Le Renouveau Tranches De Vie 04
LE RENOUVEAU Tranches de vie 04
Il me semblait quil était grand temps de dévergonder quelque peu Claire que javais épousé quatre ans auparavant. Elle était trop introvertie : lorsque nous nous étions mariés, elle ne s'était jamais masturbée. Dans les mois qui ont suivi ce dérapage, il m'avait fallu beaucoup de patience et de psychologie amoureuse, pour quelle veuille bien se montrer nue et faire lamour sans complexes.
Je profitais de sa grande confusion de mavoir trompé pour lui demander de se masturber devant moi, ce quelle avait fait avec beaucoup de difficulté. Elle avait une grande honte à se montrer ainsi, car son éducation religieuse avait refoulé cette pratique interdite. Depuis que je suis enfin arrivé à mes fins, elle sait très bien tirer beaucoup de jouissance de ses doigts, ils effleurent dabord son clitoris pour le brutaliser ensuite plus violemment. Elle introduit également les doigts de son autre main dans son vagin qui dégouline de mouille.
Des années plus tard, je suis aussi arrivé par la persuasion à ce quelle force aussi son anus dun doigt à longle acéré (car elle a toujours des ongles très longs et très durs). Dailleurs, elle adore me forcer mon propre cul avec un, puis deux ou trois doigts, raclant mes chairs de ses ongles et me faisant haleter de douleur et de plaisir mélangés.
Claire adore les cunnilingus et je ne l'en prive jamais, buvant avec délectation à sa source sa cyprine un peu salé au goût de noisette. Après nous être masturbé mutuellement pour nous échauffer, je m'installe entre ses cuisses et je contemple d'abord sa vulve dont je nai jamais pu me rassasier. Ensuite, j'embrasse délicatement les replis de chaque aine, effleurant son mont de vénus de mes lèvres, faisant le tour de ses grandes lèvres, laissant son clitoris attendre le plus longtemps possible le contact de ma langue. Puis je lèche très doucement les grandes lèvres, lapant avec délices la mouille qui suinte du vagin qui se déploie sous ma langue.
Jintroduis souvent le majeur d'une de mes mains enduit de salive dans l'illet violacé de son postérieur, tout en glissant lindex dans son vagin, faisant coulisser mes deux doigts dans ses deux orifices. Mes lèvres, ma langue et mes doigts lui procurent ainsi une très grande jouissance, il faut voir son visage lorsqu'elle prend son pied, agitant sa tête de gauche à droite en se passant la langue sur les lèvres, à cause de sa gorge desséchée ; elle retient le plus longtemps ses gémissements jusqu'au moment où elle hurle, tellement son orgasme est incroyable. Claire m'assure toujours que c'est encore plus fort que toute pénétration par ma verge.
Claire qui possédait une toute petite poitrine lorsque javais fait sa connaissance alors quelle était encore adolescente, avait bénéficié lors de ses grossesses et surtout avec lallaitement de nos s, de seins à proportion variable. Ses mensurations pouvant passer du 90B au 90D en passant par le 90C. Ses globes étaient très agréables à manipuler dans la paume dun honnête homme et plus tard, je ne me suis pas gêné de les martyriser
Je lai rasée entièrement parfois, ce qui donnait lieu habituellement à des joutes amoureuses, surtout que j'y passais au moins une bonne heure avec des ciseaux et le rasoir à main. Elle tremblait de peur que je la mutile maladroitement. Son jus coulait continuellement lors de cette opération où mes doigts recueillaient même un peu d'urine lorsque je pressais le méat de son urètre. Je l'obligeais souvent, malgré sa honte, à expulser quelques jets que je prenais en bouche et je l'embrassais ensuite à pleine bouche. Lorsque je la pénétrais elle était inondée de sa propre cyprine et lorsque, plus tard, jai pu l'enculer, je ne mettais jamais de gras, car son conduit rectal se lubrifie naturellement.
Après que son sexe soit entièrement rasé, elle laisse pousser quelquefois entièrement les poils de sa foufoune et d'autres fois, surtout lors des périodes où nous nous baignions tous les jours (piscine ou mer), elle se taille le pubis afin que les poils ne dépassent pas des maillots très mini qu'elle porte. Lorsque nous avons vécu à Madagascar où il fait très chaud, elle ne portait pas souvent de culotte afin déviter des mycoses, enfin cela dépendait des circonstances.
Après lépisode de Madagascar, voulant battre sa coulpe, Claire mavait demandé de la faire souffrir lorsque nous faisions lamour. Je profitais de sa culpabilité pour nous initier aux pratiques sadomasochisme, sans aucune connaissance sur ce sujet particulier. À cette époque, il nexistait pas de sex-shop ni douvrage sur la question. Je commençais donc avec ce que nous avions sous la main. Les problèmes de bourbouille provoqués par la chaleur humide des moussons nécessitaient que nous utilisions une lotion bien connue : la Friction de Foucaud, un mélange dalcool, de camphre et de menthol ainsi que dhuiles essentielles de plantes et de citron.
Nous en passions quotidiennement sur nos corps en évitant bien entendu les muqueuses. Cest justement dans lentrejambe de mon épouse que mes doigts enduits de la lotion je la massais jusquà atteindre son pubis. Je glissais mes doigts vers sa vulve dont jentrouvrais les grandes lèvres et je frottais de mes doigts le capuchon de son clitoris que je décalottais. Le liquide agissait dabord par un froid intense avant que leffet de lalcool, du camphre et de la menthe se fasse sentir. Claire se tortillait sur le lit tellement la lotion alcoolisée la brûlait, mais nécoutant pas ses gémissements, je plongeais mes doigts à lintérieur de son vagin, frottant les parois avec le liquide cuisant, puis jenfouissais ma verge dans le con bouillant, attisant aussitôt les parois de mon gland par la lotion qui tout en membrasant la verge, me faisait bander encore plus et nous entrainait tous les deux dans un coït endiablé.
Nous avons recommencé plus tard avec de la pommade Vicks et encore plus tard avec du baume du Tigre rouge. Cétait dune violence inouïe pour nos deux muqueuses. Nous étions déchaînés tellement cela nous brûlais sur le coup, mais quelle jouissance nous en retirions !
Un jour, alors que nous nous disputions gentiment pour une cause farfelue, je menaçai Claire de lui donner une fessée, elle ma tenu tête et ma lancé que je noserai pas. Sans une ni deux, je lai prise à bras le corps en masseyant sur une chaise ; puis, ayant relevé sa jupe, je lui ai administré une bonne fessée à main plate sur sa croupe. Elle a gigoté et crié que jétais un salopard, alors que ses fesses devenaient dun beau rouge pivoine, surtout que je lui avais retiré sa culotte dès les premiers coups.
Au bout dun quart dheure, jai cessé de la fesser, tout de même un peu fatigué, puis, jai caressé les mamelons dodus de ses fesses pour calmer la douleur. Ayant glissé ma main entre ses cuisses, je les trouvai bien humides. Claire, sous mes attouchements ouvrit enfin le compas de son entrecuisse avec de gros soupirs. Je glissai mes doigts dans la crème onctueuse qui tapissait son vagin, prouvant sans aucun doute quelle avait pris du plaisir à se faire fesser. Naturellement la séance se termina par une baise impétueuse, où Claire se donna furieusement à moi.
La fessée fit partie dès ce jour dune pratique quasi hebdomadaire, mais nous sommes passés à des choses plus sérieuses lorsque mon épouse ma apporté un jour une badine souple, quelle avait coupée encore verte sur la branche dun laurier rose du jardin. Elle ma demandé dattacher ses poignets à la branche basse dun acacia et de la flageller avec la badine - pas trop fort mavait-elle dit.
Nous sommes convenus de lui donner 10 coups pas trop fort, puis après un temps, 10 coups plus appuyés et enfin, lorsquelle me dirait « vas-y » : 10 coups assez forts.
Je la détachai aussitôt et la soutins pour lamener dans la chambre où je lallongeai sur le ventre de notre lit conjugal. Javais préparé à lavance des linges et de la pommade calmante que jétalai doucement sur ses fesses endolories. Elle écarta delle-même ses cuisses pour me permettre de continuer mon doux massage. Mes mains atteignirent bientôt sa vulve qui était trempée.
Voyant que ma petite femme avait pris son pied, je me positionnai au-dessus delle, engageant mon vit entre ses fesses pour la prendre en levrette. Elle était chaude comme de la braise et jouit longuement sous mes assauts. Nous avons utilisé progressivement dautres martinets, cravaches ou même des tapettes pour le plus grand plaisir des fesses de Claire
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