Collection Pute. Grand-Mère Odette. Début De La Saison Vi (16/18)

Et dire qu’au début de mon histoire, je pensais que Chris71 en écrirait deux saisons.
Au début de la sixième, je viens m’excuser auprès de lui.
En relisant ces 15 chapitres, je viens de m’apercevoir que je m’étais accaparé des idées de mon auteur favori alors qu’il m’avait carrément sortie de mon caca.
Je m’en excuse et qu’il en soit remercié.
Je profite de sa plume pour émettre un nouveau vœu.
J’ai quatre lingots d’or allemand datant de la dernière guerre mondiale, gardés par des pirates, dans un coffre d’s chez mon amie Sacha, quelle idée aurait-il pour que je les monnaye sans trop y perdre.

Je sens qu’une nouvelle fois, je vais me faire avoir et ça dès la sixième saison, mais que voulez-vous, j’adore rendre service à mes chères femelles, alors une nouvelle fois je vais chercher une idée tenant la route.
À moins que vous ayez l’idée de m’aider soit par Mail, soit dans les commentaires.
Mais revenons à Gladys et Karine.

Je viens de réussir à ce que Karine joue avec moi les cadeaux pour Luis et Mario ce jour de leur 24e anniversaire.
Elle est plus timide aujourd’hui que le jour ou elle s’est occupée de mon amant.
C’est un peu con, je cherche du personnel supplémentaire pour remplacer Sacha et il semble que Karine ferait une jolie remplaçante pour satisfaire mes clients.

• Je vais me rafraîchir avant de rentrer dans mon cadeau.
Je suis en sueur et il faut que l’eau reste propre.

Luis sort dans le jardin par la fenêtre ouverte de la véranda.
Il se déshabille nous montrant ses magnifiques pectoraux et plus un peu plus bas.
Je vois que Karine a les yeux lui sortant de la tête.
Si je comprends bien, elle a une vie qui doit la dépasser depuis qu’elle est tombée dans les pattes de celui qui voulait être son souteneur.
Je fais partie de son dépassement, car il doit être certain que je suis loin de la petite fille ayant trouvé que sa grand-mère maternelle était toujours de ce monde et qu’elle tient un bordel en Belgique.


L’eau est agréable, je me rapproche d’elle et la prends dans mes bras.
Mario se désappe et entre près de nous.
À l’extérieur, son double s’est emparé du jet d’eau servant à arroser et m’en faisant froid malgré la chaleur de l’eau et de l’air s’asperge et se frotte le corps.
Il voit que nous le regardons et nous fait signe que tout va bien.
Deux minutes et il nous rejoint.

• Karine, avant de te vouloir te faire faire la pute, Mario t’a baisée !
• Oui, il m’a appris à sucer sa queue.
• Je vois, avant que tu le fasses avec la clientèle qu’il t’avait certainement trouvée.
Un, Mario peut en cacher un autre, suce mon ami, moi je vais m’offrir à Luis.

Luis qui nous rejoint et qui comme son frère entre prestement dans le Jacuzzi.
Mario se redresse et Karine sans se rebeller prend la verge que le garçon lui propose.
À la manière dont elle le suce tout en le masturbant, son professeur savait y faire et si je réussis mon idée, c’est un travail de moins que Sacha ou moi aurons à lui apprendre.
Elle devient le cadeau d’anniversaire de Mario pendant que prenant Luis à mon tour en bouche, je suis celui du jumeau.
D’un œil, je surveille si elle prend des initiatives, Luis tendu et prêt à me satisfaire s’assoie face à moi me tirant par la main.
Sa verge connaît le chemin bien que lorsqu’ils m’ont pris la dernière fois jusqu’en double pénétration, lequel était dans ma chatte et lequel me sodomisait, je suis loin de pouvoir le dire.

• Ta chatte est toujours aussi chaude que lors de ton passage chez nous.
On se fait du bien et tu nous dois nous expliquer pourquoi alors que nous sommes en septembre, tu es toujours là !

Je regarde Karine, impossible de la voir fuir si elle entend que je tiens un bordel.
Elle le découvrira assez tôt.
Mais c’est Mario qui l’intéresse, elle ou il l’a redressé et ils s’embrassent goulument.
Le Mario du Sud semble être le cadet de ses soucis surtout que la main du Mario du Nord est entre eux et doit la fouiller.

Il se sépare un bref instant et il l’aide à sortir de l’eau.
Sans l’essuyer, il la tire jusqu’au canapé du salon faisant fi de l’eau qui le mouille.
Il fait chaud, le tissu va vite sécher.
Je laisse ma copine se payer une tranche de vie avec mon partenaire d’un soir et je me concentre au plaisir de mon partenaire et au mien bien sûr.
Depuis les bites des clients le soir où j’ai remplacé Sacha, c’est la première qui arrive à me faire jouir après plus d’une demi-heure où il me prend.
À cheval sur lui, à quatre pattes sur l’un des sièges du Jacuzzi.
Fini de me demander si c’est lui ou l’autre qui était dans ma chatte lors de la double pénétration qu’ils m’ont fait connaître.
Il commence par ma chatte et se servant de la position, il finit dans mon cul.
J’entends Karine jouir sur son canapé au même moment ou à mon tour, je m’envole.
Ouf, je suis bisexuelle, j’avais peur d’être devenue une gouine.
Libéré, je m’assieds, Luis prend le siège voisin, je vois Mario nous rejoindre, la verge encore tendue, il prend place à mes côtés.

• J’ai achevé ta copine, le voyage et notre petit moment intime l’a tuée.
Devinez, elle dort en suçant son pouce.
Et tu dis que l’autre voulait en faire une pute, tu me diras, sa docilité lui aurait facilité la tâche pour satisfaire ses clients.
Si je rencontrais une prostituée à qui il me suffirait de lui donner des ordres, je serais aux anges.
• Ça tombe bien, tu es sûr qu’il lui est impossible de nous entendre.
• Je suis encore en forme et je sais que tu es assez grande pour nous achever tous les deux, j’ai tiré la porte-fenêtre et les vitres sont anti-bruit.
Pourquoi, qu’as-tu à nous dire ?
• Devinez, j’ai retrouvé ma grand-mère.
• Ta grand-mère ?
• Oui, elle est vivante et pour de sombres histoires, elles se sont fâchées avec ma mère qui m’a toujours cachée son existence.
• Elle est dans une maison de retraite !
• Pas loin depuis qu’elle a fait une attaque et semble être entrée dans un monde parallèle.

Elle tenait un commerce et c’est moi qui vais être sa tutrice, ma mère refuse de venir la voir à cause de ce qu’elle faisait et qui l’a fait partir la première fois.
• Tenait-elle une boîte à putes comme il en existe en Belgique ?
Tu sais Mario, nous en avions parlé et nous contions y aller.
Si ça avait été mon tour de choisir notre cadeau d’anniversaire, je t’aurais emmené à Tournai, il y en a une ou il y a de jolie fille à ce que j’ai entendu dire.

J’éclate de rire, je me demandais comment attaquer pour leur avouer que je tenais ce bar à pute.

• Pourquoi ris-tu, j’ai dit quelque chose de drôle ?
• Si tu veux, dans les heures prochaines, j’aurais besoin de vos services, je vous invite dans ce bar à putes !
• Tu le connais !
• Luis, Gladys a retrouvé sa grand-mère qui tenait ce bar à filles et qui a dû faire un AVC.
Tu as devant toi, pardon à ton côté une maquerelle qui fait travailler des filles.
• Maquerelle si tu veux Mario, alors que je loue simplement un espace de travail à mes filles qui reçoivent librement leurs clients.
Certes, ma grand-mère gagnait sur leurs passes et sur les consommations que les filles arrivent à se faire payer.
Si Karine était restée avec Mario à Marseille, elle aurait sucé, se serait fait baiser et ce serait lui qui se serait mis des biffetons dans les poches pour les perdre aux cartes ou aux dés en buvant des pastis.
Chez moi, chacune de nous à sa part, même les impôts, tout est légal et suivi par la police.
• Reste calme Gladys, nous aimons la fougue avec laquelle tu défends ton bisness et tes filles.
Il faut des maçons pour réparer vos maisons et des filles pour satisfaire les bites de garçons comme nous qui trimons toute la semaine pour nous payer un Jacuzzi.
• Sortons de l’eau, j’ai faim, voyons ce qui se trouve sur cette table, je vois, du champagne dans son seau rempli de glace.

Nous non plus, sans nous sécher, nous rejoignons la table.

C’est triste une table avec deux chaises face à face.
Surtout quand ces deux sièges sont face à face et qui plus est prévu pour le cul de deux frères.
La troisième qu’un des deux apporte, me remet dans l’embarras, je le suis retournée les quittant des yeux un moment qui est qui, c’est de nouveau foutu.
Ouf ! Sauvée !

• Luis, installe Gladys, je vais chercher l’entrée.

Luis à ma droite, Mario qui est passé par une porte donnant sur la cuisine évitant de réveiller Karine, revient avec un magnifique saumon.

• Tu vois Gladys, si tu dois épouser l’un de nous, prends Mario, c’est lui le cuisinier et celui qui fait les courses.
Moi, je me contente de mettre les pieds sous la table.
À non, je fais ma part, tout à l’heure, c’est moi qui ferais le café.
• Et la vaisselle !

Succulent, pas une arrête, Mario les enlève avant cuisson à la pince à épiler.
Mais j’aime baiser avec eux, mais me marier, même pas en rêve.
Champagne, très bons, ils le tiennent d’un vigneron de Reims chez qui ils ont fait un chantier dans sa cave malgré la distance.
Il rigole des nuits à dormir dans leur camion à la belle étoile, par chance c’était l’été.

• Pouvez-vous me donner le numéro de portable, je dois engager deux filles, Mario que penses-tu de la manière de baiser de ma copine Karine, elle ferait l’affaire ?
• Simple, tu commandes, elle s’exécute, banco pour elle.
• Je dois recevoir une nouvelle dès mon retour Clarissa, 23 ans et blonde.
Je la reçois et si les conditions lui vont, je vous appelle pour venir le soir où je la ferais commencer.
Vous me demanderez deux filles, il y aura Sacha qui va être mon bras droit et Clarissa.
Vous irez baiser, surtout la nouvelle jusqu’à une double pénétration.
On verra ses réactions et je l’embaucherais.
• Serons-nous tes invités ?
• Il va de soi, vous serez les premiers à baiser avec elle sans ouvrir votre bourse.
Les consos aussi seront à ma charge.
Vous commanderez du champagne pour offrir à la fille, bien sûr si vous jugez qu’elle est une bonne professionnelle.
Votre champagne est bon, bien meilleur que celui que je vends à mes clients.
Dites-moi, votre petit viticulteur, il serait possible de le rencontrer...

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