Il Ne Faut Jamais Dire Jamais !

Dimanche soir… Le fameux blues du dimanche soir après un week-end bien chargé, de savoir qu’une nouvelle semaine de taff nous attend. Ce soir là donc je me regarde un film (The big Lebowski pour les plus curieux) tout en me baladant un peu au hasard sur un site de tchat. Un site où je vais régulièrement. J’y ai déjà fait quelques rencontres sympas, c’est ce qui m’aide à y retourner car pour être honnête, il n’y a pas grand monde dessus.

Ce soir là donc d’un œil distrait, je fini par tomber sur une fille (enfin j’espère) avec qui je commence à pas mal discuter. Elle s’appelle Marion et on commence à parler de tout et de rien (boulot, ciné, musique,…). Mais rapidement, le sujet dérive sur le sexe. On commence à échanger nos expériences nos gouts, nos fantasmes. J’avoue avoir du mal à regarder le film. J’apprends au passage qu’elle est en couple (mais que son copain vis encore chez ses parents), et que du coup elle ne cherche que du virtuel pour passer le temps et s’amuser un peu. Pourquoi pas, ca changera…
Ca fait maintenant deux bonnes heures que l’on discute et j’ai de plus en plus chaud. Et visiblement elle aussi. Elle accepte ensuite de m’envoyer quelques photos d’elle. Et quelles photos… On ne voit pas son visage mais elle est dans un ensemble de sous vêtements a dentelle noir Shorty et soutif, un bon 90C, des fesses rebondies, un ventre plate et une main négligemment posée sur une hanche qui donne a la photo un je ne sais quoi d’envoutant. Je lui ai bien sur rendu la pareille et là, la situation à dérapé.
On s’est mis à se chauffer a blanc par message, ponctuant de photos de plus en plus coquines, on inventait des scénarios, mettant en scène nos fantasmes. J’étais bouillant et elle aussi. D’abord timide, elle commençait a vraiment se lâcher. J’ai ensuite tenté le tout pour le tout et lui ai donné mon numéro de téléphone, et ce malgré son désir de garder une distance, de garder le coté virtuel. Et j’ai eu raison car quelques minutes ensuite, j’ai reçu un appel en masqué.

Je décroche, c’était bien elle, une petite voix assez douce, qui trahit son coté timide. Elle n’était pas très à l’aise, mais visiblement très excitée quand.
On a commencé à discuter, d’abord de la situation histoire de dissiper sa timidité et nous avons rapidement attaqué le vif du sujet, celle qu’elle aimerait que je lui fasse et vice-versa. Nous nous caressions chacun de notre coté, au téléphone. J’ai ainsi pu découvrir qu’elle est du genre bruyante, elle gémissait très vite, et aussi un peu soumise, car elle commençais a se lâcher, a dire oui a toute mes demandes. J’ai eu droit a une description très imagée de se que ca bouche pourrais me faire, je l’ai fait mettre dans toute sorte de position pour se caresser, elle s’est mise quelques fessée dont j’ai pu entendre le claquement, c’était particulièrement excitant. Nous avons joui tout deux, avant de remarquer l’heure, 4h du matin…. Nous avons rigolé, un peu gênée encore puis avons échangé nous adresse e-mails. Nous avions tout deux bien envie de renouveler l’expérience.
Autant vous dire que le réveil a été rude, mais que de bon souvenir, je suis presque allé au taff avec plaisir. D’autant plus de plaisir que sur les coups de 17h, un mail m’attendais, pour me proposer de discuter ce soir encore… Notre petit manège duré toute la semaine, a grand renfort d’emails, de photos et de coup de téléphone torride. J’ai pu découvrir son corps magnifique sous tous les angles pour mon plus grand plaisir. Son coté timide, effarouché cache en fait une femme sensuelle, gourmande à souhait et qui éprouve un vrai besoin de se lâcher (ce qui m’a étonné vu qu’elle est en couple). Ce fut une semaine très éprouvante pour nous deux, mais absolument torride une expérience unique et géniale. Mais maintenant, j’en voulais plus….


Malgré une attraction évidente, elle ne cédait pas un pouce de terrain sur un sujet. Ce que nous faisions devait rester virtuel, comme figé dans l’espace, et finalement de ne pas exister dans le monde réel comme si c’était un rêve.
Je multipliait les allusions à peine voilé, elle s’en offusquait pas mais me rejetait à chaque fois. Puis j’ai eu une idée.
Un soir où elle était de sortie, je lui ai écrit une histoire, longue, détaillé, le fantasme de notre rencontre. A grand renfort de photo, je lui ai raconté tout ce que je voudrais lui faire, toutes mes envies dans un langage assez cru et direct. Puis je lui ai envoyé par mail, avec un titre évocateur : « Il ne faut jamais dire Jamais »

Puis j’ai attendus jusqu’au lendemain. Toujours pas de réponse, je m’inquiète un peu, suis-je allé trop loin. Finalement, vers 18H je reçois un simple mail : Il contenant une adresse et une heure, vers 21h.
Mon sang n’a fait qu’un tour. Je me suis préparé avec soin avant de me rendre au rendez vous. J’arrive devant une entrée d’immeuble, mais évidement, je n’ai pas le code. Comme par magie, je reçois un mail sur mon téléphone avec le code et la mention : 3 ième étage. Je me précipite dans l’ascenseur, fébrile.

La porte s’ouvre sur le 3ieme étage et me dévoile une jolie jeune fille, portant une jupe simple ainsi qu’un petit haut moulant sa généreuse poitrine. Je l’ai reconnue tout de suite et je n’ai pu réprimer un sourire. Elle me souriait timidement elle aussi, visiblement terrifier de me rencontrer. Elle ne savais pas quoi dire donc j’ai pris les devant, et lui ai d(abord fait une bise timide.

Elle m’a mené chez elle et m’a servit un verre, nous avons commencé à discuter. On sentait bien la gêne omniprésente, je voulais tenter de la rassurer mais sans la brusquer, si bien que j’étais timide moi aussi. Finalement une occasion se présenta, je la voyais régulièrement se masser la nuque, tant et si bien que je lui ai souris avant de me lever, me placer derrière elle et de lui masser la nuque a mon tour.

Elle s’est assise devant moi et à fermé les yeux tandis que mes mains parcourait sa nuque et ses épaules. Le contact de sa peau est si doux et chaud, je commençais à l’émoustiller, je le sentais.
Sa respiration se faisait plus saccadée, sa résistance tombais au fur et a mesure du passage de mes doigts sur sa nuque. Puis je me fis plus aventurier et commença a caresser le long de ses bras et de son dos. Elle se laissait faire. Elle se laissait également faire quand j’ai commencé a m’approcher de ses seins. Je l’ai même entendu pousser un soupir. Puis les choses se sont accélérées dramatiquement. Elle s’est levée sans un mot et à enlevé sa jupe et son haut.
La voici devant moi, en sous vêtement. Un ensemble string et soutient gorge noir et rouge, semi transparent, avec des petits rebords en dentelle. Mon sang n’a fait qu’un tour et me voilà en feu. Nous allons dans la chambre où je poursuis mon massage, qui se fait de plus en plus torride. Mes mains passent sur son dos, je suis assez sur ses fesses et leur seul contact m’électrise. Je retire ma chemise et mon pantalon et repart pour le massage mais elle se retourne pour me prendre dans ses bras et m’embrasser. Le contact de ses lèvres déclenche une vague de chaleur en moi, je deviens animal. Rapidement ma bouche se perd sur son corps.
Je lui retire le soutient gorge, dévoilant ses seins. Pardon, ses merveilles…. Parfaitement galbé, des tétons dur et provocateur, ils me regardent en me suppliant de les dévorer. Ce que je fais… Ma langue par à l’assaut de ses tétons tandis que de mes mains je les caresses, les malaxes. Je la sens trembler et soupirer, mais sans toutefois élever la voix. Puis je passe à la vitesse supérieure, et descend jusqu'à son nombril. Je la vois sourire, elle sait bien où je vais, car elle m’avait avoué n’avoir jamais jouie grâce à une langue. Et j’aime les challenges….


Je lui écarte le string pour plonger ma langue directement sur son clitoris. Elle pousse un couinement de surprise avant de se reprendre, tandis que j’ajoute un doigt baladeur à ma caresse. Elle est assaillie de tout les coté, entre ma langue qui s’agite a toute allure sur son clito, de haut en bas, de droite à gauche, je le fait rouler sous ma langue, et un doigt qui fait des va et viens en elle.
Elle commence à gémir, assez fort même et son sexe est déjà trempé alors que j’ajoute un deuxième doigt. Elle gémit comme une folle, elle se cambre. Puis dans un cri, ses yeux s’écarquillent de surprise alors que l’orgasme la terrasse. Je me relève, triomphant.
On se blotti sous la couette en s’embrassant, se caressant doucement. Puis je la vois disparaitre sous la couette partie à l’assaut de mon boxer qu’elle retire avant de me caresse doucement la bite. Sa bouche se perd rapidement dans une fellation magistrale, le plaisir monte rapidement en moi. Elle est doué, je sens à la fois ses lèvres et sa langue tandis que j’ai de plus en plus chaud. Je me perds de plaisir entre ses lèvres.
Elle remonte triomphant. Je décide de retirer le sourire de ses lèvres et de l’allonger pour la prendre d’un coup sec. Elle est trempée, ça rentre tout seul. Je la prends sauvagement en missionnaire d’emblée, elle gémis, couine. La température est intenable sous la couette, je lui donne des coups de rein puissant, je la cloue au matelas. Puis je sens ses jambes qui enserrent mes hanches, elle se crispe. Elle vient de jouir dans un cri.


Elle se met à quatre pates et me lance un regard gourmand :
- Prends moi, je suis ta salope ce soir…
Je ne me suis pas fait prier et je l’ai prise d’abord doucement puis j’ai accéléré. Elle gémit et me murmure de continuer, qu’elle aime ça. Elle se lâche complètement, exit la petit timide, la voilà transformée en furie, une vrai bête, avide de sexe, insatiable. Je la prends aussi fort que je peux et je sens qu’elle en redemande encore plus, toujours plus…

Elle donne elle-même les coups de rein, je lui mets sur sa demande des fessées qui la font crier.

Elle roule ensuite sur moi et me chevauche. Elle me prend, là je la sens qui part, son esprit s’égare et son corps se libère. Elle donne de puissants coups de rein qui me font gémir, même si ce sont ses cris qui emplissent la pièce de désir. Elle se cabre en arrière, donne un assaut final dévastateur et fini par jouir dans un soubresaut, ce qui me fait jouir à mon tour dans un gémissement de plaisir intense.

On s’écroule sur le lit, épuisé mais souriant. On va ensuite prendre une rapide douche pour se délasser, puis après un dernier baiser lourd en électricité et une tape sur ses fesses, je me sauve pour attr mon bus. Ca vaut le coup d’insister un peu….

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