J'Ai Trompé Mon Mari
Jai trompé mon mari
Moi lépouse modèle, mère de famille irréprochable et compagne de route fidèle, jai trompé mon mari.
Et le pire cest que je ne regrette rien, car cest en partie de sa faute, il faut bien lavouer.
Je suis mariée avec Jean depuis bientôt 10 ans et nai jamais, mais alors jamais eu envie daller « voir ailleurs », comme on dit.
Notre vie de couple me satisfait pourtant parfaitement : nous habitons une jolie maison dans la banlieue dune grande ville française, nous vivons relativement aisément, et avons deux grands s de 16 et 14 ans, qui vont bien.
Je crois pouvoir dire que je suis heureuse.
Alors je vous vois venir : « cest parce que ça ne marche pas au lit que tu es allé voir ailleurs ! »
Eh bien dabord je ne suis pas allée voir ailleurs, cest ailleurs qui est venu vers moi, mais de plus ce serait entièrement faux que de penser cela : nous avons une vie de couple que je considère comme étant parfaitement épanouie avec Jean.
Nous ne faisons certes plus lamour plusieurs fois par jour comme à nos fougueux débuts mais au moins plusieurs fois par semaine, et pour mon plus grand plaisir : Jean sait être doux quand il le faut et plus « dynamique » à dautres moments. Il me connait parfaitement et sait me faire décoller plusieurs fois daffilée quasiment à chaque fois.
De mon côté je pense nêtre pas malhabile non plus : je ne prétends pas être une geisha, mais jaime le sexe, et surtout jaime son sexe. Je peux passer des heures (bon daccord plein de minutes mais qui finissent par faire plus dune heure parfois
) à le caresser, le lécher, lemboucher, le mordiller etc.
Son sexe nest ni petit ni gros, il est bien pour moi, et je le trouve de plus très beau. Jadore lui mettre des petits coups de langue et le voir se durcir, jadore lui caresser les bourses avec mes ongles (ça le rend fou ça !) et je ne rechigne pas à lui mettre un petit doigt entre les fesses pour le faire venir plus fort
.
Il me semble quon peut dire que ça va entre nous sur ce plan là aussi.
Mais alors que sest-il passé ?
Il y a que ce cochon narrête pas de me bassiner avec des histoires dadultère, il sest même renseigné et il appelle ça candaulisme. De plus en plus souvent pendant que nous faisons lamour apparaît (dans le discours de mon mari !) un 3ème personnage qui me toucherait les seins, qui passe sa main sur mes fesses, qui me lèche lanus (que jai particulièrement sensible) pendant que Jean me pénètre, etc.
Au début jétais franchement gênée par ce discours, allant même jusquà questionner lamour de Jean à) mon égard, ou si je le satisfaisais autant que lui me satisfait. Mais il ma rassuré, il me parle dun « plus », me dit que cest un fantasme, quil ne veut pas ment quil se réalise puis me taquine aussi avec ça : « et sil était là derrière toi ?? »
Petit à petit je me suis habituée à ce petit jeu, et sil reste hors de questions quun troisième intervenant participe à nos jeux amoureux, je confesse mêtre déjà laissé émouvoir à imaginer un homme nous regardant pendant que nous faisons lamour ou un jeu de mains complémentaires sur ma peau
Jai joui très fortement à chaque fois.
Mais je ne vous ai pas parlé de son autre délire : « la grosse bite » !
Je ne sais pas ce que les hommes ont avec ça mais bon
je lai dit tout à lheure : je suis tout à fait satisfaite de celle de Jean, et, nétant plus tout à fait une oie blanche, jen ai connu dautres auparavant. Eh bien la sienne se siait dans une moyenne haute dirais-je, et lusage quil en fait me ravit !
Mais alors pourquoi narrête-t-il pas de me parler de ça ? Dans ses fantasmes, le 3ème larron a en effet nécessairement un engin monstrueux, et Jean est persuadé quavec une plus grosse bite je jouirais plus fort.
Alors moi évidemment, je limagine ce type avec cet engin et
.
Jarrête, ça mémeut !
Et ce qui devait arriver arriva
Nous avons une installation électrique avantageuse avec un système »jp » pour ceux qui connaissent : quand le voyant est éteint la consommation est basse mais dès quil est allumé il ne faut surtout pas consommer. Bon le voyant semblait ne plus marcher, alors nous prenons RDV avec EDF pour réparer ce problème. Je suis chargée daccueillir le technicien, ne travaillant pas ce jour alors que Jean oui.
En partant, il me dit « sois sage ! ». Imbécile !! Evidemment que je le serai, je ne vois pas pourquoi linverse se produirait.
Le technicien doit venir dans une « fourchette » entre 9h00 et midi, et on sait ce que sont ces fourchettes
Profitant de mon jour de repos pour faire un peu de ménage, je prends ma douche plus tard que dhabitude, mais ne voilà t-il pas quon sonne à la porte à 8h30 !
Je sors de la douche en courant, manquant de glisser sur le sol mouillé, et file ouvrir avec juste une serviette autour de moi, dégoulinante deau.
Cest bien lui, je fais entrer, mexcuse pour ma tenue, et en refermant la porte, la poignée se prend dans la serviette et en écarte les pans franchement ! Oh rien, juste une demi seconde, le temps que la poignée relâche la serviette et que celle-ci se repositionne.
Mais il a vu. Et jai vu quil a vu. Et il a vu que jai vu quil a vu.
Pivoine, je lui propose de sinstaller sur le canapé et vais mettre une tenue décente. Il y a probablement plus décent que cette petite robe dintérieur mais cest celle qui mest tombée sous la main. Ou alors cest peut-être parce que jai chaud que jai choisi celle-là.
Nous nous dirigeons vers linstallation pour quil commence à travailler et je vais lui faire couler un café. Jen prends un et prendrai bien un cognac dailleurs pour me calmer mais bon, il nest même pas 9h du matin !
Il est pas mal en vérité ce technicien : 25/27 ans probablement, taille moyenne, barbe de 3 jours, plutôt bien fait et souriant. Après ce quil vient de voir, ce serait dommage que ça ne soit pas le cas dailleurs !
A mon retour je le vois affairé en hauteur, du côté du compteur électrique : « rien de bien grave je pense, mais si cela ne vous dérange pas je vais avoir besoin de votre aide pour résoudre le problème ».
En effet, peut-être par souci esthétique, le voyant dont je parlais est dans un placard sous le compteur, il me dit devoir faire des manipulations sur ce dernier et me demande de vérifier si le voyant sallume ou séteint à chaque fois.
Ok, on ne va pas y passer des heures : je magenouille à hauteur du placard pendant quil fait ses manipulations.
« il est allumé là ? »
« Non. »
« Et là ? »
« Non. »
« Et là ? »
« Ah oui ! » et je me retourne, souriante, on dirait que le problème est résolu.
Sauf quétant à genoux et lui debout en train de trifouiller dans le compteur, en me retournant je me retrouve face à sa braguette
.et ce que jy vois massèche la bouche et mhumidifie instantanément ailleurs !
Il y a un truc étonnamment long à lintérieur, et à en voir lemplacement et la forme légèrement courbée, il ne sagit pas de sa lampe de poche ! Je nai jamais vu ça : sa verge semble plus longue que celle de Jean en érection, alors que visiblement lui ne bande pas du tout, en témoigne la courbure.
Lengin parait également doté dune épaisseur hors norme puisque ce que je vois se dessiner très nettement devant moi nest pas contenu dans un slim ou un fuseau mais bien dans un pantalon de travail !
Mes pensées se bousculent, mes sens se troublent, ma bouche souvre grand de stupéfaction
.
Je suis fascinée : ça peut exister des engins pareils ? Mais alors, ça fait quoi si
.Et, sans que je men aperçoive, ma main se dirige vers ce paquet, jai besoin de toucher pour savoir si cest vrai.
« Et là ? »
«
»
« Madame ? » Je ne lai même pas entendu me poser la question, mes oreilles bourdonnent, et il se retourne vers moi juste au moment où ma main atterrit sur son pantalon
Cest donc vrai ! Il sagit bien de sa verge, aucun doute, la consistance ne trompe pas
.Je mets ma main en conque dessous pour la soupeser, un trait fulgurant me traverse : je viens de jouir, sans me toucher, juste en le touchant lui !
Levant la tête, je le vois sourire de manière apaisante, il doit être coutumier de leffet de sa belle bite sur les dames
« Moi cest Eric, et elle
.est à vous si vous le voulez ! ».
Ses paroles font tomber mes dernières barrières de raison : je suis une femme mariée et fidèle, agenouillée devant un technicien EDF, en train douvrir sa braguette avant que ça ne soit plus possible (oui, il a commencé à bander et jai peur de ne plus pouvoir la sortir après !).
Jouvre sa braguette, et sors à grand peine cet engin hors norme, énorme.
Le contact de sa peau sur mes mains mélectrise, le poids de sa verge en train de se gonfler est surprenant. Jy porte mes deux mains la soutenir, une seule nen faisant pas le tour, et, telle une automate, je commence à la branler délicatement, jai envie de lui faire du bien.
Sa verge nest pas aussi belle que celle de Jean, mais la virilité quelle dégage me fascine : une courbure vers le haut qui saccentue de seconde en seconde, une grosse veine bleue la zèbre de part et dautre, on dirait un tronc darbre ! La sentir palpiter doucement dans mes mains me met dans un de ces états !! Son gland apparaît maintenant, rouge et rond, attendrissant et solide à la fois, je ne peux mempêcher de lembrasser doucement, puis ma langue commence à jouer avec son frein pendant que je continue mes allers et retours sur sa hampe.
Le technicien, « Eric », grogne de plaisir et de mon côté je gémis comme une chienne en embouchant cette belle bite et en continuant de le branler. Ce qui était une approche timide de ma part sest clairement transformé en une charge vers son plaisir et le mien, mes mouvements sont de plus en plus rapides et je ne le désembouche plus, au summum de lexcitation.
Ma raison ne mappartient plus, je lâche sa verge pour menfoncer directement 2 doigts, alors que je préfère la douceur dhabitude et que quand je me caresse cest plutôt du côté du petit bouton.
Il ne perd pas le nord et saccapare vite mes seins, chose facilitée il est vrai par la petite robe sous laquelle je navais rien mis.
« suce moi bien, bonne petite chienne, ten avais pas vu des comme ça, hein ? »
En vérité non, jamais, et je le regrette vu leffet quil me produit !
Ses paroles crues mexcitent au plus haut point, je sors la main qui était dans ma chatte et lui att les bourses que je serre avec vigueur et là visiblement cen est trop pour lui :
« arrête toi petite salope sinon tu vas tout prendre en pleine tête ! »
Ah oui ?
Alors jarrête de le sucer et, le regardant bien droit dans les yeux je narrête pas de le branler, laissant ma langue trainer sur son frein, jattends, soumise au bon vouloir de ce pieu. Je ne me reconnais pas, même si javale le sperme de Jean facilement, là je dis explicitement à cet inconnu : « jouis moi sur le visage, salaud ! »
Je vois son sourire sélargir, et soudain il jette sa tête en arrière et je reçois son premier jet en plein front, je jouis à nouveau instantanément sans me toucher, tandis quun deuxième jet vient sécraser dans mon il gauche et que je tente de le remboucher : je nen veux rien perdre !
Encore 3 ou 4 jets puissants marrivent directement au fond de la gorge, sa grosse veine gifle ma main en expédiant son sperme brûlant, puis le jet se calme, je peux recommencer à le sucer, je récupère tout ce que javais perdu dans lexplosion et nettoie scrupuleusement ce bâton de joie
« Mais tes une bonne petite salope toi, yavait longtemps quon mavait pas sucé comme ça ! »
« Et encore tas rien vu ! » je lui dis en lempoignant par la queue et en le tirant vers le salon.
« Bouffe moi la chatte, et après tu vas me la mettre mon salaud, hors de question que je laisse passer ça ! »
« tu vas la sentir passer, tu vas voir ! », me dit-il en me basculant sur le dossier du canapé.
Je suis pliée en deux vers lavant, je sens quil écarte mes fesses et insinue sa langue dans ma chatte en fusion.
« Cest linondation là-dedans ! », dit-il en y glissant un doigt, puis deux.
Je commence à repartir et remue mon cul sur ses doigts.
« Allez bouge petite chienne, tu me refais bander ! »
Je ne me le fais pas dire deux fois et accompagne le mouvement de ses doigts dans ma chatte tout en me caressant le clito dune main.
Soudain il sarrête et me lâche, je sais ce qui va se passer
.
« Narrête pas, caresse toi encore !»
Jobéis et parviens à un orgasme clitoridien en le regardant tirer sur son engin qui a effectivement repris du volume pendant que je me fais du bien.
Je cesse de le regarder pour profiter de mon plaisir quand soudain je me sens contre moi : il a posé sa bite sur mon cul, mon dieu quel poids, quel format !
Je me courbe et tends ma chatte vers lui en écartant mes fesses : « vas-y, jen peux plus ! »
Alors il appuie sur ma vulve avec sa verge, jai le sentiment quune pomme essaie de rentrer en moi !
« Doucement
» lui dis-je dans un réflexe de peur, que va-t-il me faire ?
Puis petit à petit ça rentre, mécartelant comme aucun homme, aucun gode ne mavait encore écartelée. Je sens chaque centimètre, chaque millimètre de son avancée en moi et déjà il recule.
« non ! »
« Attends, vaut mieux y aller doucement si tes pas habituée, je reviens »
Effectivement, il revient, et ressort, et revient, chaque fois plus loin, mon dieu !
Je ny crois pas à ce quil a réussi à rentrer en moi, jai limpression quil me monte dans le ventre.
« Là
.on est bien au fond, tu sens ? »
« Oh
oui
je la sens bien, cest un truc de fou ! »
« allez chérie, embraque pour la balade ! »
Et il commence à faire des allers retours sur toute sa longueur, au troisième je nen peux déjà plus :
« Ouiiiii ! Ouiiiiiii ! Continue ! »
Il prend de la vitesse, je sens ses couilles taper sur mon clito qui navait pas besoin de ça, je jouiiiiiiiiis !
Il simmobilise alors au fond de moi et fais gonfler sa bite spasmodiquement, cest complétement délirant comme effet, comme si quelquun mappuyait sur le bouton « jouis » à chaque fois.
Jexplose dans un cri renouvelé à chaque fois quil se grossit au fond de moi, cest une succession dorgasmes fulgurants, comme les répliques dun tremblement de terre mais à lintérieur de moi.
Au bout dun nombre incalculable dorgasmes ou de répliques, je ne sais comment dire, il se retire quasiment à mon grand désespoir « Non !!! » et me ramène vers lui en mattrapant par les hanches.
Dans cette position je ne touche presque plus le canapé, cest sa bite qui me porte !
Ce mec me porte avec sa bite !!!
Et il reprend : avant, arrière, avant, et ça rentre plus haut, plus profond encore en moi, je perds les pédales :
« Oui ! Oui, encore, baise moi, déchire moi putain ! Oui, cest bon !!! Encore, encore, encore
. »
« Tu vas me faire renvoyer la sauce petite salope ! »
« Oui vas-y, mets moi tout dedans, salis-moi, je suis ta chienne, ta petite salope !! »
Et dans un dernier coup gagnant, il me tapisse lintérieur.
Chaque salve de sperme me remet en « réplique », je mords le dossier du canapé pour ne plus hurler en me rappelant subitement que jai des voisins.
Et puis le balancement sarrête
.
Et puis il me caresse doucement le dos et les fesses
Et puis je recommence à pouvoir respirer
Et puis je relève la tête et je vois Jean
Jean ??????
Oui, Jean qui me sourit et qui éteint le mac posé dans un coin du salon où je ne lavais pas vu et dit :
« je crois quon a tout, là
bon anniversaire chérie
»
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!