Sa Chambre
Sa chambre
Ce jour-là, il ma invité chez lui. Cétait la première fois, nous avions plus lhabitude de nous rencontrer chez moi ou à lextérieur.
Après avoir ouvert la porte, il ma fait rentrer le premier. Sa chambre était très banale pour ne pas dire kitsch. A droite de lentrée il y avait son bureau. Le lit se trouvait au fond à gauche. Il y avait deux fenêtres, lune en face le mur dentrée et lautre sur le mur de droite. Un poster de montagnes enneigées ornait le mur droit au-dessus du lit. La moquette était fine de couleur marron claire. Le papier peint était beige uni.
Après avoir entré, il est allé fermer les rideaux des deux fenêtres. Il ny avait pas de volets, la lumière passait à travers ces rideaux rouges et la chambre devenait tamisée.
« On se déshabille me dit-il ? » en souriant. Au milieu de la pièce, il commença par enlever son t-shirt. Son torse, bien que légèrement maigrichon, me plaisait beaucoup. Il avait la peau mate et en ce début dété, son torse nétait pas aussi bronzé que ses bras. Cela me rappelle les cyclistes. Il avait légèrement la chair de poule ce qui valorisait sa peau. Toujours en me souriant, il a enlevé ses sandales alors que ses mains commençaient à déboutonner son short. Il était imberbe mais quelques poils ressortaient en dessous de son nombril. Ils étaient bien bruns et épais.
Personnellement, jétais comme paralysé. Heureux de ce que nous allions vivre, mais envouté par lui. Javais peur de mal faire et de le décevoir. Lenvironnement me perturbait également je pense, cétait différent pour moi
cétait chez lui
je me rendais compte que je nallais pas être le dominateur cette fois-ci, mais je ne men plaignais pas. Mécaniquement, je retirais également mon polo. Je faisais apparaître mon corps. Je suis également très imberbe, plus que lui dailleurs. Si lui est plutôt latin, moi je suis plus slave. Châtain, yeux bleus, très blanc de peau. Ma peau est très fine, presque efféminée.
Après que son short soit tombé sur ses pieds, il sabaissa pour le jeter le long du mur et poussa ses chaussures. Il repositionna son sexe dans son caleçon. Son érection devenait plus confortable et faisait bien apparaître en diagonale sa virilité. Il ne bandait pas encore très dur mais cétait prometteur. Il esquiva un sourire dévastateur. Il navait plus besoin de parler, cétait certain je serai son jouet.
Je navais pas bougé depuis le retrait de mon polo. Jétais en contemplation devant son corps. Le temps me semblait figer, et ce qui dura certainement que quelques secondes me paraît encore comme une éternité. Il mesure 1m75, légèrement plus petit que moi avec mes 1m80. Jadmirais ses jambes, ses poils épais et brillants. Ses mollets et ses cuisses sont bien en chair, il pratique le foot et fait pas mal de vélo. Il a les cheveux courts. Son visage est très quelconque, ne me séduit pas plus que cela dailleurs. Ses bras sont bien en forme mais pas très épais. Il est loin de la carrure dun rugbyman avec ses 65kilos. Mais sa peau mensorcelle : ses traits sont homogènes, sa texture régulière et sa couleur bien que parfois irrégulière me fascine particulièrement.
Il sapprocha de moi, et les yeux dans les yeux, menvoya un vrai regard tueur, un vrai regard viril. Il menlaça et membrassa. Cétait légèrement brutal mais je ne men plaignais toujours pas. Ma tête sest doucement laissée tomber sur la gauche et jai posé mes mains sur le haut de ses fesses. Je fermai les yeux pour mieux apprécier le moment. Sa bouche se posa sur la mienne et ses lèvres forcèrent les miennes à souvrir. Sa langue se posa sur la mienne et en fit le tour. Je la cambrai, lui également, pour mieux partager nos salives.
Je glisse mes doigts dans son caleçon que je descends. Jen profite pour le griffer affectueusement. Ca ne lui déplait pas.
Son sexe se présente à mes lèvres. Il ne mesure pas plus de 15 cm sur 4cm, légèrement courbé sur la gauche en érection. Sa toison est à la hauteur. Des poils noirs, épais, brillants qui entourent ses testicules. La peau y est douce et sa texture bien granuleuse. Ma main prend beaucoup de soin à les palper avant que ma langue se pose doucement en bas de sa verge pour remonter doucement jusquà son gland. Ca y est, il est dans ma bouche. Son gland est légèrement poivré. Je le presse entre ma langue et mon palais et je remonte ma langue. Il me tire les cheveux à la base de la nuque. Jenfonce plus profondément pour la caler au niveau de ma gorge. Il pose ses mains sur mes oreilles, enfoncent ses doigts et me force à faire des vas et viens. Je rigidifie ma langue pour quil apprécie au mieux.
Il se retire, et en me souriant « Quest-ce que tu me suces bien ! ». Je lui souris également, au fond de moi jai envie de lui dire un truc assez crash du style « jaime être ta salope » mais je ne le fais pas. Je suis clairement dans un état second et jai limpression dêtre une poupée vaudou quil manipule.
« Viens » me dit-il en me prenant la main. Je me relève et il mindique la direction de son lit. Il me fait asseoir sur le rebord. « A moi maintenant ». Il se mit à son tour à genoux et me déboutonna mon short. Dune traite, il faisait apparaître mon sexe bien blanc au milieu de mes poils frisés roux. « Quest-ce quelle est douce » disa-t-il en me masturbant délicatement. Je suis plus gâté par la nature que lui : en érection, jarrive à 19cm sur 5cm. Limage est belle : ma bite bien blanche dans sa main bien bronzée et mes poils pubiens qui brillent sous larrière-plan de son torse imberbe.
Il posa mon gland au niveau de sa thyroïde et me caressa à fleur de peau les seins. Je me laissai tomber en arrière sur le lit. Il sadonna à une fellation, mais malgré la chaleur et la douceur de sa bouche, ce nest clairement pas ce que je voulais. Je ne sais pas sil lavait compris ou si cest ce quil recherchait, mais il ne sattarda pas plus avec sa langue sur mon sexe.
« Tourne-toi » mordonna-t-il. De façon évidente, je mexécutais et je lui présentais mes fesses. Comme tout le reste, bien blanches. Elles sont bien rondes, on ma toujours que javais un beau cul ! Il les caressa rapidement pour glisser rapidement lune de ses mains dans ma raie. Jai vite ressenti son index sur mon anus et commencer à en fouiller délicatement les bords. La sensation métait bien plus agréable que la fellation.
« On va samuser » me dit-il. Depuis le début, je nai rien dit et je ne dis toujours rien. Je nai pas cette force, je ne suis que son esclave, juste là pour le satisfaire.
Ne voyant plus rien, je suis dans lattente de ce quil va me faire subir. Je sens soudain ses mains bien huilées caresser mes testicules et remonter sur mes fesses. La chaleur fait naître en moi comme des décharges électriques qui se traduisent par un fort bien être profond.
Il était difficile à ce moment pour moi de faire un quelconque mouvement. Au contraire, mon corps se décontractait totalement. Mes fesses souvraient dailleurs plus quà la normale. Javais tellement envie quil me pénètre que tout mon corps sexécutait profondément à la recherche du plaisir.
Mon bassin décida de tourner délicatement autour de lui. Non seulement, lhumidification de lanus saméliorait mais cette parade était un signal de plus de mon désir. Il se positionna entre mes jambes, et après avoir positionné un préservatif, il glissa sa verge bien dure sur ma raie. Ce qui était des petites décharges devenaient des décharges plus importantes, prometteuses pour les secondes à venir. Il se coucha sur moi, me serra les mains et me lécha le cou pour appeler ma bouche. Au moment où je louvrais, je sentis son sexe sintroduire. Mon arrière se remplissait, il membrassait : mes principaux orifices étaient bouchés, le plaisir navait jamais été aussi intense. La vaseline et le préservatif présents, il ne mit que quelques secondes à sintroduire complétement. Sa verge venait se frotter contre ma prostate. Le plaisir était à son paroxysme. Voilà ce que je recherchais, et je lai eu. Je ne sais pas combien de temps cela a pu durer, dailleurs le temps métait à cet instant une notion inconnue. Je sentais en moi ce volume étranger mécarter lanus et me caresser la prostate. Chaque mouvement mélangeait douleur et plaisir, chaque mouvement transformait douleur en plaisir. A quelques secondes de sa jouissance, il se cambra et me serra bestialement par les épaules. Bien profondément, sa verge gonflée à bloc, je sentis sortir son sperme se répandre dans le préservatif. Après avoir savouré le moment, il se retira doucement, enleva le préservatif et laissa couler le sperme chaud sur ma raie et mon anus. Il repositionna son sexe à moitié épuisé dans cette humidité et lépandit sur mes fesses.
Il me libéra les pieds, et les mains. En détachant ma dernière main, sa verge à demi-molle nétait situé quà quelques centimètres de ma bouche. Je ne pus mempêcher de men approcher pour la glisser dans ma bouche. Il ne sy attendait pas. Elle était encore chaude et encore bien recouverte de son sperme. Bien que je naime pas trop ce gout, jétais prêt à tout surpasser pour le rendre dingue. Il posa sa jambe droite sur le lit et se laissa sucer de nouveau, sa verge retrouvait la forme. Après avoir laissé tomber sa tête en arrière, il tendit son bras droit et se mit à me masturber. Lexcitation était tellement forte en moi, que je savais ne pas mettre longtemps à éjaculer. Je lai donc pompé de toutes mes forces pour que nous jouissions ensemble. Il éjacula une nouvelle fois, de façon moins dense. Alors que ma bouche se remplissait, je sentais mes testicules se refroidir et se vider. Mon sperme sauta sur tout mon torse et coula abondamment sur sa main. Délicatement, il posa cette main sur mes lèvres et ma langue la naturellement essuyé.
Quand jai ouvert les yeux, cétait la tombée du jour, la lumière était devenue pale. Depuis régulièrement à la même heure, quand la lumière sefface, je me souviens à quel point jai pu donner plaisir à ce copain à travers mon propre plaisir.
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