Ma Jeune Voisine
Jai 55 ans, marié à une très jolie femme, 2 fils de 23 et 19 ans. Depuis 12 ans nous habitons dans une petite résidence, ou nous connaissons presque tout le monde, surtout les jeunes qui ont grandi avec nos fils.
Parmi ces jeunes il y a Alexandra, qui a aujourdhui 19 ans mais que je connais depuis quelle a 7 ans. Cétait une petite fille blonde, un peu maigre très garçon manqué. Au fil des années le sport (athlétisme) et la nature faisant bien les choses, elle est devenue une très jolie jeune femme, visage fin avec de grands yeux bleus, corps souple et ferme. Jambes galbées et musclées.
Elle vient souvent à la maison, voir mon fils, je la croise en appréciant ses courbes.
Je suis motard (1200 fjr). En mai 2016 le père dAlexandra vient me voir, et me dit que sa fille souhaite sacheter, un scooter, quelle na jamais fait de 2 roues motorisés, quil aimerait bien (ainsi que sa femme) que je lemmène faire un tour (cool) pour quelle se rende compte de la dangerosité de la chose. Il me confirme aussi laccord de sa fille Jaccepte volontiers
Début juin, ayant quelques jours de vacances, je propose, si elle est disponible le mardi.
Mardi matin 10h, je la retrouve devant les garages, je léquipe, tout en lui disant quelle est ravissante, en jean baskets, avec un tee-shirt moulant. En fermant la veste de moto, prêtée par ma femme, je ne peux mempêcher de frôler légèrement sa poitrine.
Après quelques consignes nous voilà parti. En ville elle laisse un espace entre nous. Lors dun arrêt je lui demande, si tout va bien, elle me dit que oui quelle se sent en sécurité, quelle ne se tient même pas. Au feu suivant je freine volontairement brusquement, et elle vient sécraser contre mon dos. Elle sexcuse, mais je lui dis quil ne faut jamais relâcher son attention et quil serait préférable, quelle se tienne soit aux poignées soit à moi.
Nous avons convenu dun parcours mixte (ville, route sinueuse, autoroute, nationale).
Nous sommes rentrés depuis 2 jours, jai vu ses parents, ils vont sans doute lui acheter son scooter. Elle est ravie elle dit que cest grâce à moi.
il est 9h, je me lève à peine, je viens de prendre ma douche, quelquun sonne, jenfile rapidement un pantalon de survêtement, et je vais ouvrir. Je tombe sur Alexandra, elle est superbe dans sa robe en jean sans manche, mais très moulante, qui senlève en faisant glisser la fermeture éclair située sur le devant. Elle a lair surprise
moi : bonjour
Alex : bonjour, Nico nest pas là ?
Moi : eh non ma jolie, il est parti faire du sport avec ses potes, il sera là vrs12h
Alex (lair déçue) : ah je venais lui faire une surprise jai apporté des croissants
Moi (juste avant quelle reparte) : il ne ta rien dit ? allé rentre on va prendre le petit déjeuner tous les deux.
Elle hésite, puis passe devant moi doucement. Jai le plaisir de sentir son doux parfum.
Nous nous installons sur la terrasse, il fait bon, je suis toujours torse nu, et nu sous mon pantalon, elle est assise en face de moi, sur le canapé du salon de jardin. Sa robe courte remonte haut sur ses cuisses musclées.
Nous discutons à bâton rompu, elle est souriante, nature, jai envie de la câliner, de la serrer dans mes bras. Mon regard à de plus en de mal à se détacher de ses cuisses, qui parfois souvrent légèrement et laissent, entrevoir la couleur blanche de sa culotte.
Tout à coup elle regarde sa montre, se lève en disant, quelle doit partir, que je dois avoir des choses à faire.
Moi : non reste, je nai rien à faire de spécial, et toi ?
Je suis tout près delle, si près quelle doit, sentir contre sa hanche mon sexe qui commence à durcir.
Alex (en reculant) : je crois que vous allez faire une bêtise
Moi : mais non, nous nallons pas faire de bêtise, tu es si jolie, et je lembrasse sur la joue, puis dans le cou. Elle ne bouge plus, ne dit rien la tête baissée.
Moi : laisse-toi allé, tu vas voir ça va être délicieux. Je lui mordille le lobe de loreille. Elle ne bouge toujours pas
Je menhardis, très délicatement avec la main droite, je commence à faire glisser louverture de la robe, centimètres par centimètres, toujours en lui parlant, et en lui faisant des bisous dans le cou. La robe est ouverte.
Elle sursaute quand mes doigts effleurent son ventre. Je maperçois que ses seins sont libres. Je me penche pour les embrasser.
Elle recule en me disant dune toute petite voix : non arrêtez SVP, pas ça en reculant elle bute contre un fauteuil, elle tombe dedans. La robe cest ouverte, elle a les bras et les jambes écartées. Avant quelle se reprenne, je me mets à genoux devant elle, et lui embrasse les cuisses, quelle a refermé rapidement. Jessaie dinsinuer ma tête entre ses jambes, mes mains remontent pour lui empoigner les fesses.
La tête en arrière, elle tente de me repousser en appuyant sur mes épaules, elle force, je résiste, ramène mes bras, passe mes mains entre ses genoux les écartent, et plonge sur son sexe.
Ma bouche se pose sur sa chatte, juste séparée par le léger tissu de sa culotte blanche en coton, jappuie ma langue, lèche, mes mains remontent sur ses seins, que je palpe. La pression sur mes épaules se fait de moins ne moins forte.
Alex (la voix grave et en soupirant) : pourquoi vous me faites ça ?
Moi : laisses toi aller tu vas adorer,
Je lui embrasse lintérieur des cuisses, lui remonte les jambes, passe mes mains sous ses fesses, et commence à faire glisser doucement sa culotte.
En disant non, elle soulève légèrement le bassin pour me faciliter la tâche. Je laisse retomber ses jambes. Me relève, lattire vers moi en lui prenant les épaules, je fais glisser la robe, elle ne bouge pas, je dépose un baiser sur ses lèvres, nos langues se frôlent, je descends en lembrassant vers son cou, je gobe ses pointes de seins tout dure denvie, je les suce, les mordille. Elle soupir de plaisir, me caresse les cheveux. Elle se cambre, comme une invitation, tout en continuant à la butiner, ma main descend sur son ventre, elle se contracte, puis sur son sexe, elle se mord les lèvres la tête en arrière les yeux fermés.
Mes doigts, effleurent ses lèvres humides, jusquà son petit trou, remontent, se font plus pressants.
La main sur son sexe, je me redresse pour lembrasser, nos lèvres se soudent, nos langues se cherchent nos salives se mélangent, elle se colle contre moi et me serrant dans ses bras. Elle pousse un petit cri, et me serre encore plus fort, quand mon pousse pénètre son vagin.
Nous restons ainsi quelques instants, puis je la repousse, mécarte , lui écarte les jambes, et prend possession de son sexe avec ma bouche.
Ma langue monte et descend, écarte ses grandes lèvres, pénètrent son vagin trempé pour revenir sur son clitoris, quelle moffre et écartant avec ses doigts le petit capuchon. Je le gobe avec mes lèvres et ma langue le lèche lentement. Très vite son plaisir monte, elle respire de plus en plus fort, de plus en plus vite, ses mains malaxent ses seins, et dans un dernier spasme de jouissance, elle resserre, ses cuisses autour de ma tête, dans un râle rauque et long.
Je ne bouge pas, en attendant quelle reprenne ses esprits, je récupère avec ma langue, la mouille qui coule de sa chatte.
Elle desserre son étreinte, me tire doucement les cheveux, pour que je remonte à sa hauteur. Membrasse délicatement, ses mains glissent le long de mon corps, font tomber mon pantalon. Mon sexe tendu à se rompre apparaît, elle le branle légèrement, toujours en membrassant.
Sans me faire prier, je me relève, la pénètre, son sexe est chaud et étroit, je menfonce jusquau bout, je lui prends les hanches, et je commence les va et vient lents et réguliers.
Alex : baise moi fort et vite vite vite
Alors jaccélère, je vais de plus en plus vite, on entend mes couilles qui tapent ses fesses, et le clapotis de ma bite dans son vagin trempé.
Tres vite je lui dis que je vais jouir,
Alex (au bord lrogasme) : vas y vas y jouit, défonce moi lé chatte jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Jadoooooorrrre
Ne pouvant plus tenir jexplose, libérant de long jets de sperme dans son sexe, en me couchant sur elle et en lui prenant les seins à pleines mains.
Nous ne bougeons plus, nous sommes toujours lun dans lautre, nous sommes en sueur , elle à la tête appuyée sur le dossier du fauteuil
Alex (dune toute petite voix) : attention je sens que ça coule tu men as tellement mis.
Je me retire doucement, et ma langue vient la lécher et récupérer la mouille et le sperme qui coule de sa petite chatte encore toute gonflée de plaisir.
Alex en me voyant fait une grimace de dégout, mais se laisse faire. Puis pour lui montrer que ce nest pas salle, ni mauvais je lui roule une pelle.
Alex : ce nest pas bien ce quon a fait, mais jai adoré.
Moi : je suis désolé mais tu es trop attirante, et puis tu en avais un peu envie. Lautre jour en moto, quand tu te frottais contre moi, à quoi tu pensais
Alex : tu as senti, jétais bien, je me suis faite mouiller en espérant que tu tarrêtes dans un coin tranquille pour te faire ça.
Et elle se met à croupi devant moi et gobe mon sexe, plus très vaillant. Mais en quelques secondes je reprends de la dureté, elle me suce comme experte, en même temps elle se masturbe. Très vite elle me mène à la jouissance, je la préviens elle me répond
Vaji nai pas peur, javale tout. Alors je me laisse aller, je ferme les yeux. Je jouis dans sa gorge, sa langue me nettoie, elle se relève, membrasse goulument en me disant on est quitte.
Elle a remis juste sa robe, et elle est partie sans rien dire.
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