délurée.
Je sens les mains dElsa remonter ma jupe sur mes cuisses et mes hanches.
« Regarde Elsa, elle est toute mouillée. Elle dégouline cette gourgandine. On dirait que ça lexcite la perspective dune punition ! Ca texcite petite sale ?
- Oui !!
- Oui qui ? Je bredouille. Le sentiment de révolte est passé et en effet, je suis toute chose, dun sel coup, je ne me reconnais plus, je me laisse aller
- Oui Carine
- Oui Madame la Directrice !
Et elle me met de grandes claques sur les fesses. Je sers les dents, les claques me surprennent et me provoque une vive douleur, mais finalement, jaime ça ! Je ne dirais pas que je monte au septième ciel, mais ça mexcite terriblement de recevoir une bonne fessée. En plus cette femme, depuis le premier regard, jai craqué
La dernière claque est plus forte que les autres. Jai les fesses en feu
- Oui Madame la Directrice, aiiiiie
- Arrête de te plaindre, on ne fait que commencer, ton cul commence à peine à rosir. Bientôt il sera bien rouge.
Jai le rose aux fesses, daprès elle, mais jai surtout le rouge aux joues, cest sur. Jai honte de moi, de me retrouver dans cette situation. Honte daimer ça surtout. Parce que jaime, cest évident !!
« Bien, jai étudié ton cas avant que tu arrive. Six mois de découvert, je vois que certaines dépenses étaient évitables, comme par exemple les achats multiples dans les magasins de lingerie. Je suis sure que tu es du genre à porter des dessous de cochonne pour exciter tout le monde. NEst-ce pas ?
- Non, enfin oui Madame la Directrice
- Et cela sans te préoccuper de ta banque de ton compte dans le rouge ? Cest ton cul maintenant qui va être dans le rouge !!Six moi de découvert, six coups de martinet, et cest pas cher payé
Ca cest ma punition.
Elsa, peux tu baisser sa culotte et lui écarter les cuisses, sil te plais, ma chérie ?
La petite Elsa sest accroupie derrière moi, toujours penchée sur le bureau. Ses mains ont dabord agrippé mes hanches puis descendue sur le côté de mes fesses . Ses ongles senfoncent dans ma chair et me griffent les cuisses en remontent vers le haut de ma culotte. La griffure, douloureuse me fait gémir.
« Chut, ce nest rien, me glisse Carine .Son visage sest approché du mien. Sa langue sinsinue dans mon oreille, léchouille le lobe, le mordille, puis elle me lèche la joue, jusquau coin de la lèvre.
Elsa a agrippé ma culotte et la baisse sur mes chevilles. Instinctivement, je lève un pied puis lautre, pour quelle puisse lenlever. Elsa, me fait écarter les cuisses de quelques claques bien placées sur lintérieur. Malgré son jeune âge, je vois quelle a une certaine habitude. Je ne dois pas être la première cliente qui subit ce heure de traitement de la part de Carine et dElsa.
Je suis maintenant offerte, toujours penchée sur le bureau, les cuisses ouvertes.
« regarde Elsa, on a une jolie vue sur ses orifices. Tu peux la toucher si tu veux ! »
Le doigt dElsa glisse le long de mes lèvres, titille mon clitoris. Cest maintenant deux doigts qui pénètrent mon vagin sans problème, tellement il est humidifié par la cyprine.. Ses doigts ressortent et viennent masser ma petite rondelle.
« Ne nous égarons pas Elsa, il est temps de passer à la punition !! Prête ?
- Oui Madame la Directrice
- Avant toute chose, donne moi donc sa culotte Elsa.
- Tenez Carine, attention, elle est détrempée
- Ah oui, en effet, quelle cochonne. Ouvre la bouche Laetitia, on va faire en sorte que tes cris soient étouffés pour que tu nameute pas toute lagence.
Elle enfonce ma culotte dans ma bouche, profondément, jusquà la gorge. Cela provoque chez moi des hauts de cur.
- Respire par le nez, on va commencer, tu as lair ridicule ma pauvre avec de la dentelle qui dépasse de ta bouche grande ouverte, les joues toutes gonflées. Une vraie dinde !!
Elle est debout derrière moi, dressée, droite, elle le martinet en main. Elsa est appuyée contre le mur, sa jupe remontée, sa main dans sa culotte.
Le premier coup de martinet cingle mes fesses. Je ressens une vive douleur, je pousse un cri « hannnnn » complètement assourdit par ma culotte que jai en bouche
« Chut, ma chérie, ça ne fait que commencer »
Dans ma tête, je compte « un ».
Le suivant arrive, me prend aussi par surprise, comme le premier « deux« , puis le troisième, je commence à perdre le décompte des coups. Cette première série passée, je commence à sentir la douleur provoquée dans ma chair par les lanières qui ont marqué à plusieurs reprises au même endroit sur mes fesses. Le coup suivant me surprend, car il claque sur le haut de mes cuisses. La fin de la série a été plus difficile. Ma chair déjà sensible, lenchainement rapide et ferme des coups de martinet. Si je suis restée les fesses en lair et la tête baissée lors des premiers coups, je me suis redressée et cambrée lors des derniers.
Comme je disais, jai perdu le décompte en route, mais je suis persuadé que Carine ma administré plus de six coups de martinet.
Mes fesses brûlent, mais cest du plaisir que jéprouve. Du plaisir dans la douleur. De la douleur dans le plaisir.
« A toi Elsa, arrête donc de te toucher et vient corriger à ton tour cette pintade. On dirait quelle y prend du plaisir en plus !! »
Cest au tour dElsa de me flageller. Peut être a-t-elle moins dexpérience que Carine, peut-être frappe-t-elle plus fort, mais la douleur est plus forte. Peut être son manque dexpérience ne lui permet pas de maitriser ce savant dosage entre plaisir et douleur, que Carine possède totalement.
En tout cas, je commence à bien mesurer la spécificité du martinet. Chaque coup, même fort, individuellement est supportable, mais cest la succession qui crée cette sensation toute particulière de douleur.
« Très bien Cest terminé, jespère que la correction aura porté ses fruits !! Elsa !! Viens me rejoindre, toi Laetitia mets toi à genoux les mains dans le dos, et profite du spectacle. Mais attention !! Interdiction de te toucher !! Tu aime matter, eh bien matte
»
Elsa sest approchée de Carine, elles sembrassent à plein bouche. Carine remonte la jupe dElsa et lui malaxe les fesses
Je suis à genoux au milieu du bureau, je regarde la scène, le cul en feu, le sexe en feu, mais pas le même feu. Jai toujours ma culotte dans la bouche, je respire fort par le nez
Carine repousse Elsa, baisse sa jupe et va sassoir sur son fauteuil, une cuisse sur chaque bord. Elle a entrepris de libérer ses seins, pendant quElsa sagenouille devant elle et lui administre un cuni. Carine se pince les tétons entre ses doigts.
Je nen perds pas une miette. Maintenant, Carine fait sallonger Elsa sur le bureau, baisse sa culotte et viens se mettre en 69 par-dessus elle. Elles se mangent, que dis-je, se dévorent le sexe. Doù je suis, je vois la langue dElsa sagiter entre les lèvres de Carine.
Enfin, elles jouissent. Elsa, dabord qui pousse de petits couinements, Carine ensuite se tend, avant donduler du bassin sous les caresses buccales dElsa.
Elles sont maintenant relevées, sembrassent, se passent les mains
..
« Mademoiselle ? Excusez moi pour le retard !! Je suis Carine S. »
Une femme sapproche de moi, la main tendue. Elsa est assise à son guichet à quelques mètres de là. Carine, na rien à voir avec une grande femme sévère dune quarantaine dannée. Cest en fait une petite boulotte blonde de mon âge !!
Jai tout imaginé Je me suis égaré dans un rêve érotique !! Mon dieu ! Quelle horreur !! Non plutôt quelle joie, cétait plutôt un rêve agréable. Je sens en me levant, que ma culotte est légèrement mouillée sous ma jupe.
Ah la la, je nen loupe pas une , moi !!!
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