La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°800)

Une venue tardive au Château - (suite de l'épisode précédent N°799) -

Le Marquis d’Evans profita du dos que lui offrait Sa soumise pour lui planter la pulpe de Ses doigts de Sa main gauche dans ses chairs à l’endroit de la marque qu’Il lui avait faite il y a peu. Sous la douleur, Chris émit un cri semblable à un couinement de petite chienne et son corps se tendit. De là, le Noble entreprit de déplacer Sa main vers le bas du dos de Sa belle avec la même pression pour s’arrêter sur un point sacré bien connu des indous. Il était à l’écoute attentive et régnait en Maître absolu sur le corps de Sa soumise. Chris sentit la fulgurante énergie encore se développer en elle. Elle cria maintenant très fort par la boule de feu qui lui brûlait les entrailles.

-Tu es brûlante de l’intérieur, Ma belle soumise… dit le Maître avec tendresse.

Chris ne pouvait plus parler, elle était submergée par la perversité des attouchements de son Maître qui se servait de son corps comme s’Il parcourait le clavier d’un piano. C’est à ce moment qu’Il entreprit de reprendre son œuvre. Il bandait comme un fou, l’énergie qu’ils échangeaient lui donnait envie de la défoncer comme rarement Il avait défoncé une soumise. D’un coup, Il tendit son Vit comme s’Il voulait le remonter à lui dans la chatte détrempée de Sa chienne.

Le Marquis d’Evans la sentait s’enflammer. Elle fermait les yeux. Il la limait langoureusement de son pieu. Chris se sentait lui abandonner toujours plus sa volonté tout autant que sa chatte. Plus rien n’existait en dehors d’eux. Ils étaient enfermés dans leur union. La lueur des flammes ondulait sur l’ondulation de leurs corps. Ils n’entendirent pas l’énorme bûche éclater dans l’âtre et projeter mille étincelles, semblables aux étincelles de vie qui les animaient. Le Maître plongea deux doigts dans l’anus de Sa soumise pour la tourmenter encore plus et jouer à glisser et sentir Son sexe à travers la fine et sensible paroi recto-vaginale.

Chris se sentit commencer à partir lorsqu’elle reçu une fessée bien appliquée; un choc dont l’onde lui secoua le corps intégralement. Le Marquis d’Evans tenait maintenant la jouissance de Sa soumise bien en main. Il l’avait exploré millimètre-carré par millimètre-carré. Il pouvait sentir chaque vibration de leurs corps respectifs. Le châtelain ralentit Son rythme une fois encore ralentissant ainsi leur accès à l’extase mutuelle. Ce refus de jouissance qui lui demandait, Il l’appliquait à lui également. Leurs désirs les rendaient fous. Le Noble et Sa soumise étaient en transe et tout en sueur. Le Marquis se pencha sur Sa belle pour soulager Ses bras et être plus près d’elle en la ceinturant tendrement pour lentement la retourner et se retrouver en face à face. Il fit en sorte de se déplacer sur le canapé moelleux juste à coté de la table. Le Maître avait ralenti Ses pénétrations. Chris essaya de mettre ses jambes autour des hanches de son Maître mais celui-ci intervient :

- Chut, non, laisse-moi faire… Murmura-t-il en plongeant dans le regard de Sa soumise.

L’attention de Sa soumise à nouveau captée. Il reprit son œuvre avec une lenteur et une tendresse qui finit de désarmer Sa soumise. C’est alors qu’Il commença à accélérer ses vas-et-viens. Le Marquis d’Evans la pénétrait comme si Son sexe était un temple sacré, avec respect mais force. Il sentait leurs âmes prendre le chemin de l’envol. Il sourit. Enfin, ils étaient en harmonie.

- M…Maître, j…je…

La soumise se cambra et s’abandonna totalement dans les bras de son Maître.

- Oui, Ma belle, nous y allons, ensemble, tu es maintenant prête, lui répondit le Marquis en baisant à pleine bouche la bouche de Sa soumise.

En même temps, il se retira et la pénétra à fond en aspirant la peau fine du cou de Sa soumise en lui faisant un énorme suçon. Chris sentit son cœur se soulever encore un peu plus. Elle suffoquait dans cet océan de plaisirs dans lequel la projetait toujours plus son Maître. Lui qui maintenant accélérait Ses mouvements. Il sentait Sa soumise monter en même temps que Lui. Le Noble la pénétrait comme un fou. De plus en plus virils, Ses coups de reins le faisait buter au font du gouffre de Sa chienne qui avait recommencé à donner de la voix dans des râles rauques. Des râles qui le chamboulaient. Les cris de Chris avaient pris un tout autre son. Sorte de râles fauves. Il pouvait voir les veines de la belle gonflées sous sa peau blanche et le cœur battre dans les carotides. Plus Il la respirait, plus l’odeur dégagée par la peau de sa soumise l’enivrait et lui donnait de l’ardeur à la fourrer. Il s’employa vicieusement à lui faire un second suçon de l’autre côté tout en lui pinçant un sein cette fois.

Chris hurla. Elle décollait à chaque fois un peu plus. Elle sentait sa ligne de chakras être tendue et vibrer comme la corde d’une trompette marine. Tout son corps était pris d’une euphorie blanche qui la rendait ivre de Lui. Elle sentit son corps se tendre encore plus. Se cambra un à nouveau en arrière. Son corps, ce corps qu’elle ne maîtrisait plus s’enflammait vers La Jouissance en majuscule.

- Oui, maintenant, jouit Ma belle chienne, je te l’ordonne, femelle Chris ! Dit-il sur un ton d’exhortation et d’encouragement.

Au même moment, le Marquis pris Sa soumise dans Ses bras et la serra très fort pour l’accompagner dans l’extase et jouir à Son tour dans sa chatte à grands jets de sperme. Chris lâcha un cri indescriptible et son corps se figea. Le Marquis d’Evans qui avait éjaculé dans la chatte sentait le vagin de Chris parcouru de grands spasmes rapides très toniques. Il sentait Son Vit serré à chaque mouvement de l’organe femelle interne. Ces caresses l’amenèrent rapidement à nouveau à bander. Il laissait passer un peu de temps suçant et mordillant les tétons de Sa chienne, jaugeant ainsi la hauteur de la vague de sa jouissance par les gémissements qu'elle émettait.

(A suivre …)