L'Inattendu !
Il est 20h15 lorsque jarrive sur cette aire dautoroute. Jai besoin dune queue, là, le plus vite possible. Et pour en trouver une, cest encore de nuit sur de tels parkings lendroit le plus propice. Deux voitures sont garées de part et dautre du bloc sanitaire, et comme je nai pas envie dy aller par quatre chemins, je mimmobilise perpendiculairement aux WC, ma vitre latérale face aux urinoirs.
Stratège élémentaire : un mec qui chasse montre sa bite. Il lexhibe comme nimporte quelle personne met en ligne lobjet quil veut vendre. À linstant où je coupe le moteur, les feux du véhicule garé de lautre côté du bloc sallument pour reprendre la route. Cest bien ma veine, jarrive probablement à linstant où les gars ont déjà fait leurs affaires.
Pourtant, de lombre sort une silhouette, un grand mec dallure assez jeune et très très grand. Il marche calmement quand soudain son visage sillumine. Il vient de sortir son smartphone... certainement un adepte de Grindr, la drague gay en ligne... Je descends ma vitre, 4 mètres environ nous séparent, il peut aisément apercevoir mon visage à la lueur de lautoradio qui diffuse un morceau de blues. Il marche dans lersatz de pelouse entre les sanitaires et moi, me regarde à plusieurs reprises, mais ne cherche pas à sapprocher.
Viens, allez, approche ! me dis-je à voix basse. Jai trop besoin dune barre chaude entre les lèvres. Cest alors quil se dirige vers les pissotières. Il est baraqué, le gazier. Jai juste le temps de remarquer que son blouson dessine avantageusement ses larges épaules quand il pivote à gauche et disparaît. Va-t-il pisser ou se poste-t-il en mode attente, la queue à la main. Deux choix soffrent à moi : sortir mon fauteuil roulant et le rejoindre ou bien attendre quil recule de sa cachette pour me présenter sa virilité. Les couillus biens montés pratiquent ce sport, sachant que nous, les pompeurs, sommes véritablement aimantés par les belles queues ! Le temps que je débarque mon fauteuil, il se sera certainement lassé ! Bref, le dilemme continuel quimpose la drague en fauteuil : should I stay or should I go.
Japerçois quil recule en remballant sa queue, que jentrevois dailleurs furtivement. Un long morceau, et lorsquil remonte sa braguette, léclairage vertical laisse apparaître une longue bosse jusquau-dessus de sa poche droite ! Merde, je me suis loupé, là. marmonais-je en le regardant revenir à sa voiture. La portière souvre et il disparaît à lintérieur.
Frustré comme seul le handicap peut le faire, face à mes désirs et mes attentes. Déçu, je démarre, glisse le levier sur Drive et repars dans la nuit. Je nai plus quà tenter ma chance sur la prochaine aire, 15 kilomètres plus loin.
Celle-ci est déserte et beaucoup plus exposée que la précédente. Je me gare néanmoins sur les places bleues réservées et coupe le moteur. Une fois de plus, lattente, lespoir et linsoutenable désir saffrontent gentiment sur fond musical quand un pinceau de lumière fend lobscurité. La voiture qui se place à droite de la mienne est celle de mon géant. Je suis maintenant presque sûr quil na pas trouvé ce quil cherche. Il manipule son smartphone, assis derrière son volant. Je baisse ma vitre et enfin notre regard se croise en pleine lumière. Ses traits ne sont ni laids ni beaux, et puis ce nest pas une gueule que je recherche, après tout.
Dun signe de tête, je lui lance un salut. Il coupe son moteur et baisse sa vitre. Cest vrai que la situation est conne ; nous savons très bien pourquoi nous sommes là ! Il ne reste plus quà connaître nos attentes respectives. Il brise la glace le premier en me demandant ce que jespère. Ma réponse est claire : sucer un homme, de préférence très bien monté. Il semble pouvoir arranger cela, selon ses propres paroles, mais na pas encore rencontré une âme assez charitable pour accéder à sa requête.
Le plaisir nest quà quelques mètres de moi, il ne me reste plus quà lui vendre ma chaise à roulette. Combien nosent pas. Combien déclinent, prétextant avoir le sentiment dr de la situation ! Ce soir encore, lannonce jette un froid.
Tu es vraiment bien monté ? dis-je afin de parler des priorités, à savoir, sa bite.
Pas mal, ouais. Disons quelques centimètres au-dessus de la moyenne.
Il y a les prétentieux et les modestes. Par expérience, les très bien bâtis nont pas ment le citron, leur constitution les mettant naturellement à laise. Dailleurs, un mec bien monté et bien burné ne craint pas de faire le tour du grand bassin de la piscine municipale, même en sortant de leau !
Exactement ce dont je rêve : du volume et du sperme ! risquais-je, en bon provocateur qui ne veut pas capituler.
Tes cash, toi, au moins. Tu nas pas peur dannoncer la couleur.
Tu nas pas lair black, tu caches quelques choses ? Moi, je nai rien à cacher !
Monsieur a de lhumour, cest bien. Et pour quelle raison tes en fauteuil ? sinquiète-t-il.
À cause dun mec bourré. Tas pas envie de venir tasseoir à côté ? On serait mieux pour parler, non ?
Les clignotants sexcitent lorsquil referme sa portière et vient prendre la place passagère. Rien nest perdu, à ce stade. Il faut juste un peu de patience et y aller calmement. Pendant une vingtaine de minutes, les questions tournent autour de ce putain daccident, de ma sexualité mise en berne avant den arriver à lui. Il a lair propre, il est grand, très grand même, plutôt maigre, sa voix est grave et il est loin dêtre stupide. Même si ce nest pas lobjet de ma présence ici ce soir, cela ne nuit en rien.
Et comment fais-tu, pour sucer.
En voiture, cest une vraie galère et ça me fait mal au dos. Le plus simple, cest à lextérieur.
Là, sur le parking, ça craint, non ? Je suis volontiers provocateur, mais pas exhibitionniste. Des familles peuvent passer par là.
Il y a les WC handis, sinon, le fond du parking tout en bas. Presque pas de lumière et depuis quon est là, personne nest passé.
Cest pas faut. lâche-t-il, pensif.
Tu as envie dessayer ? Tu sais, cela nengage à rien, si tu ne te sens pas à laise, on arrête !
Et pour toi ? Où est ton plaisir ?
En donner un maximum. Cest devenu cérébral, depuis ma paralysie.
Là, mon explication a toute son importance puisque delle dépend la suite. Et jai vraiment besoin dune bonne queue. Je commence par lui décrire limpatience de la découverte, quand le jean glisse et que les proportions se révèlent, lorgane idéalement encore à demi endormit. Puis lorsque cest au tour du sous-vêtement de libérer la bête, lourde, massive, reposant sur de grosses bourses. Léquilibre sexe/bourses est important à mes yeux, car avant den avoir plein les mains, jadore en avoir plein la vue. Jen suis déjà excité.
Vient ensuite le premier contact, généralement manuel, rendant cohérent le touché avec les premières impressions visuelles. La masse et cette indicible chaleur quune verge étreinte diffuse font monter le désir, la lourdeur des bourses, la pilosité...
Cest à cet instant que naît le désir de la sucer, de la savourer, de lemmener vers la jouissance totale. Ce nest que quand mon partenaire jouit fort dans ma bouche, quil semballe en déchargeant son foutre visqueux et tant espéré, que jai... une sorte dorgasme.
Tu en as déjà eu, des grosses entre les mains ?
Depuis que je suis en vrac ? Oui, de très belles, en effet. Mais cela reste très rare. Une très grosse bite, ça ne se trouve pas sous le sabot dun cheval !
Ni dun étalon ?
Sa main sest entre temps posée sur son entrejambe et le malaxe.
Cest ça que tu aimes découvrir ? Un caleçon bien rempli ? Avec une belle quéquette ?
Ça à lair dêtre une bête de concours. dis-je, fasciné.
De ses bourses, la main remonte calmement pour venir se positionner autour de son sexe, quil porte visiblement à gauche, révélant là aussi un très volumineux cylindre.
Et si cétait ton jour de chance, tu le pomperais, ce gros bout ?
Tu me fais cérébralement bander, mec. Tas un matos de folie, ma parole. Fais-moi vite voir ça ! Laisse-moi au moins glisser ma main dans ton calbut !
Ses doigts plongent sous le large élastique et malaxent son trois pièces sans me le révéler, faisant encore durer mon suspens. Il me !
Ça mexcite de savoir que tu la désires. Tu vas me sucer, dans tous les cas. Tu mas convaincu et jen ai trop envie. Tes pressé ou tu as le temps ? me dit-il en triturant son paquet, toujours à labri de sa cage de coton.
Tu nes pas banale, toi ! Jai tout mon temps.
Tant mieux. Plus on me suce longtemps, plus je décharge. Tu veux voir ce qui va ten mettre plein la bouche ?
Sans attendre mon approbation, ses fesses quittent de nouveau le siège pour réserver à son caleçon le même sort quau jean. Ses doigts se saisissent de lélastique et entraînent le tissu vers ses genoux. Il doit être 21h00 et nous sommes seuls sur un parking. Un géant dapparence fluet et pourtant musclé me fait un streap !
Ses bras se tendent, masquant encore quelques secondes ce sexe si convoité. Il me . Quand enfin ses mains relâchent le sous-vêtement et que ses fesses se reposent bien à lavant du siège, mon sort est scellé : je vais me faire démonter la gueule.
Du bout de son gland encore calotté, lil de sa queue semble mobserver. Son prépuce fait office de paupière et seule lextrémité du nud en dépasse. Sa grosse hampe semble alanguie, tel un serpant prenant son bain-de-soleil, la tête posée à la pliure que forme lhaine avec la cuisse. Ses couilles sont presque disproportionnées tant elles simposent. Leur forme duf leur donne véritablement un aspect animal : il a des burnes de taureau.
Soyons honnêtes : quand on aime sucer, on recherche de préférence des mecs bien montés et on espère toujours en trouver une qui sort de la moyenne. Celle-ci explose toutes mes attentes les plus gourmandes. Ce sexe est au-dessus du dessus. Imaginez ma putain de frustration, à cet instant. Je trouve un gars cool, enclin au jeu, monté comme un âne (réellement), et la seule chose que je vais pouvoir lui offrir sera une turlutte... assis sur mon fauteuil roulant ! La pilule est difficile à avaler, parfois. Car une bite de cet acabit entre les fesses maurait propulsé au ciel en aller simple ! Depuis mon handicap, jen ai pourtant rencontré de belles.
Néanmoins, il est assis dans ma caisse et je peux déjà en profiter. Ma main glisse de son ventre plat jusquà la base de sa verge. Les poils courts picotent ma paume lorsque la douce chaleur de sa chair irradie mes doigts. Elle est étonnamment lourde, ploie sur la longueur lorsque je la soulève, comme tous les gros calibres. Jaimerais pouvoir me pencher et en gober le bout, mais ma blessure me linterdit.
Mes doigts caressent maintenant ses bourses dune réelle douceur et les testicules sont incroyablement mobiles à lintérieur du scrotum. Il se laisse prospecter, certainement habitué à émerveiller ses conquêtes, lorsquil rompt le silence.
Tu my invites, dans tes WC ? Parce que là, tu es en train de réveiller Popaul et jai hâte dêtre confronté à tes talents !
Il me tient la porte ouverte le temps de rouler dans la pièce. Par chance, lendroit est très propre, ce qui est somme toute plutôt rare. Les mecs rentrent dans des WC handis et ne se gênent pas pour pisser à côté. Quand ce nest que pisser !
Le verrou tourné, lhomme me fait face, tout sourire, déboutonnant son pantalon. Jobserve ses grandes mains, et aperçois également ses pieds ; tout est grand, chez lui. Il ne se contente pas douvrir son pantalon ; il le retire entièrement, ainsi que le caleçon. Son sexe sexpose alors dans toute sa beauté, me faisant prendre la mesure de ce qui mattend. Lui, toujours avec méthode, déboutonne sa chemise en me demandant comment il pourrait se placer pour que je sois à mon aise.
Un genou sur mes cuisses, lautre jambe contre ma roue droite, cest ainsi que je me retrouve confronté à un problème de taille. Le fait quil soit très grand place son sexe idéalement à hauteur de ma bouche. Mes mains se partagent ses organes ; une sous ses couilles, lautre se saisit de la longue verge pour la porter à mes lèvres. Le gland renflé se dessine nettement sous le prépuce. En état de fascination totale, je fais coulisser ce chapeau de peau pour mettre au jour son gland violacé, salivant et mhumectant les lèvres pour le recevoir.
Quel morceau tu as ! Je nen espérais pas autant, tu me gâtes. Et quelles couilles ! Mazette.
Le gros nud lisse me nargue, je peux en sentir son odeur musquée et déjà sa chaleur force ma bouche pour tenter de sy glisser. La mâchoire ouverte en grand, javance le cou pour lemboucher. Ses doigts passent dans mes cheveux avec tendresse alors que jessaie de lavaler le plus possible avant quil ne bande. Sa hampe frotte légèrement ma dentition, mais je sais quaprès quelques minutes, mes muscles vont se détendre, je gagnerai alors un peu douverture.
Tu as une grande et bonne bouche, dis donc. me complimente lhomme après quelques va-et-vient.
Ils me stimulent, lui et sa mégatrompe. Jentame un lent mouvement oscillatoire dans lequel ma main se vrille en cadence le long de sa hampe encore à demi molle. Ma bouche est pleine de ce bout gonflant graduellement ; les veines qui courent sur son manche son clairement perceptibles lorsquau passage, elles roulent sur mes lèvres.
Oh oui, tu me suces très bien, tu sais ! Elle est difficile à avaler, mais tu es vachement doué. Tu me fais bander, mec !
Le temps de reprendre quelques gorgées dair, je lui exprime toute ma fascination pour cet organe sculptural. Il me confie aimer commenter et également apprécier les bruits de succion presque exagérés, les gloussements de plaisirs... En bref, il aime quune simple pipe soit bien vivante, et cela me convient parfaitement.
Afin de varier lordinaire, ses couilles ne sont pas épargnées. Elles aussi, de par leur volume, peinent à pénétrer ma bouche. Je suis obligé de les aspirer fort pour quelles franchissent la barrière de mes lèvres, et lui profite de ma position pour tapoter sa lourde verge sur mes joues. Il bande complètement et son expansion sest fort heureusement stoppée ; les muscles de ma mâchoire sont maintenant bien détendus, je peux profiter de cette quéquette de compétition.
Mes mains agrippent ses fesses et lui en fait de même avec ma tête et je mempale la bouche le plus loin possible. Il ny a pas que sa queue qui me traverse la tête : lidée de me faire prendre par ce mec mobsède. Un joujou pareil me ferait hurler de bonheur et décharger lintégralité de mes vésicules séminales. Malheureusement, ça, cétait avant. 10 ans plus tôt, je le lui aurais proposé sur-le-champ.
Lorsque la pression est trop forte, je lèche son interminable hampe et le branle en le tenant fermement. Il ne semble pas pressé de jouir, cen est presque incroyable. Je le pompe depuis 15 minutes et il reste frais comme un gardon, à jouer entre mes lèvres. Monsieur est un jouisseur, un virtuose de la bite, ce qui me frustre encore plus de ne pas pouvoir le prendre entre les fesses !
Jalterne entre des rythmes les plus effrénés et de langoureux jeux de langue autour de son nud, ce qui lui arrache de forts grognements, mais ne le fera pas craquer. Il est de la trempe de ceux qui décident à quel moment ils éjaculent. Ils sont rares, mais ils existent.
Perdu dans ma dégustation, ses injonctions et mon plaisir, cest à peine si je réalise quune voiture arrive. Juste à linstant où le moteur sarrête, je lui suggère de faire le moins de bruit possible afin de rester discret. Mais il me dit quau contraire, il adore la provocation, et que ça lexciterait beaucoup dêtre assez bruyant avec de francs bruits de bouche. Ça me convient. La portière claque et déjà les bruits de pas résonnent : une personne se trouve de lautre côté de la porte. Un raclement de gorge et bruit de la fermeture éclair nous indique quelle se trouve devant les urinoirs.
Oh, ce que tu me suces bien ! Tu aimes sucer ma grosse queue ? dit-il suffisamment fort pour être perçu.
Un monstre pareil, je le sucerais toute la nuit ! Quelle est grosse, jen suis dingue ! dis-je en lui embrassant le gland avec de forts bruits de bouche.
Quelle bouche ! Reprends-la vite. Oui, plus fort.
Je grogne de plaisir en le pompant fort pendant quil continue ses onomatopées et quil emploie tous les superlatifs appropriés à cette situation somme toute inhabituelle. Ses couilles repassent par ma bouche avec les sluuuuurrrrrpppps qui vont avec, agrémenté de ses francs coups de bite sur mes joues générant des bruits mats.
Son bras se tend et je laperçois en train de libérer le verrou. Mon cur saccélère, partagé entre la crainte et lexcitation. Qui est derrière cette porte ? Un gendarme ? Un voyou ? Mon partenaire est costaud et imposant, certes, mais moi... je ne servirai pas à grand-chose si ça tourne mal. Et lui est à poils ! Mais ivre de luxure, je tète sa queue et repousse mes pensées.
Tu vas bientôt me faire jouir, tu sais ? Je vais te remplir de foutre.
Hummmm... jadore.
Tu veux que je décharge dans ta bonne bouche, ou tu préfères sur le visage ?
Mets-moi tout dans la bouche ! Vas-y, quand tu veux, jen meurs denvie. Jai besoin de foutre.
Sur ces paroles, la porte sentrouvre et une silhouette apparaît. Du coin de lil, je constate que lhomme ne représente aucune menace. La seule arme quil a dans sa main est... une bite. Je reste à mon affaire en imaginant ce que peux ressentir une personne en découvrant un mec à demi nu, possédant une queue deux octaves au-dessus de la moyenne, en train de se faire pomper par un mec assis sur un fauteuil roulant !
Putain de queue ! Je comprends mieux en la voyant. lâche lintrus en refermant la porte. Je peux entrer ?
Entre vite, je crois quil peut assumer plusieurs queues !
Mon amant lui vante les mérites de ma prestation, en insistant sur le fait quil soit rare pour lui de trouver de bons suceurs. Le nouveau venu sapproche de nous en branlant sa bite. Si elle na rien à voir avec celle déjà en bouche, elle reste tout de même un beau morceau, coiffée dun très beau gland. Sans hésiter, je la prends en main et branle les deux mecs en regardant ces deux calibres.
Suce-moi encore, je ne vais pas tarder à venir. Après, je tadmirerai sucer notre ami !
Sans me faire prier, je le reprends en bouche tout en le branlant avec vigueur. Ses encouragements se font plus pressants et je sens son nud gonfler légèrement. Encore quelques va-et-vient et le voilà quil lâche un long grognement. Une contraction parcourt sa hampe et un jet de sperme me claque au fond du palais ; lhomme cède enfin au plaisir. Ma bouche est pleine, mais je ne tarde pas pour avaler, il ne va certainement pas en rester là. La semence salée glisse dans mon sophage, faisant place à la suivante. Bien plus copieuse, il me la délivre presque dans la gorge, tant son coup de reins est fort. Son foutre a un goût assez fort et nest pas liquide, mais bien crémeux.
Mais je vous avouerais que lorsque lon suce une queue qui nous plaît, ce nest pas que le sperme, quil faut prendre en compte, mais bien lensemble de cette pipe. Léjaculation est lapothéose de la fellation, et je reçois toujours la semence comme une récompense. Certaines sont meilleures que dautres, mais il faut tenir compte de la globalité, de lensemble des éléments. Jai avalé des spermes délicieux offerts par des sexes plutôt modestes, certaines belles queues ne mont versé que quelques gouttes...
Les mandibules écartelées autour de ce gros bout battant comme un cur, je reçois encore trois autres belles giclées, toutes projetées au fond de ma bouche par ses mouvements de bassin. Je suis sur mon nuage, la queue de notre invité surprise toujours dans ma main gauche. Jessore la lourde hampe en dégustant les dernières coulées quelle me livre. La bouche un peu âcre, je nettoie mon amant dun soir et profite de chacune de ses vibrations pour graver la scène à jamais dans ma mémoire.
Sa queue perd rapidement de sa rigidité, je la délaisse à regret, mais pour la bonne cause : jespère une deuxième tournée.
Putain, ce que tu mas bien sucé ! Wouah ! Tu mas fait jouir comme un dingue !
Mais le temps nest pas aux commentaires. Le dernier arriver me demande de le sucer aussi en avançant son bassin le plus possible. Alors que le géant retire sa jambe de mes cuisses, le suivant ne met quune seconde pour prendre sa place. Sa belle queue ne force pas comme la précédente pour rentrer dans ma bouche. Elle coulisse assez vite et les deux tiers rentrent sans tracas, même sil est plutôt bien membré.
Allez, suce-le bien, fais-le décharger comme tu viens de le faire pour moi. Tu vas avoir une deuxième dose, hein ?
Oh, vous mavez bien chauffé, il va y avoir une bonne dose !
Je passe mon bras derrière lui et lui inflige un rythme plus soutenu. Là, je veux en finir. Jai eu ce que je voulais, et cest simplement parce quil se trouve là que jen profite. Ah, maintenant, encore valide, jaurais volontiers contenté ces deux messieurs en même temps !
En attendant, son nud est plutôt spongieux, assez gros et il savère très agréable à pomper. Je lentends souffler de plus en plus fort et comprends que laffaire ne durera pas. Quelques minutes plus tard, il se cabre comme un cheval et décharge une dose à laquelle je ne mattendais vraiment pas. En une seconde, jai la bouche pleine de foutre. Javale presque dans la foulée son sperme presque sucré, en tout cas, bien meilleur que celui de mon géant.
Lhomme grogne en me renvoyant un jet dune rare puissance, presque détonante. Cest véritablement un gros juteur. Ce soir, je naurais pas besoin de fruits pour avoir mon quota de vitamines. Il ne faiblit pas et me remplit généreusement à six reprises avant de simmobiliser, tremblant sur ses jambes. Je le garde tendrement en bouche sans pour autant délaisser mon autre performeur, dont je pétris les lourdes bourses avec toujours autant détonnement.
Tu sais faire jouir les mecs, toi. commente mon géant lorsquenfin je me redresse.
Que cest bon ! dis-je, enfin libéré de mes bâillons. Vous mavez gâté.
Putain que cest bon ! lance le dernier en regardant sa queue dégonfler entre ses doigts.
Je flatte encore un moment mes deux queues et les regarde ensuite se rajuster. Juste avant que mon premier mec ne fasse disparaître sa son impressionnant membre, lintrus lui demande sil peut la soupeser.
Je nai jamais rien vu de pareil. Tu dois faire peur à beaucoup de personnes, quand tu la sors ?
Ça arrive, en effet. Mais pas ce soir ! conclut-il avec un grand sourire.
Nous sortons après avoir vérifié que laire est calme. Avant de monter dans nos voitures, le temps dune cigarette, je les remercie de leur ouverture desprit. Ce nest pas toujours évident de draguer en fauteuil, beaucoup de mecs nosent pas, ce que je respecte entièrement. Cétait la première fois quils étaient confrontés au handicap pour du sexe et pourtant, ils repartent avec une vision positive, comprenant complètement la légitimité de mes besoins.
Mon géant prend congé, il a encore quelques centaines de kilomètres à parcourir. Lintrus, lui, est du coin. Nous échangeons nos adresses mails afin de pouvoir reprendre rendez-vous discrètement, puis nous remontons dans nos voitures. Cette soirée na vraiment pas été banale.
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