L'Hôtesse

RECIT POUR LECTEURS AVERTIS

En bonne pute que je suis je recherche toujours les petites annonces qui sortent de l'ordinaire dans les journaux gratuits distribués dans les boîtes à lettres chaque semaine.
Certaines ont retenu mon attention depuis un moment et un jour le besoin d'expériences nouvelles me pousse à y répondre.
Cette fois je m'intéresse à celles disant "bar de nuit cherche hôtesses, bonne rémunération" qui émanent de bars situés dans des villes en périphérie de Lille.
Je réponds à plusieurs annonces et accepte de rencontrer une tenancière qui m'a fait bonne impression lors de notre conversation téléphonique puis lors de notre entretien le courant passe et nous tombons d'accord pour que je fasse un essai.
Je visite les lieux qui attirent l'oeil: un joli bar en bois enjolivé de cuivre, des tables basses assorties, des fauteuils et des tentures roses sans parler des éclairages et de la musique d'ambiance qui mettent dans de bonnes dispositions les clients.
Madame (la patronne) m'indique que les hôtesses ne sont là que pour tenir compagnie et user de leurs charmes pour faire consommer les clients et que celles qui veulent se faire un bonus, c'est à dire avoir un rapport sexuel, peuvent faire ce qu'elles veulent mais en dehors du travail.

Je commence mon travail et avant de m'y rendre en fin d'après-midi je me maquille bien (beaucoup). Avec ma jupe très courte rouge, mon caraco de la même couleur, des bas résille et des chaussures à talons hauts j'ai l'air de ce que je veux paraître: une putain.
C'est ma première soirée et nuit de travail, assise sur un tabouret au bar j'attends les clients comme les quatre autres filles présentes.
Des hommes commencent à arriver, les habitués se dirigent vers l'hôtesse qu'ils préfèrent.

Un client s'assoit à côté de moi et engage la conversation, il m'offre un verre, je demande une coupe de champagne (c'est cette boisson qu'il paiera).

Je me montre enjôleuse ce qui n'est pas difficile avec mon air de salope, j'ai l'air de lui plaire. Pendant que nous parlons je lui distribue des "chéri" à tout va, je lui souris beaucoup et le dévore des yeux. Après un bon moment passé ensemble nos verres sont vides, il ne se décide pas à commander une autre tournée.
<<je dois te quitter car d'autres clients m'attendent>>.
<<restes, j'ai tout mon temps>>.
<<si tu ne commandes pas à boire je ne vais pas pouvoir rester avec toi, Madame va me demander de tenir compagnie à un autre homme>>.
Il s'exécute, nous continuons à parler et moi surtout à l'écouter.
Ensuite après qu'il m'aie quittée je tiens compagnie à deux hommes arrivés ensemble, leur conversation est uniquement orientée sur le sexe ce qui ne me dérange pas. Je joue les allumeuses ce qui les excite et du coup les boissons suivent à un bon rythme. C'est bon pour moi qui suis payée au bouchon.

Le lendemain le premier client avec qui je joue de mon charme comme la bonne salope que je suis commande une bouteille de champagne que nous buvons en parlant installés dans des fauteuils, il a un but bien précis.
<<on pourrait continuer la discussion ailleurs>>.
<<je ne peux pas sortir comme ça pendant mes heures de travail>>.
<<il y a certainement des chambres ici ou on pourrait passer un bon moment>>.
<<non, il n'y en a pas>>.
<<ou fais tu l'amour avec tes clients>>.
<<nous ne faisons pas ça, nous sommes là pour tenir compagnie aux hommes et qu'ils se sentent bien>>.
Il insiste mais devant mon refus il est déçu et s'en va une fois la bouteille vide.

A un moment tout le monde est surpris par le bruit d'une gifle, une jeune hôtesse dont c'est la première journée dans l'établissement n'a pas appréciée qu'un homme lui mette la main aux fesses. Esclandre, elle se fait virer séance tenante, la patronne présente ses excuses au client et lui offre une coupe de champagne.
J'hérite du client car celui dont je m'occupais s'en va.
Je n'ai pas de difficultés à lui faire commander une bouteille de champagne car il est déjà bien éméché, par contre ce n'est pas un cadeau et j'ai du mal à éviter ses mains baladeuses sur mes seins, mes cuisses et mon entre-jambes et ses propos graveleux m'énervent. Son manège dure un bon moment et avec l'alcool ses propos sont de moins en moins cohérents.
Je suis soulagée quand enfin il daigne quitter l'établissement bien aviné.

Troisième soirée et nuit de travail, j'en suis à mon quatrième client prénommé Stéphane et c'est bientôt l'heure de la fermeture, il veut m'attendre à la sortie pour me raccompagner.
C'est un bel homme brun de taille moyenne très sympathique, j'accepte sa proposition.
Je quitte le bar et monte dans sa voiture, il démarre.
<<on va à mon hôtel>>.
<<ou est ce>>.
Il m'indique ou il se trouve.
<<pourquoi faire, ce n'est pas ma route>>.
<<je pensais que tu avais compris>>.
Je joue les vierges effarouchées.
<<je ne comprends pas, tu parles de quoi>>.
<<de faire l'amour avec toi pour finir la nuit en beauté>>.
<<cela ne fait pas partie de mon travail, je n'ai pas l'habitude de coucher avec les clients du bar et ce n'est pas parce que nous tenons compagnie aux hommes que nous sommes des putains>>.
Il me baratine, je résiste pendant un moment histoire de l'exciter un peu plus et quand il est à point j'accepte de l'accompagner.

Il se gare sur le parking de l'hôtel. Il me tient par le bras pendant que nous gagnons sa chambre dont la porte donne sur l'extérieur.
Une fois à l'intérieur, la porte refermée, il me prend dans ses bras, se colle contre moi et m'embrasse tout en me caressant partout par dessus les vêtements. Nos langues se mêlent dans un longe baiser.
Une bosse grossit contre mon ventre.
<<j'ai eu envie de toi dés que je t'ai vue>>.
Nous nous déshabillons mutuellement et nous allongeons sur le lit tout en nous caressant et embrassant.
Sa queue est bien dressée, à genoux les fesses tournées vers lui je la caresse et la masturbe un peu puis je la lèche partout longuement en insistant sur le gland pendant qu'il soupire. Son corps frémit quand je la prends dans ma bouche et la fais coulisser jusqu'au fond de ma gorge.
Je lui fais une fellation énergique, ses mains s'agrippent à mes cuisses, il ne résiste pas longtemps à ma et rapidement son corps se raidit, sa verge s'agite dans ma bouche pendant que des jets de sperme envahissent ma gorge. j'avale et continue un peu à sucer.
Je me mets à genoux la tête dans l'oreiller, il se positionne derrière moi et me pénètre. Je sens sa verge faire des aller-retour dans mon intimité pendant un moment pendant que je triture ses bourses.
Il est plus long à venir, ses doigts se crispent sur mes hanches et ses ongles s'incrustent dans ma peau pendant qu'agitée de soubresauts sa queue déverse sa semence dans mon ventre.
Allongé sur le dos il récupère pendant un moment.
Ne voulant pas en rester là je caresse son corps et le masturbe jusqu'à ce qu'il bande de nouveau puis je suce sa verge gluante pendant qu'il caresse mon ventre, mes cuisses et mon sexe.
Quand il en a assez il m'allonge sur le lit et se met sur moi puis me pénètre.
Il me défonce à grands coups de reins, je l'accompagne par des mouvements de mon bassin.
Notre étreinte dure longtemps et le plaisir monte dans mon ventre, ses testicules frappent contre mes fesses et le clapotis de ma mouillure accompagne les va-et-vient de sa queue dans ma chatte. Enfin il jouit dans mon vagin.
Allongés côte à côte nous nous endormons.
Tôt le matin il se lève en me disant de continuer à dormir, il passe dans la salle de bain puis s'habille.
Il quitte la chambre après m'avoir embrassée sur les lèvres.
Dans la matinée je me lève et vais me laver, avant de partir je vois sur la table ce qu'il a laissé pour moi, je le prends.
Il a aussi un message: "j'aimerais te revoir et passer un bon moment avec toi sans être pris par le temps".
Je lui réponds: "je suis d'accord, appelles moi quand tu passes par ici" et je lui note le moyen de me contacter.

Les trois soirées et nuits passées dans ce bar me laissent sur ma faim et j'arrête l'expérience décue car ce qui m'intéresse c'est uniquement le sexe.
La tenancière malgré des demandes insistantes de clients ne veut pas être hors-la-loi pour ne pas risquer la fermeture de son bar.


Je réponds à des annonces provenant d'établissements situés dans le pays voisin à la frontière avec la France et je rencontre deux hommes et une femme qui tiennent des bars, ils se montrent très directs sur ce qu'ils attendent de moi.
<<Pouvez vous me précisez ce que je dois faire outre faire boire les hommes>>.
<<tu dois être très gentille avec les clients et attentive à leurs désirs>>.
<<leur tenir compagnie ça je sais, ce n'est certainement pas tout>>.
<<tu auras une chambre attitrée pour passer un moment avec eux>>.
<<si je comprends bien je dois leur offrir mon corps et les satisfaire sexuellement>>.
<<cela te poses un problème>>.
<<pas du tout mais vous n'avez pas de soucis avec la maréchaussée>>.
<<non, ici les filles sont considérées comme des serveuses même si elles font l'amour avec les clients c'est pour ça qu'on appelle cet établissement un bar montant>>.

J'exclus le premier que je visite situé dans une avenue très fréquentée ou les filles inoccupées doivent s'asseoir derrière la vitrine en tenue osée pour attirer les passants.

Je choisis le bar, dirigé par la femme car il m'inspire le plus et est meublé de tentures, fauteuils et canapés rouges ainsi que de tables en verre. J'apprécie l'ambiance que donne la lumière tamisée et la musique diffusée en continu.
Les chambres portent les noms de muses, je visite Clio celle qui m'est attribuée décorée en bleu avec des cadres ou des femmes nues prennent des poses lascives en bord de mer, je vois des miroirs qui permettent de se voir faire l'amour.

Le lendemain je prends mon service et installée sur un tabouret je n'attends pas longtemps mon premier client avec qui je joue de mon charme en buvant une coupe de champagne assis à côté de lui sur un canapé.
Je caresse une de ses cuisses et l'embrasse sur les lèvres, il louche beaucoup sur le large décolleté de mon corsage et sur mes cuisses entièrement découvertes à cause de ma jupe plus que mini. Il commence à avoir les mains baladeuses et je décide de le pousser à passer à l'étape suivante.
<<tu n'es pas venu uniquement pour boire un verre>>.
<<pourquoi dis tu ça>>.
<<on pourrait aller dans un endroit plus intime ou je pourrais te donner du plaisir>>.
<<oh oui! tu es belle et j'ai envie d'autre chose>>.
Je le prends par la main et nous montons à l'étage et pénétrons dans la chambre.
<<chéri déshabilles toi, mets toi à l'aise nous allons passer un bon moment ensemble>>.
Mon corsage, mon soutien-gorge, ma jupe et mon string gisent maintenant sur la moquette.
Allongé sur le lit il regarde mon corps et je remarque sa grosse queue fièrement dressée.
Je le caresse un bon moment sur tout le corps.
Du tiroir du chevet je sors des préservatifs et tout en le caressant je lui en mets un sur le pénis.
Je lui fais une fellation et suce doucement son membre pendant qu'il caresse mon corps. Quand son corps commence à s'agiter je change de position et me mets à califourchon sur lui, guidant sa queue à l'aide d'une main je l'introduis dans mon vagin.
Mon bassin commence à monter et à descendre, la verge cogne au fond de mon intimité dont elle écartèle les chairs en l'emplissant complètement vu sa grosseur.
Je n'ai pas besoin de remuer longtemps car rapidement il se crispe et je sens la queue tressauter pendant qu'il éjacule.
Je m'allonge à côté de lui. Il retire la capote, la jette dans la poubelle et s'essuie avec une serviette que je lui tends.
<<chéri tu veux encore que je te donne du plaisir, je suis là pour ça>>.
<<oui ça me plairais>>.
<<il faut que tu commandes à boire pour que j'aie le droit de continuer avec toi>>.
Il acquiesce et j'appuie sur un bouton.
Je caresse son corps en attendant que l'on frappe à la porte, il cache son sexe avec une serviette. Madame entre et dépose sur la table basse en souriant un plateau qui contient une bouteille de champagne dans un seau et deux flûtes.
Je remplis les verres que nous buvons assis sur des poufs.
De nouveau sur le lit je caresse son corps pendant un bon moment puis je le masturbe jusqu'à obtenir une belle érection puis lui mets un nouveau préservatif.
Nouvelle fellation pendant que ses mains se promènent sur mon corps.
Couchée sur le dos les jambes écartées il s'allonge sur moi, avec une main je guide son pénis qui bute contre ma chatte puis coulisse dedans.
A coups de reins il commence les va-et-vient, sa queue bute au fond de mon vagin et ses testicules tapent contre mes fesses. Je remue en même temps que lui tout en caressant sa poitrine et ses fesses.
Il ne se passe pas beaucoup de temps avant qu'il ne jouisse de nouveau.
Une fois rhabillés nous buvons encore du champagne puis je le raccompagne jusqu'à la porte du bar.
Ensuite je tiens compagnie à un homme qui vient uniquement pour parler et boire.
Enfin je monte dans ma chambre avec le troisième client et je lui procure du plaisir.

Le lendemain deux hommes après avoir bien consommé veulent me faire l'amour ensemble, j'accepte tout en sachant que cela va durer un bon moment avec ce qu'ils ont bu.
Pendant que je fais une fellation à l'un, l'autre me prend en levrette et après avoir éjaculés une première fois ils inversent leur position jusqu'à ce qu'ils jouissent de nouveau.

Le surlendemain un groupe de cinq clients m'accaparent longtemps avec d'autres hôtesses, ils boivent beaucoup.
Trois d'entre-eux veulent une relation sexuelle dont un avec moi.
Je dois m'escrimer longtemps pour le faire jouir car avec l'alcool ingurgitée il n'est plus en très bon état. Je le masturbe beaucoup, lui fais des fellations très énergiques et donne de violents coups de bassin quand sa queue est en moi, je finis en sueur et épuisée.

Le jeudi je passe une dernière soirée et nuit au bar ou je donne du plaisir à trois clients et à force de boire du champagne je ne suis plus très fraîche.
Je constate Que devant un verre et une belle femme les hommes se confient beaucoup.
Je décide d'arrêter ce travail car dans la vie courante je m'éclate plus avec les hommes et je ne veux pas devenir dépendante de la boisson.