Un Petit Coup Rapide (Vécu)

Je m’appelle Alain J’ai 55 ans, je suis marié avec Catherine, 50 ans, châtain aux yeux bleue verts, ‘à faire sauter les boutons de braguette), 160 cm, 95 B, un cul un peu rebondi et de jolie jambes galbées. Elle s’habille sexy mais pas trop, sous vêtement, en dentelle, chemisier légèrement transparent, jupe courte mais pas trop, et talon. Elle attire le regard des hommes, qui ne demandent qu’une chose, la voire nue et la baiser.
Cette histoire c’est passée (et recommencera certainement) un matin la semaine dernière.
7h15, je me lève, je sors de la chambre, nu sous mon peignoir, j’ouvre la porte donnant sur le couloir, et je trouve devant moi, ma femme Cathy, penchée en avant en train de mettre ses chaussures.
Le spectacle est fantastique, sa jupe courte plissée, remontant légèrement, j’aperçois le dessus de se bas DIM UP, et en me baissant un peu sa culotte noire, si je regarde par-dessus son dos, les glaces des portes du placard me renvoient son décolleté.
Je m’approche, lui prend la taille et me colle à son corps, en bandant très fort.
Elle se redresse, tourne la tête pour me faire un bisou. Nos lèvres se frôlent, je plaque mes mains sur ses seins, et je cherche à faire durer le baiser en sortant ma langue.
Elle se débat un peu, en cherchant à échapper à mon étreinte, mais mes mains malaxent ses seins et ne lâchent rien.
Cathy (en passant la main sous mon peignoir) : je sens que tu es bien réveillé, mais je dois partir au boulot.
Moi : très bien réveillé, et avec ce que je viens de voir, je n’ai plus sommeil du tout.
Je la serre contre moi, je commence à déboutonner son chemisier, elle se débat. Elle essaie de repousser mes bras. Je la tiens fermement du bras gauche ma main posée sur sa poitrine. Ma main droite passe sous la jupe, effleure le haut des cuisses et vient se poser sur son sexe, que je caresse délicatement, à travers sa culotte en dentelle.
Cathy (ne bougeant plus) : aller laisses moi partir je vais être en retard
Je l’embrasse dans le cou, ma main gauche soulève le soutient gorge, et titille ses tétons.

L’autre main écarte l’élastique du shorti , et avec mon pouce je lui caresse doucement les grandes lèvres, m’attardant à chaque passage sur son clitoris.
Je sens ses défenses faiblir, elle appuie son corps contre le mien, sa respiration est plus forte, en tournant la tête elle cherche mes lèvres, je lui offre les miennes, nos langues se touchent. Elle veut se retourner, pour me faire face, mais je refuse.
Je la pousse vers l’avant brusquement, elle perd légèrement l’équilibre, surprise, pour ne pas tomber, elle pose ses mains sur un petit fauteuil.
Je me recule un peu pour admirer la vue. Ses jambes galbées, par ses chaussures à talon, les dim up, le haut de ses cuisses, et son cul.
Cathy (toujours les fesses offertes) : qu’est-ce que tu fais tu me baises ou pas.
Sans rien dire, je remonte la jupe sur ses reins, je tire le fin tissu noir sur le milieu de ses cuisses, je fais glisser mon peignoir, prends mon sexe tendu dans la main droite, l’approche de son minou.
Avant de la pénétrer, je fais glisser mon gland à l’entrée. Je vois ses lèvres s’écartées et se refermées. Je sens aussi l’humidité du vagin.
D’un grand coup de rein je la pénètre. Elle soupir d’aise, je sens bassin venir à ma rencontre. Je la tiens par les reins. Nos regards se croisent dans les miroirs des portes de placard.
Je la vois passer sa main droite sous sa jupe, et commencée à se masturber. Je vais de plus en plus vite de plus en plus fort ;
Moi : oui ma chérie, caresses toi la chate, fais toi du bien.
Cathy : vas y défonces moi, limes moi fooooooooooooooooort , foooort
Moi (en jouissant) : ouiiiiiiiiiii, je jouis tu es trop boooooooooooooooooooooooooonnnne
Cathy (sentant ma semence se rependre en elle) oui je jouis, je jouis, je jouiiiiiiiiiiiiiiis, j’adore quand tu me remplis comme ça.

Nous reprenons notre souffle, nous ne bougeons plus. Après une bonne minute, je me retire, son sexe coule, elle me demande un kleenex, essuie sa mouille et mon sperme qui se coulent sur ses cuisses.
Elle reprend un mouchoir en papier, le met au fond de sa culotte qu’elle remonte.
Je la regarde remettre de l’ordre dans ses vêtements. Prendre sa veste et ses clefs. Et partir sans un mot ni même un regard pour moi.
Dix minutes plus tard je reçois un sms : merci c’était très agréable, mais tu es chiant, je suis dans le bus et le kleenex est tout imbibé et je sens que ça coule le long de mes cuisses bises

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