Nuit Magique

1986 Je m'appelle Jeanne j'ai 17 ans j'aime les garçons mais n'ai pas encore franchi le pas ; mes flirts sont platoniques, quelques caresses au travers des habits
un garçon, Antoine,m'a doigté une fois mais l'expérience n'était pas très agréable peut être si elle avait été mieux préparée ça m'aurait plu. Je me masturbe depuis très longtemps mais depuis cet été c'est moins mécanique ; j'éprouve réellement du plaisir à le faire.
Ça fait 2 ans que je vais en vacances chez ma marraine qui habite en corse et la première année j'ai flirté avec le fils de la belle mère, on s'embrassait se caressait rien de plus.
L'Année suivante Ludo n'était pas la du coup j'ai flirté avec Antoine un garçon de 17 ans, mais José, le père de Doumé m'attirait, je n'arrivais pas à détourner mon regard de lui.
Quand on se retrouvait toute la bande a la salle de jeux dont il est le proprio j'essayais de capter son regard, quand Antoine me roulait des pelles je voulais le rendre jaloux ou du moins envieux. Et quand je pouvais être seule avec lui je l'aguichais mais il ne le voyait pas ou alors ne voulait pas donner suite à mes avances. L'année scolaire passa pas énormément de flirts, mon corps changeait mes hanches se dessinaient bien et mes seins étaient plus fermes plus lourds, mon corps d'ado laissait enfin place à un corps de femme.

Quand je suis retournée en vacances la salle de jeux existait toujours, les copains étaient toujours fidèles au rendez vous ; cette année Antoine ne vient plus ; à 18 ans il préfère bosser pendant les vacances pour gagner un peu d'argent. Il y a un petit nouveau dans la bande je le connais de vue c'est le grand frère de Claire il a 18 ans et est plutôt beau gosse on sympathise et au premier bal on sort ensemble, il est entreprenant mais un peu maladroit moi j'ai des envies qui deviennent de plus en plus présentes mais pas avec un garçon inexpérimenté alors je reprends mon jeu du chat et de la souris avec José en l'aguichant quand je flirte avec Hugo, je sens son regard de plus en plus présent et il répond à mes sourires.

Je sais qu'il est plus âgé que moi et marié de surcroît mais il me plait depuis 3 ans maintenant. Je vais chercher de la monnaie pour le flipper la musique est forte je dois me pencher vers son oreille pour me faire entendre il sent bon.
- Tu es belle Jeanne tu as changé depuis l'été dernier, tu as grandi d'un coup, me dit'il
- merci José, j'allais pas rester une petite fille toute ma vie, dis-je en éclatant de rire.

Toute la soirée nos regards se sont cherchés, croisés ; j'avais très envie d'être seule avec lui.
Le lendemain matin en allant chercher le pain je décide de passer par la salle. Elle est fermée mais j'entends que ça bouge à l'intérieur, je toque à la porte :
- ouais j'arrive !
José m'ouvre il est torse nu c'est un homme, un vrai ; il a une bonne trentaine d'années, le type Méditerranéen les yeux verts ; malgré l'heure matinale il est en sueur.
- salut Jeanne tu as oublié quelque chose ?
- euh bonjour, oui je ne sais pas où est mon briquet je l'ai peut être laissé sur le baby hier soir
- j'ai rien vu je suis entrain de le graisser.
- ah bin peut être au bar quand je me suis servi un coca je peux aller voir ?
- oui tu connais le chemin.

J'entre dans la salle les tables sont rangées et le baby démonté ; je me dirige vers le bar qui est au fond, le contourne et fais mine de chercher
- tu le trouves ?
- non il est pas là non plus
- sers moi un coca, s'il te plaît ; tu en veux un ?
- oui ! Tu le veux dans un verre ?
José arrive devant le bar ; je tremble telle une feuille, il me trouble tellement que je n'arrive pas à ouvrir les bouteilles, il passe derrière moi et m'aide à ouvrir en tenant le décapsuleur dans ma main.
Je sens son souffle dans mon cou et le mien devient plus saccadé.
- tu joues à quoi ? Me lance t'il.
- bin... euh...
je suis écarlate, allez ma belle lances toi
- tu me plais.
- je ne suis pas un de tes petits copains, et Hugo ?
- oui mais les garçons de mon âge j'accroche pas ; je flirte avec mais ça va pas plus loin.

Je me suis retournée je lui fais face et j'ai les yeux plantés dans les siens. Je meures d'envie de l'embrasser mais n'oses pas.
Il me prend la bouteille des mains, la pose sur le comptoir, passe ses doigts dans mes longs cheveux blonds, me lance un "tu es belle" et m'embrasse à pleine bouche.
Je me colle contre lui, et lui murmure à l'oreille que j'ai très envie de lui.
Des pas dans les graviers nous ramènent à la réalité, sa femme arrive nous sommes tous les 2 à une distance raisonnable quand elle apparaît dans l'encadrement de la porte.
Je remercie José pour le coca lui dit que s'il trouve un briquet noir c'est le mien !
J'ai glissé le briquet au fond du tiroir il le trouvera quand il préparera les rondelles de citron.
Au revoir messieurs dames bonne journee a plus.

Je passe l'après midi avec Hugo mais mes pensées sont avec José, le baiser de ce matin me hante et je sais que ça va être long avant de le revoir.

Ce soir j'ai mis ma plus belle robe mais il ne me regarde pas ; je sens José distant peut être que sa femme a compris ce qu'il c'était passé avant son arrivée.

La salle de jeux se situe dans le garage de la maison de José et il a mis 4 ou 5 petites tables devant l'entrée c'est une ruelle qui n'est pas goudronnée des graviers jonchent le sol.
En face du garage il y a une remise et derrière il y a une balancelle, j'ai pas le moral à entendre les copains rire, j'allume une cigarette et vais m'assoir sur la balancelle.
Le jukebox joue du cock robin. Je chantonne ; j'entends des pas, une silhouette se dessine c'est lui. Il s'assied à côté de moi.
La nuit est totale je le distingue à peine mais son parfum confirme sa présence.
- tiens! ton briquet.
Nos mains se touchent nos bouches se cherchent et se trouvent.
- Tu dois être rentrée pour qu'elle heure ?
- 2 ou 3 h juste avant la fin du service à la pizzéria, faut que je sois rentrée avant ma sœur.

- j'ai les clés de la maison de Paulo ; je te rejoins dans 1/2 heure tu m'attendras du côté plage fais attention de ne pas te faire voir.
Nous restons quelques minutes enlacés puis il repart au bar.
J'attends quelques instants et retourne vers les copains. Je feins la fatigue et salue tout le monde et me dirige vers la plage, j'ai pas de montre et le temps me paraît très long... enfin j'entends du bruit derrière les volets ils s'ouvrent, je rentre, il n'y a pas de lumière José a une lampe torche. Il m'enlace m'embrasse me soulève du sol et m'emmène dans la pièce à côté.
Il y a un lit enfin un matelas posé à même le sol ; il m'allonge dessus s'assoit à côté de moi.
Retire sa chemise, son pantalon il est nu dessous il s'allonge contre moi me retire ma robe
Me caresse les seins me couvre de baiser il est doux tendre, il me demande si j'ai déjà fait l'amour je réponds que non mais que ce soir j'ai très envie.
J'ose à peine le caresser, j'aime me blottir contre lui il a chaud son souffle est saccadé.
Ces doigts tremblent ils cherchent mon entrejambe, je suis très excitée, un doigt glisse dans ma fente tandis que son pouce frotte mon clitoris. Nos bouchent se cherchent nos langues se mêlent
Ma main glisse le long de son torse je sens son sexe dur contre mon ventre
Je le prends à pleine main et le caresse.
- serres la fort, branle moi !
Je suis un peu maladroite mais il gémit de plaisir, ça lui plait
Il a introduit un second doigt dans ma chatte trempée.
- tu mouilles bien j'ai envie de la manger et de te boire.
À part des doigts jamais je n'avais senti une langue caressée mon sexe, c'est étrange mais bon, d'autant plus qu'il est habile et c'est vraiment mieux comme ça, je sens ma mouille dégouliner le long de mes cuisses. Une sensation de chaleur monte à mes joues mon cœur bat plus fort, j'ai lâché son sexe, car je sens la jouissance montée.
J'ai déjà jouit oui mais jamais comme ce soir là.
Des tremblements ont agités tout mon corps et je n'ai pu retenir les cris de délices.

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