Satisfaire Les Fantasmes De Mon Patron

Tout le monde était épuisé, le fermier et son fils s'étaient rhabillés, j'étais allée prendre une bonne douche et avait rejoint tout le monde dans le living-room. La conversation des quatre hommes roulait sur moi.

« Oui disait Ludo, elle est magnifique, quel plaisir de la baiser !!
- Oui, dit Victor, Mademoiselle est la plus jolie fille que j'ai rencontré ! »

Le vieux fermier surenchéri, disant qu'aucune autre femme n'avait accepté la totalité de sa queue.

Je leur souris, je me regardais dans la grande glace, c'est vrai qu'avec mes cheveux blonds, mon joli minois, ma peau bronzée, mes jambes fines et galbées, mes yeux bleu-vert, mes seins fermes aux tétons érectiles, on ne pouvait qu'avoir envie de me baiser. Surtout lorsque comme l'exigeait Alfred, je portais me tenue de secrétaire. Elle était constituée d'une nuisette complètement transparente, s'arrêtant au dessus de mont de venus, comportant des ouvertures sur mes seins, ceux-ci devant obligatoirement passer au travers. Un porte jarretelles noir assez fin, soutenait mes bas noirs, Alfred m'avait interdit de voiler ma chatte ne serait que par un string transparent, elle était bien épilée et ne comportait qu'un petit triangle de poils châtains-blonds. Des talons hauts complétaient ma tenue. Exceptionnellement je pouvais passer un déshabillé diaphane à condition qu'il soit ouvert sur le devant et ne cache en rien mon intimité.

«Cela a été une super expérience...dit Alfred. Mais Trixie, cela fait longtemps que tu me rabâches les oreilles avec ton copain Gérald le noir avec sa queue immense ! Je voudrais bien voir... et si cela était possible le regarder te baiser ! Tu n'aurais pas une idée ? Moi j'en aurais bien une, mais il faudrait que ces messieurs veuillent bien coopérer ! Là aussi ce serait je crois une expérience du tonnerre !»

Aux mots queue et baiser les yeux de nos invités s'étaient mis à papilloter. Et ils lorgnaient à nouveau sur mon sexe.

Je n'étais vêtue que de ma nuisette. Alfred nous fit asseoir, Je m'enfonçais dans le fauteuil, écartant les jambes, ma chatte s’entrebâilla leur offrant le rose de mon orifice vaginal, Ludo et son père ne pouvaient détacher leurs regards.

« Nous... nous sommes à votre service...
- Bien dans ce cas voilà ce que nous pourrions faire... et il nous expliqua ce qu'il attendait. Victor filmera en cachette avec la grosse caméra et je pourrais me le projeter sur l' écran de la télévision le Led de 189 cm home cinéma, ainsi ce sera comme si c'était devant moi... Bien sûr Messieurs je vous dédommagerais !! »

Le plan d'Alfred avait vraiment émoustille Ludo, qui s'était rapproché de moi. J'écartais encore un peu les cuisses pour l'émoustiller et me caressais doucement le clitoris en le regardant langoureusement. Tout en me masturbant sans vergogne, je dis à Alfred que son plan me convenait tout à fait. Cela faisait en effet plusieurs fois que j'appelais Gérald, pour l'inviter et chaque fois il trouvait un prétexte pour repousser, et sa grosse bite noire me manquait. Avec ce plan édicté par Alfred, je tenais ma petite vengeance, Le grand noir allait comprendre qu'il ne fallait pas me contrarier !
Ludo avait passé sa main dans sa salopette et sortit le bout de son gland qu'il calottait et décalottait ne quittant pas mon doigt des yeux, qui frottait mon clito durci.

« Bon, il faudra que tu attendes ma prochaine visite... pour remettre ça Ludo, lui dis-je en souriant »

Alfred mit fin à l'entretien et les deux fermiers, prirent congé à contrecœur. En me faisant la bise, Ludo trouva quand même le moyen de m'enfiler son majeur dans le vagin.

« Il me semblait bien que tu mouillais, petite Salope ! »

Je téléphonais à Gérald, cette fois je fus persuasive et il accepta de venir dans trois jours.

A son arrivée dans l'après midi, je lui présentais Alfred, mon patron.

« Trixie, si cela ne te fais rien pourrais-tu aller, avec Gérald, à la ferme chercher ma commande de légume ? Cela ne vous dérange pas Monsieur ? Normalement c'est fermé mais, il m'a dit que je pouvais venir la chercher.

- Non, non c'est un plaisir... »

Arrivés à l’entrepôt, une fois à l'intérieur, je me dirigeais vers la caisse enregistreuse. Une pancarte ou était écrit en lettres capitales : DE RETOUR DANS 45 MINUTES, y était posée bien en évidence.

« Mince alors Gérald, que faisons-nous ? On attends ?»

Je m'avançais à l'intérieur du hangar, au milieu des étals de légumes, vers l'endroit ou Victor pouvait filmer. Le grand noir s'approcha de moi, souleva mes longs cheveux blonds et me déposa un baiser dans la nuque. Je me retournais et lui tendis mes lèvres.

« Je crois savoir comment utiliser, ces 45 minutes... Je vais te sucer... Regarde, il y a une corde qui pend de cette poutre, laisse moi t'y attacher ce sera plus excitant... on risque de se faire surprendre... ce qui ne serait pas pour me déplaire...
- Tu es toujours une vrai petite salope, mais oui tu as raison c'est excitant... »

La corde pendait à droite de la montée d'escalier donnant au premier étage. Je fus obligée de monter sur une caisse pour lui attacher les mains au-dessus de la tête.

« Eh, mais tu serres fort !
- Pour ne pas que tu te délies, si on se fait surprendre, répondis-je en riant »

Puis, lentement je défie un à un les boutons de sa chemise, léchant son torse noir glabre et luisant, aspirant ses tétons, faisant des allers et retours de ses pectoraux à son nombril. Je m'attaquais aux boutons de la braguette, il ne portait jamais de slip, je glissais ma main à l’intérieur et sorti délicatement l'énorme rouleau de chair noire, qui trancha sur le beige de son pantalon. Ma main gauche retourna à l’intérieur et avec une sorte de dévotion j'extirpais ses testicules plus gros que des œufs de caille. Je les écartais légèrement vers l'avant et pour bien qu'Alfred puisse à travers les images apprécier le diamètre et la longueur de l'énorme hampe noire, ma main droite s'y referma dessus, elle était encore flasque, mais j'en faisais tout juste le tour.
Lentement je descendis le long de la verge, jusqu'au prépuce qui était presque à la hauteur de son genou, et le décalottait, le gland d'un rose sombre s'offrit à mes regards. Je lui caressais doucement la bite, en me laissant glisser le long de ses jambes, pour me mettre à genoux devant lui. Relevais le monstrueux pénis, de mes deux mains. Ma langue fit deux ou trois fois le tour du gland dénudé, mes lèvres en aspirèrent la moitié. Je sentis Gérald frémir sous la douce caresse. Je débouclais sa ceinture, défit le dernier bouton et son pantalon tomba sur ses chevilles. Je me mis à lécher toute la longueur de la bite offerte qui commençait à réagir et à gonfler lentement, ma salive la rendit luisante, puis j'aspirais délicatement chaque testicule l'un après l'autre. Il gémit de plaisir, se cambrant vers l'avant, sa queue maintenant ferme arrivait presque à la verticale et dépassait son nombril. Mes lèvres commencèrent à l'aspirer doucement. Le gros cylindre noir, commençait à glisser lentement dans ma bouche grande ouverte. arrivé à la moitié je la ressortais, puis l'avalais à nouveau en gagnant quelques centimètres... Je recommençais plusieurs fois en accélérant la cadence. Je levais les yeux vers lui guettant ses tressaillements.
Lorsque tout à coup, le regard de Gérald devint fixe, faisant semblant de sursauter et abandonnant son sexe, je tournais la tête. Ce fut à ce moment là que des pas lourds firent craquer les marches de l'escalier...
Gérald tourna lui aussi la tête et put voir le gros fils du fermier qui descendait les marches... La salopette crasseuse, ouverte sur son torse velu, elle laissait apparaître une touffe de poils pubiens.

« Putain c'est quoi ce bordel, ici ? Non mais... !!! Oh putain... Papa vient voir, la petite salope blonde, tu sais la secrétaire du vieux... elle est en train de sucer un noir !!!! Ben dit donc, ils ne s'emmerdent pas ces deux là de faire ça ici ! Oh putain il est attaché le mec !! »

D'un bond, malgré sa corpulence il sauta les trois dernières marches et se retrouva à côté de nous, tandis que son père le vieux fermier dévalait les escaliers à son tour.
Je n'avais pas eu le temps de me relever, il passa derrière moi et me saisit les deux bras. Je levais les yeux vers Gérald, il se tortillait dans ses liens, sa bite était retombée flasque et pendait entre ses jambes. Je fis semblant de gigoter pour me défaire de l'étreinte. Le vieux s'était planté devant Gérald.

« Putain, oui vous êtes gonflés... Mais je crois qu'on va s'amuser un peu... Commence par te calmer, arrête de te trémousser, la corde est solide...
- Putain Papa t'as vu sa bite !! elle est plus grosse et plus longue que la tienne, pas étonnant qu 'elle veuille se le taper cette petite salope !
- Bon, tu as bien compris, Trixie, c'est bien ainsi que tu t'appelles ? Tu vas nous obéir et surtout fermer ta gueule ! Je crois que tu es plus que la protégée du vieux Alfred, je me suis laissé dire qu'il te baisait aussi, non ? Alors si tu ne veux pas qu'il sache que tu te tapes un noir, il va falloir que tu obtempères à ce nous allons te demander  !»

Saisissant deux autres cordes, il les fit passer sur deux poutres à environ trois mètres de Gérald, qui tirait de plus en plus sur ses liens.

«Ludo, amène la par ici »

Le gros obéit à son père, et me planta devant lui, il commença à me déboutonner le chemisier, mes deux seins, soutenus par un léger demi soutien gorge noir, seins nus, jaillirent lorsqu'il écarta les pans. Il commençait à transpirer d'excitation. Il baissa la fermeture éclair de sa salopette et sortit son sexe qui était presque aussi gros et long que celui de Gérald.

« Oh putain, Ludo, mate un peu le soutard...rien que ça, ça me fait bander... »

D'un geste brusque il ôta mon chemisier. Il fallait que je donne le change, j'essayais de lui résister en me débattant, mais il avait déjà rabattu le chemisier sur mes bras et les bloquaient ainsi. La bataille m'avait érigé les mamelons et ils dardaient au dessus des bonnets de dentelles noires.

« Ludo, tiens lui bien les bras pour ne pas qu'elle gigote ! »

Celui-ci derrière moi ôta complètement le chemisier et me rabattit les bras dans le dos, ce qui eut pour effet de faire encore plus saillir mes deux globes fermes.
Les deux mains moites du vieux se posèrent sur mes seins et commencèrent à les pétrir. Il le faisait sans ménagement, puis il prit mes tétons entre le pouce et l'index et commença à les faire rouler entre ses doigts. Il y planta ses ongles, mes mamelons malgré eux commençaient sous la douleur à se gorger de sang et s'ériger de plus en plus, puis il les tira. J'adorais que l'on triture mes mamelons. Je remuais mon torse, en vain cela semblait exciter encore plus l'homme de voir le tressautement de mes seins.
Sa bouche vint se plaquer sur un de mes mamelons, et il commença à le mordiller. Mon esprit ne pouvait plus contrôler, je ne faisais plus semblant, mes tétons répondaient à ce qu'ils subissaient, mes aréoles étaient pi graillées de chair de poule, le fermier s'en aperçu, car il se mit à les aspirer à tour de rôle avec avidité.

« Regarde fiston, t'as vu on dirait qu'elle apprécie, ses tétons ont grandi d'au moins trois centimètres !
- Oui, oui mords les, pince les, putain c'est bon !! »

Ayant dit cela, il plaqua sa bouche sur le mienne, j'eus un hoquet de dégoût. Son haleine était fétide, sentant le tabac et le vin, mais il força mes lèvres avec sa langue, et me l'enfila dans la bouche. Je lui rendis son baiser, en prétextant qu'Alfred me payait en conséquence et qu'il fallait que je satisfasse sa libido ! Mais je réalisais de suite que c'était faux, Ce n'était plus ma tête qui commandait, mais mon corps, mon sexe... j'étais dans un état second. Je n'attendais plus qu'une chose, me faire baiser par ces hommes dont l'un ressemblait à un gorille et l'autre à un épouvantail. Sa bite immense et dure se frottait contre moi. Pendant ce temps ses mains étaient descendues le long de mon dos nu, avaient trouvé et ouvert la fermeture éclair de ma jupe. Il la fit descendre sur mes cuisses et elle tomba à terre. Il se recula pour apprécier le spectacle.

« Oh la salope, t'as vu Ludo, cette petite pute à des bas et un porte jarretelle ! Putain le noir allait se régaler ! C'est pas normal, qu'elle fasse cocu le vieux en se faisant baiser par un noir ! On va lui monter de quoi les blancs sont capables !»

Il m'attacha avec difficulté car je me débattais comme une furie. Comme il l'avait fait pour Gérald, il m'attacha entre les deux poutres, bras écartés ce qui faisait saillir mes seins, je faisais face au grand noir à trois mètres de distance. Gérald les chevilles prises dans son pantalon bougeait difficilement. Son énorme bite se balançait rapidement.
Il m'ordonna de me calmer, Ludo derrière moi, me caressa lentement le corps, puis sa main s'insinua dans mon string qu'il arracha d'un coup sec. Je me retrouvais en porte-jarretelles, bas noirs, soutien gorge demi bonnets et talons aiguilles, offerte au bon vouloir de ces messieurs, qui obéissaient parfaitement aux désirs d'Alfred. Il insinua son majeur dans la fente de mon sexe et fit plusieurs allers et retours.

« Ludo, amuses toi un peu, caresses lui les seins et la chatte essaye de la faire mouiller, je reviens dans un instant »

Ludo prit la place laissée vacante par son père, Il se mit entièrement nu, et commença à me caresser le corps. Gérald pu ainsi admirer, ses pectoraux poilus qui pendaient flasques, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s'étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules et ses fesses étaient recouvertes de pilosité. Mais c'est son pénis qui fascinait. Il était en érection, il devait mesurer entre quinze et vingt centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis s'évasait en une large corolle d'au moins cinq centimètres de long jusqu'à la couronne bien marquée et très saillante, ce qui procurait des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït, j'en avais fait l'expérience quatre jours plus tôt. Son prépuce étiré était d'un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d'un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé et velu pendait assez bas et contenait deux testicules aussi gros que des œufs de pigeon. Le petit gros s'approcha de moi, il m'enlaça et sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força mes lèvres. Il frottait son torse poilu contre la pointe durcie de mes nichons, une de ses mains se posa sur un sein et l'autre se plaqua sur ma chatte. Je sentais son gland triangulaire dur comme un roc se frotter au-dessus de mes bas, il le glissa sous la lanière du porte-jarretelles et le frotta doucement sur ma peau nue. Son majeur s'était insinué dans ma chatte et ma vulve commençait à me chatouiller et à devenir vraiment moite. Le souvenir de ce qui c'était passé il y avait quatre jours accentuait le processus. Malgré sa laideur repoussante, mes entrailles avaient adoré sa bite et sa façon de me baiser. Il me suça la pointe des seins, qui dardaient en deux pointes brunes et dures au dessus des bonnets du soutien-gorge. Ses lèvres commencèrent une lente descente vers mon ventre. Il avait passé ses deux mains sous mes fesses et malaxait mes deux globes fermes. Les étirant pour ouvrir mon anus qui subissait la pression de ses majeurs qui effleuraient mon trou intime. Je gémissais de plaisir. D'un regard ayant l'air désespéré je fixais Gérald comme pour lui demander pardon d'apprécier les caresses prodiguées par cet espèce d'anthropoïde, il essayait de se libérer de ses attaches, en grognant et en insultant le gros homme.

« Tu as vu... J'ai l'air de lui faire de l'effet à ta petite Salope... Ça ne t'excite pas ? »

Un grognement de colère lui répondit.

«Mon pauvre Gérald, tu n'es pas encore au bout de tes émotions, pensais-je, mais cela t'apprendra à m'ignorer si longtemps... »

Le fermier ne revint pas longtemps après, avec à la main une fine baguette flexible, d'environ un mètre cinquante de long. Je subodorais qu'il avait du aller voir, si du côté de Victor tout se passait bien.

« On va lui monter à cette petite pute, ce qu'elle encourt à se faire baiser par un salaud de noir ! »

Il tendit la badine à son fils, et se planta devant moi à côté de son lui. Ils bandaient énormément tous les deux. Je compris ce à quoi j'allais avoir droit ! Je ne détestais pas... Je voulais le mettre légèrement en colère... celui qui allait officier...

« Pourquoi ris-tu ? Demanda Ludo
- Tu n'as qu'a te retourner et comparer ta bite avec celle de mon ami, celle de ton père ça pourrait aller, mais la tienne n'est vraiment pas longue ! Lui répondis-je 
-Tu vas moins rigoler, dit-il en passant derrière moi, un peu irrité. »

Il m' asséna un léger coup de baguette dans le dos, la douleur me fit cambrer en avant. Il me frappa sur les fesses à petits coups saccadés :

« Tiens salope ça c'est parce que tu aimes les noirs, et ça parce que tu aimes les sucer... et ça parce que tu te fous de moi.. »

Je me tortillais, mais sans vouloir vraiment échapper aux coups. Il passa sur le côté, il me caressa doucement un sein avec la baguette, descendit vers le téton, en fit doucement le tour. Je tendais ma poitrine en avant comme pour recevoir le coup, celui-ci arriva sur la pointe brune durcie. La légère douleur me fit gémir, il fit de même sur l'autre sein. Et recommença encore et encore, son père entre deux séries de petits coups, aspiraient goulûment entre ses lèvres les mamelons érigés, gorgés de sang, comme pour apaiser la douleur, il avait inséré deux doigts dans ma chatte et la caressait. J'avais déjà subi ce genre de traitement, j'avais aimé. J'aimais me sentir dominée, j'aimais cette douleur, car il ne frappait pas excessivement fort. J'aimais ce plaisir glauque. Mes seins durcissaient et ma chatte était trempée, et du foutre coulait sur mes cuisses, mon corps réagissait mon cerveau désavouait. Je poussais de petits gémissements à chaque coup, plus de contentement que de douleur à présent. Je me frottais discrètement les cuisses l'une contre l'autre. Je ne voulais pas qu'ils s'aperçoivent que j'aimais ce qu'ils me faisaient subir. Je gardais les yeux clos pour mieux me concentrer et essayer de reprendre le contrôle de mon corps. Mais je ne pouvais lutter et le plaisir me submergeait.
Ludo, me dit d'écarter les cuisses, je les gardais serrées, un coup plus appuyé me les fit ouvrir. Il passa doucement la baguette entre les lèvres entrouvertes, chatouilla le clitoris avec le bout le plus gros, puis il inspecta la baguette luisante de foutre et passa sa langue sur bois.

« Mais c'est qu'elle commence à mouiller cette salope et dur ! Elle doit aimer ça !!  Je vais lui en donner encore !
- Attends, je vais lui sucer la chatte dit le vieux fermier. »

Il se mit à genoux et commença à enfoncer sa langue dans mon sexe offert. Il avait bien dégagé le clitoris et le titillait du bout de sa langue, puis il l'aspira en le suçant doucement. Cette caresse m'arracha un énorme gémissement de plaisir. Le vieux se branlait au bord de l'éjaculation.
Ludo derrière moi, me caressait le dos et les fesses avec la baguette, et de temps en temps m'assenait une tape un peu plus appuyée que les précédentes, il se frottait la bite entre la raie de mes fesses, la passant sous le porte-jarretelle, puis son gland triangulaire forçait légèrement mon anus.

« Putain Papa, regarde le noir, il bande, sa bite est énorme !!  Ça doit lui plaire à lui aussi que je la fouette ! Et qu'elle aime ça cette petite salope !»

J'ouvris les yeux et regardais Gérald, la queue de celui-ci, sûrement excité par ce que les deux hommes me faisaient subir, bandait. Je ne l'avais encore jamais vue ainsi. Elle était maintenant tendue et rigide en arc de cercle, son prépuce étiré au maximum découvrait une bande de peau rose qui tranchait avec la couleur du reste de son pénis. Je crois que même la première fois qu'il m'avait baisé, son érection n'était pas aussi énorme. Le traitement que je subissais devait l'exciter au plus haut point. Je le regardais langoureusement, et je décidais que puisque cela plaisait à mon amant, j'allais me laisser aller entièrement et sans retenue, moi aussi à l'excitation et au plaisir qui montait en moi, il n'y avait pas de raison !! C'est Alfred qui serait content !
Je commençais, à onduler du ventre, à chaque coup de langue ou de doigt qui pénétraient dans ma chatte de plus en plus trempée... et je poussais des gémissements de plaisir explicites à chaque coup de baguette. De voir dans quel état ce que je subissais, mettait Gérald me ravissait. Lui aussi me semblait-il poussait des petits grognements de ravissement, je sentis ma chatte s'inonder de mon foutre, le plaisir était là.
Fixant intensément Gérald dans le yeux, je me laissais aller à jouir dans la bouche du vieux fermier . Mon corps se tendit comme un arc, un énorme cri de jouissance s'échappa de ma bouche.
« Putain Ludo, elle joui...Moi aussi...un jet de sperme se perdit sur le sol !! 

«  Bon, enlèves toi que je m'y mette. »

Ludo passa devant moi, mettant mes jambes autour de sa taille, il demanda à son père de me soutenir sous les bras et il m'enfonça sans difficulté sa large bite dans la chatte. j'eus un ricanement.

« Ce n'est pas ainsi avec ta petite queue que tu vas me faire jouir, c'est sûr elle est grosse mais pas assez longue. Tu as vu celle d'en face, gros porc !
- Toi peut être que non, tu ne vas pas prendre ton pied, mais moi je vais sûrement éjaculer mon sperme dans ta jolie chatte !! »

Il me besognait à grand coups de reins en ahanant, ce ne fut pas long, il cria. Je le sentis se raidir et un jet de sperme chaud gicla dans mon vagin. Je regardais Gérald pendant cette pénétration. Il me semblait que la grosse queue noire avait encore pris du volume, ce n'était pas pour me déplaire qu'il soit ainsi excité. Je n'avais pas retenu mes gémissements de plaisir pendant la pénétration de Ludo, pour accroître l' excitation de Gérald et ça avait marché, il grognait et se débattait toujours dans ses liens, la bite toujours aussi impressionnante.

« Tu es une Salope, tu aimes te faire baiser par ces deux porcs !!! dit-il »

« Aaaahhh, ça fait du bien...T'as pas joui salope ! Attends...gronda Ludo.»

Sur un étal il pris une courgette. Il se dirigea vers Gérald, dont la grosse bite noire pointait fièrement vers le ciel, et compara les grosseurs et les longueurs.

« Tu vois, elle est légèrement plus grosse que sa bite, tu vas te régaler... »

Il attacha mes chevilles aux poutres. J'étais à sa merci complète, les jambes largement ouvertes. Il s 'accroupit devant moi, écarta les lèvres de ma chatte et doucement en tournant légèrement commença à enfoncer le légume.

« Ouiiiii, putain c'est bon, c'est bon.... c'est mieux que ta petite bite... allez met la moi entièrement... »

Mon sexe plein de sperme et bien humidifié par son foutre, acceptait facilement le bout légèrement pointu de la courgette Il l'enfonçait de quelques centimètres puis le ressortait, en me caressant le clitoris au passage. Je ne pouvais pas bouger, je sentais avec délice cet objet s'enfoncer en moi. Cela m'excitait et je commençais à haleter de plaisir non feint. Je regardais Gérald et surtout sa bite qui ne désenflait pas. Il me regardait aussi me lançant des regards qui trahissaient son excitation et le désir qu'il devait éprouver. Cela décuplait mon plaisir de me savoir regardée et désirée par ce grand noir qui était pour l'instant impuissant...
En le regardant, d'un regard langoureux, j'essayais de m'abaisser pour faire entrer plus profondément la courgette. Mes parois vaginales s'ouvraient et la courgette disparaissait doucement, à chaque poussée dans ma chatte.
Je hoquetais de plaisir, en disant à mon bourreau d'accélérer la cadence. Je voyais Gérald se tortiller de plus en plus dans ses liens. Le légume vert était presque entièrement entrée dans mon sexe. J'avais la tête rejetée en arrière, la bouche ouverte cherchant l'air, le plaisir arrivait rapidement.
D'un seul coup mon ventre explosa de jouissance, un grand tremblement me parcouru, je criais de jouissance...

« Bien, tu vois Salope, que je suis arrivé à te faire jouir !  Dis Papa si on faisait un bon film maintenant dit-il en faisant un clin d’œil. On va te faire baiser par le noir, comme ça, après, on pourra se branler en le regardant, non ? Je vais les détacher. »

Il coupa les cordes me retenant, il me fit mettre sur le dos, les épaules bien à plat sur sur une table vide, qu'ils avaient positionné entre les deux cordes. Il me souleva les jambes, les écarta puis me lia les chevilles. Le vieux fermier s'approcha.

« J'ai toujours aimé son petit trou du cul, dit-il »

Son majeur caressa le pourtour de mon anus, je tressaillis, il enfonça sa première phalange, je gémis, il entra complètement son doigt, puis y adjoignit son index et les tourna doucement, il me tira un nouveau gémissement de plaisir. Il se tourna vers Gérald.

«  Elle aime ça ! Mais ma bite aussi... »

Je sentis son gland forcer le passage, ce n'était pas la première fois que le vieux marchand de légume me sodomisait avec son énorme queue. Je la sentis glisser doucement dans mes entrailles.

« Ouiiiiiii, ouiiiiiiii, c'est bon, enfonce, enfonce
- Tu aimes hein, petite Salope... allez dit-le et un coup de rein enfonça entièrement le pieu
- Ouiiii...
- Allez dis le à ton copain le noir, que tu aimes la bite du vieux blanc... Dis que tu vas jouir... Dis lui ou j'arrête...
- Noonnnn, n'arrête pas.... Ouiiii Gérald j'aime la bite du vieux, j'aime quand il me défonce, je.... je vais jouir encore une fois... »

Je regardais Gérald avec des yeux de velours... Il me regardait sidéré...

Le vieux accéléra sa cadence, me tirant des cris de plaisir, ayant déjà éjaculé, il mit au moins dix minutes avant de projeter sa semence dans mon anus, mes sphincters se resserrèrent autour de son membre monstrueux et une puissante lame de fond me submergea je criai ma jouissance.
Gérald, n'en pouvait plus... il bandait toujours autant si ce n'est plus ! Il subissait un véritable calvaire d'assister impuissant a ce qu'ils me faisaient.

« Bon, écoute lui dit Ludo, tu veux la baiser ? On est d'accord, je te détache mais tu restes tranquille, sinon on dit tout au vieil Alfred et il risque de la licencier... C'est OK »

Gérald obtempéra, il ne désirait plus qu'une seule chose au monde chose me baiser !
Il tremblait d'impatience de me pénétrer.
Le gros Ludo se mit à genoux de chaque côté de ma tête et commença à filmer, il ordonna à Gérald de me pénétrer.
Celui-ci ne se le fit pas dire deux fois, il enfonça presque d'un seul coup sa bite dans ma chatte offerte. Je tressaillis d'extase en sentant l'énorme sexe noir se glisser en moi, j'attendais moi aussi cet instant avec impatience. Gérald me pénétra violemment comme pour me faire payer, ce que je venais de faire pendant qu'il ne pouvait que regarder.

« Tu as aimé ce qu'il te faisait, petite salope...tu as aimé te faire fouetter, sucer, baiser, sodomiser par ces gros porc...tu es vraiment une petite garce, une grosse salope d'avoir joui avec la courgette... tiens prends ma grosse queue...tu l'aimes aussi ?? »

Il était en colère, vraiment excité, il me martelait sans relâche, me tirant des halètements de plaisirs, au plus on me baisait au plus mon désir était décuplé. En filmant en gros plan avec son Ipad, Ludo voyait les énormes couilles venir s'écraser avec force sur mes fesses. Le gros cylindre noir ressemblant à un piston ruisselant de sperme et de foutre, entrait et sortait à toute vitesse de ma chatte soigneusement épilée. Je haletais de plaisir, mes seins durcirent à nouveau, mes tétons s'érigèrent en deux petits pics bruns, alors que mes aréoles se pigmentaient de chair de poule.
La main libre de Ludo commença à les masser l'un après l'autre, il tirait sur les mamelons, les pinçait fortement, je gémissais de plaisir de plus en plus.

« Tu vas lui mettre ta grosse bite noire dans le cul, maintenant, et lorsque tu sentiras que tu vas jouir, je veux que tu sortes ta queue et que tu te retiennes avant de vider tes bourses. Je veux filmer ton éjaculation dans sa chatte, je veux voir couler ton sperme de nègre à l'intérieur de sa jolie chatte de blanche»

Gérald enfonça excité, doucement son énorme pieu dans mon orifice anal déjà bien distendu par le père de Ludo, je haletais de plaisir. Les deux mains agrippées à hauteur de mes hanches Gérald comment un dément enfonçait et ressortait son immense phallus noir, me tirant des cris d'extase. J'avais les mains libres, je caressais les boules velues de Ludo puis je dirigeais son sexe vers ma bouche et commençais à le sucer.

Gérald faisait des va et vient de plus en plus rapides dans mon anus, il sentait que le plaisir arrivait rapidement, son désir avait été exacerbé par tout ce qui c'était passé avant.

« Je crois que je vais jouir, dans pas longtemps !
- Attends, Papa approche... mets toi à côté on va bien lui ouvrir la chatte, pour que je filme son éjaculation ! »

les deux hommes mirent chacun l'index et le majeur dans mon orifice vaginal, et écartèrent les lèvres, il était temps le gland de Gérald se positionna deux centimètres au dessus et le grand noir frustré par mon comportement, éjacula longtemps avec de voluptueux gémissements de longs jets de sperme chaud, qui s'écoulèrent dans ma chatte ouverte.
Puis il y enfourna à nouveau sa bite, comme pour bien pousser le sperme au fond, et eut encore un ou deux spasmes. Puis il s'écroula sur moi, engloutissant mes aréoles dans sa bouche.
Les massages buccaux et le spectacle de cette éjaculation, eurent raison du gros Ludo qui à son tour, éjacula dans ma bouche en m'ordonnant de tout avaler son sperme.

J'espérais que Victor avait pu tout filmer...

« Si c'est le cas Alfred va s'éclater... pensais-je»

A suivre...

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