A L'Amiable
- « A cette allure, Didier va prendre la place de Jules » se réjouit Suzon.
On ne peut pas lentendre dans la chambre car ma femme entame une longue suite donomatopées tant la charge de Didier la comble. Elle rit, elle geint, elle expire puis invite lhomme à plus dentrain. Elle suffoque puis aspire à fond. Pourquoi Suzon se réjouit-elle du recul de Jules réduit à jouer les utilités en guidant la verge de Didier ou en caressant un sein de sa maîtresse en transpiration ou en extase? Espère-t-elle le récupérer. Elle est émue aux larmes par la jouissance ininterrompue de Lili, ?
- Oh! Que cest gros
que cest long
que cest bon
olalalala. Encore
plus vite
ouiiiii, ha,ha
À suivre
Suzon est troublée par les manifestations de bonheur de Lili. Ne se projette-t-elle pas déjà dans les bras de monsieur « Bienmonté » à la place de Lili. Ma Suzon aimerait-elle faire partie des heureuses conquêtes de cet étalon actif et efficace. Son mari, Jules, se fera-t-il fabriquer une progéniture par lardent géniteur, soumettra-t-il sa femme à Didier, comme il lui accorde la priorité sur la mienne ? Et Lili qui na pas exigé de préservatif souhaite-t-elle une grossesse aussi rapprochée de son accouchement? Toutes les femmes entrent-elles en chaleur au contact dun homme viril? La mienne est perdue, livrée, prise et transportée là, devant son amant, Suzon résistera-t-elle à lattrait du mâle rude et capable de faire trembler et hurler de jouissance? Il doit être temps de mettre fin à ce déferlement de gémissements Jinvite Suzon à avancer avec moi dans ma chambre.
- Non, attends, ce nest que le début. Comme tu le sais, ils doivent passer au sandwich et jaimerais assister à une scène aussi rare. Jai du mal à comprendre comment une femme peut se donner à deux hommes avec amour.
- Pourquoi ? Tu veux peut-être les rejoindre et participer? Tu comprendrais mieux si tu en avais un par-dessus et lautre par-dessous, tous les deux en train de gigoter dans leur orifice.
- Oh ! Le vilain soupçon, juste au moment où je te retrouve. Tu devrais avoir honte. Pour ta punition, embrasse-moi.
Le baiser de Suzon veut être dautant plus persuasif que le mien est défaitiste et désespéré et elle finit par douter de mon amour :
- Jean, je croyais que tu maimais ?
Lili vient de cesser ses plaintes, halète fortement. Nous jetons un il prudent vers le lit. Jules aide Didier à se relever. Lili descend de la couche, Didier prend la place quelle occupait et apostrophe Jules :
- Tu as entendu. Tu ne mavais pas annoncé une telle baiseuse. Ça c est de la femme. Elle enchaîne orgasme sur orgasme. Cest une merveille. Je veux lessayer plus active.
- Oui, mais vite fait. Il fallait arriver à lheure.
- Bien, Lili, monte là-dessus, je veux voir tes yeux. Tu choisis lallure, tu avales tout, tu montes et tu descends jusquà heurter le col de ton utérus sur ma bite. Mon doigt dans le cul, cest pour te préparer à recevoir bientôt la queue de ton amant. Un jour tu inviteras ton mari et ton amant à te partager; ce sera un moment inoubliable pour vous. A moins que tu ne divorces.
- Pourquoi divorcer. La situation actuelle me convient. En dehors du vendredi jadore vivre avec mon homme. Bien sûr il na pas ton abattage, mais il me rend heureuse, que souhaiter de plus?
Suzon plaque ses mains sur mes oreilles,reprend mes lèvres puis déclare :
- Alors, tu la gardes ou tu me veux.
Ma réponse est un baiser plein de passion. Lili est assise, se soulève et se rabat autour du pieu qui lui sert dessieu, parfois elle se balance davant en arrière, creuse son dos ou larrondit, balance sa poitrine au rythme des mouvements de sa croupe ou sursaute quand la phalange de Didier pénètre un peu plus dans son anus. Jules suit attentivement le manège, cherche à caresser la peau de son aimée. Didier décide de tout et ordonne :
- Masturbe ton Jules, prépare-le à tenvahir la lune.
Lili repart tout à coup en transe, se couche sur son partenaire, écrase ses seins sur sa poitrine. Didier la ceinture solidement et appelle Jules :
- Allez, toi, quattends-tu. Elle est brûlante, cest le moment, rentre lui dedans. En douceur dabord.
Suzon me rappelle que jai un smart phone :
- Cest le moment de les filmer. Quand Jules laura pénétrée, filme les trois corps emmêlés puis chaque visage. Nous entrerons alors.
Le pied gauche posé le long du flanc gauche de Lili, le genou droit planté entre les jambes des accouplés, Jules avance sa bite turgescente vers les fesses de ma femme tandis que Didier ouvre le passage en tirant les muscles vers lextérieur. La voix tremblante Lili réclame de la douceur :
- Mon chéri, sois prudent. Arrête de pousser si jai mal.
- Allons, ne crains rien, ça va passer comme une lettre à la poste, assure Didier.
Jules sy prend à plusieurs reprises avant denfoncer la tête de sa verge. Chaque centimètre gagné arrache une plainte à la femelle soumise, mais elle persévère et soupire daise quand les bourses de son amant cognent contre ses fesses.
- Ouf, cest pire que ce que jimaginais. Sil vous plaît accordez-moi un instant de répit.
-Moi je me sens bien. Est-ce toi que je sens contre moi, Didier ?
- ment, nous ne sommes que deux ! Bon , on bouge. Accroche-toi Lili.
Didier pousse vers le haut le double poids. Le cul de Jules monte. Jenregistre limage étrange de lentre deux trous, ces deux centimètres de pont ente vulve et anus tendus entre les deux membres masculins. Le démarrage est lent. Jules est le premier à accélérer alors que Didier doit faire un effort plus grand pour remonter dans le con de ma femme. Je mapprête à entrer, Suzon me retient encore en posant une main sur mon érection cachée.
- Laisse-les peiner. Cest impressionnant.
Quand lendurance tombe, Jules se retire et arrose de sperme le dos et lentrée du tunnel où il sest agité. Didier lui recommande de sallonger à côté de lui. A Lili avachie sur lui il conseille daller sempaler sur le pieu de son amant dès quelle laura redressé :
- Va, nettoie son bâton à remuer la merde avec ton string puis lèche et suce, fais le bander.
- Laffamée de sexe se dévoue, des deux mains elle masturbe puis reprend la chose en bouche avec une grimace involontaire et Didier lui promet que cest une question dhabitude:
- Tu verras-tu y prendras goût. La première fois cest délicat, mais après quelques séances tu nauras plus besoin dencouragements. Regarde, la queue gonfle, raidit. Maintenant tu regardes ses pieds et tu le guides vers ton cul. Oui, recule à quatre pattes, viens au contact, assieds-toi dessus et laisse-toi couler sur ce point damarrage, allez, avale tout, il reste deux ou trois centimètres à mettre au chaud. Je viens par devant , laisse-toi aller en arrière et ouvre tes jambes.
Ils sont si appliqués à viser juste, à éviter lerreur, à donner des conseils quils ne voient pas lappareil qui enregistre leurs déplacements et la mise en place . Jules emprisonne les seins de Lili. Elle bombe son pubis et tire sur les lèvres de sa vulve pour écarter les nymphes rougies par les frottements de la verge qui revient vers son vestibule.
- Que tu sais montrer ton envie. Me voici, reçois-moi. Oui, avec précaution. Rha! Au fond. Fouette cocher.
Didier défonce immédiatement sa monture fixée sur Jules. Les gémissements ne tardent guère. Smart phone en main je me dirige à pas lents des pieds vers les têtes.
Jules est le premier à me voir. Il en perd la voix et tend une main vers moi. Suzon se fait remarquer:
-Salut la compagnie, on samuse ?
Pour voir larrivante les visages de Lili et de Didier se tournent vers lappareil: cest parfait pour la netteté de limage.
- Quest-ce que cette équipe ? Interroge le père de famille dévoué aux causes de détresse sexuelle.
- Mon
mari sétouffe Lili
- Ma femme fanfaronne Jules. Viens ma chérie, je parie que
Il na pas le temps de terminer sa phrase, Suzon lui ordonne de se taire
- Crétin, ton pari est perdu. Tu vois lappareil de Jean? Tout y est. Tu souhaitais divorcer, daccord mais jobtiendrai le divorce pour faute
Je complète:
- Et moi, Lili, comme Suzon je divorce.
- Mon amour, je ne veux pas dun autre que toi, proclame Lili. Cest juste une expérience, pas plus. Je ne recommencerai plus. Il y a longtemps que tu es là ?
- Lili, tu pourras reprendre ton expérience aussi souvent que tu le souhaiteras; mais pas ici. Jai assisté à ta première fois avec Jules: Suzon sétait montrée, souviens-toi, et moi jétais dans le couloir, comme aujourdhui. Tu aimes Jules, tu me trompes avec lui et son complice; moi aussi jai décidé de divorcer.
- Mais cest impossible, je taime.
- Cela se fera pourtant. Je te laisse le choix de la méthode. Ou avec fracas, procès avec preuves de ta débauche à lappui contre toi et contre Jules
- Ne dramatisez pas, reprend Didier. Des amis qui prennent du plaisir ensemble, cest quotidien. Nen faites pas tout un plat. Ça ne vous convient pas. Nous en prenons acte et nous nous engageons à cesser.
Ils sont toujours collés ensemble comme des grenouilles. Je lui fais plaisir :
- Didier, tu es un homme généreux, si jai bien compris ce que tu as raconté depuis ton arrivée. Tu mérites une publicité qui conduira vers toi toutes les femmes en mal damour. Veux-tu te charger de la mienne ?
- Tu as bien entendu ce que jai dit, tu sais donc que je suis marié, garde ta femme.
- Lili tu préféreras sans doute moins de publicité ? Didier ne veut pas sencombrer de toi, il te reste une solution, va vivre chez Jules, reconnais simplement ladultère, plaide coupable et je ne montrerai pas les preuves. Jules sera probablement partisan de cette solution douce au scandale de vos amours de groupe.
- Moi aussi. Merci, je nai pas envie de publicité supplémentaire, précise Didier.
Jules délaissé par Suzon veut savoir :
- Alors tu me donnes ta femme ? Cest vrai? Daccord pour le divorce en douceur. Tu as toujours été un ami. Lili veut-elle de moi ?
- La question arrive bien tard. Elle tappartient. Didier lève-toi.
Lili se détache du pieu coincé entre ses fesses. Je madresse à lamant soulagé :
Parfait. Tu aides Lili à emballer ses affaires, et tu charges ses valises dans ta voiture. Lili ne pleure pas, tu seras plus heureuse avec Jules et occasionnellement Didier. Noublie pas ta lingerie fine. Regarde le dernier cadeau de Jules à Suzon.
La coquine Suzon dégage son string avec plaisir, fait baver denvie Didier et rager Lili. Jules sinquiète enfin et objecte :
- Que devient Suzon? Je ne peux pas entretenir deux femmes.
- Il fallait y penser avant. Ah ! Elle ta annoncé quelle voulait divorcer. En attendant le divorce je propose de lhéberger. Elle peut emménager dès ce soir. Nous passerons chercher ses valises.
Didier oublie de se taire:
- Merci pour la discrétion. Vous ne parlerez pas de moi au procès. Si vous avez besoin de mes services, pour vous ce sera gratuit. Merci Jules pour les deux cents euros.
- Quoi, tu mas vendue comme une putain ? Sécrie Lili en pleurs.
- Je ne recommencerai plus, pleurniche Jules.
- Moi, je veux commencer avec Jean. Vous mavez donné des envies, ma chatte est en feu. Dépêchez-vous de déguerpir.
- Mais alors, vous aussi vous commettez ladultère ! Au procès
Cette fois elle me chauffe les oreilles:
- Il nest pas encore consommé et tu nauras pas de preuve à montrer. Noublie pas, tu as le choix entre deux solutions. Nergote pas, tu perdrais. Tu sais que tu vaux deux cents euros, va
Je najoute pas linsulte, elle lentend peut-être.
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