Pierre Et Alexandre - Partie 1
Les noms et lieux de cette histoire sont purement fictifs
Pierre-Emmanuel, Louis, Marie de Lanthenay rentrait en 1ere année dans un lycée réservé à la noblesse européenne, un lycée unique en Europe. Situé dans la royaliste et catholique Bavière. Les élèves y étaient répartis selon leurs pays dorigine, Allemagne, France, Angleterre, Espagne, Italie, Belgique, Autriche, Ecosse, Hongrie,
. Les élèves y étaient formés à toutes les matières que lon trouve dans un lycée public, littérature, mathématiques, Histoire, géographie, biologie, chimie, physique, langues, économie, anthropologie,
et bien sûr religion. Lavantage était le nombre de langues, de littératures et dHistoire enseignées. Des cours de musique classiques, ainsi que de dessin, de droit, mais aussi de politique y étaient dispensés.
Le jeune Pierre-Emmanuel était impressionné. Jeune homme de taille moyenne (1,72 m) mince avec les cheveux bruns coupés courts. Habillé de manière on ne peut plus classique, pantalon bleu marine, chemise rayée bleu et blanc, pull bleu marine et chaussure bleu marine, bien sûr. Son père qui avait lui même fait partis des premiers élèves de ce lycée laccompagnait, lui expliquant les lieux, le fonctionnement de lenseignement. Louis-Marc de Lanthenay nayant pas été satisfait de la formation dans le lycée catholique quil avait choisis pour son fils lannée passée lavait inscrit en Bavière. Son fils aîné Louis-Edouard ayant choisis la prêtrise, il avait choisi pour son cadet lécole qui était la seule capable à ses yeux de faire de son fils son parfait successeur. Le jeune Pierre-Emmanuel avait comme à son habitude accepter son sort. Dans le dortoir des garçons Louis-Marc de Lanthenay et son fils cherchèrent la chambre quil devait avoir. La chambre de Pierre-Emmanuel était au fond du couloir des Français. Dans le couloir se trouvait 21 autres chambres. Pierre-Emmanuel et son père semblaient être les premiers, aucune porte nétait encore ouverte et Louis-Marc de Lanthenay ne pût sempêcher de lire les noms sur les portes.
Les chambres navaient pas changées depuis lépoque du père de Pierre-Emmanuel, elles étaient relativement grandes, un lit, un bureau, une armoire, des étagères, deux meubles et des rideaux meublaient la chambre. Le lit était fait. Les murs étaient peints couleur crème. Le parquet de la chambre avait été récemment ciré. Les affaires de Pierre-Emmanuel avaient déjà été installées par lintendance de lécole.
« Jespère pouvoir être fier de vous Pierre-Emmanuel. Ne me décevez pas comme votre frère. Ainsi dans dix ans vous pourrez prendre ma succession à létude. »
Pierre-Emmanuel répondit par laffirmative à son père, qui sur ces mots tourna les talons. Laissant son fils seul dans sa chambre, Louis-Marc de Lanthenay partit plus guindé que jamais dans son costume trois pièces noir. Sur le parking il monta dans sa Mercedes noire. Seul dans sa chambre Pierre-Emmanuel se sentit seul.
Cela faisait quelques semaines que Pierre-Emmanuel de Lanthenay avait fait sa rentrée. Maintenant il connaissait ses voisins de paliers, dont trois étaient avec lui en cours, Joseph de Isselgheim, Antoine de Haas et Henri-Alexandre de Penmarch. Mais il ne sétait pas lié damitié avec eux. Joseph et Antoine restaient toujours ensembles se mélangeant uniquement avec les quatre autres élèves allemands de leur classe. Henri-Alexandre bien que les classes ne soient pas mixtes passait son temps avec la gente féminine. Le seul élève avec lequel Pierre parlait était un belge François de Loos. Pierre était bon élève mais le niveau de lécole était élevé et il avait un peu de mal à sadapter.
Les semaines passèrent quand un jour, ou plutôt un soir de la fin octobre, vers 22h, ayant terminé détudier le romantisme allemand à la bibliothèque, Pierre croisait Alexandre tenant la main dune jeune française. Pierre avait déjà croisé la jeune fille et avait discuté avec elle, plutôt sympathique, elle sappelait Camille de Montlazac. Pierre avait remarqué que des différentes filles qui gravitaient autours dAlexandre elle était la seule qui soit encore à ses côtés après plusieurs semaines. Il se doutait de ce quils allaient faire, sembrasser dans la chambre dAlexandre, pratique bien évidemment réprouvée par lécole et par Pierre. Mais lorsquil revenait des douches communes, Pierre entendit un léger bruit lorsquil passa devant la chambre dAlexandre. Pierre était intrigué par les bruits et glissa son il dans le trou de la serrure. Il ne vit pas grand chose, mais compris quils ne sembrassaient pas. A la fois choqué et troublé par ce quil avait vu Pierre regagnait sa chambre et se couchait, chassant ces pensées obscènes de son esprit. Le lendemain à la sortie du cours danglais auquel Alexandre navait pas assisté Camille vint trouver Pierre.
« Salut Pierre, comment vas tu ?
- Bien.
- Dis moi tu ne diras rien pour hier soir ?
- Non.
- Merci.
- Je ne dénonce pas. Continua til froidement.
- Pourtant tu réprouves ce quon a fait.
- Bien sûr.
- Pourtant tu sais ce nest rien.
- Rien
.
- Cest quelque chose de normal surtout à notre âge. Et lamour est un sentiment noble.
- Cest un sentiment noble, mais que vous avez souillé.
- Ne dis pas de bêtises Pierre. Je ne vois pas Alexandre ce soir, si tu veux on peut discuter.
- Discuter ?
- Tu mas lair calé en droit contrairement à moi. Ca te dérangerait de me donner un coup de main ?
- Non, répondit Pierre surpris.
- A la salle détude, vers 20h, ca te va ?
- Oui.
- A ce soir alors. »
Pierre se rendit à la salle détude et expliqua à Camille certains principes de droit. Au fil de la discussion il découvrit une jeune fille sympathique, intelligente et qui savait être à lécoute. Camille de son côté découvrit un garçon gentil et intelligent mais terriblement coincé. Elle lui proposa de devenir amis. Pierre accepta après avoir écouté Camille lui parler delle, dAlexandre et lui poser des questions. Pierre rentra ensuite dans sa chambre. Les jours qui suivirent Pierre et Camille mangèrent ensemble le midi. Plus ils discutaient et plus ils sappréciaient. Ce qui semblait déplaire à Alexandre qui jetait un regard noir à Pierre. Celui-ci choisit den parler à sa nouvelle amie qui lui dit quelle ne couchait plus avec lui depuis deux jours, quils sétaient fâchés. Ce qui ne lavait pas empêché daprès Camille de sauter Caroline Speek, une petite blonde typiquement anglaise. Ce soir là comme tous les précédant Pierre avait travaillé tard en salle détude, il était 21h. Rentré dans sa chambre il posait ses affaires et prit ses affaires de toilettes comme chaque soir. Sortant de sa chambre il se dirigeait vers les douches de la communauté masculine française.
« Excusez moi la porte était ouverte et je nais pas entendu le bruit de leau.
- Tu peux rester.
- Euh non ça ira
.
- Ne me dis pas que tu es choqué de me voir à poil.
- Euh
si.
- Ca me surprend pas. Camille mavait bien dis que tu étais coincé.
- Comment ?
- On sest parlé tout à lheure. On a fait la paix. Et tu sais tu peux me tutoyer. Je suis sûr que cest la première fois que tu vois un mec nu.
- Oui. Bredouilla Pierre qui ne sen remettait pas.
- Yas pas de honte à avoir, cest nos corps. Camille à pas osée te poser la question, tes homo ?
- Quoi ? Quest-ce que ça veut dire ?
- Tu sais pas ce quest être homo ?
- Non.
- Les hommes homosexuels aiment les hommes et les hétérosexuels aiment les femmes. Charnellement je précise.
- Ah ! Daccord. Alors non je ne suis pas homosexuel.
- Hétéro donc ?
- Bien sûr.
- Tu as déjà couché avec une fille.
- Je ne suis pas un pêcheur.
- Tu as déjà été amoureux au moins ?
- Laissez moi réfléchir
. Non. Ce nest pas comme vous. Je vous vois presque tout le temps avec une nouvelle fille pendue à votre coup.
- Je sais. Et jaime coucher avec elles. Mais tu ne me croiras sans doute pas mais je me sens seul malgré tout.
- Cest vrai que je ne vous crois pas.
- Mais toi tu ne te sens pas seul aussi ?
- Non, pas trop.
- Si tu nas jamais aimé comment peux tu savoir si tu es homo ou hétéro ?
- Je ne me suis jamais posé la question. Je nai pas à me la poser. Le jour venu jépouserais une femme et je perpéais ma lignée.
- Ca ne me surprend pas. Moi je me la suis posé il ny pas longtemps dailleurs. Depuis un mois je ne sais pas pourquoi, les filles ne mintérressent plus. Jai mis du temps à comprendre pourquoi. Mais je sais maintenant.
-
. Alexandre sétait rapproché doucement de Pierre leau qui avait rincé le savon, dégoulinait encore. Il posait doucement sa main sur le verrou. Pierre ne le voyait pas, mais Alexandre bandait.
- Pierre je taime. Depuis le premier jour que je tais vu je ressens quelque chose de bizarre quand je te vois. Ca pas été facile à reconnaître, mais je taime. Je taime comme je nais jamais aimé personne. »
Pierre était interloqué, il avait envi de dire quelque chose, mais aucun son ne sortait de sa gorge. Doucement Alexandre posait ses lèvres sur les siennes. Alexandre avait peur que Pierre ne le repousse. Mais non Pierre se laissait faire. A ce moment là Pierre ne pensait plus. Alexandre décollait sa bouche de celle de son dulciné avant de lembrasser. Pierre se laissait de nouveau faire, aussi Alexandre recommençait se faisant plus langoureux. A chaque baiser il devenait plus entreprenant. Lentement Alexandre fit passer sa langue sur les lèvres de son partenaire avant de passer entre. Pénétrant cette cavité buccale inexplorée il fit passer sa langue sur les bords avant de redescendre pour trouver la langue de son amant. Caressant dabord le dessus, avant de caresser le dessous, il finit par titiller le bout de sa langue. Il avait pourtant embrassé des dizaines de filles, mais là cétait différent. Cétait bon. Il en éprouvait un réel plaisir. Pierre ne répondait pas à ces caresses, mais se laissait faire. Alexandre qui avait posé ses mains au mur pour mieux ly plaquer les en détacha pour détacher le peignoir et déboutonner lentement la chemise de pyjama. Fébrile il posa alors sa main sur le torse de son amant, celui-ci ne sursauta pas et sentant la puissante main dAlexandre caresser tendrement son corps il se laissait aller et sa main vint se poser sur le torse musclé de son amant. Alexandre tressailli légèrement et Pierre voulait enlever sa main, mais de sa main libre Alexandre la reprenait et la reposait sur son torse. Au bout de quelques secondes il commençait à caresser Alexandre. Celui-ci se fit encore plus langoureux et ses mouvements devinrent plus amples. Pierre sabandonna alors complètement au plaisir quil ressentait et quil découvrait. Alexandre commençait à sentir bouger la langue de Pierre. Petit à petit Pierre se faisait plus entreprenant, il découvrait un plaisir inconnu et insoupçonné. Si ce plaisir quil recevait pouvait être donné il voulait donner le même à celui qui lui procurait. Alexandre qui avait commencé à utiliser son autre main caressait le torse de Pierre avant de descendre doucement vers son pantalon quil entrebâillait. Une fois sa main dans le pantalon de pyjama il passa sa main sur le caleçon de son amant. Il nétait plus étonné mais il bandait. Le sexe de Pierre nétait pas aussi gros que le sien, et même sil nétait à son niveau dérection maximum, Alexandre le trouvait très bien. Caressant celui-ci il sentait Pierre commencer à gémir de plaisir. Alors Alexandre se fit plus entreprenant en passant sa main dans le caleçon. Lorsque sa main entra en contact direct avec le sexe de Pierre, Alexandre sentit son érection augmenter encore. Doucement il commençait à caresser la verge de son amant. Alexandre commençait à avoir du mal à se retenir daller plus vite lorsque Pierre posa sa deuxième main sur son sexe bandé à mort. Alors Alexandre murmura « Allons dans ma chambre ». Pierre lui répondit oui. Alexandre repassait son peignoir et se dirigeait vers sa chambre suivit par Pierre. Sitôt la porte de la chambre refermée Alexandre se jetait sur son amant pour le déshabiller. Pierre neût pas le temps de réagir que ses affaires étaient par terre. Dun geste il tirait sur la ceinture du peignoir dAlexandre qui laissait voir une superbe queue dressée, un véritable pieu. Doucement Alexandre sapprochait de la queue de son amant, posait sa langue sur le gland et commençait à la caresser du bout de celle-ci. Sil avait souvent fait lamour avec des filles, quelles lavaient sucer, cétait la première fois quil suçait un sexe masculin et il ne savait pas trop comment faire pour que Pierre ressente ce quil avait ressentis avec ses amantes. Sans se rendre compte vraiment sa langue laissa la place aux lèvres qui laissèrent passer le reste du sexe de Pierre. Alexandre commença alors ses mouvements de va et viens sa langue à plat sur le dessous du sexe de son amant. Pierre commençait à gémir sous leffet dun plaisir quil navait jamais ressentit. Alexandre encouragé par les soupirs de son amant accéléra et sans se rendre compte commença à jouer avec sa langue. Les gémissements de Pierre redoublèrent sous leffet de la langue dAlexandre. Il sentit alors monter en lui un immense bonheur, son corps se contractait et soudain son sexe gicla une courte fois. Alexandre avait sentit le sexe de son amant gonfler et avait laissé sa bouche autours pour absorber le fruit du tout premier orgasme de Pierre. Il nétait pas très puissant, mais cétait le premier sans doute il fallait accoutumer le corps de son amant à ces nouvelles sensations. Alexandre lâcha alors le sexe de Pierre et remonta vers la bouche de celui-ci pour lembrasser. « Tu veux essayer de me le faire ? lui demanda til. Oui, répondit Pierre dans un état second. » Pierre saccroupit et planta son visage devant ce gourdin qui soffrait à lui. Il le caressa de ses doigts avant de poser ses lèvres dessus et des les faire glisser le long. Alexandre poussa un soupir de contentement. Il avait pourtant lhabitude que ses maîtresses soccupent de son sexe mais bizarrement ce nétait pas la même sensation cette fois. Sentant son amant heureux Pierre intensifia son mouvement déclenchant de véritables râles de plaisir. Il ne lui fallut pas longtemps pour sentir le sexe dAlexandre se gonfler et envahir sa bouche. Ne sachant pas trop ce qui allait arriver il continuait pendant quAlexandre dont les râles étaient de plus en plus fort murmurait entre deux râles « Je vais jouiiirrrrr. ». Gonflé son sexe lâchait sa semence, un sperme abondant éjecté de manière puissante en longues giclées. Pierre fût surpris et avala tout. Pierre retira sa bouche de sur la bite dAlexandre et se redressa étonné parce quil venait davaler. Alexandre voyant son étonnement lembrassa à pleine bouche et fit glisser sa langue entre les lèvres de son amant. Pendant de longues minutes tous les deux sembrassèrent. Alexandre posa ses mains sur les fesses de Pierre qui posa les siennes au même endroit. Tous les deux recommencèrent à laisser leurs mains se balader sur le corps de lautre. Lérection repris Alexandre qui sentit en passant sa main que la queue de Pierre se raidissait de nouveau elle aussi. Ils continuèrent quelques minutes avant quAlexandre ne sente la bite de Pierre en érection complète. Il semblait à Alexandre quelle avait pris du volume par rapport au moment où il lavait eût en bouche. Alexandre était heureux, cela voulait dire que Pierre aimait ce quils faisaient et y prenait vraiment du plaisir. Alexandre recula doucement vers son lit et attira Pierre à lui, se posa sur le lit tout en continuant à attirer Pierre, séparant ses lèvres de celles de son amant il lui murmurait « Prends moi ». Mais Pierre ny connaissait rien et Alexandre qui le savait davance le guida. Il le fit se placer correctement, tenant la bite de son amant il la plaça à lentrée de son trou « Vas y enfonce moi ». Doucement Pierre pénétra Alexandre jusquà la garde guidé par son amant, grimaçant sous leffet du décalotage. Il sarrêta quelques instants le temps. Puis Alexandre commença à le faire ressortir légèrement, avant de le faire rentrer de nouveau amorçant doucement un mouvement de va et viens. Cessant de le guider Alexandre se laissa aller à son plaisir. Pierre continua sans sen rendre compte. Lents et profonds ses mouvements devinrent plus rapides et plus forts, sentant monter en lui un plaisir quil ne soupçonnait pas. Penché sur le corps dAlexandre il commençait à lembrasser avant de descendre sur son torse. Alexandre commençait à haleter, il navait jamais connu un tel plaisir et plus Pierre tapait vite et fort et plus son plaisir augmentait. Pierre les yeux fermés sétait relevé et caressait du plat de la main les abdos de son amant, titillant les tétons, son plaisir ne cessait de croître. Déchaîné il baisait son amant comme un fou. Ses coups de boutoir devinrent dun coup violent et sans quil sen rende compte firent monter brutalement un orgasme. Gonflé son sexe expulsa une quantité incroyable de sperme. Alexandre sentit son cul être inondé par des jets puissants et chauds. Il ne pensait pas que son amant en lâcherait autant. Alexandre nétait pas loin de jouir quand Pierre se vidait dans son fondement, sous leffet de cette queue en pleine jouissance Alexandre laissait échapper la sienne. Son sperme éclaboussait le torse de son amant, tendu sous leffet de ce premier véritable orgasme. Restant silencieux Alexandre fit se retirer Pierre et le fit sallonger sur le lit. Tout en lembrassant il lubrifiait son trou avec ses doigts mouillés de salive, une fois lubrifié il positionnait sa queue face au petit trou. Malgré lorgasme Alexandre navait pas débandé et sa queue plus grosse que celle de son amant, pourtant de belle taille, commençait à sintroduire dans le cul de Pierre. Pierre grimaçait sous leffet de la douleur. Lentement Alexandre fit arriver sa bite jusquau fond. Sarrêtant quelques instants il passa sa main sur le torse de son amant. Puis il commençait ses mouvements de va et viens. Tout doucement il accélérait ses mouvements jusquà les rendre furieux. Alexandre prenait un plaisir incroyable à pilonner son amant. Pierre de son côté était en extase. Cette queue qui emplissait sont cul, ses mouvements de va et viens, cétait trop bon. Il sentait sa jouissance monter de nouveau, dun coup son sexe éjecta un petit jet blanc. Après avoir eût un orgasme aussi puissant quand il défonçait Alexandre il était étonné den ravoir un autre, même sil était beaucoup moins fort. Alexandre avait sentit que Pierre avait joui et alors quil nétait pas loin den faire autant, la joie que cela lui procurait le fit jouir de nouveau, un nouvel orgasme puissant qui inonda le cul de son amant. La sensation de ce sperme qui se répandit en lui fût bizarre, mais pas désagréable pour Pierre. Alexandre se retira et vint se coucher à côté de son amant le sexe suintant de semence. Le cul de Pierre laissant séchapper de petits filets blancs. Il embrassa Alexandre un long moment avant que leurs bouches ne se séparent et sous leffet de la fatigue ils ne sendorment lun contre lautre. Mais avant de sendormirent Alexandre demanda
« Tu as aimé ?
- Oui.
- Moi aussi.
- Je ne savais pas que cétait possible. Je comprends pourquoi même si je désaprouvais ta conduite, je ne pouvais mempêcher de mintéresser à toi, de te surveiller. Maintenant je sais que jétais amoureux sans le savoir.
- Jaimais coucher avec les filles qui sortaient avec moi, mais quand je tais vu jy prenais plus autant de plaisir. Je savais pas pourquoi je ne prenais plus le même plaisir à leur faire lamour. Quand je tais vu avec Camille, jétais en colère, au début parce quelle traînait avec un autre mec que moi. Mais jai compris que cétait pas ça. Parce que quand je te voyais javais lestomac noué, mon cur battait plus vite. Ca à duré quelques jours. Après ça je me suis mis à bander sans me rendre compte. Cest comme ça que jai compris que tu mattirais. Jai eût du mal à laccepter. Il ma fallut deux bonnes semaines. Camille lavait remarquée dailleurs, cest pour ça quelle est venue me voir hier aprèm. Elle a du flair et elle ma dit que tu devais être homo même si tu ne connaissais rien à la sexualité. Camille ma dit de planquer une caméra dans ta douche et de te regarder te laver. Je bandais à mort. Je comprenais plus rien. Javais jamais été attiré par les mecs, javais couché avec pleins de nanas et là je bandais pour un mec. Alors hier soir Camille a passée un long moment dans ma chambre pour en parler. Elle ma dit que tu étais un mec génial et quil fallait pas que je me pose de questions. Jaimais un homme et alors ? Lamour est inexplicable. Et ce qui compte cest daimer et dêtre aimé, et tant pis pour la morale. Alors jai décidé de tenter ma chance et je ne regrette rien, cétait génial. Je naurais jamais imaginé devenir passif,
quel pied.
- Toi aussi tu es quelquun de formidable, mais tes défauts ont pris le pas sur tes qualités. Pour être sincère je ne sais pas ce qui marrive, je me sens bizarre. Tu mintriguais, je tobservais, et sans me rendre compte jétais jaloux de ces filles pendues à ton coup. Je naurais jamais crût aimer un homme, encore moins faire lamour avec. Mais cest arrivé. Jai aimé faire lamour avec toi, je navais jamais ressentit ça
cest magique.»
Quelques heures plus tard une main vint toquer à la porte. Réveillés en sursaut les deux amants étaient surpris que quelquun frappe à la porte. Aussitôt Pierre se levait et partit se cacher dans larmoire. Alexandre enfilait son jean qui traînait par terre et ouvrit la porte. Cétait Camille.
« Bonjour les garçons. Pierre tu peux sortir de larmoire.
- Quest-ce que tu fais là Camille ?
- François de Loos ma dit que vous nétiez pas là, ni lun, ni lautre ce matin en cours. Il pensait que vous étiez malades. Malade de sexe oui lol.
- Ce nest pas drôle dit Pierre en passant la tête dehors. Retourne toi Camille je vais sortir pour me rhabiller.
- Cest pas de voir une bite qui va me . Quand François ma dit que vous nétiez pas là jai tout de suite compris. Mais ne tinquiètes pas Pierre je ne dirais rien. Tu sais je trouve même ça très bien.
- Que nous ayons pêchés !?
- Oui. Parce que je commence à vous connaître tous les deux. Et ce que je peux te dire Pierre le catho coincé, cest que tu as trouvé lâme sur. Ou plutôt lâme frère. Alexandre je tais jamais vu aussi heureux, tu as lair plus épanoui.
- Cest vrai. Pierre je sais que tu es catholique pratiquant et que tu réprouves au plus au point davoir fait lamour avec moi, mais je sais que tu as aimé.
- Pierre écoute ton amie. Coucher, lhomosexualité sont mal pour les catholiques pratiquants comme toi je sais. Mais je sais aussi, que tu nas jamais été heureux et vous connaissant bien tous les deux, même si je connais plus Alexandre, je peux tassurer dune chose, cest que vous êtes fait lun pour lautre. Et crois moi cest pour moi très dur de te dire ça, parce que tu peux pas savoir à quel point jai aimé Alexandre et je continue à laimer, mais je sais que son cur est à toi. Et si je me souviens bien de mes leçons de catéchisme est-ce que lamour nest pas la chose la plus importante pour lEglise et pour Jésus ? Lamour de Dieu et lamour de lautre. Daprès toi est-ce que Jésus condamnerait vraiment lamour de deux hommes ou de deux femmes sil est sincère et pur ?
- Bien sûr, ce sont ses principes que suit lEglise.
- LEglise sest inspiré de ses principes, elle ne les suit pas à la lettre, nuance. Quest-ce que tu respecte le plus la parole du Christ ou celle de lEglise ?
- Je ne sais pas.
- Toi seul peut savoir.
- La parole du Christ me semble plus importante.
- Le Christ condamne la débauche, quelle soit homosexuelle ou hétérosexuelle. Il ne condamne pas lamour homosexuel en soit.
- Ce que tu dis est juste Camille. Mais je ne suis pas sûr de lêtre. Alexandre allait se mettre à crier mais Camille le retint.
- Tu nas pas aimé coucher avec Alexandre.
- Si mais
.
- Tu nes pas sûr que cest ce que tu veuilles vraiment même si tu as aimé et si tu laimes.
- Cest ça. Je nai jamais fait lamour de ma vie avant cette nuit et je me dis quune femme doit aussi être agréable et quil serait possible aussi que je trouve lamour dans ses bras.
- Ce qui tarrangerais, tu naurais pas à affronter ta famille.
- Oui.
- Mais si tu veux essayer avec une femme on peut.
- Quoi !!!!??? Firent en chur Pierre et Alexandre.
- Si tu veux vérifier si tu es hétéro, bi ou homo je suis disposée à faire lamour avec toi.
- Je suis en plein cauchemar fit Pierre.
- Et moi personne ne me demande mon avis lança Alexandre.
- Si on le fait maintenant tu peux participer.
- Je vais me réveiller continua Pierre. »
Mais Camille sapprocha de lui et posa ses lèvres sur les siennes. Les lèvres de Camille nétaient pas aussi douces et agréables que celles dAlexandre, mais presque. Sa langue pénétra la bouche de Pierre, venant là titiller. Doucement les mains de Camille posée sur le corps nu de Pierre commencèrent à la caresser. Hypnotiser par cette vision Alexandre sapprochait de Camille et commençait à la caresser et à lembrasser dans le coup. Déshabillant son ex, ils se retrouvèrent rapidement nus tous les trois. Une fois nue Camille posait sur son corps les mains de Pierre. Elle dirigeait les mains de Pierre pendant quAlexandre caressait son corps. Se baissant elle se trouva devant la queue de Pierre a demie dressée. Posant ses lèvres dessus elle commença à lécher son mât. Alexandre sapprocha de Pierre et se mit à lembrasser. De longues minutes Camille léchait le gland et la tige de Pierre, mais il bandait à peine plus. Quand elle se releva elle les attira vers le lit. Elle fit sinstaller Pierre face à sa jolie chatte toute rasée, alors quelle prenait la queue dAlexandre dans sa bouche et quil prenait celle de son amant. Pierre léchait le sexe de Camille, mais ny allait pas avec la même force que sur celle de son amant la nuit dernière. Mais sa queue dans la bouche dAlexandre avait doublée de volume. Alexandre était déchainé et prenait un plaisir fou à lécher à nouveau cette jolie queue. Camille ne ménageait pas son plaisir. Brusquement Pierre sentit sa verge se gonfler sous les coups de langue de son amant et sarrêta net. Camille ne remarqua pas et continua à astiquer le manche de son ancien amant. « Vas y Alexandre, cest bon murmura alors Pierre. » Alexandre redoubla defforts et au bout de quelques secondes il sentit jaillir sur sa langue la semence de son amant. Lui même était au bord de lextase et il suffit de quelques coups de langue à Camille pour la déclencher. Camille navait pas eût dorgasme, mais releva les garçons et proposa à Pierre de la baiser. Elle fit se coucher Pierre et vin se poser sur sa bite. Cela lui permettait de le guider. Elle donna la cadence, doucement, puis de plus en plus fort. Pierre navait jamais baisée de nana aussi Camille compensait et réussit, elle atteignait lorgasme. Pierre atteignait lui aussi lorgasme, mais un plaisir moins intense quavec Alexandre, même sil avait ressentait du plaisir. Camille se retirait après quelques instants. Debout dans la chambre elle sentie les mains dAlexandre se poser sur sa taille. Elle se colla au mur et écartant les cuisses elle laissa Alexandre la pénétrer. Voir son amant faire lamour avec elle avait donné envie à Alexandre den faire autant. Une fois rentré Alexandre fit tout de suite des mouvements rapides. Pierre le regardait étonné, mais aussi déçu quil baise de nouveau Camille alors quil connaissait ce plaisir. Alexandre croisa son regard « Viens me baiser Pierre ». Alexandre écarta les cuisses pour que Pierre comprenne où il devait se positionner. Il nhésitait pas une seconde et se plaçait derrière son amant. Contrairement à lui Pierre commença par des mouvements lents. Alexandre était au comble du plaisir pris entre Camille et Pierre. Il ne lui fallut pas longtemps pour éjaculer dans la chatte de Camille, qui eût cette fois un orgasme beaucoup plus intense. Pierre qui enculait son amant senti son sexe bander dur de nouveau. Léjaculation dAlexandre lui déclencha des sensations qui entrainèrent la sienne, heureux dinonder le cul de son amant. Il se retira une fois son érection calmée. Alexandre fit de même. Pierre se coucha sur le lit fatigué par autant de baise dun coup. Camille vint sasseoir à côté de lui, Alexandre restant debout devant eux.
« Cest la première fois que je fait lamour avec deux mecs en même temps.
- Ca tas plût ?
- Faire lamour avec toi est toujours un plaisir Alex. Jai bien aimé aussi avec toi Pierre. Ca tas plût ?
- Cétait agréable, mais jai pas ressentit le même plaisir quavec Alexandre.
- Cest ce que je pensais. Cest pas grave. Est-ce que tu trouves ça toujours aussi mal ?
- Moins.
- Ya du progrès alors. Par contre je pense quon devrait aller en cours. Parce que sinon jose pas imaginer les histoires, dit Camille. »
Camille fût la première à se rhabiller et à sortir.
« Alors après avoir fait lamour une deuxième fois avec moi, même si cétait pas exactement pareil que la première tu as aimé ? Demanda Alexandre à Pierre.
- Jai honte de lavouer, mais oui jai aimé et je crois bien que je taime du plus profond de mon coeur, avoua Pierre en embrassant tendrement Alexandre. » Il se rhabilla lui aussi et sortit, suivit 5 minutes après par Alexandre.
Evidement labsence des trois élèves avait été remarquée. Convoqués chez le directeur de la division française ils risquaient de voir leurs parents avertis.
« Excusez nous M. le directeur, mais comme nous sommes à la moitié de lannée Alexandre et moi avons voulu organiser une petite soirée festive pour Pierre qui travaille beaucoup depuis la rentrée. Et je crois que nous avons sous estimés la force des alcools allemands.
- Est-ce vrai monsieur de Lanthenay ?
- Oui monsieur le directeur répondit Pierre.
- Compte tenu de vos notes et du travail que vous fournissez monsieur de Lanthenay et mademoiselle de Montlazac jaccepte doublier cet écart, mais croyez bien que ce sera le dernier. Quant à vous monsieur de Penmarch javais de lestime pour vos parents, dommage que je doive les avertir, mais votre comportement ne me permet pas dignorer cette nouvelle incartade.
- Monsieur le directeur si je puis me permettre, nous en avons parlés hier soir et jai proposé à Alexandre de laider à améliorer ses notes sil se tenait correctement maintenant.
- Jespère que vous avez acceptez monsieur de Penmarch ?
- Oui.
- Alors je vous accorde un sursis. Bien vous pouvez retournez à vos études. »
Comme il était lheure de manger les trois jeunes français allèrent à la cantine.
« Merci Pierre de mavoir sauvé la mise tout à lheure.
- Je nais pas fait que te sauver la mise pour cette fois mais pour le restant de lannée.
- Quoi ?
- Si tu ne veux pas être renvoyé ou que tes parents viennent te chercher tu as intérêt à ne plus faire de vagues et prouver que tu mérites ta place.
- Pierre à raison Alex ajouta Camille. Alexandre la bouche ouverte ne savait plus quoi dire.
- Alexandre si tu maimes, si tu veux me conquérir pleinement et si tu ne veux pas quon soit séparé tu dois le faire. Et parce que je sais que tu es rempli de qualités et que jai envi de les faire ressortir tu dois faire ce que je te demande. Alexandre réfléchit quelques secondes avant de répondre.
- Daccord, mais à une condition. Que tous les soirs tu sois dans mon lit.
- Daccord fit Pierre avec un très léger sourire en coin.
- Vous êtes mignons ajouta Camille.
- Il faut que nous remercions aussi ton amoureuse transie et ma dépuceleuse pour avoir menti devant le directeur. Fit Pierre.
- Sans toi je ne sais pas ce que jaurais dit. Merci Camille.
- De rien.
- Merci Camille fit Alexandre.
- Même si vous êtes homos, je vous aime quand même.
- Quoi fit Pierre ?
- Même si je sais que tu aimes Alexandre, que jaime déjà, je taime aussi Pierre. Pas de la même manière, mais je taime aussi.
-
.
- Ne cherche pas à comprendre Pierre, ya rien à comprendre cest le cur qui veut ça. Le cur à ses raisons que la raison ne connaît pas.
- Tu as sans doute raison Camille. »
Après le repas tous les trois allèrent réviser à la bibliothèque. Pendant plusieurs heures Pierre expliquait à Alexandre lHistoire de lAllemagne. Camille les quittait avant daller manger. Enfin vers 20h ils partirent lorsque la bibliothèque ferma. Après avoir mangé à la cantine ils partirent prendre une douche pour se détendre. Alexandre qui navait pût embrasser Pierre depuis ce matin, se jeta sur son lui dès quil eût fermé la porte. Pierre ne fût pas surpris et se laissait embrasser sans peine. Rapidement du torse les mains dAlexandre plongèrent plus bas et attrapèrent le sexe de Pierre. Doucement il commençait à glisser le long du torse de son amant pour prendre sa queue dans sa bouche. Lorsquil eût fini il se relevait se mit dos au mur et écartait les jambes. Pierre sapprochait la queue bandée, doucement il lapprochait de cul de son amant, la faisant rentrer en douceur. Une fois au fond il commençait à le limer tout le tenant par les hanches il embrassait son amant. Lents les mouvements de bassins de Pierre devinrent de plus en plus rapides. Leur plaisir était intense et pour éviter de crier leur plaisir ils continuèrent à sembrasser jusquà ce quils arrivent à lorgasme. Pierre se retira et commença à se laver, Alexandre se lava rapidement et sortit de la douche discrètement pour rejoindre sa chambre. 5 minutes après tout aussi discrètement Pierre vint le rejoindre. Dès quil fût dans la chambre Pierre senti Alexandre lattirer vers le lit. « Mets toi sur le dos ». Se mettant sur le dos il senti le gland dAlexandre sapprocher de son trou. Alexandre pénétra son amant un peu plus brutalement que celui-ci. Comme avec Camille ce matin il commença tout de suite par des mouvements rapides. Ayant déjà éjaculés il lui fallut plus de temps pour arriver à lorgasme. Maintenant tous les deux y prenaient vraiment du plaisir. Après quelques minutes defforts Alexandre éjacula. Lorsquil se retira Pierre commença à lui parler.
« Cest nouveau pour moi, mais maintenant je le sais jaime ça.
- Ca quoi ? Demanda Alexandre.
- Faire lamour avec toi.
- Moi aussi. Alors quil ya encore quelques semaines je pensais pas que cétait possible, je suis devenu homosexuel.
- Et moi jai pris conscience de
mon homosexualité. Ouf cest dur à dire.
- Oui mais tu las très bien dit. Nous sommes homosexuels et nous nous aimons.
- Maintenant je le sais et jen suis sûr, même si ce nest pas facile à reconnaître. Je suis homosexuel et je taime Henri-Alexandre de Penmarch. Et si le mariage nest pas possible pour nous je te jure de têtre à jamais fidèle.
- Je suis fier de ce que tu fais. Je sais que cest pas facile. Et ça me fait taimer encore plus. Il ne faut jamais dire jamais, mais moi aussi, Pierre-Emmanuel de Lanthenay je promets de te rester fidèle. »
Heureux dêtre ensembles et amoureux ils sendormirent. Les jours qui suivirent se firent studieux et discrets. Après les cours Pierre et Alexandre allaient réviser à la bibliothèque, avec ou sans Camille et le soir se retrouvaient dans la chambre dAlexandre. Pierre intégra le groupe de son amant. Celui-ci se composait de Camille de Montlazac, Louise de Loos et son amante Lavinia de Lavenio, de Elisabeth von Berg, Pedro de Alcanta et sa fiancée Maria de Andalus.
François de Loos qui avait vu son seul et unique ami séloigner pour se rapprocher du groupe vint en parler à Pierre.
« Comment se faitil que tu ais rejoint leur groupe, tu ne les as jamais aimés.
- Oui, mais jai appris à les connaître et je les trouve finalement sympathiques.
- Ce sont des dépravés.
- Non. Ce sont juste des jeunes intelligents et sérieux qui aiment samuser. Tu devrais faire comme moi et rejoindre leur groupe.
- Très peu pour moi.
- Cest à cause de ta sur ?
- En partie.
- Jai fait sa connaissance et celle de sa petite amie. Elles sont très gentilles. Elles sont intelligentes et travailleuses.
- Je croyais que tu partageais mes opinions à propos leurs amours détestables.
- Jai partagé ton point de vue, mais les choses ont fait que je ne pense plus de la même manière.
- Cest ce que je vois. En tout cas il est hors de question que je me joigne à eux.
- François tu es mon ami et ça me fait mal que lun de mes amis se soit éloigné pour ça de sa sur. Je comprends que tu restes sur tes positions, mais accorde moi au moins une faveur au nom de notre amitié.
- Laquelle ?
- Parle avec Louise.
- Pourquoi faire.
- Elle texpliquera ce quelle ma expliqué et fait que jai changé davis sur leur couple.
- Daccord. Mais dans un endroit où nous serons seuls.
- Daccord. Vous pourrez aller dans ma chambre pendant que je travaille à la bibliothèque. »
François et Louise de Loos se retrouvèrent dans la chambre de Pierre et discutèrent pendant deux bonnes heures. Louise expliqua à son frère quelle navait pas choisie dêtre lesbienne et quen dehors de son homosexualité elle navait pas changée. Elle était toujours la même. Et comme avant quelle ne découvre lamour avec Lavinia elle souhaitait toujours se marier, être fidèle et avoir des s. La seule différence cest que cétait une femme et non pas un homme. Il ne lui manquait quune chose en ce moment lamour de sa famille et en particulier de son petit frère quelle aimait toujours autant. François en fût touché et promis à sa sur quil ne la jugerait plus désormais. Néanmoins il demanda du temps à sa sur avant de faire la connaissance de Lavinia. Quelques jours plus tard elle lui présenta Lavinia et même si ce fût un peu dur François accepta Lavinia comme un membre de la famille de Loos. Ce fût aussi loccasion pour notre jeune belge de faire la connaissance de Elisabethvon Berg.
Elisabeth von Berg était une jeune autrichienne aux cheveux blonds et aux yeux bleus comme François. Timide elle était devenue amie avec Louise et Lavinia quand aux premiers mois de la rentrée son amoureux allemand lavait jeté après lavoir violé. Louise et Lavinia choquées avaient pris Elisabeth sous leurs ailes. Si elle condamnait lhomosexualité elle se gardait bien de juger les deux jeunes filles qui se comportaient en véritables amies avec elle, ce quelle navait guère connu jusquà présent. Dès quelle vit François ce fût le coup de foudre entre eux. Louise et Lavinia qui se doutaient bien que ces deux là étaient faits lun pour lautre les aidèrent à aller lun vers lautre. Et si leur relation resta tout ce quil ya de plus chaste cela ne les empêcha pas de tomber amoureux lun de lautre et de former un couple tout ce quil ya de plus respectable, nallant pas plus loin que le bisou tendre sur la joue.
Sans comprendre comment, ni pourquoi un amour fusionnel unissait désormais Pierre et Alexandre. Eux qui étaient si différents saimaient dun amour que rien naurait pût briser. Camille le savait mieux que personne. Son amour pour Alexandre était un amour impossible. Elle aimait aussi Pierre, mais de manière différente. Pierre était pour elle, un frère et un amant à la fois. Une autre sorte damour impossible. Grâce à Pierre, Alexandre réussit à obtenir son année et à être conservé pour lannée suivante. Jamais il ne sétait montré aussi travailleur et aussi sérieux dans son comportement en cours ce qui nétait pas sans mal. Pierre décrochait son année, tout comme Camille, François et les autres. La rentrée en 2e année fût loccasion daccueillir pour eux un nouveau venu Thomas de Chamberneix, un savoyard. Très vite Camille qui sautait tout ce qui bougeait fût séduite pour la douceur et la bonté de Thomas. Et lui séduit par le feu qui irradiait la jeune fille. Ils se mirent ensembles et les années passèrent. Pierre et Alexandre se lancèrent dans le droit, tout comme Camille et Louise. François sétait orienté vers lagronomie. Thomas avait choisi la comptabilité. Lavinia avait opté pour lhistoire de lart. Dès que le mariage fût ouvert aux homosexuels bi nationaux Louise et Lavinia coururent se marier en Belgique et rentrèrent à lécole après que Louise ait été défendre leurs droits auprès du directeur et lavoir menacé de porter laffaire devant la Cour Européenne des Droits de lHomme, faisant fulminer le teuton.
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