La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°796)
Marion au Château (suite de l'épisode N°790)
Après un dernier baiser sur le dos de la main qui portait désormais la chaîne quIl venait de moffrir, il claqua la portière et retourna dans le Château après un sourire attendrissant tout en restant très solennel. La voiture démarra et quitta le Château
Le week-end était fini, je navais plus quà rentrer en Bretagne... Je roulais presque machinalement ! Javais du mal à réaliser que ce week-end tant attendu, tant espérer, pendant si longtemps, était déjà fini ! Il était passé à la vitesse dun rêve, et je me retrouvais actuellement comme quelquun qui avait beaucoup de mal à se réveiller et à garder les yeux ouverts ! Je retournais vers ma vie vanille, mais là, de suite, sur le moment, je la trouvais bien fade, en comparaison de ce que je venais de vivre ! Dès que jarrivais sur lautoroute, je marrêtais sur une aire de repos avec station-service, pris un bon chocolat chaud, retournais dans ma voiture, et je dus menrouler dans un plaid qui se trouvait à larrière. Javais un peu froid sur moi et en moi ! Comment réussir à revenir à la vie normale après cela ??
De nombreuses fois, pendant ces trois années de virtuel avec le Maître, jai eu envie de remettre ma vie vanille en question. Jaimais mon mari, mais il ne me comblait pas. Nous nous étions installés dans la routine, les relations sexuelles sétaient espacées, elles restaient banales, sans aucune fantaisie, limite plus par convention que par réelle envie où peu de désirs sexprimaient. Il est vrai quavant que je rencontre le Maître pour la première fois, jétais enceinte. Mon mari me voyait plus comme une future mère que comme une femme. Et puis il fut muté à Nouméa et je ne pus le rejoindre que quatre mois plus tard. Il nappelait que pour prendre des nouvelles des s, nous navions pratiquement plus de sujets de conversations, à part les s et le boulot. Javais de plus en plus limpression de ne plus avoir grand-chose en commun avec lui.
Après la naissance de la petite dernière, jeus le baby blues, il ne sut pas me rassurer, maider à remonter. Jétais seule, loin de ma famille, de mes amis. Je rencontrais le Maître à ce moment-là. La soumission mavait toujours attiré, mais javais rencontré mon mari jeune, et au vu de mon éducation, être attirée par le sexe, et pire par le monde chocolat était inenvisageable ! Mais là je me sentais tellement mal, tellement seule, que javais fait des recherches, et par hasard jétais tombée sur les écrits de Monsieur le Marquis dEvans. Etant très excitée en les lisant, je fis des recherches sur Lui, et je trouvais le site du Château. Sur une envie subite, je décidai décrire à Monsieur le Marquis, et après de longues conversations, josai émettre le souhait dessayer la soumission à Ses pieds. Il me mit à lépreuve longuement avant de bien vouloir me prendre à lessai. Et depuis, je ne cessais de me sentir de plus en plus désirable, importante pour quelquun. Enfin quelquun sintéressait à mes besoins et à mon bien être ! Pouvoir choisir ses chaînes, décider librement de perdre ma liberté, avait été une incroyable révélation ! Je me sentais enfin revivre ! Souvent je me suis demandé pendant ces trois ans, ce que cela pouvait faire de vivre cette soumission en réelle. Javais très peur de le découvrir. Cétait un peu à double tranchant, soit je me rendais compte (mais jamais je ne lavais vraiment pensé) que finalement la soumission ne me convenait pas, soit je me rendais compte que cétait réellement et profondément ma vraie nature, un véritable besoin beaucoup plus indispensable quun simple fantasme et ce besoin vital me faisait tant vibrer ! Et effectivement, maintenant que ce week-end était fini, cétait bien la deuxième solution qui se dégageait !
Et là, arrêtée sur cette aire dautoroute, plus que jamais je me demandais si ma vie vanille me correspondait vraiment.
Au bout de deux heures dautoroute, je fis de nouveau un arrêt sur une aire de repos. Alors même que je me garai devant un snack-bar, mon téléphone portable sonna, cétait le nom du Maître qui saffichait avec un sms :
- soumise Marion MDE, va te garer plus loin, sur le parking des camions routiers et ensuite, tu obéiras à tout ce quexigera lhomme qui est garer derrière toi, regarde dans ton rétroviseur et tu comprendras.
Jétais saisie dune incroyable stupeur ! Jétais déjà à plusieurs centaines de kilomètres du Château et voilà un ordre auquel je ne mattendais absolument pas. Comment pouvait-il deviner que jétais en train de me garer sur une aire de repos ! A moins que je sois pistée, me dis-je. Alors pour essayer de comprendre et pour obéir, au plus vite, je regardais dans mon rétroviseur intérieur pour reconnaître demblée, le visage du Majordome de Monsieur le Marquis, Walter, au volant dune luxueuse voiture basse de sport et de marque Jaguar. Le domestique mavait donc suivi depuis mon départ au Château sans même que je men aperçoive et devait donner des informations en temps réel à son patron, le Maître. Dans mon rétro, mon attention ne voyait que ses grands yeux noirs de Dominant qui me regardaient fixement et il avait un air impassible, froid, ne montrant aucune expression agréable. Je remis donc mon moteur en route pour aller me garer sur le parking des routiers, comme ordonné. A peine étais-je de nouveau garée mais cette fois derrière de gros poids-lourds, que Walter qui mavait suivi, sortit calmement de sa voiture qui avait emboité le pas. Il ouvrit ma portière pour me dire sur un ton autoritaire, laconique et sans douceur :
- chienne MDE, suis-moi et obéit.
Je descendis donc de la voiture peu rassurée et tête basse, quand je suivis le Majordome. Me prenant par le bras avec énergie, il mentraîna derrière de grands et longs camions cachant la vue sur les autres véhicules garés. Puis, il memmena encore plus loin dans un espace vert de pique-nique un peu isolé et à la pelouse souillée de détritus et de quelques vieilles capotes qui jonchaient le sol. Des arbres et des hautes haies imposants cachaient lensemble. Walter mordonna sur un ton sec de me dévêtir complètement. Tout dabord, jétais terrorisée par la situation mais la simple pensée des mots du Maître à montrer une obéissante absolue me rassura car les ordres sortis de la bouche du domestique venaient de ceux de Monsieur le Marquis.
Comme déjà dit, je suis évidemment totalement nue et javoue que cette situation me fit mouiller car lobéissance absolue au Maître me transcenda littéralement, en effet rien que le fait de penser que jobéissais parce que le Maître lavait exigé me donna des ailes. Soudain, une urne est placée près de moi sur la table en bois. Puis Walter séloigna sans dire mot et je le voyais faire le tour des camions quand il revint une quinzaine de minutes plus tard avec une bonne vingtaine d'hommes baraqués et pour certain aux allures macho évidente. Ils se mirent les uns derrière les autres et tous peuvent chacun leur tour me baiser la bouche, se vider dans ma bouche ou sur mon corps, me caresser, me masturber, me r mes tétons dressés. Walter m'ayant ordonné auparavant de n'émettre aucun son et avec l'interdiction de jouir. Les hommes devaient payer selon comment ils ont apprécié mon corps, mes orifices en mettant une somme dargent dans lurne. Cela dura une bonne demi-heure quand ensuite Walter me détacha et me fit monter et me fit mettre à quatre pattes sur une autre table de pique-nique juste à côté de larbre:
Le groupe dhommes réuni autour de Walter avait fait mouvement et s'approchait de nouveau vers moi. Les hommes m'entouraient et ils laissaient leurs mains s'égarer encore sur ma chatte, mes seins ... Et Walter les encourageait encore et encore, afin de leur permettre de profiter au maximum de mon beau corps de femelle livré à leurs grosses mains calleuses. Walter donna une tape sèche sur ma croupe tournée vers l'extérieur. Celui qui était le plus près de Walter commença à mattacher les membres en les reliant aux pieds de la table. Il maniait les cordes avec une agilité, une rapidité et une précision qui soulignaient une grande pratique et cétait à me demander si ce routier nétait pas un Maître du bondage ! Car en quelques minutes, jétais totalement bondagée sur cette table, les membres liés, les cuisses largement écartées, positionnée en levrette, le visage, le torse et mes seins écrasés et plaqués contre le bois du plateau de la table, avec mes reins cambrés et ma croupe bien relevée. Immobilisée, jétais devenue une parfaite offrande pour ces rustres hommes qui parlaient à voix haute en me contemplant ainsi totalement ouverte et en me traitant des pires insultes humiliantes... L'un d'eux se détacha du groupe et s'approcha de mon cul relevé aux fesses arrondies. Il prit place derrière moi et sans préliminaire ou hésitation dégagea sa queue et l'enfonça dans mon anus...
Malgré la douleur, je n'émis aucun son. Aucune plainte, aucun gémissement... l'homme s'appliquait à m'enculer profondément. Il donnait de violents coups de reins et ahanait sous l'effort. On aurait cru qu'il voulait parvenir à faire bouger la table par la seule force de ses coups de boutoir dans mon trou du cul. Mais la table était parfaitement rivée au sol et c'est mon corps qui recevait toute la puissance virile émise par l'homme dans son déhanchement sodomisant et puissant. Cela dura de longues minutes, jusqu'à ce que l'homme lâche un long râle rauque de jouissance... Javais tenu bon, je n'avais toujours pas émis le moindre son et javais même trouvé du plaisir à me faire prendre ainsi si bestialement, je dois bien le reconnaître. Et si je navais pas le droit de jouir, mon excitation était grande à en faire couler abondamment ma cyprine le long de mes cuisses de femelle... Seul flottait dans l'air des rires gras et moqueurs des hommes qui assistaient à la scène en attendant leur tour. Celui qui venait de se soulager se retirait et un autre prit sa place pour menculer à son tour. Le premier sodomite avait encore la queue un peu dressée quand il s'approcha de moi, le sexe toujours sorti, poisseux de son sperme et mes sécrétions anales. Il vint tout près et enfonça sa queue dans ma bouche immobilisée et positionnée sur le côté de la table, et que le mors métallique maintenait largement ouverte. Le sexe de l'homme allait et venait, s'enfonçant dans ma bouche, jusqu'au fond de ma gorge. Je sentais son jus qui se déposait sur ma langue, partout à l'intérieur de ma bouche... tandis qu'il se nettoyait ainsi son sexe, un autre camionneur avait déjà entreprit de menculer à son tour quand ce deuxième routier se vida en moi. L'homme qui prenait mon cul était bruyant et il prononçait des mots sans doute crus dans une langue dont j'ignorais tout mais me semblait plutôt slave. Je n'en revenais pas de penser à cela ... je servais de trous à bites pour nettoyer le sexe d'hommes qui venaient de m'enculer auparavant et mes pensées étaient pour tenter de saisir leurs paroles ! La séquence dura, dura, dura longtemps... les hommes se succédèrent ainsi, d'abord dans mon cul, ensuite dans ma bouche, y déversant leur jus épais et leur plaisir jouissif...
(A suivre...)
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