Les Jambes De Belle Maman (Suite...2) Les Rideaux.
Après un repas chaud tant en plats quen émotions, je découvrais ma belle-mère comme jamais je ne lavais imaginée. Notre promenade touchait à sa fin et suite à notre détour en tête à tête ou pied à queue ; nous arrivions à lécluse où nous attendaient mes fils et Adeline qui sécria :
-Ah ! Les voilà tout de même
Nous étions en soucis.
- Patrick sest pris le pied dans une souche, rien de grave, mais il a la veste et le pantalon plein de terre !
Marilyne me chuchote à loreille quelle espère que mon caleçon nest pas lui aussi dans cet état.
-Papa, tu peux nous expliquer pourquoi tu as de la terre sur les genoux, les coudes et le dos ? Tu as fait un roulé boulé ?
-Votre père, ne fait jamais les choses à moitié, cest un perfectionniste, même dans les chutes.
-Euh
Oui jai fait un roulé boulé, heureusement que mamy était là pour maider à me relever !
-Patrick, aujourdhui jai été votre ange gardien. Jespère que vous vous en souviendrez.
Alors que les jumeaux mentraînent sur la passerelle de lécluse pour observer une péniche qui va passer ; ma femme et sa mère, discutent tout en longeant le canal.
Nous avons achevé notre promenade en fin daprès-midi quand le soleil printanier quittait lhorizon ; le soir sannonçait, les Dimanches soir, jusquà ce jour, nétaient pas mes soirées préférées : le blouse du Dimanche soir ; la fin du week-end, le Lundi matin qui sannonçait
Pourtant, ce jour-là le Dimanche soir devint synonyme de « seul avec belle-maman ». Notre retour se déroula en silence, sans gestes déplacés. Juste avant la sortie dautoroute, Adeline qui conduisait demanda :
-Je nous dépose avec les s chez nous, et toi Patrick tu reconduis maman chez elle. Tu lui dois bien ça, avec tout le soin quelle a pris pour toi aujourdhui, hein maman ?
-Ah oui, il me doit bien ça ! Confirme Marilyne.
La voiture finissait les derniers kilomètres qui nous séparaient de la maison, je navais eu de cesse de penser à ce qui se passerait toute à lheure chez ma belle-mère.
-Je passerai demain en fin daprès-midi, maman. Tu me donneras tes rideaux du salon pour que je te termine lourlet
.ou donne les ce soir à Patrick, je serai quitte de passer demain.
Javais pris place au volant, déjà jimaginais ma belle-mère sur lescabeau qui décroche les rideaux et moi dessous tenant les montants, le regard rivé sous la jupe, mon appétit de voyeur satisfait. Le temps de régler mon siège, Je quittais à peine le stationnement que Marilyne dit :
-Alors Patrick, ces rideaux, je les décroche ou vous les décrocher ? Si je monte sur lescabeau, jai peur, il faudra que vous assuriez en vous tenant derrière moi. Si vous montez, vous êtes assez fort pour ne pas tomber, toutefois, en réfléchissant, il faut décrocher avec soin ces voiles fragiles
Et cest plus un travail de femme non ?
-Oui, je préfère vous laissez le soin de lopération et moi je vous tiendrai lescabeau.
-Vous ne ferez que tenir lescabeau ? Vous me décevez Patrick.
-Je pense quil faudra que joccupe mon regard et pour remplir au mieux mon rôle, il est préférable que je reste concentré sur vous.
A partir de cet instant, Marilyne mis sa main sur ma cuisse en la massant doucement et sa voix devint plus suave, enjôleuse.
-Vous materez ma culotte sous ma jupe, en tenant fort le haut de mes cuisses, que vous caresserez de vos pouces ; pervers que vous êtes
Aurez-vous envie de me peloter les fesses comme contre larbre ? Monterez-vous sur les premières marches de lescabeau pour vous branler sur ma jambe ? Sortirez-vous votre bite pour brûler votre gland sur mes collants ? Laisserez-vous partir votre foutre ? Dites-moi salaud
.Que vous êtes. Humm
Je suis excitée Patrick...
Comme elle terminait sa phrase, de son autre main, elle avait remonté sa jupe et commençait à se caresser
.
-Vous aimez caresser votre chatte, vous voudriez que je passe ma main dans votre collant et vous branle à mon tour, que je pelote votre cul et vous caresse la raie
Cest tout ça qui vous plairait ?
-Oui
.Oui
Patrick
Encore, parlez-moi encore
.
-Vous êtes une grosse salope, vous avez dû vous branler bien des fois en pensant à moi, hein ? vieille obsédée que vous êtes
.Vous voudriez que je vous la lèche, votre grosse chatte, que je vous suce votre petit clito
.Ho
que jaimerais
..Jaimerais
-Oui
quoi ?...Quoi petit salaud ? Dites-moi
humm
Dites...
-Vous ne saurez pas tout, pas tout dun coup, vous seriez trop contente
Patientez encore
continuez de vous branlez, allez branlez-vous, baissez votre collant, votre culotte et mettez-vous le doigt, branlez-vous
.
Jarrêtai là mes écarts de langage, je ne savais plus si cétait parce que jinsultais ma belle-mère : je la traitais de vieille salope ! Ou si mes invectives suffisaient à me faire du bien, en attendant, je bandais et navais quune envie : arriver chez Marilyne.
Ma passagère dévergondée, venait juste de pousser un petit cris, puis plus rien, silence, ma cuisse était abandonnée par cette main si chaude. Marilyne redescendit sa jupe et reprit une position correcte. La fin du parcours se poursuivit sans un mot ; comme si tout dun coup, lun comme lautre nous étions honteux de nos propos et attitudes...Nous arrivions devant chez Marilyne, à peine la voiture garée, belle maman descendit et monta quatre à quatre les escaliers qui mènent à la véranda, ceux-là même que je montais ce matin, sans me douter de la teneur exceptionnelle de ce Dimanche pas comme les autres.
-Venez Patrick ! Je suis au salon ; je minstalle avec lescabeau, jai peur de tomber, vous savez.
Jentre dans le salon et je vois Marilyne debout sur lescabeau, les bras tendus vers le plafond, appliquée à décrocher un à un les crochets des rideaux. Même sur la plateforme de lescabeau et les bras tendus, belle maman est obligée de se mettre sur la pointe des pieds ; sa jupe remonte et déjà on aperçoit le liserait foncé de son collant.
-Attention Marilyne, je viens derrière vous, nayez pas peur, je tiens lescabeau.
Jarrive au bas de lescabeau, cramponne les montants, je lève la tête
et
quelle vue magnifique ! Les cuisses de belle maman, comme deux étais soutenant le petites fesses rondes qui débordent dune culotte trop courte sous la couture du collant. Je ne tiens plus, fébrilement, je monte sur la première marche et déjà ma tête est sous la jupe, mes mains sagrippent aux cuisses que je caresse de haut en bas, je monte encore une marche, ma tête soulève maintenant tout le bas de la jupe jusquaux reins, jai sous le nez le postérieur de Marilyne, je me hisse encore plus haut, mes mains prennent appui sur les hanches, je me frotte sur les cuisses de ma belle-mère qui a cessé son travail et se cramponne au garde-fou de notre perchoir damour
.
-Petit vicieux, tu ne pouvais pas attendre un peu, tu te branles déjà sur moi comme un jeune chien, humm
continue, frotte toi, monte une marche, viens te branler sur mon cul, je sais que tu laimes, tu voudrais le lécher ?
-Tu
Vous me dites « tu » Marilyne ?
-Oui mon branleur, uniquement dans ces moments particuliers, ce sera le signal à notre débauche, plus du méchaufferas, plus tu mexciteras, plus je serai vulgaire, plus je te demanderai des choses
Tu comprends ? Comme elle termine de décrire les règles quelle a définies, elle ondule son cul sur moi et me demande :
-Baisse ton pantalon, sors ta queue et tape là sur mes cuisses et mon cul, allez dépêche-toi je veux la sentir ta queue
Ta queue de vicelard excité, je suis sûre quelle bave déjà hein ? Sors là que je sente.
Déjà, ma main extirpe ma bite de mon pantalon, de lautre je me cramponne à Marilyne et commence à marteler les cuisses et le cul de mon gland rougi par les frottements et baveux de plaisir. Marilyne, toujours le dos tourné, dun revers de main, se saisit de ma verge et de son pouce balaie mon gland :
-Tiens je le savais, petit salaud
Ton gland est tout baveux
Jaimerais le sucer tu sais
.Même te branler pour te faire jouir mon Patrick, Patrick tu as la trique ? Cest marrant ça rime. Ha ha ha..
Elle est maintenant prise dun fou rire qui loin de me déconcentrer, me rend encore plus fou
.Sa main a lâché mon gland et a repris sa place sur le garde-fou de notre perchoir. Je ne me contente plus de me frotter ou de marteler le nylon, je descends le collant jusqu à la limite des cuisses et glisse mon sexe sous lélastique de la culotte, je sens alors la chaire chaude et lisse de ce petit cul qui continue de ses mouvements davant en arrière
Cest bon
.
-Alors vieille truie, tu la sens la tête de ma bite ? Moi aussi je te dis « tu »
Tu voudrais bien que je tencule salope hein ? Tu nattends que ça
Mais tu devras attendre encore, je vais jouir là toute suite
je vais arroser ton cul, essuyer mon chibre sur tes cuisses et ta culotte
.tu vois
.tu mas tellement allumé depuis ce matin, jen peu plus, du ne mérites que ça
-Fumier ! Tu vas décharger là, toute suite ?
hum
Envoie
arrose moi où tu veux, oui lâche toi
Viens, baisse ma culotte, caresse moi la chatte
Je veux sentir tes mains sur ma chatte pendant que tu jouis
Ma bite contre les fesses incendiaires, de plus en plus mouillées par mon sexe qui commence à ne plus se contenir, je baisse la culotte qui rejoint le collant a mis cuisses
Que cest beau ! Les fesses de ma belle-mère à lair, la jupe remontée, les collants et la culotte baissés
. je place mes deux mains sur la chatte
Elle est humide et chaude. Mon index commence à
.
-Oh !....Oui
hum
.je viens, je viens, tiens
salope cest pour toi, la voilà ma purée
.
Je suis dans un état second, transporté, ma vue se brouille, ma main appuie fortement le sexe de Marilyne, tandis que jinonde les fesses provoquantes qui ont bien mérité dêtre souillées par ce jus si longtemps retenu.
-Saligaud ! Tu laime le cul de ta belle-mère ; il te fait bander, tu as jouis, mais la prochaine fois je te ferai attendre plus longtemps et crois moi, mon petit cul, tu vas le goûter, le lécher
.Ma chatte, tu ne compteras plus le nombre de fois où tu laura à pleine bouche accroupie sur elle, je me balancerai jusquà jouir et même je
.
Je reprends mes esprits et encore entre rêve et réalité, descendu dune marche, je messuie le sexe avec la culotte et le collant
Que cest bon ! Souiller les sous-vêtements de Marilyne.
-Vous
Tu disais ? Même je quoi
?
-Rien, rien
plus tard et puis
maintenant il faut décrocher les rideaux, redevenir poli, nest-ce pas Patrick ?
Nous descendons de lescabeau, Marilyne sapproche avec une démarche de canard, rendue inévitable par la culotte et les collants qui lui entravent les jambes ; sur la pointe des pieds me saisit la nuque, approche sa bouche de la mienne y colle ses lèvres, glisse sa langue qui ne trouve aucune résistance pour senrouler autour de la mienne, nous nous enlaçons fortement, mon sexe encore convalescent, laisse échapper quelques goûtes sur la jupe maintenant souillée et froissée. Marilyne envoie sous pression un jet de salive qui glisse sur ma langue, à mon tour mélangée à la mienne je lui renvoie cette vague salée qui déborde et coule de chaque côté de ses lèvres ; que je mempresse de lécher à grands coups de langue, bien au-delà de la bouche, vers le nez, les joues, le front, je lèche toute sa face, elle aime ; par des mouvements de la tête, elle vient appuyer lassaut de ce pinceau humide et reconnaissant de tant de bonheur.
-Assez Patrick. Nous allons terminer sagement notre besogne, nous rendre un peu plus présentables ; vous allez rentrer chez vous avec pour seule compagnie : les rideaux. Mais très bientôt, encore de bons moments, pleins de bons moments.
Comme un sage, jacquiesçai dun signe de la tête, me rendis vers la salle de bain pour un brin de toilette. Quand je revins au salon, Marilyne avait décroché les rideaux, me les tendit :
-Voilà, vous voyez, je ne suis pas tombée. Je pris les rideaux à pleines mains pour les engager dans le sac que me tentait belle maman. Je pris le sac et fis demi-tour pour prendre la direction du couloir. Arrivé derrière la porte de sortie, je sentis la main de belle maman, je me retournai et je vis Marilyne soulever sa poitrine de ses deux mains, à travers son chemisier, tout en faisant la moue :
-Et mes seins Patrick, vous voudriez les voir ? Juste les voir bien entendu.
Elle déboutonna son chemisier, louvrit, fit passer ses seins blancs hors des bonnets du soutient gorge noir. De ce noir et blanc ressortaient deux tétons roses pointus qui semblaient appeler au secours pour quon les délivre.
-Alors ils te font envie ? Tu voudrais les téter ? Les ploter ?
Je restai sans voix, les yeux fixés sur cette poitrine attirante. Alors que je levai ma seule main libre pour toucher ces beaux fruits ; Marilyne marrêta dans mon élan :
-Non, non, on ne touche pas, la prochaine fois
Peut-être.
Après un baiser sur le front, Marilyne ouvrit la porte, sans me retourner je descendis les escaliers, lentement, jentendis la porte se refermer. Je pris place dans ma voiture, après avoir posé les rideaux, derniers témoins de nos ébats, sur le siège passager. Je rentrai chez moi, la tête pleine de fantasmes, denvies, de moments avec Marilyne. Elle avait réussie en me montrant ses seins, à mexciter à nouveau, impatient, il me tardait la prochaine fois ; quand ? Où ? Jallais très vite le savoir en arrivant chez moi. (À suivre).
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