Rencontre 12

Enfin Eric est venu. Il a souri de voir mon état.
Je vais te détacher les embouts sont remplis de tes bouts de seins. Tu les garderas pour manger. Je préviendrai Gerard de mettre une serviette sous tes fesses pour ne pas tacher avec ta bave.
Il a débranché les embouts de la pompe les laissant coller par le vide.
Suis moi à table. Il a dit deux mot à Gerard qui a maté mon sexe et sorti puis revenu étaler une serviette sur la chaise qu'il a reculée pour moi. Je me sentais humilé d'etre traité en fille mais j'adorais ça. Nu sur la chaise.
Ce soir Frederic sera ta soirée d'intiation. Je VEUX que tu laisse faire mes amis dans leurs délires sexuels. Certains on des femelles comme toi, que je consomerais devant toi comme toi tu le seras, bouche ou chatte. Tous ont l'habitude de ces soirées et se protègent tu n'auras pas à t'inquiéter pour ça mais tu ne reviendras pas avec le peu de mental masculin qui te reste.
Pendant qu'il parlait Gerard avait servie des acras de morue et Eric mangeait en parlant.
Mange ils sont épicés pour que tu sois en forme et Gerard tu feras mes félicitations à Olivier. Donc ce soir tu verras d'autres filles qui ont déja l'habitude et dont certaine hélas ne réagissent plus du clito comme toi. J'aime la bave qui fait ton charme. ils ne seront pas tous habillés en fille mais leurs orifices seront déja bien préparés.
Les crabes farcis sont arrivés, fumant encore. J'ai gouté et ils emportaient vraiment la bouche. Pour finir Olivier avait prévu des bananes flambées. La ça allait, sucrées et délicieuses.
Bien l'heure tourne. Gerard tu nous emmèneras. Frederic va rafraichir ses fesses et nettoyer son petit clito baveux. Je vois que tu as compris ce qui t'attends et que tu as débandé. Je ne doute pas que ton état changera la bas.
Je suis allé dans la salle de bain m'assoir sur le bidet pour laver mes fesses et bien l'intérieur de mon trou puis mon sexe un peu rabougri par l'anxiété de ce que j'allais faire et à quoi je devrais servir, c'est surtout la taille des sexes qui me faisait flipper.

Eric est entré se rafaichir aussi, a jeté un coup d'oeil amusé sur mon sexe et est reparti dans la chambre s'habiller. Je l'ai rejoins perché sur les cuissardes. Nu à part le embouts de tétons, et les bas qui dépassaient .
Je te les enléverais dans la voiture. Enfile ton corset, le rouge qui contrastera avec le noir des cuissardes. Pas de string ton clito n'est pas assez développé pour devoir le cacher. Enfile le corsage et la minijupe. Oui je sais, le corsge presse sur les embouts mais une fois ôtés tes tétons vont pointer sous le tissus. Tu va les affoler.
Vous ne me quitterez pas Eric?
Allons, dans une soirée , je te présenterais et aprés j'irais voir et discuter entre potes. Tu pourras danser et faire connaissance avec les autres "filles". Tu verras elles sont très à l'aise elles!
Il était superbe dans un jean cuir moulant et une chemisette ouverte sur la poitrine.
Aller viens accroches toi à mon bras on y va.
Gerard nous attendait au parking et une fois installés sans un mot il nous a emmené devant une boîte dans le marais, à peine signalée par un "zouk" clignotant. Il a ôté les embouts me faisant me mordre les lèvres pour ne pas crier quand le sang a circulé à nouveau normalement et a fermé les boutons. Le moindre mouevement frottait le tissus sur la pointe.
Descend je sonne, c'est soirée privée. Tu feras attention en entrant il y a un escalier assez raide qui descend dans le deuxième sous sol. Je passe devant pour te retenir si tu rates une marche.
Il a serré la main du mec qui a ouvert. Et s'est engagé dans l'escalier. J'ai senti la main du portier sur mes fesses mais plus comme une caresse. En effet les marches étaient courtes et malaisées mais au fur et à mesure de la descente la musique antillaise se faisait plus forte. On est arrivé dans une salle pas immense ou des canapés étaient disposés avec de peites tables sur les cotés. J'ai été dévisagé par tout les mâles qui étaient la, j'ai baissé les yeux mais je voyais bien que je faisais de l'effet, les yeux portés sur le dessous de la ceinture. Une "fille" était déjà à genoux devant un mec et pompait un engin noir , épais.
Va à coté danser et faire connaissance.
Dans la mini piste de la cave d'à coté sur une piste en glace qui ne cachait rien sous les jupes cinq "filles" se déhanchaient et j'ai vu leur regard vers la glace . Sans slip, ils pouvaient tous voir que j'étais comme eux . Et à part une qui était en jeans moulant les autres ne cachaient pas non plus leur sexe masculin. Un avait une cage de chasteté, deux , rasés et portant un anneau au gland et un autre avec un poids qui se balançait accroché autour des couilles. L'un s'est approché de moi.
C'est toi la femelle à Eric?
Oui
Il te l'a pas dit mais ils vont tous te passer dessus et t'ouvrir le cul et la bouche. Et mon mec est superbement monté. Certain que tu la sentiras passer.Tu as des tétons superbes qui pointent sous le chemisier! (il a palpé j'ai gémis) encore sensible c'est bien. Tiens voilà Angelina qui revient. T'es toute rouge qu'es ce qui t'es arrivé?
Ben mon mec est venu me chercher tout à l'heure, il a voulu faire ça dans les chiottes mais comme c'est lui mon mec il m'a prise sans capote et m'a foutu sur ses genoux pour me sauter. Bon moi j'ai rien dit j'aime sa queue, mais un autre est arrivé pendant que j'avais les cuisses relevées et tenue par mon mec et m'a enfilé à coté de la queue de mon mec. Lui avait une capote. Je le connais pas mais les deux ensembles j'ai gueulé. Avec la musique vou entendiez pas mais j'ai passé un dur moment. Après on s'habitue . Il m'a regardé, t'es qui toi?
Angelina avait eu une drôle de démarche en arrivant et je comprenais pourquoi!
Ben je suis ici pour la première fois mon ami est Eric un antillais aussi.
Il a un jean en cuir?
Oui mais euh... C'était lui le deuxième?
Ouaih et il m'a fait morfler le salaud. Mais bon une fois passé, c'était bon. Tu verras bien.
La vache! Eric à peine arrivé sautait une (enfin un) autre lopette! Angelina n'avait plus que le haut , un chemisier et un string déchiré autour de la taille je voyais ses fesses lisses entrouvertes et devinait sans peine la douleur qu'elle avait du subir.