La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°794)
Une venue tardive au Château - (suite) -
La soumise toujours emplie de désirs de lentes et longues sodomies se sentait pourtant gagnée par ce trop démotions provoquant un creux dénergie. Elle comprit alors ce que le Marquis dEvans avait plus tôt subtilisé à son regard. Il prit le flacon de verre fumé sur Ses draps et louvrit. Sen dégagea des odeurs caractéristiques dhuiles essentielles que la soumise connaissait pour les pratiquer également à ses heures. Si elle le savait pratiquant des médecines naturelles, elle fut étonnée car ils nen avaient jamais parlés. Elle sentit une odeur de camomille, de sauge et une plus discrète, peut-être celle de lYlang-ylang. Le mélange (*) devait être dilué dans de lhuile millepertuis ; largan avait une autre odeur plus caractéristique. Le Marquis en fit couler quelques gouttes dans le creux de Sa main et réchauffa le mélange en létalant dans Ses mains avant de masser doucement le plexus de Sa soumise. Ce mélange, mieux que tout ceux se trouvant tout près dans le commerce, a pour vertu de rapidement de faire passer la fatigue sexuelle de la femme. Chris sentit les caresses des mains de son Amant. Ses fesses relevées, Il lui en passa également dans le bas du dos. Bientôt, elle se sentit regagner par lénergie. Le Maître le sentit. Il reprit Ses savantes caresses sensuelles, en douceur tout dabord, puis plus appuyées.
Lentement, sa rondelle rose souvrait. Elle était submergée de sensations les plus folles et de désirs dinvasion de son cul. Elle avait envie de gémir mais le Maître le lui avait interdit. Elle travaillait donc en essayant de bouger le moins possible dans ses entraves. Coincée au milieu de lensemble, Diable-dieu quelle sentait monter en elle de toujours plus grandes envies déclater. Si elle ne le fit pas, cétait pour suivre Celui auquel elle sétait remise et qui la faisait partir toujours plus loin sur le fil. Le Marquis sentait abandonner la volonté de la belle à la Sienne.
Maître dEvans lui travaillait toujours les parois de son fondement. De deux doigts, il en glissait trois à présent toujours lubrifié par la fontaine de Sa soumise et toujours aussi délicatement. Le lavement avait été efficacement fait par Marie comme à son habitude. Il fermait les yeux prenant lui aussi le pas sur les sensations qui lemportaient. Irrésistibles pulsions sodomites exacerbées par la position de sa soumise :
- Tu sais, Chris, je réprime limmense envie que jai de te sodomiser tout de go.
Il lui souriait et se souriait à lui-même : décidément, Sa belle petite chienne, le rendait fou des désirs les plus vicieux mais en même temps lui faisait senvoler lâme comme par magie. La maîtrise que lui montrait sa soumise et la façon dont à présent elle le suivait, le transportait.
- Ma Chris, Ma belle petite chienne, lui dit-il, rompant le silence quasi religieux qui régnait dans la chambre, Sens-tu combien mes trois doigts ont dilaté ton fondement ? Sens-tu combien tu mouilles dexcitation ? Sens-tu combien tu appartiens à ton Maître cette nuit plus quà tout autre moment ?
Il releva la tête et vit Chris qui le fixait intensément de ses yeux gris-bleu avec un regard tigresse animé de feu. Lorsque la soumise et le Maître croisèrent leur regard, elle baissa instinctivement les yeux.
- Non ce regard-là, tu vas me le garder
où plutôt exceptionnellement tu ne vas plus me quitter du regard même jusquà ce que je te le dise, lui dit-il dune voix indescriptible quelle ne lui avait encore jamais entendu.
Prononçant Ses mots, Il avait retiré Ses doigts de lanus de Sa femelle en chaleur pour présenter Son Vit devant son cul. Il lempala avec une infinie lenteur, sentant Son sexe plonger dans les fines parois de lanus de Sa chienne. Elle, de son côté, mordit lacier de son bâillon tant les sensations étaient fortes. Sa poitrine se levait et sabaissait avec rythme. A nouveau elle voulait crier, pouvoir rabattre ses bras et ses ongles dans la peau du dos de ce pieu pourfendant son cul toujours plus loin. Elle sentit la garde du nud de son Maître par la grosseur qui samplifiait. Lérection forte de son Maître était à son plus haut degré. Ils entraient à nouveau dans la ronde infernale menant au paroxysme des plaisirs ultimes. Le Marquis dEvans possédait pleinement le cul de Sa femelle et ne bougeait plus dune once pour laisser les sensations retomber dun cran. Les deux Amants gisaient unis, unifiés, yeux dans les yeux comme hypnotisés lun par lautre. Ni lun ni lautre ne savaient plus à ce moment qui possédait lautre. Symbiose de linstant rompu par le Maître qui saffala sur sa soumise pour se dégager de la tension de Ses bras mais également pour fermer les yeux de Sa belle :
- Nous allons repartir pour un autre voyage, Ma petite chienne, et je sais que je vais te demander beaucoup, je serai encore le seul à jouir.
A ces mots, il caressa la joue de Chris. Ce corps dont il avait repris possession en Grand Dominant quIl est. Il commença ses vas-et-viens lents mais intenses. Il se sentait de mieux en mieux dans le cul de Sa soumise, la possédant jusquau plus profond delle. Au gré de Ses coups de reins, Il la sentait vibrer et senvoler toujours plus.
- Chut, tout doux, tout doux, Ma petite femelle de chienne.
Ce ton rassurant était désarmant dans la tête de Chris, elle surfait sur Sa vague. Le Marquis dEvans accélérait, Il se sentait pris par lexcitation quasi bestiale de défoncer le cul de sa soumise, repoussant Sa jouissance au maximum.
- Tu aimes ça, ma petite salope, sentir que ton Maître te possède, te laboure le cul avec virilité. Hum
oui
Je le sens lorsque Je baise ce cul absolument divin que tu moffres.
Dans lélan, Il donna une fessée appuyée sur la fesse droite de Chris qui, toujours les yeux fermés, sursauta. Puis, Il caressa avec douceur la peau marquée de la trace de Sa main, sappuyant sur la jambe gauche de Sa chienne en prenant bien soin de pouvoir être à la portée de son clito et appuyer son pouce. Chris suffoquait de se contenir, le Maître souriait tendrement. Lorsque, tout à coup, Il ne pouvait plus se retenir et dans un ultime et puissant coup de rein plongea au plus loin du fondement de Sa soumise pour se soulager de Sa semence en de longs et interminables râles de plaisirs jouissifs. Chris, dont cétait la première fois quelle goûtait à cela, à la sodomie, se raidit un peu sous les spasmes de son Maître.
- Voilà, Ma belle. Accueille le sperme de Ton Maître avec honneur. Je sais que Je te pousse très loin ce soir. Cest pour ton bien de bonne petite chienne que Je téduque ainsi en tinitiant à la sodomie. Afin que tu saches obéir lorsque Ton Maître laura décidé. Je sais que tu ne sais pas, pour le moment, combien cest important pour toi et pour Nous. Accepte-le, accepte de me suivre où Je temmène et tu découvriras la suite.
Chris écoutait. Elle sentit alors son Maître se retirer en douceur et lui glisser un plug de bonne taille dans les fesses.
- Ainsi tu ne perdras pas une goutte de Ma noble semence pour le moment à cet endroit. Es-tu prête, Ma belle ? Nous allons maintenant gravir notre Everest !
La soumise se demandait quelle suite le Marquis dEvans lui préparait. Le Maître, qui récupérait après Sa longue chevauchée, observait Sa soumise dont lexcitation était toujours à son comble.
(A suivre
)
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