Une Semaine À Oublier 3/3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Pierre mon mari est excédé par mon comportement du moment et respectant sa volonté de me punir je suis depuis le lundi retenue captive et maltraitée dans une propriété.
Le samedi:
Cinq hommes viennent voir Mathieu de bonne heure et sont amusés par ma posture.
Je suis bâillonnée, poignets et chevilles menottées à genoux aux pieds de mon bourreau qui est assis dans un fauteuil.
<<alors on va assister au spectacle que tu nous a promis>>.
<<oui vous aller voir la truie baiser avec Jacques le gros porc>>.
<<même si c'est une putain elle ne va pas vouloir faire ça avec ce gars qui transpire et qui sent mauvais>>.
<<ce genre d'animal fait n'importe quoi si on lui donne l'ordre>>.
<<tu crois>>.
<<vous allez voir. Toi la traînée est ce que tu a envie de faire l'amour avec Jacques l'obése et mieux que la dernière fois car ces personnes ne veulent pas être déçues par le spectacle>>.
Ne pouvant pas parler je hoche le tête pour dire oui. C'est vrai que la première fois que j'ai été captive j'ai fais jouir cet homme en réprimant ma révulsion.
<<vous voyez, ça n'a aucune morale, ce genre de chienne ça pourrait vivre dans une porcherie et je vais vous montrer quelque chose>>.
Mathieu allume la télé et stupéfaite je vois défiler sur l'écran le spectacle de mon accouplement avec Amandine.
Les quolibets fusent, je suis morte de honte.
Jacques sonne à la porte.
Mathieu emmène ses invités dans une pièce ou ils vont pouvoir assister discrètement à mes ébats sexuels sur des écrans car comme je l'ai déjà constaté il y a des caméras partout dans la maison et à l'extérieur.
Jacques entre dans le salon et son physique ne m'inspire pas, c'est une masse de graisse et il ne doit plus voir son sexe depuis longtemps.
En buvant un verre ils parlent de moi et mon maître lui dit qu'il peut disposer de mon corps.
Débarrassée des menottes et du bâillon l'obèse m'emmène dans une chambre en me tenant en laisse.
Debout faisant fi de ma répulsion je passe mes bras autour de son cou et je l'embrasse, nos langues se mêlent dans de longs baisers.
Il caresse mon corps pendant que je le déshabille ce qui n'est pas aisé vu sa corpulence. Une fois nu la vue de son corps qui n'est que graisse et boursouflures, sans parler de l'odeur de sueur, me donne envie de battre en retraite.
En prenant mon temps j'embrasse, lèche et caresse sa poitrine puis son ventre et enfin ses cuisses.
Je lui demande de s'allonger en travers du lit en laissant pendre ses jambes, ainsi l'accès à sa queue qui paraît petite par rapport à la corpulence de l'homme est plus aisé.
Je caresse puis lèche et enfin engloutis sa verge dans ma bouche. Ma tête que j'ai passée sous les bourrelets de son ventre les soulève pendant que je lui fais une fellation.
Je m'active pour qu'il éjacule rapidement et c'est ce qui arrive, son sperme arrose ma gorge. Je recrache sa semence dans une serviette et continue la fellation pendant un bon moment.
Sans que sa queue ne quitte ma bouche il s'allonge correctement sur le lit puis je me mets à califourchon sur lui et m'empale sur son pénis. Je fais des mouvements verticaux rapides avec mon bassin pour faire coulisser son membre dans ma chatte.
Il ne bouge pas ses doigts accrochées à mes hanches et savoure les yeux fermés.
Je remue un bon moment avant de sentir sa queue trembler et libérer sa semence dans mon vagin.
Je me déplace et le masturbe longtemps, il finit par bander de nouveau mais pas bien, j'alterne la fellation et la masturbation pendant qu'il souffle beaucoup.
De nouveau je m'empale sur sa verge et je remue longtemps.
Les va-et-vient de ma chatte sur sa queue ont du mal à donner un résultat alors j'alterne masturbations, fellations et coïts.
Je me retire et essuie sa queue puis ma chatte.
Jacques se relève un peu groggy, j'attends au pied du lit qu'il se rhabille et me reconduise vers mon maître.
<<alors Jacques ça t'a plu>>.
<<oui, elle est bonne et bien dressée ton esclave, un jour il faudra me la prêter>>.
<<ça peut se faire>>.
Ils boivent un verre pendant que je reste à genoux à côté du fauteuil de Mathieu.
Jacques s'en va.
Mathieu appelle les cinq hommes qui assistaient à mes ébats sur un écran et pendant qu'ils boivent un verre ensemble les commentaires et sarcasmes vont bon train. Je suis considérée comme une moins que rien qui accepte n'importe quoi.
Une humiliation de plus.
Mon tortionnaire me demande de me laver dans la cuisine devant eux, honteuse de m'exhiber ainsi j'obéis et me nettoie à l'aide d'une éponge et d'une serviette posées sur l'évier.
<<vous voyez qu'elle n'a ni amour propre ni pudeur, elle se comporte comme une chienne>>.
Le spectacle les intéresse et je supporte leurs commentaires sans broncher.
Une fois propre je suis bâillonnée et menottée et je me couche recroquevillée aux pieds de mon maître en attendant que ses amis partent.
Nous mangeons: lui à table, moi l'assiette posée sur le sol.
Ensuite je retrouve mon cachot et les chaînes, je reste seule dans le noir après qu'il m'aie prise debout comme à son habitude.
L'après-midi
Du monde entre dans ma geôle.
Tous ceux qui étaient là le matin sont revenus. Mathieu me menace.
<<Si un seul de ceux qui vont te sauter est mécontent tu seras punie>>.
Pendant qu'on pose un matelas sur le sol, Mathieu me libère et relie mon collier à la chaîne qui est près du matelas sur lequel je m'installe attendant le premier assaut.
Au début c'est la folie, ils sont impatients et se bousculent. Je suis à genoux, ma bouche et ma chatte sont investies et arrosées de sperme en permanence.
La situation devient plus calme quand chacun a éjaculé une ou deux fois.
Ils commencent à me délaisser pour aller parler et boire dans le salon. Couchée sur le dos ils reviennent me pénétrer quand ils en ont envie ce qui fait durer mon épreuve, je remue de mon mieux pour accompagner les va-et-vient de leur pénis dans mon intimité.
Maintenant je les masturbe plus souvent que je ne suce leur verge car ils bandent moins facilement.
Pour s'exciter ils martyrisent mes seins et mes tétons, certains masturbent mon clitoris satisfaits quand ils voient mon bassin bouger.
A force d'être pénétrée le plaisir que je ressens est fort.
Quand un partenaire arrive à me faire jouir il est heureux de le commenter aux autres.
Mon calvaire dure longtemps avant que le dernier assaillant n'abandonne le combat.
Le dernier qui m'a pénétrée remet la laisse sur mon collier après avoir retirée la chaîne qui me retient prisonnière, il me ramène jusqu'au salon ou mon maître prend les choses en main.
<<Paul est déçu il n'a joui que trois fois et trouve que tu n'as pas assuré>>.
Excuse bidon pour pouvoir me punir.
<<maître je vous demande de me pardonner si je vous ai déçu>>.
<<allonges toi sur le dos>>.
J'obéis, il me bâillonne,attache mes poignets avec des sangles et en fait de même pour mes chevilles.
Il passe un long tube métallique dans les liens et demande à deux hommes de tenir chacun une extrémité du tube et de me soulever, ce qu'ils font, je décolle du sol et mes membres qui sont étirés me font mal.
Il me portent, sortent de la maison et se dirigent là ou se trouvent les chevalets sur lesquels ils posent les extrémités du tube.
<<la putain n'est pas assez surélevée, elle touche le sol, il faut mettre des cales sous le tube pour que ses fesses et son dos soient au moins à dix centimètres au dessus du sol.
Une fois satisfaits de ma position, ils rentrent tous dans la maison en commentant et riant me laissant pendue par les poignets et les chevilles. J'ai de plus en plus mal, les larmes coulent sur mes joues.
Maintenant Mathieu me traite vraiment comme un animal, je ne me sens plus humaine.
Quand dans la nuit avant de rentrer chez eux, ils repositionnent le tube métallique pour que mon dos et mes fesses touchent le sol et je dois dormir dans cette position très inconfortable sur de la paille qu'ils viennent d'étaler. mes membres sont ankylosés et douloureux, je ne m'assoupis que par intermittences.
Pendant la nuit soudainement des éclairs illuminent le ciel et peu après un orage gronde puis il se met à tomber des trombes d'eau.
Je suis trempée et je grelotte, la pluie cingle ma peau, mes seins sont durs et les tétons érigés.
Le temps passe et Mathieu ne vient pas me détacher pour que je rentre dans l'habitation. J'ai très peur.
Quand enfin l'orage cesse je suis transie et ce n'est pas encore le matin.
Le dimanche matin:
Il fait jour depuis un moment quand enfin mon tortionnaire apparaît et me détache.
<<il pleuvait trop cette nuit, je n'ai pas voulu me mouiller pour une salope comme toi et puis comme tu étais déjà trempée je ne voyais pas l'intérêt de te faire rentrer à l'intérieur. j'ai juste regardé sur un écran si tu allais bien>>.
Frigorifiée et tétanisée j'ai du mal à marcher, il tire sur la laisse pour me faire avancer.
Voyant mon état il consent à me laisser prendre un bain chaud avant de déjeuner et de lui faire une fellation puis il m'enchaîne dans la salle de me laissant une certaine liberté de mouvements.
dans la matinée il pénètre avec trois hommes dans mon cachot, me libère et je dois me coucher sur un plaid étendu sur le sol de béton uniquement enchaînée par le collier.
<<je vous laisse mon esclave, faites en ce que vous voulez sans l'abîmer>>.
Il s'adresse à moi.
<<soit gentille avec eux, ils ont rarement l'occasion de s'éclater avec une putain comme toi>>.
<<oui maître, je vais faire ce qu'il faut pour qu'ils aient du plaisir et soient satisfaits de moi>>.
Le premier s'allonge sur le dos, à genoux entre ses jambes je lui fais une fellation pendant que le deuxième me prend en levrette. excités ils ne tardent pas à éjaculer et la queue du troisième est dans ma bouche pendant qu'un des deux autres pénètre mon vagin, je me retrouve avec une verge dans une main.
De nouveau ma gorge et mon vagin sont arrosés par du sperme.
Ils permutent et chacun leur tour ils me prennent, ma bouche et mon intimité sont investies en permanence, j'ai toujours une queue à masturber pour la tenir ou remettre en forme.
Quand enfin après s'être soulagés plusieurs fois dans mes orifices ils sont satisfaits et me laissent tranquille j'ai la permission de me nettoyer à l'eau froide au lavabo qui se trouve dans la pièce avant d'être de nouveau bâillonnée et enchaînée.
Le dimanche après-midi:
J'ai pris mon repas du midi et j'attends menottée et bâillonnée. Je suis couchée recroquevillée sur le sol aux pieds de mon maître comme une chienne quand des hommes commencent à arriver. Ils boivent un verre tout en me fixant et parlant de moi en terme peu flatteurs pour ma dignité.
Ils sont maintenant sept invités et mon bourreau décide que "les festivités" peuvent commencer.
Tenue en laisse je regagne mon cachot ou un matelas est maintenant posé sur le sol. Je dois m'allonger dessus seulement attachée à une chaîne par mon collier.
Mathieu leur dit:
<<ne la détachez pas, on ne sait pas ce que peut faire une bête sauvage quand elle est en liberté>>. Ce qui fait rire tout le monde.
Le défilé d'hommes commence et dure longtemps.
Je dois en satisfaire un, ou deux en même temps suivant leurs envies.
Ils me pelotent partout, introduisent des doigts dans ma chatte et même mon anus, triturent et martyrisent mes tétons qui deviennent douloureux
Je fais beaucoup de fellations à en avoir la mâchoire douloureuse puis je privilégie les masturbations.
Ils me pénètrent soit allongés sur moi, soit positionnés derrière moi quand je suis allongée sur le côté les jambes repliées pendant que je suce un pénis ou bien ils me prennent en levrette.
Arrive le moment ou le plaisir monte de plus en plus dans mon ventre à force d'être pénétrée et je commence à avoir des orgasmes ce qui les amuse beaucoup.
Je gémis et râle beaucoup, mon corps se déplace sur le matelas sous l'effet du plaisir.
Me voir jouir leur donne une idée: chacun leur tour ils masturbent mon clitoris en chronométrant pour voir qui mettra moins de temps pour m'amener à l'orgasme.
Ils s'amusent de voir mes spasmes et les jets de cyprine sortir de mon vagin à chaque fois que je jouis. Mon entre-jambes, mes fesses et le matelas sont trempés par ma mouillure abondante.
Je ne suis plus du tout lucide quand enfin le dernier qui bandait encore se soulage dans mon vagin après m'avoir défoncée très longtemps. Mon calvaire cesse enfin.
Sans me laisser le temps de récupérer mon maître vient me chercher et me ramène tenue en laisse dans le salon, je le suis en titubant mes jambes ont du mal à me porter.
Je m'affale aux pieds de Mathieu essayant de récupérer.
<<tu es sale et tu pues, laves toi dans la cuisine>>. c'est vrai que j'ai du sperme partout.
Je rince ma bouche et me lave comme je peux dans l'évier avec une éponge sous le regard de ses amis qui n'en perdent pas une miette et commentent surtout quand l'éponge est entre mes cuisses.
Je reviens vers mon maître qui me bâillonne et me menotte, il me tire vers le salon et je m'agenouille à côté de sa chaise ou assis il boit et parle avec ses invités.
Mathieu décide de me donner à manger, il pose une assiette sur le sol et libère ma bouche, j'avale la nourriture sous les quolibets.
Chauffé par l'alcool il s'adresse à moi.
<<décidément tu es nulle même pour le cul, plusieurs de mes invités sont mécontents>>.
Quelle mauvaise foi.
<<je vous demande pardon maître, j'ai fais de mon mieux>>.
<<même comme putain tu n'es pas à la hauteur, je ne vais pas laisser une truie comme toi détruire ma réputation par son incompétence, je vais te punir>>.
De nouveau réduite au silence et me tenant en laisse il m'emmène dans ma prison suivi de ses copains que la situation amuse.
Adossée au mur les chaînes remplacent les menottes.
Ils se mettent à plusieurs pour tirer sur les chaînes, mes bras sont étirés vers le haut et mes pieds ne touchent plus le sol, je me retrouve pendue par les deux poignets avec en plus les jambes fortement écartées.
Ils quittent la pièce en riant et se moquant de moi, je reste ainsi longtemps dans le noir, je pleure sous l'effet de la douleur.
Je commence à être conditionnée et à croire que je mérite ce traitement car je ne dois pas être à la hauteur vu que ma conduite déçoit mon maître et ses amis, j'accepte plus facilement ce qu'il me fait subir. Je commence à perdre pied.
Beaucoup plus tard quand ses amis sont partis Mathieu entre dans la pièce et me détache mettant fin à ma souffrance.
Il retire le matelas estimant que trop de confort ce n'est pas bon pour moi et après m'avoir attachées les mains dans le dos il m'allonge sur le plaid étendu à même le sol.
Il accroche une chaîne à mon collier, il écarte mes jambes et attache mes chevilles avec les sangles fixées sur le sol.
Il s'allonge entre mes jambes après avoir dégagé son gros pénis du pantalon, il me pénètre sauvagement.
Il me défonce longtemps car l'alcool qu'il a ingurgitée a diminué sa libido. Il s'escrime et les va-et-vient de sa queue dans ma chatte me font mouiller.
Les clapotis accompagnent ses coups de reins et ses testicules tapent contre mes fesses.
Il maltraite mes seins et surtout les tétons.
J'essaie de remuer en même temps que lui mais vu comment je suis attachée les mouvements de mon bassin sont limités.
Il finit enfin par avoir un semblant d'éjaculation.
Il se relève et me quitte en me disant que je suis trop nulle sur le plan sexuel et que cela lui coupe ses moyens et que je le dégoûte.
Il ne reviens pas me voir de la nuit.
Le lundi:
Mon maître plus en forme que la veille au soir vient me chercher de bonne heure, à genoux à ses pieds je déjeune puis je lui fais sa pipe matinale.
Je vais me laver dans la salle de bain ou je trouve mes vêtements. je me rhabille.
Il me parle avant que je ne quitte sa maison.
<<si la première fois que tu es venue tu ne m'as pas trouvé assez sévère, je pense que cette fois tu as été servie. Tu peux revenir me voir j'ai d'autres supplices en réserve pour une maso comme toi.
Je sors après qu'il m'aie dit:
<<au fait! les cassettes du weekend que tu as passé ici se sont très bien vendues, celles de cette semaine vont faire un carton>>.
Sa phrase me choque mais je pars sans me retourner ni répondre, je ne cherche pas à savoir si c'est vrai ou s'il bluffe.
Pierre m'attend dans une rue plus loin.
Je monte dans sa voiture,je passe mes bras autour de son cou et je l'embrasse fougueusement.
<<tu as mauvaise mine et les yeux creux et cernés, tu as du en baver, j'espère que la leçon te sera utile>>.
La joue contre sa poitrine je fonds en larmes.
<<ne m'envoie plus chez cet homme, c'était horrible ce que j'ai subi>>.
<<cela dépendra de toi et de ton comportement car les punitions seront de plus en plus dures>>.
<<je te demande pardon et je vais faire des efforts>>.
Cela va me calmer mais pour combien de temps??? et il va me falloir du temps pour retrouver mon équilibre.
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