Orgie À Domicile.
Suzon ma allumé les sens. Un instant jai cru voir tomber la dentelle et retrouver la belle nue, toute nue, mais pour moi seul cette fois. Soutien-gorge et string enlevés, enfin elle mappartiendrait. Enfin ! La première fois elle sétait présentée à Lili et à Jules dans le plus simple appareil et je lavais trouvée si désirable. Son entrée inattendue dans la chambre les avait effrayés puis rassurés, trop rassurés à mon goût puisque, après un épisode lesbien avec Lili des plus surprenants, elle avait été prise en levrette, sous mes yeux, par son mari. Cest dire comme son apparition et son attitude bienveillante pendant ladultère commis par nos conjoints avait fini par les convaincre quils navaient rien à redouter delle et quils pouvaient user delle à volonté.
Depuis elle ma expliqué quà ce moment précis, elle attendait mon entrée pour confondre les deux coupables. Mais au lieu dintervenir, javais fui, dégoûté de son comportement ambigu, laissant le champ libre aux amants. Et depuis, chaque vendredi, dans mon lit, Lili et Jules se livrent à leurs exercices de rentre-moi dedans et fais-moi du bien, étonnés à peine de ne plus recevoir la visite de Suzon et persuadés et de son silence et de mon aveuglement de mari cocu. Pour eux Suzon nirait pas se vanter auprès de moi de sa complicité. Par ailleurs notre recherche du partenaire idéal pour la réalisation du sandwich sexuel se révèle trop longue, nous paralyse et permet aux infidèles de connaître le bonheur de nous tromper sans être dérangés. Suzon en a marre et la exprimé.
Dans ce contexte Suzon vient de me montrer, en sa lingerie fine, dans cette chambre dauberge, ce que je perds delle en plus de notre temps. Vêtue de sa lingerie rouge détournée, elle ma rappelé sa beauté naturelle et son amour et a obtenu, sans rien maccorder dautre quune promesse, que je me décide à tirer la situation au clair, à montrer aux coupables que les événements sont connus de moi aussi et me forcent à tirer les conclusions qui simposent : la séparation et le divorce
Ça va chauffer, Suzon maime, ma conduit à avouer que je laime, mais elle ne souffrira pas une nouvelle reculade de ma part.
Dans ma voiture nous passons sous mes fenêtres. La voiture bleue stationne devant mon garage. Jules baise Lili ! Par excès de confiance, les amoureux ne prennent pas de précautions, ne se cachent pas. Je marrête un peu plus loin pour ne pas les alerter, afin de garantir une arrivée surprise, sans leur laisser le temps de shabiller. Nous voulons des preuves irréfutables de ladultère. Mon smart phone enregistrera les images des corps emmêlés.
Quelques pas devant nous marche un grand gaillard, rouleur de mécanique, une sorte dAldo Maccione. Mais
- Quest-ce que ce bonhomme va faire chez moi ? Il entre dans la cour, se dirige vers la porte dentrée sur le flanc droit de la maison. Nous nous sommes arrêtés derrière la haie. Il sonne, attend une minute. La porte souvre et nous reconnaissons la voix de Jules :
- Enfin ! Tu as vu lheure, où as-tu traîné ? Entre vite, monte, nous commencions à désespérer.
Suzon et moi empruntons le passage pour homme de la porte du garage, entendons les pas en haut de lescalier, pénétrons dans le vestibule au pied des marches, dans langle fermé où on ne peut pas nous apercevoir et nous tendons loreille. Arrêté sur le palier Jules, en maître de maison demande à son hôte de pendre ses vêtements au porte manteau :
- Tu nas pas lintention de tirer un coup en restant habillé. Fais vite, mets toi à poil, elle bout dimpatience. Tu sais te faire désirer. Jai été obligé de lamuser, elle mouille.
Le gaillard pose veste, chemise, pantalon, caleçon, défait chaussures et chaussettes et se dresse nu face à Jules également nu. Ils se regardent; létranger interroge :
- Où est ta femme ?
- Derrière cette porte dans notre lit. Tu constateras que je ne tai pas raconté de salades, cest une merveille.
Voilà Jules qui laisse croire que Lili est son épouse.
- Elle est daccord pour la double pénétration, sûr ?
- Elle est demandeuse. Cest son fantasme. Bon, tu es un peu épais pour la sodomie, pour aujourdhui tu attaqueras le sexe. Il faudra un temps dadaptation pour passer à la sodomie.
Jules a bâti un plan, appelé un autre homme en renfort pour exécuter le fantasme de Lili. Ils vont la prendre en sandwich. Lanimal a été plus rapide que moi pour organiser la séance à trois. Il répartit les rôles, se conserve sa tâche préférée : enculer.
- Bien, pour aujourdhui je me contenterai du sexe. Toutefois si vous souhaitez recommencer, je passerai par la porte arrière. Est-elle prête ?
- Je lai bien chauffée en tattendant. Pour ne pas lui faire peur, jentre avec toi, je me couche contre elle, toi tu fais connaissance.
- Jaimerais commencer seul, tirer un coup et évaluer son ardeur. Après nous la pénétrerons à deux par tous les trous. Ça te va ?
- Cest parfait. Mets-la en confiance, éblouis-la et ensuite elle se livrera à fond.
- Et ça ne te fait rien de moffrir ta femme et de nous regarder jouir?
- Je ferais nimporte quoi pour lui plaire. Elle le veut, elle doit réaliser son fantasme. Entrons.
Jules passe devant son complice et annonce :
- Ma chérie, chose promise, chose due. Ma surprise est arrivée en retard, mais voici Didier.
- Didier ? Oh, bonjour Didier. Merci dêtre venu. Je vois que vous êtes en tenue. Jules vous a indiqué la raison de la convocation ? Oui et vous êtes daccord ?
Eh! Bien, approchez, venez là que je vous voie de près, là près de la fenêtre. Oh; il faut que je me lève pour taccueillir Didier. Jules, je te félicite, ce garçon est superbe, musclé et doté du plus bel outillage. Puis-je toucher ? Oh !
- Touche, ma chérie, il est à toi. Sois gentille avec ce bénévole et tes vux seront exaucés.
Pendant que Lili sextasie sur les qualités apparentes de Didier, Suzon et moi atteignons le palier et lentrée de ma chambre. En face, de lautre côté du lit, ma femme tend ses lèvres au nouvel arrivant. Tout près Jules vu de dos reste immobile, hausse les épaules. Ce baiser de Lili et de Didier dépasse ses prévisions. Lili se détache et glisse, en frottant du ventre et des seins, le long de son héros, sagenouille devant son sexe, soupèse les testicules, saisit la verge en érection et sexclame:
- Jules, tu as trouvé un spécimen rare. Merci mon chéri. Ses couilles sont gonflées, lourdes à souhait et son sexe est absolument exceptionnel, en longueur et en diamètre. Quelle queue, quel gland impressionnant. Mes sincères félicitations lami, merci encore dêtre aussi généreux
Jules ne doit pas apprécier beaucoup les soupirs dadmiration et les compliments de Lili. Il subit lenthousiasme de ma femme et se penche vers ses propres attributs pour comparer sa verge avec celle du partenaire quil a déniché. La comparaison nest pas à son avantage. Lili perd ses mots mais passe à lacte. Ses deux mains englobent la tige épaisse tendue vers son visage, caressent le bel engin, entament une masturbation instantanée. Jules tente une diversion :
- Attention, ne traînons pas, nous avons du retard.
- Oui, mais jai tellement hâte de prendre cette bite en bouche. Didier, permets-tu ?
- Je ten prie Lili, mes bijoux de famille sont à ton entière disposition. Sers-toi, rien ne saurait me combler davantage. Ah! Gourmande, il faut bien ouvrir les mâchoires. Que tu es douée ma belle. Et si on se couchait ?
Lili est daccord évidemment. Elle prend les commandes:
- Toi, mon Jules chéri, allonge-toi de ce côté. Que je suis heureuse de coucher entre deux hommes aussi bien disposés. Jules entretiens-toi, je veux mieux connaître ton ami. Mamour, tu ne seras pas jaloux ? Comme je taime. ..
- Et là ?
Lili roucoule de bonheur quand laudacieux effleure de ses mains épaisses les chairs de sa vulve.
- Mon sexe ? Bien sûr et cest surtout « là » quest mon attente. Oh ! Merci.
Jules, vois comme il sy prend habilement. Cest un bonheur. Ses doigts mouvrent, son souffle menflamme.
- Jen suis ravi. Noublie pas que le temps presse.
Didier tilte :
- Pourquoi cette h^te, Jules?
- Cest que je suis lamant et non le mari de Lili. Le mari quitte le travail à 17 heures trente. Cest un cocu heureux par ignorance.
- La situation se complique. Le bienheureux ne sait pas quoi ?
- Que sa femme est une chaude qui a pris un amant et qui veut explorer toutes les possibilités de se donner du plaisir.
- Est-ce vrai Lili ?
- Oui et je te prie de donner tout ce que tu es capable de fournir. Une autre femme profite-t-elle de ta nature généreuse?
- Peux-tu imaginer que tout ça ne serve pas? Je suis marié .
- Oh ! La veinarde ! Ah! Que cest dommage. Toi, tu me plais tellement. Aimes-tu ma bouche ?
Nous napercevons que le dos de Jules. Si quelque un découvre la jalousie, ce doit être Jules, cet amant surclassé par Didier qui enchante Lili. Elle cesse la fellation pour une autre question:
- Ta femme aussi est cocue. Tu ne laimes plus puisque tu la trompes?
- Hé, non ! Nous avons cinq s. Margaux estime que cest assez. Alors nous avons un accord : elle mautorise à rendre service à des malheureuses sexuellement insatisfaites. Je lui raconte mes aventures, elle mécoute avec passion et mencourage dans mon uvre humanitaire.
- Je ne suis donc pas seule à
- Chaque semaine jensemence une ou deux mal baisées. Aujourdhui, grâce à Jules et à toi, cest une première à trois participants. Veux-tu te coucher sur le dos et ouvrir tes brancards. Oui, comme ça. Tu as un beau sexe, bien dégagé. Qui toblige à raser ta motte, ton mari?
- Ben non : Jules me la demandé. Ça na pas plu à mon homme. Que préfères-tu?
- Je baise tout ce qui vient. Jai une préférence pour les chattes poilues, en broussailles.
- A partir daujourdhui, je ne me raserai plus les poils pour te faire plaisir et un peu pour calmer mon mari.
- Cest comme tu voudras. Je nexige rien. Sens-tu mon gland contre tes lèvres?
- Oh! Oui, viens, prends-moi
Que tu es gros, aïe. Mais pousse, ça va passer, je le veux, ha!
- « A cette allure, Didier va prendre la place de Jules » se réjouit Suzon.
On ne peut pas lentendre dans la chambre car ma femme entame une longue suite donomatopées tant la charge de Didier la comble. Elle rit, elle geint, elle expire puis invite lhomme à plus dentrain. Pourquoi Suzon se réjouit-elle du recul de Jules réduit à jouer les utilités en guidant la verge de Didier ou en caressant un sein de sa maîtresse en transpiration ou en extase.
- Oh! Que cest gros
que cest long
que cest bon
olalalala. Encore
plus vite
ouiiiii, ha,ha
À suivre
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