Sport D'Amants...

J'entre dans le complexe sportif et j'entends des bruits de pas au jogging venir derrière moi .
-Hey, Célia!
Je me retourne et voit Tristan, le frère de mon mari,trois ans plus vieux, un peu essoufflé. Tristan est très attirant, les cheveux courts, caramels, de beaux yeux bleus, un visage viril. Il est certain que j'aime son beau corps musclé et fort. J'ai déjà pu m'apercevoir, lors d'un jeu de bousculade, que mon beau-frère a des muscles d'acier et des nerfs de fer. Mais j'aime mon mari et lui reste fidèle.
-Hey, Salut!
Célia, c'est moi. Je suis de taille plutôt moyenne mais c'est vite rattrapé par mes longs cheveux châtains, mes grands yeux bleus-verts et mes belles courbes.
-Ça fait combien de temps que tu viens à cette salle de sport? Me demande Tristan.
-Oh! Quelques jours.
-T'as décidée de te remettre au sport?
-Ouais, perdre un peu de poids. Que je lui réponds.
-Selon moi, t'en aurais pas besoin...T'est toujours aussi belle...
Je rougis et mon beau-frère me dévore des yeux. Il pousse la porte du gym.
-Tu viens? Me demande Tristan.
-Tu t'entraine maintenant? Après un jogging?
-Bah oui, ça a besoin d'entraînement cet acier là! Me dit Tristan en se frappant les biceps. Je lui réponds:
-D'accord, je peux m'entraîner avec toi?
Il m'offre un grand sourire...

J'ai passé deux heures à m'entraîner avec mon viril beau-frère, pouvant lui admirer ses muscles bien durs sculptés grâce à tous les sports qu'il pratique, course, natation, haltérophilie, karaté...Tristan me les montrais fièrement, sûrement pour m'impressionner. Ça marche.
Quand nous sortons du gym, c'est le soir. Je ne m'inquiète pas pour Carl, mon mari, car il travaille tard la nuit. Tristan me demande:
-Tu veux venir manger chez moi et boire un verre, ce soir?
-Oui! Avec plaisir!
Nous montons dans sa voiture, prenons des sushis en route et arrivons à sa grande maison car en plus d'être beau gosse, Tristan est médecin et a de l'argent plein les poches.

Il me demande si ça me dérangerait s'il va prendre une douche avant le souper et je lui réponds négativement. Quand l'eau arrête de couler, j'entre dans la salle de bains pensant qu'il n'est pas là.
-Oh! Pardon! dis-je à mon beau-frère, à moitié nu, en train de se sécher.
-Non, c'est pas grave. J'ai fini.
Je lui complimente sa carrure et le taquine un peu sur sa mi-nudité. Soudain, il lâche la serviette et me fais voir un véritable mât de chair, il souris en coin. Il passe un boxer et aide sa queue à rentrer dans le vêtement. Il part et je regarde s'éloigner ses fesses de dieu. Je reste à fixer le miroir. Ce geste qu'il a eu pour aider son gros pénis à entrer dans son boxer m'a terriblement excitée. Je reprends mes esprits et sort de la salle de bain.

Nous mangeons nos sushis en parlant et plaisantant, se nourrissant entre nous. La soirée est arrosée. Je me détend en me rapprochant de Tristan. Nous amenons nos verres de vins au salon. La conversation se fait sensuelle et il me touche les cuisses souvent. Il ne tient plus et m'embrasse, je résiste un peu puis me jette dans ses bras musclés. Oublié, le mari!

Il me masse les seins et descend mon cou avec une pluie de baisers, avide, qui me font frissonner de plaisir. Il me prends dans ses bras comme si j'étais une plume. Je me blottie dans ses muscles et inspire l'odeur de savon et de mâle qu'il dégage. Il me dépose sur le lit et retire mon chandail et mon soutien-gorge. Tristan me suce les seins et je gémis, excitée comme jamais. Nous nous déshabillons et je saute sur sa queue et la suce comme une déchaînée. Tristan pousse des râles de plaisirs et me caresse le cul.
-Oh ouuuuiii... Ça fait Tellement longtemps que j'attends de te baiser!
-Alors, vas-y! Bourrine moi!
-Avec grand plaisir, Celia!
Tristan me mets à quatre pattes et frotte son gland contre mon vagin en chaleur. Je me presse contre sa bite pour qu'elle entre plus vite, je n'en peux plus!
-Putain t'es le meilleur coup de ma vie avec ton gros chibre!
-T'es vraiment serrée! Carl est jamais allé aussi loin?
-Nooon! Il pousse deux, trois coups avec sa petite bite et jouit tout de suite après! Je lui gémit.
-Si tu cherchais un vrai mâle endurant et bien membré, tu as le bon!
-OUUUUIII, j'aime tellement me faire posséder par un vrai mec!

Il m'a bourré le vagin comme ça pendant une demi-heure et plus.
J'ai eue plus d'orgasme que dans toute ma vie. Il a éclaté dans mon ventre et j'ai sentie des torrents de sperme m'envahir. Je suis couchée sur le lit, épuisée par le sexe avec le frère de Carl mais Tristan ne voit pas ça de cet œil. Effectivement, son gros penis recommence à gonfler. N'écoutant que mon instinct de femelle en manque, je prends son mât en bouche en lui jetant des regards de salope. Quelques fois, il me la sort et me tapote la joue avec son gland. Il me montre qu'il est le maître et que je suis sa chienne. Je lèche ses merveilleux abdos et ses superbes pectoraux durs comme la pierre. Il me reprend dans ses bras, m'embrasse et me remet à quatre pattes. Il appui son zob contre mon anus et je le laisse faire. Carl ne m'a jamais fait l'amour comme ça et je fais confiance en Tristan et sa queue. Il me dit:
-Merde! t'es vraiment serrée toi, hein? C'est pas mon cocu de frère qui va t'enculer?
-Noooonnn!
-Je savais que t'aimais la grosse bite, toi!
-Ouuuuiiii! La tienne est parfaite, je vais jouir!
-Tu vas en avoir plusieurs anal!
-Ennncooore! Je m'en fous encule moi plus fort! Sois un mec plus fort que ton frère!
-Aaaahh, ben ça, je sais faire!
Sur ce, il me lime encore plus fort, sort sa bite au complet pour me la remettre encore plus fort et plus loin.
-Hhhhmmm! Je viens encore!
Je tremble dans mon fulgurant orgasme et Tristan crie:
-Moi aussi!
Il me colle sa queue le plus loin possible et je sens ses bourses tressauter avant de jouir dans mon cul. Il sors de moi, me laisse les cuisses dégoulinante de son sperme. Je me colle à lui et m'endors nue auprès de mon amant.

Tristan me réveille par un long baiser. J'ai passée la nuit avec mon beau-frère.
-Alors, t'as aimé ça, salope?
Je m'habille en vitesse et lui répond:
-Encore plus que tu peux l'imaginer!
-Je savais que tu étais une vraie pute qui aiment les gros penis comme le mien,
me dit-il en ondulant du bassin et me montrant son parfait mât de chair.
-On remet ça?
-Tu peux être sûr!
Je l'embrasse et part. J'ai dis à Carl que j'avais dormi chez une copine. Ça fait trois ans que je couche avec Tristan sans que son frère s'en rende compte. Et ça continue...