Série « Les Voisins » Épisode 9 : Claire Découvre Que Son Amie Évelyne Est Une Véritable Salope Qui Baise Avec Son Mari.
Je mappelle Claire, je suis une femme de 55 ans vivant en couple avec un homme charmant de 10 ans mon ainée. Je vais vous raconter comment tout à basculer dans ma vie de femme comblée. Je métais mariée à 23 ans avec Jean-Pierre que jaimais profondément, avec lequel nous avions eu deux s. Il avait un métier qui nous permettait de subvenir à tous nos besoins, dans la vie de tous les jours, nous nous entendions bien et sur le plan sexuel, je nétais pas de celles qui refusait un petit câlin, au contraire. Nous avions donc tout pour être heureux.
Je naurais jamais pensé quune très bonne amie pouvait devenir votre pire ennemie et détruire ainsi tout ce que vous avez construit pendant plus de quatorze ans. En effet, je connaissais Evelyne depuis la primaire, nous étions inséparables depuis quelle sétait mariée elle avait quitté la région. Deux ans plus tard, son mari ayant perdu son emploi, elle mavait demandé si Jean-Pierre pouvait, avec sa notoriété, lui trouver quelque chose. En effet, mon mari avait fait embaucher Didier à la commune et depuis, nous avions repris notre amitié comme par le passé. Ils avaient même acheté la maison voisine à la nôtre, huit ans plus tard.
À cette époque en 2003, je venais de fêter mes 38 ans, nos s : Hugo et Anaïs avaient respectivement 13 et 11 ans, nos voisins étaient sur le point de rompre, ils ne sentendaient plus, cela faisait trois ans que Didier soupçonnait Évelyne de le tromper. Pourtant moi qui la connaissait bien et avec laquelle nous parlions de tout, à aucun moment, elle ne mavait fait aucune allusion à un quelconque amant. Jétais persuadé que Didier se trompait et quand nous en parlions en aparté, je le lui disais, javais envie que leur couple se réconcilie et revive comme auparavant.
Cette semaine-là, je mennuyais, Jean-Pierre était parti en séminaire pour son travail et en y réfléchissant de plus près, je mapercevais que pour moi aussi la routine sétait installée dans notre couple, JP ne me procurait plus de plaisir, il était plus distant et me câlinait beaucoup moins.
Me retrouvant toute seule dans ma grande maison, javais accepté linvitation. Lorsque jétais arrivée, pensant être uniquement en compagnie de mes voisins, je fus surprise de voir quun autre homme était également présent. Patrick était un collègue dÉvelyne, élégant, la quarantaine, courtois mais très charmeur. Jamais lidée dêtre infidèle ne mettait passé par la tête, pourtant mon amie avait tout fait pour. À lapéritif, elle avait eu la main un peu lourde, me servant cocktail sur cocktail pendant que ce beau mec assis à mes côtés essayait de me séduire discrètement. Ce fut la même chose lors du repas, sauf que Patrick devenait un peu plus entreprenant, sans jamais être trop direct.
Avec lalcool, javais très apprécié dêtre courtisée, surtout que jétais un peu en manque daffection. Évelyne avait tout prévu dans mon dos, elle savait que son ami (probablement un ex amant), était très séduisant beau parleur et quen insistant un peu, il avait des chances de me séduire. Elle mavait fait boire plus que de raison, jétais euphorique et heureuse que lon soccupe de ma petite personne. Lorsque nous les avons quittés, je riais aux éclats pour un oui ou pour un non, je nétais pas dans mon état normal et je ne marchais plus droit. Tout naturellement, Évelyne demanda à Patrick de mamener jusquà ma porte, je lui avais pris le bras afin que je ne tombe pas en rentrant chez-moi.
Je ne sais plus très bien comment cela sétait passé exactement, si je lavais invité à rentrer ou sil avait ma porte mais dans un moment de lucidité, je maperçus que je me retrouvais en sous-vêtements dans ses bras sur canapé.
Des frissons parcouraient mon corps en attente, je sentis sa verge en érection au bord de mon intimé, son gland au contact de ma fente mouillée par le désir me fit couler un peu plus de cyprine, javais quitté ce monde, à mille lieues de penser à mon mari, à mes amis, je ne me rappelais même pas le prénom de mon partenaire. Doucement il entra son sexe petit à petit et senfonçait toujours plus loin me remplissant entièrement le bas ventre. Soudain je contractai tous les muscles de mon vagin, se crispant autour de sa queue que je ressentais très dure et si puissante.
Je mabandonnai complètement, cétait un plaisir indescriptible de sentir sa verge aller et venir en moi. Mes mains tremblaient en serrant les coussins, mon cur battait la chamade, ma respiration haletait, je gémissais tellement, quencouragé par mon comportement, il accéléra ses va et vient. Ils devenaient maintenant puissants, plus brutaux et je sentais à nouveau cette fameuse chaleur qui envahissait tout mon corps. Je serrai ses belles fesses entre mes mains et je lui demandai de me prendre plus fort encore. Je savais que lorgasme nétait plus très loin. Après quelques coups de reins bien maitrisés, je jouis avec bonheur avec un sexe dans ma fente, bien plus gros que celui de JP, cela ne métait pas arrivé depuis un long moment.
Très peu de temps après, Patrick éjacula abondamment dans mon intimité. Jétais heureuse de sentir au fond de moi son sperme chaud couler dans mes entrailles.
Javais vécu un calvaire les trois jours suivants en attendant avec impatience le retour de Jean-Pierre. Je navais pas peur de tomber enceinte, je prenais la pilule mais avec les maladies sexuellement transmissibles, je nétais pas rassurée. Ce qui me gênait le plus en fin de compte, étaient les énormes remords sur mon infidélité et je ne savais pas sil fallait que je me taise ou lavouer à mon mari. Si dix jours plus tard, le test VIH fut négatif, ce qui me rassura de ce côté-là, ce fut une toute autre histoire le samedi matin au retour de JP. Il avait attendu que nos s soient partis à lécole pour mannoncer quil avait lintention de divorcer. Je venais de recevoir un coup de masse sur le crâne. Ce fut avec dénormes difficultés que je lui avais demandé pourquoi ?
Écoute chérie, jai rencontré quelquun il y a trois ans, maintenant nous désirons vivre ensemble.
Ce nest pas possible enfin ! Qui cest ? Je la connais ? Tu ne peux pas me faire ça. Tu me trompes depuis trois ans avec qui ? Ménerve-je.
Évelyne ! mavoua-t-il tout de suite avant de reprendre. Elle est en train de dire la même chose à Didier en ce moment, nous nous installerons ensemble après le divorce.
Je navais pas attendu la suite, jétais partie dans la chambre pour pleurer et je ne lavais pas quitté jusquau soir. JP avait emmené les s chez mes parents et leur avait annoncé la nouvelle, jétais abattue.
Ce ne fut pas le cas, Évelyne avait pris une photo de mon adultère, sur celle-ci, je ne pouvais nier lévidence. Si sur le cliché on ne savait pas qui était mon partenaire de dos, on voyait bien mon visage lorsque jétais chevauchée par mon amant dun soir de cuite. Cette nouvelle trahison de ma meilleure amie fut insupportable à vivre. Malgré cela, JP avait consenti de me laisser la maison, de me verser une pension et me laissa la garde des s quil ne prenait que quelques week-end et pendant les vacances. Ce ne fut pas le cas pour elle, Didier avait fait en sorte quelle perde tous ses droits. Côté financier, étant la propriétaire dune boutique de prêt à porter et mon mari, gérant de sa société, ils navaient pas de problème dargent.
Didier avait vendu la maison très rapidement et je ne voulais plus entendre parler de voisins, je vivais en solitaire entre mon travail, mes s et mes parents, cela me suffisait amplement. Après le départ de JP, javais pris lhabitude de me passer des hommes, seulement quelques mois plus tard, javais très envie de faire lamour, nayant aucun amant, javais téléphoné à Patrick qui mavait laissé sa carte. Là encore javais regretté, il fut pourtant un bon amant, mais je navais pas pris un plaisir immense et nous navions rien en commun, nous navions aucun sujet de conversation hormis le sexe.
À partir de là, je décidai de faire une croix sur les hommes qui ne pensaient quau sexe car javais besoin de sentiments pour faire lamour, jattendais donc le prince charmant afin quil vienne me délivrer. Ne désirant pas tomber dans le célibat et dans la morosité, javais toujours gardé lespoir de trouver cette perle rare. Pour cela, jaimais me mettre en valeur en mhabillant toujours un peu sexy. Je pouvais dire daprès mes collègues et le nombre de clients qui me courtisaient régulièrement que jétais une femme qui plaisait à la gente masculine. Je soignais mon joli minois, mes yeux bleus et ma chevelure blonde mi longue étaient un atout.
Malgré mes deux s, mon corps nen avait pas trop souffert, je navais pas une poitrine très opulente, cependant mes seins étaient encore fermes. Mes longues jambes fines et musclées dune femme de 1,68 m, sur les talons hauts que je portais, mettaient en valeur la cambrure de mon fessier. En juin 2006, soit deux ans après mon divorce, je venais de fêter mon quarantième anniversaire, lorsque javais rencontré Pierre, un très bel homme de mon âge, un client que javais conseillé, dans le rayon librairie du supermarché où je travaillais. Il était venu plusieurs fois dans la même semaine, je nen étais pas tombée amoureuse mais incontestablement, cet homme me plaisait et mattirait.
Avant daccepter sa première invitation à boire un verre en ville après mon service, javais attendu deux semaines entières où il était venu me voir spécialement tous les jours. Pierre était particulièrement cultivé et notre conversation fut très courtoise. Jétais donc retournée le lendemain avec lui dans la même brasserie après mon travail. Il montrait son intérêt pour moi mais restait très correct, il se montrait très patient, il attendait que je sois prête. Je mapercevais que je ne mennuyais pas avec lui, il était parvenu après le troisième rendez-vous, à que jaccepte enfin son invitation au restaurant où ce soir-là, je métais dévoilée sur ma vie sentimentale et lorsquil mavait raccompagné, nous nous étions embrassés pour la première fois, avant que je rentre sans lui proposer de venir boire un dernier verre.
Je navais aucune intention de lui montrer que jétais une femme facile. Sil voulait me mettre dans son lit, je le saurais rapidement car javais décidé de le faire languir, même si ce soir-là, il mavait émoustillée à tel point que je métais masturbée en rentrant en pensant à lui. De cinéma, en restaurant, les mardis et vendredis soir, lorsque les s dormaient chez mes parents, Pierre devait se languir, cela faisait un mois et demi que nous sortions ensemble et nous ne faisions que de flirter en nous caressant un peu, comme deux adolescents. Le moment était venu pour moi de céder à ses avances avant quil ne mabandonne.
Jétais arrivée à un point où javais très envie de faire lamour avec lui, je ne laimais toujours pas damour avec un grand A, cependant jétais éprise car je pensais à lui très souvent. Je désirais donc moffrir à lui, avant les congés dété car si je le laissais partir en vacances, il y avait de fortes chances que je ne le revoie plus. Ce week-end-là, mon ex avait les s, jen avais profité pour linviter à sortir en discothèque. Sur le moment, il ne mavait pas dit oui tout de suite mais il était parvenu à se libérer. Javais mis tous les atouts de mon côté, je portais une petite robe courte en mousseline blanche très affriolante, jétais super sexy avec mes hauts talons, mes bas et mon porte-jarretelles.
Nous nous étions rendus dans une discothèque située à une dizaine de kilomètres de chez moi. Le club que je ne connaissais était dans une grande bâtisse, un ancien magasin restauré en plein centre-ville. Après avoir déposé nos affaires au vestiaire, à lintérieur la musique résonnait, la soirée battait son plein. Pendant que Pierre prenait nos consommations au bar, je me dirigeai sur la piste où beaucoup de monde se trémoussait déjà, avec une majorité de jeunes de 25 à 30 ans. Je faisais partie des plus âgées dans cette clientèle plutôt hétéroclite. Pourtant je me déhanchais, javais retrouvé mes vingt ans, quelques garçons dansaient autour de moi, ils me frôlaient, leurs mains me touchaient pendant que je continuais à me déhancher.
La musique était vraiment entraînante, javais envie de danser, un garçon plutôt beau gosse en train de se déhancher à côté de moi mentraina vers un des deux podiums de danse. Les spots dirigés sur cette mini piste de danse rendaient ma petite robe blanche légère presque transparente, laissant apercevoir ma lingerie fine. Le jeune danseur se frottait à présent conte moi, cela mexcitait, nous dansions, tout en nous touchant de nos mains de nos fesses de nos sexes, cétait vraiment très érotiques, les danseurs nous regardaient et nous encourageaient.
Je métais retrouvée à me trépigner devant mon partenaire, il avait son bas ventre contre mes fesses, sa main droite à plat juste au-dessus de mon pubis, sa gauche sur mon flanc, ses doigts sur mon sein, pendant que mes bras levés lui enserraient la tête, je ne pensais à rien dautre que de danser même si ces caresses mexcitaient. Soudain une main me saisit la cheville, surprise je baissai mon regard et vit Pierre avec les deux verres dans son autre main minvitant à le rejoindre, il avait trouvé deux poufs de libre. Je fus très déçue dêtre interrompue dans ma danse avec ce jeune garçon, il mavait semblé que Pierre navait pas très apprécié ma prestation.
En effet, il me fit une petite scène avant de minviter à danser pour un slow où ses mains posées fermement sur mes fesses, me plaquant à lui, javais ressenti contre mon ventre toute son envie de me posséder. À la fin de la chanson, il me demanda de rentrer : « Viens ! Allons chez toi. » pour moi, il en nétait pas question, javais très envie de finir la nuit avec lui, je lavais bien prévu mais son comportement mavait agacé et il nétait que minuit et demi. Javais refusé gentiment, prétextant que je voulais encore danser. Avec un regard ténébreux, il finit son verre et quitta la discothèque sans même me saluer.
Après son départ, javais bien essayé de poursuivre ma soirée telle que je lavais commencé, mais le cur ny était plus. Je navais plus revu mon jeune cavalier et me retrouvant seule, jen voulais à Pierre qui venait de me gâcher la fête, jétais très en colère après lui et après tous les hommes. Une semaine plus tard, il mavait semblé lavoir vu dans les rayons du supermarché. Javais attendu ma pause et métait dirigée dans la direction où je lavais aperçu. En effet, je le vis avec une femme, jolie la trentaine, il tenait son bambin de deux ans, dans les bras pendant que sa jeune épouse poussait le caddie. Je mapprochai deux et innocemment, je dis :
Salut Pierre ! Ah ! Es-tu marié ? Cest ton gosse ?
Heu !
Oui
Heu ! je te présente
Bafouilla-t-il la tête déconfite ne sachant comment se sortir de cette impasse.
Tu aurais pu me le dire avant de minviter à sortir avec toi. Rassurez-vous Mme, je nai pas voulu coucher avec lui, il en mourrait pourtant denvie. Dis-je en tournant les talons.
Je continuerai à vous raconter la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Claire, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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