La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°807)
La soumission de Christine au Château -
Tout à coup Monsieur le Marquis pris mon petit bouton rose érigé en bouche, un cri resta coincé dans ma bouche tant les sensations étaient fortes. Il se mit à le sucer comme on suce un bonbon sur le bout de la langue et en arrière des lèvres. Je voyais mon ventre gonfler et dégonfler de plus en plus vite. Il se concentre sur mon clito avec un art des plus vicieux passant sa langue pour le décalotter et plonger dans les replis rouge sang qui le composent. De ses doigts, je sens quil me passe un fluide frais, doux, un peu épais sur la chatte par de doux mouvements circulaires. Je sens mes jambes trembler de désirs dêtre emplie dun sexe dressé mais non
le Marquis continue ses caresses buccales si
hummmm
Il me mâchonne, métire mes parties si gonflées par le sang et si sensibles. Jen vois blanc, rouge, jaune, des étoiles, je ne sais plus, je suis
à lui, chatte et cul à Sa disposition
. Jai envie de crier, hurler mon plaisir par delà ce bâillon-boule qui me frustre
Et il rit
- Non, non tu ne vois rien, tu es à Moi et moi seul, tu jouiras lorsque Je laurai décidé et pas avant
ha ha ha ha !
Et de reprend son jeu en soufflant sur ma chatte gonflée, et ouverte. Puis dun doigt, il commence à me pénétrer pour appliquer ce fluide huileux que je ne reconnais pas.
- Tu te demandes ce que çà peut être, nest-ce pas ? Hé bien, je récolte aussi du miel au Château, Miel dont jaime le goût et qui mélangé à la cyprine est un véritable délice ! Hum
si tu savais
je raffole de ce mélange. Jai aussi mélangé un peu de cannelle et de gingembre au miel, ce que tu dois commencer à sentir te chauffer dans ta chatte
Jespère que tu apprécies !
Monsieur le Marquis me lance alors un regard espiègle puis tout en me fixant enfonce un second doigt dans ma chatte. Je sens mon vagin se crisper autour de ses doigts qui me fouillent sous le déluge de sensations.
- Hummmm
Oui, ma belle petite femelle, oui, oui, je noublie pas un de tes trous si délicieux
Le Marquis se mit à me caresser des deux côtés de la paroi vagin-anus en faisant glisser ses doigts en moi. Je devenais folle des sensations des mouvements toujours très lents avec lesquels il procédait. Jaurais voulu pouvoir magripper à la table à laquelle jétais liée, pouvoir hurler des plaisirs vicieux dont jétais lobjet. Mais non, jétais contrainte de suivre le rythme de cet artiste des plaisirs sexuels
Plus loin, toujours plus loin, il entrait sa langue dans ma chatte, la dégustant, tirant sur mes lèvres, les tournants entre ses doigts comme pour faire goûter cette technique traditionnelle rwandaise du Gukuna. Et toujours également ce doigt pervers mais si bon qui ne quitte pas mon cul. Il le retire ensuite en douceur et att quelque chose derrière lui et je sens lobjet pointer sur ma rondelle et tout doucement y entrer.
- Humm
regarde comme tu vas être bien préparée avec ça
hummmm.. je sens que je vais adorer te préparer ma petite chienne. » Me murmure le Marquis dun air gourmand.
Je sens mes chairs souvrir tout doucement et aspirer cet objet que je ne connais pas : frais, rugueux abondamment lubrifié et dont la poussée est lente mais constante pendant un temps, puis je sens le Marquis sarrêter un moment et le maintenir avec son genou. Je le sens qui modifie sa position et menfonce le plug (car cest bien de cela quil sagit) dun coup avec son genou en éclatant de rire :
- Ha, ha, ha hummm, celui là il est à sa place !
Puis, se mettant debout il mempoigne et mon sein gauche en me pinçant brusquement le téton et dans le même temps me pénètre de trois doigts avec son autre main. Surprise, je bombe le torse en prenant appui sur mes épaules. Je vois le visage du Marquis dEvans serein et me défiant.
- Humm pour la suite, je vais tenlever ce bâillon, jai envie dentendre comment tu texprimes avec la suite de mon programme
disons
initiatique
humm
A ces mots il défait mon bâillon. Ce qui me fait haleter très fort. - Chutt, ma toute belle, tout doux, cétait juste un petit aperçu !
Ah ? arrivais-je à articuler, ma mâchoire un peu raide.
- Oui, oui, oui fait-il en chantonnant. Là, le Marquis fit un pas en arrière, ouvre son pantalon et le fait tomber. Très calmement, il poursuit : très bien, nous voici prêts pour létape suivante ! Il sapproche de la table en sort une rallonge de chaque côté sur la longueur et grimpe sur le meuble à la manière dun félin. Il se place, sa queue vers ma tête. Son sexe bandant se dresse et approche de ma bouche encore ouverte sous le coup du bâillon.
- Ma belle, nous allons à présent faire connaissance plus
intimement !.
Je vis lombre du corps du Marquis sabaisser sur moi et sa queue entrer dans ma bouche et aller butter au fond de ma gorge. Il remarqua que je navais pas lhabitude, se releva en me regardant sous lui et me dit rudement :
- Maintenant suce moi, je ne veux plus tentendre !
Saisie par le ton de sa voix, jeus le souffle coupé et le sentit reprendre lentement sa position ; enserrant mon entrecuisses pour étirer les chairs et faire souvrir ma chatte un peu plus. Deux de mes trous étaient pleins, je savais que le membre qui remplaçait le bâillon allait encore grossir et ça mexcitait encore un peu plus. Lorsque le Marquis se remit à sucer mon clito, je voulus crier mais cela ne permit quà sa queue de senfoncer un peu plus profondément au même moment je sentis le Marquis semparer de ma chatte à pleine bouche et me limer de sa langue chaude. Aller et venir de mon bouton rouge à la chatte en y plongeant la langue pour en recueillir le nectar. Ma bouche enfermait sa queue, dure, chaude, douce et commençait à le pomper, jouer avec ses reliefs, ses renflements.
(à suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!