Les Jambes De Belle Maman (Suite...1) Forêt De La Hardt
Ce mois de Mars là, je men souviens tellement
Il y a dix ans
Je me posais un tas de questions sur la suite à tenir après les chauds moments au restaurant. Je me sentais coupable, honteux, pourtant que de plaisir ! Ma belle-mère était devenue la complice dun gendre excité par la sexagénaire aux jambes si envoûtantes, si longues terminées par de petits pieds aux doigts bien rangés, prêts à caresser tout mon corps. Après notre départ du restaurant, nous décidâmes de faire une promenade le long du canal, Niffer. Bordé darbres, le chemin de halage offrait une agréable promenade, de plus, la forêt de la Hardt, à cette saison commençait à se parer de bourgeons
Je me sentais lâme dun poète ! Ma femme, peu rassurée par ma conduite à lallée, nous conduisait sur le lieu de notre promenade ; assis à larrière vers les s, jallais vite comprendre que joccupais une place stratégique ; à peine les premiers kilomètres déroulés
..
-Je ne sais pas ce que tu as aujourdhui, Patrick, mais je me sens plus rassurée au volant. Tes étourderies de ce matin, ta crampe au restaurant, je crois que tu es fatigué, profite dêtre derrière pour te détendre, me conseille Adeline.
-Et bien, Patrick peut profiter du paysage comme çà, nest-ce pas ?
Comme je mavance entre son siège pour lui répondre, tout en terminant sa phrase, Marilyne baisse le pare soleil et loriente sur le côté. A cet instant, dans le miroir de courtoisie, japerçois le haut de sa jupe et ses genoux sous son manteau ouvert. Mes yeux ne quittent plus ce miroir, je sais, jespère que quelque chose se prépare, Marilyne me réserve une surprise
.Bigre ! Voilà, de sa main droite, feignant de se gratter la cuisse, belle maman remonte sensiblement sa jupe, le genou se dévoile complétement
la cuisse apparaît là, toute entière très vite parcourue doucement par le plat de la main de sa maîtresse. La main gauche redescend la jupe, le spectacle est terminé. Mince, très court, volontaire ? Coïncidence ? Oui je pense, je me fais des idées, ma belle-mère ma vraiment envoûté.
-Cest au prochain carrefour quon tourne à droite, Patrick ?
-Euh
Oui, oui juste après.
Rapidement, jabandonne avec regret ma position et place à nouveau mes mains sur le dossier de belle maman qui reste dans sa position ftale, feignant de dormir.
-Maman, tu dors ? Tu nes pas bien ?
-Regarde la route, ne fais pas comme moi ce matin. Marilyne vous dormez ?
Je secoue lépaule de la comédienne qui joue parfaitement son rôle de dormeuse en feignant de se réveiller en sursaut, sétire et baille.
-Juste un petit coup de barre, jétais bien, je commençais à rêver.
-Voilà, je tourne là, cest ça ?
-Oui, et gare toi à peine plus loin à droite dans le petit chemin, tu sais à lentrée dune pâture.
La voiture sarrête maintenant sur le bord de la pâture, Adeline propose :
-On passe par le petit bois ou on longe le chemin ?
-Nous, par le chemin, lancent les jumeaux.
- Moi, aussi, confirme leur mère.
-Et vous Marilyne ?
-Comme vous Patrick ; mais quand même avec une préférence pour le petit bois, jai envie de cueillir des anémones.
-Et bien, Adeline et les jumeaux par le champ et nous deux par le petit bois.
-Entendu, mais attention maman, toute seule avec Patrick
.Dans un bois, au printemps
-Arrête de lembêter, venez Patrick prenez moi le bras, jai peur de tomber. Les premiers arrivés à lécluse attendent les autres !
Sur notre droite les silhouettes des garçons et de ma femme deviennent plus petites pour disparaitre derrière une petite butte. Maryline qui me tient toujours le bras, le serre plus fort, frotte sa jambe contre la mienne, alors que nous rentrons dans le sous-bois, notre marche devient plus lente, elle mattire contre elle, se plaque contre un arbre, écarte les jambes et pousse mes épaules pour minviter à me baisser, je mexécute, mon cur bat de plus en plus vite, le temps sarrête à nouveau, mes jambes se plient, mon nez arrive à la hauteur de la jupe, Marilyne la soulève et recouvre ma tête qui se trouve engloutie sous cet antre de plaisir, comme ça sent bon ! Nous ne disons pas un mot ; mes deux genoux sont à terre, mes joues se frottent sur le nylon de ces cuisses qui se resserrent pour retarder larrivée vers lendroit chaud, cet endroit encore inconnu que je voudrais déjà respirer très fort ! Ma tête pousse vers le haut, je veux sentir la culotte de ma belle-mère à travers son collant, mes mains se cramponnent aux mollets, Marilyne saisit ma tête et à pleines mains la plaque enfin contre le haut de ses cuisses.
-Non, non Patrick, stop, nallons pas plus loin
Je serais incapable de me retenir, jaime ces moments, sentir votre excitation monter, me frotter sur vous, vous sentir excité ; excité par mes jambes
Jai aussitôt cesser mes caresses, sommé à mes mains de battre en retraite, arraché avec bien du mal le bas ventre de belle maman à mon sexe déjà humide, prêt à conquérir ce nouveau monde ; mais en bon conquistador, nous nous replions.
-Vous avez raison, Maryline, je suis tellement fiévreux que je crois ne plus pouvoir répondre de moi si je continue
Et puis jaimerais, comment
-Vous branler sur mes jambes et mes cuisses ? Cest ça Patrick ? Déverser votre semence sur mes pieds ? Mes fesses ?.
Au fur et à mesure quelle énumère ces choix avec des paroles crues, mon excitation reprend
Je ne peux mempêcher :
-Oui Maryline, me branler sur vos pieds, frotter ma queue sur le haut de vos cuisses, vous retourner et continuer sur vos fesses, vider mes couilles sur vos cuisses
.Vous entendre me dire des mots vulgaires à loreille
Vous me faite bander comme un collégien Maryline ; Jai mouillé mon caleçon
-Arrêtez
Patrick, vous mexcitez
Jaime aussi ce déversement de paroles crues
Jaime tout ce que vous venez de dire
Comme Maryline est encore plus belle quand elle se livre comme ça ! Joublie ses jambes, ses pieds, ses fesses, ses collants et je vois son visage, ses yeux malicieux, ses cheveux mi- longs à peine grisonnants ; au-delà de mes fantasmes, je crois tomber amoureux
De ma belle-mère ! Rêveur, sur le coup de lémotion, jai fait quelques pas en arrière et trébuche sur les racines de larbre témoin de nos gestes au combien intimes ; je me retrouve sur les fesses, les mains appuyées sur le sol. Maryline éclate de rire tout en réajustant sa robe et son manteau. Je souris, reste dans ma position et la regarde sapprocher de moi, elle marche à petits pas, passe entre mes deux jambes écartées, les pieds lun devant lautre, doucement comme un funambule sur son fil. Je ne bouge pas, jattends quelque chose, je ne sais pas quoi, mais cette nouvelle initiative de belle maman augure quelque chose de bon, à nouveau mon cur bat la chamade. Maryline, aidé de son pied droit, libère le pied gauche ; libre, il agite ses petits doigts sous la bordure foncée du collant et doucement se pose sur mon entrejambe, délicatement par un mouvement de haut en bas, les petits doigts glisse sur la braguette de mon pantalon, essayent de se frayer un chemin sous cette braguette qui est imprenable pour ces petites choses incapable de descendre une fermeture ; fermeture qui fait mal à mon gland tendu qui na quune envie, rejoindre ces phalanges métatarsiennes qui jen suis certain aimeraient courir sur ma lance dressée en leur honneur. Mon érection devient de plus en plus dure, je fatigue dans ma position avec mes mains comme seul appui, je me couche sur le dos, Maryline appuie plus fort la plante de son pied et gratte de ses doigts ma braguette, je crois comprendre une demande douverture, je mexécute en redressant ma nuque et descend ma fermeture pour baisser le pont levis à ces assaillants. A peine la braguette ouverte, le pied pousse tout ce petit monde à lintérieur et déjà je ressens le plaisir, plaisir de sentir cette caresse sur la longueur de ma verge, plaisir de sentir la friction du nylon sur mon caleçon, plaisir de voir vers le haut, la jambe de ma belle-mère. Je saisis la cheville de Maryline à deux mains et je la guide encore plus fort, plus loin, plus bas. Si lassaut continue, cest certain, je ne pourrai plus me retenir et
..Un bruit de moteur se fait entendre, vite belle maman retire son pied, dun bond, je me retrouve sur mes jambes, brosse mon pantalon, remonte ma braguette en regardant ma masseuse appuyée sur mon avant-bras qui enfoui dans sa chaussure son petit pied. Comme je souhaiterais être cette chaussure, un instant rempli de ce pied bienfaiteur. Un quad passe sur le chemin, tandis que sans un mot, nous nous regardons comme deux jeunes amants surpris dans leurs ébats. Après un profond soupir, Maryline minvite à reprendre le chemin au bout duquel nous attentent les membres de notre petite famille :
-Humm
Mon gendre ! Comme je suis bien avec vous, quel bon moment, je suis désolée de vous laisser dans cet état ; mais jaime aussi allumer le feu sans léteindre. Jai envie den allumer pleins dautres, pleins, en satisfaisant vos fantasmes, sentir votre queue enfler sous mon pied ou simplement voir votre tête quand je dévoile mes jambes ou mes cuisses
Vous mavez prêté attention seulement ce matin, mais depuis longtemps, je vous lançais des messages, je vous aiderai à vous en souvenir et vous naurez quune envie : rattr le temps perdu.
-Mince ! Comment nai-je pas été réceptif à ces signaux ? Donnez-moi au moins un, juste un sil vous plaît Maryline
.Allez juste un !
Tout en marchant lun prêt de lautre, je supplie ma belle-mère comme un ferait un caprice pour savoir quel cadeau il aurait pour son anniversaire. Vraiment, depuis ce matin je suis un autre homme et belle maman une autre femme. Maryline reprend :
-Pas parce que vous insistez, mais parce que quelque part ça me fait plaisir, je vous en décris un. Un an après le décès de Paul, nous étions tous chez moi pour mon anniversaire. Votre beau-frère et votre belle-sur; pour une fois, avaient fait un effort pour se joindre à nous. Vous, Adeline et les s vous étiez installés dans le salon, Adeline sécria
-On sonne maman, cest frérot et Emilie ! Je vais ouvrir.
-Bien, on prend lapéritif au salon, Patrick vous vous en occuper ? Venez cherchez les glaçons à la cuisine.
Javais mis une jupe assez courte remontée par mon tablier volontairement noué de façon à tendre le tissu vers le haut. Jattendais votre entrée dans la cuisine, au bon moment je plongeai la tête en avant vers le bac du congélateur en levant la jambe assez haut, je portais des collants noirs ; et feignant de glisser, je mallongeai sur le côté en écartant bien les cuisses
.
-Eh ! Maryline, attention, vous vous êtes fait mal ?
-Non, non, ça va, mais aidez-moi à me relever Patrick sil vous plaît.
Toujours les jambes écartées, jai tendu ma main, vous lavez prise et mavez tiré vers vous. Jai profité de cet élan pour coller ma poitrine tout contre vous. Jai même poussé le bouchon avec mon autre main jusquà aller coincer le bas de ma jupe sous la ceinture de mon tablier !
-Oh
Attention votre jupe est relevée.
Et, dun geste prévenant, vous avez tiré dessus pour la remettre en place.
-Jespère que vous navez pas vu ma culotte Patrick ?
-Non, non
je vous assure
-Mais comment jai pu ne rien voire ? Ne rien tenter ? Quel imbécile ! Donc, cétait une provocation ?
-Oui absolument, javais remarqué que les jambes des femmes ne vous laissaient pas indifférent ; à commencer par celles dEmilie. Elle est souvent habillée court, croise les jambes
Et à plusieurs reprises, jai pu voir vos regards qui ne trompent pas.
-Pour être franc, jaimerais bien rejouer cette scène, jaurai droit à un autre essai ?
-Bien entendu Patrick, pas un mais des autres essais, nous rattrons le temps perdu. Mais dans limmédiat, pressons le pas, nous devrions être au barrage.
-Maryline, ce soir je vous accompagne après avoir déposé Adeline et les jumeaux ; on se rejouera quelque chose ?
-Peut-être ; jai été patiente quatre ans, vous pouvez patienter un peu non ?
Je me tus. Jusquau barrage, nous avons discuté de choses et dautres, comme deux personnes qui se rencontrent pour la première fois. En écoutant Maryline, je la regardais marcher, son allure, sa voix
.
Jétais amoureux, cette fois jen étais certain. Amoureux de cette femme qui allait satisfaire mes fantasmes ? Amoureux de ma belle-mère ?... (à suivre).
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!