La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°809)

Histoire de fantômes au Château – (suite de l'épisode N°754) -

Il est 23h40 en cette première nuit de pleine lune et après avoir traversé jusqu’à son extrémité le grand parc gazonné se situant derrière le Château en direction de la petite chapelle, le Marquis Edouard d’Evans se trouve maintenant à quelques mètres du caveau de son aïeul, proche de la crypte de ladite chapelle … Dans ce silence nocturne les hululements réguliers d’une chouette apportent une connotation lugubre autant que le bruit d’une légère brise s’engouffrant entre les branches des grands arbres. Le Noble est au bout de cette allée arborée de vieux marronniers bicentenaires éclairés par un ciel clair et étoilé laissant paraitre une lune entièrement ronde et offrant des ombres sombres aux éléments de la nature que l’on peut facilement distinguer grâce à cette pleine lune éclairante. Monsieur le Marquis avance encore de quelques mètres doucement en silence et se trouve juste devant la vieille grille rouillée du caveau. Une puissante torche en main ainsi qu’une vieille et grosse clé, il se décide, non sans une certaine appréhension, à enfiler la clé dans la serrure de la grille donnant accès aux escaliers du caveau familial se trouvant dans la crypte juste derrière la vieille porte en bois en bas des dits escaliers extérieurs. La serrure peine à s’enclencher, certainement grippée par l’humidité et la rouille mais cependant, elle cède sous la pression exercée par la force du poignet du Noble. Le grincement des gonds rouillés ouvrant un des deux vantaux de la grille résonne dans la nuit et se rajoute à une atmosphère sinistre digne des plus réussies soirées d’halloween.

Arrivé en bas des escaliers de pierre emplis de mousse, il ne reste plus que la basse et vieille porte en bois massif à ouvrir pour accéder à la crypte où se trouve le caveau familial et où sont enterrés tous les Marquis d’Evans depuis 1625. Une deuxième clé en main appartenant au même trousseau permet cette ouverture grinçante également et donnant sur une sorte de large et spacieux souterrain profond, ressemblant à une haute et grand pièce voûtée où la forte odeur d’humidité renfermée se dégage jusqu’aux narines du Châtelain.

Actionnant sa torche électrique, le Marquis s’avance d’un mètre à l’intérieur de la crypte et inspecte les lieux de son faisceau lumineux. Tout est calme et le silence règne en maître dans ce sinistre lieu. Le caveau familial est très bien agencé. De chaque côté, soit sur la droite comme sur la gauche du Noble commence une longue suite, s’enfonçant dans les profondeurs de la crypte, d’imposantes et hautes pierres tombales renfermant chaque cercueil. Chaque pierre tombale est déposée sur un large et haut socle de pierre brut à 1,50 mètre du sol. Sur le devant de chaque pierre, une plaque de bronze où est inscrit le nom de chaque Marquis d’Evans avec la date de naissance et de décès. Les toutes premières tombes, les plus proches, sont les plus vieilles et le Noble relit avec émotion les premières plaques des 2 ou 3 premiers Marquis de la grande lignée de la Famille des Evans apparaissant sous la lumière de la torche à sa droite. Devant le Châtelain, une longue et large allée centrale est ainsi formée par cette imposante succession de pierres tombales.

Monsieur le Marquis s’avance donc dans cette sombre et humide allée centrale qui doit faire environ plus de 100 mètres de long traversant ainsi, sous terre, l’ensemble de la petite chapelle, passant aussi sur toute la longueur sous le grand parc et sous la totalité du Château pour aller finir en un étroit et long souterrain en boyau jusqu’à une sortie discrète en forme de plusieurs coudes à l’extérieur au Domaine, sortie utilisée à l’occasion de la fuite des nobles lors de la Révolution Française mais sortie condamnée depuis plus d’un siècle. Après avoir parcouru une cinquantaine de mètres, le Châtelain arrive enfin à la hauteur de la pierre tombale de son aïeul, Le Marquis Louis-Alexandre d’Evans. Il scrute scrupuleusement la tombe et rien ne lui apparait d’anormal. Le Noble regarde sa montre, il est 23h58… Rien ne se passe, pas un bruit, rien ne bouge sauf le faisceau lumineux de sa torche, dérangeant de silencieuses et immobiles petites chauves-souris accrochées au plafond .
.. Il recule de quelques mètres pour attendre minuit et voir ce qui va se passer… Minuit, les douze coups de la cloche de la chapelle sonnent, tous les sens du Marquis sont en éveil à attendre la suite des évènements mais rien ne se passe… Il reste dubitatif et se dit qu’il a été stupide de croire naïvement que son illustre aïeul reviendrait en cette nuit de pleine lune comme l’avait prédit cette prophétie racontée par les deux soumises fantômes de son ancêtre.

Minuit passé de 15 minutes, le Noble, toujours les sens aux aguets, attend dans le plus grand silence et toujours rien. Aucune apparition qui devait être censée se montrer, mais non rien ne se passe, absolument rien, alors c’est avec déception que le Châtelain se détourne et commence à rebrousser chemin… Mais il n’a pas fait 5 mètres que subitement sa torche s’éteint sans prévenir, d’un seul coup, le plongeant ainsi dans l’obscurité la plus totale. Rageant contre celle-ci, il la secoue pour essayer de la rallumer pensant à un faux contact quand une vive lumière bleuâtre éclaire amplement l’ensemble de la crypte, lumière venant de derrière lui, de la pierre tombale de Louis-Alexandre, alors il se retourne rapidement et le spectacle qu’il voit le laisse muet de stupeur, bouche bée, il en fait même tomber sa torche à terre... Tout d’abord il constate que le halo de lumière bleuie est sphérique et englobe largement la pierre tombale puisque que son pourtour arrive seulement à un mètre de ses pieds. Ensuite ce qui laisse le Noble stupéfait, c’est de voir dans cette sphère de lumière, assis sur un haut trône posé sur le tombeau, son aïeul le Marquis Louis-Alexandre d’Evans élégamment habillé comme on se vêtit en soirée mondaine au début du XX ème siècle. De chaque côté, à ses pieds, deux femmes nues, colliers au cou et agenouillées ayant la tête posée délicatement sur chacune des cuisses de l’aïeul, leur joue à plat sur le pantalon de l’arrière-grand-père du Marquis d’Evans. Leur facial arbore un large sourire de bien-être.
L’ancêtre du Noble se contente de caresser tendrement les cheveux des deux soumises que le Châtelain reconnait d’amblée comme soumise Sophie et sa fille soumise Clara. Les trois personnages bleuâtres apparaissant tels les fantômes qu’ils sont et fixent du regard le Marquis Edouard d’Evans… Un deuxième trône, mais celui-ci vide, est positionné à la droite de Louis-Alexandre d’Evans. L’aïeul est très solennel et après un petit silence, il s’exclame d’une voix venue d’outre-tombe, mais il est clair que cette voix essaie de ne pas être effrayante, et s’efforce d’être la plus amicale malgré son timbre involontairement spectral :

- Edouard, mon petit Edouard, mon cher descendant, digne héritier de notre Noble et Grande Famille d’Evans. Je suis si fier de toi et de constater que tu as su perpé notre Art de vivre de la Domination, que j’ai moi-même de mon vivant su perpé de nos ancêtres. Cet héritage, tu vas pouvoir en savourer toutes les étapes de son évolution au fil des siècles. Cela est pour toi la suprême récompense méritée d’avoir remis les colliers au cou de Mes deux chiennes-soumises lesquelles, je sais, tu as pu apprécier leur dévotion. De part cette action, cela m’a permis que je puisse revenir ici et ainsi apparaitre à tes yeux … Et même si tu auras toutes les explications que tu souhaites un peu plus tard, je t’invite d’ores-et-déjà à me rejoindre… Avance un peu, entre dans ce halo de lumière et voyage avec Moi dans le temps aux époques de ton choix à la rencontre de tes honorables aïeux. Ainsi tu pourras visiter dans le temps passé et à ta convenance au gré des époques mais uniquement dans cette Noble Demeure et aller jusqu’à l’époque de la construction du Château en 1625, et jusqu’à celle de ton temps actuel. Lors de ces voyages dans le passé, tu resteras en simple spectateur invisible et ainsi, tu ne pourras pas changer le cours des évènements qui se sont passés ici, que ces évènements soient heureux ou tragiques, nul ne peut les changer. En effet, tu ne pourras donc pas intervenir car tu seras invisible et silencieux aux yeux et oreilles de tes ancêtres à chaque période passée de ton choix… Arrive, mon bien aimé Edouard, vient t’asseoir sur ce trône à mes côtés et vit cette expérience unique comme moi je l’ai vécu et découvre comment Nous, les Evans, nous Dominons les esclaves depuis près de 4 siècles…

Le Marquis Edouard d’Evans reste immobile comme figé par ce qu’il voit d’aussi improbable.
Saisi par la stupeur, la surprise, l’étonnement, il se demande quelques secondes s’il ne rêve pas. Et pourtant, non tout est bien réel ! Devant ce spectacle absolument incroyable, il est encore bouche bée quand son aïeul le voyant si impressionné par cette apparition se veut rassurant :

- N’ait aucune crainte, mon bien aimé Edouard, tu ne risques absolument rien… et ce qui te paraîtra comme des journées entières dans le passé de nos ancêtres, dans ce que je te propose de découvrir, durera juste quelques secondes dans ton temps actuel … Et donc avant la fin de cette nuit bien réelle, tu pourras regagner ta chambre pour te reposer, et tu auras vu tout ce que tu désires voir sur plus de 400 ans de D/s.. Que ce soit le vécu de ton père, grand-père, de moi-même, de mon père, du Marquis d’Evans sous la Révolution, Celui sous Louis XIV ou Celui qui le premier fit construire notre beau Château en 1625, etc … Approche, ne craint rien … Tu as juste à t’asseoir sur ce trône et à prononcer une année de ton choix, pour en découvrir les évènements de la Domination/soumission de l’époque choisie… Avance dans ce halo de lumière et vient à Moi, mon cher arrière-petit-fils …

C’est une véritablement main tendue et amicale que l’aïeul du Noble propose au sens littéral du terme de venir à Lui. Le Marquis Edouard d’Evans parait alors rassuré et c’est avec confiance, malgré mille questions qui lui viennent à l’esprit, qu’il avance d’un mètre pour se retrouver dans la sphère de lumière bleuâtre. Une fois dans celle-ci, instinctivement, il se retourne pour voir disparaitre la crypte remplacée par un magma de lumière. Se retournant de nouveau il retrouve Louis-Alexandre d’Evans toujours là assis avec ses deux soumises toujours dans la même position agenouillée aux pieds de son ancêtre. Mais il remarque que le tombeau a disparu et que les deux trônes sont désormais à sa hauteur. Il hésite un moment observe tout autour de lui et remarque que la lumière bleue occupe tout l’espace. Il s’approche enfin de son aïeul pour s’asseoir à ses côtés. Son ancêtre lui dit avec un sourire paternel et protecteur :

- Quelle année souhaites-tu découvrir, mon cher Edouard ?
- Eh bien, pour commencer, je… je pense d’abord à mon père qui m’a si souvent parlé de sa jeunesse et de ses débuts dans la D/s alors qu’il n’avait que 20 ans… alors je pensais à l’année …1950 soit une douzaine d’année avant ma naissance ! Oui une scène de Domination, n’importe laquelle mais découvrir de mes propres yeux, une scène avec papa, m’apporterait un plaisir immense sur son vécu de Dominant … Oui c’est ça 1950 !

Le Noble a à peine prononcé ses derniers mots que tout se met à tournoyer autour de lui. Louis-Alexandre d’Evans et ses deux soumises disparaissent pour laisser place à un brouillard tournant de lumière bleuâtre. Puis face à lui, tel dans un immense écran se dessine peu à peu un lieu que le Marquis reconnait de suite, la Grand Salle du Château où s’active plusieurs personnages. La lumière tout autour de cette scène se stabilise et de son trône, le Châtelain reconnait sans difficulté son père jeune comme il l’avait souvent vu en photo. Il est comme fasciné par ce qu’il découvre : Son père est assis dans un grand fauteuil au milieu de la pièce. Sur les côtés des quatre murs, il y a beaucoup d’hommes, plusieurs dizaines environ et tous en file indienne. Deux hommes habillés en valets entraînent une soumise dénudée, collier au cou, elle est blonde, belle aux formes généreuses, elle a des pinces mordantes aux tétons et parait parfaitement docile. Les valets lui font faire le tour de la grande salle, passant devant les hommes. Pour la faire avancer lentement devant ces dizaines d'hommes qui se pressent déjà en une longue file qui fait donc le tour de l'immense pièce, elle est fouettée sur les fesses environ tous les mètres et la chainette de ses pinces à tétons est tirée vers l’avant. Certains hommes lui effleurent le sexe, d’autres lui pincent un téton... ou lui flattent furtivement sa croupe rebondie... L'esclave-soumise blonde se plie humblement à tous les attouchements qu'elle subit de la part de ces hommes qui dans un instant, ou plus tard, il n’y a pas à en douter, vont être sur elle, emplir son sexe, son anus ou sa bouche et y cracher leur jus de plaisir, les uns après les autres, cela parait si évident aux yeux du Marquis Edouard d’Evans, spectateur fasciné devant cette scène qui a vraiment existée en 1950 et qu’il a la chance de découvrir.

Docile, la femelle tremble presque de désirs, ça se voit, c’est flagrant à la voir se tortiller en avançant, car cette blonde, comme l'a pressenti le Marquis d'Evans, est une amoureuse du sexe masculin et de la soumission. Elle aime être prise, pénétrée, possédée, besognée... à l'idée de ces dizaines d'hommes qui vont r d'elle, elle salive de désirs... elle veut se sentir totalement remplie, car c'est pour cela qu'elle est là, à la disposition de tous ces hommes… Une fois le tour des mâles en rut effectué, la blonde esclave est menée sur une table étroite placée près du siège du Maître des lieux. Elle est allongée sur le plateau de cette table, les bras étirés vers le haut, les chevilles entravées et attachée aussi sur les étroites planches sur lesquelles reposent ses cuisses et ses jambes écartées, afin de rendre parfaitement accessibles son cul et sa chatte... La tête, légèrement renversée en arrière, elle est ainsi immobilisée totalement accessible et chacun pourra choisir à loisir l'orifice qu'il désire investir pour y cracher sa semence. Une fois l'esclave-femelle en place, le père du Marquis d'Evans se lève. Il s'approche, défait son pantalon et libère son Dard tendu, investissant brutalement le sexe de la femelle offerte... il la pénètre, la baise, longuement, jusqu'à consentir à livrer en elle sa Noble semence... Puis un homme paraissant rustre et costaud prend le relais, baisant brutalement l'esclave... et ainsi de suite, les hommes réunis dans cette grande salle prennent le relais. Le sexe de chacun est mesuré et la taille reportée sur une feuille, afin de pouvoir à l'issue de la journée, mesurer précisément la longueur de sexes étant entrée dans les orifices de la femelle...

Lorsque les hommes l'ont pénétrée, la blonde a violemment, puissamment joui de plaisirs de nombreuses fois, d’innombrables fois... gémissante et tremblante, ne pouvant retenir le filet de bave qui s'est échappé par la commissure de ses lèvres... En effet, elle a joui avec bonheur d'être ainsi prise par tous ces mâles en rut, oui à jouir encore et encore ... une fois, deux, trois, dix fois, vingt fois... lâchant mainte fois des cris de jouissance, de spasmes, elle n’a jamais autant eu d’orgasmes aussi fort en elle… Les uns après les autres, les hommes se succèdent, pénétrant son cul, sa chatte, sa bouche... Elle dégouline maintenant de la semence de ces dizaines d'hommes qui la bourrent, qui la besogne sans ménagement sous le regard amusé et intéressé du père du Marquis d'Evans, qui commente les extraordinaires capacités de cette femelle...

Et c’est encore dans un formidable cri qu'elle ne peut réprimer, que la belle blonde esclave libère son cinquantième orgasme ! Tandis que plus de soixante-dix hommes l'ont déjà saillie à la file. Son corps est couvert de sa transpiration et de celle des hommes qui depuis des heures l'ont besognée et besognée encore... Cinquante orgasmes ! La femelle est hors du commun ! Mais le père du Marquis d'Evans sent bien qu'elle est à bout. Son corps tremble, les liens qui la maintiennent totalement offerte commencent à meurtrir ses muscles, son corps est secoué d'irrépressibles tremblements ... Elle bave sans pouvoir s'en empêcher, et désormais lorsqu'un sexe s'enfonce en elle, elle gigote dans la mesure cependant très limitée que lui autorise sa position attachée... Alors elle gémit, haletante, telle une chienne à l'issue d'une interminable chasse à courre. Ses cheveux blonds sont collés, son visage est maculé de sperme, ses orifices dégoulinent du jus de tant d'hommes qui ont giclé entre ses fesses, entre ses cuisses...

- Pitié !! Pitié Maître", hurle soudain l'esclave, c’est trop bon mais j’en peux plus… Pitié …

Le père du Marquis d'Evans interrompe alors les ébats et s'approche de la "sacrifiée aux plaisirs du sexe"

- Qu'y a-t-il catin ? tu n'en veux plus ? demande-t-il
- Ooh Maître, pitié, je Vous en supplie ! je Vous implore ! je n'en puis plus, je suis épuisée
- Vraiment ? tu renonces chienne ?
- Maître par pitié... mon corps brûle, mon sexe et mon cul sont en feu ! pitié... mais c’était trop bon…
- Soit ! (Le Marquis d'Evans claque dans Ses mains) - Allons, quittez tous cette pièce... Allez, des collations vous seront servies en Mes cuisines…

Docilement, tous les hommes présents saluent humblement le Maître des Lieux et quittent le salon, laissant seuls Le père du Marquis et l'esclave sur l’étroite table encore entravée.

- C'est bien catin... je suis fier de toi. Tu vas rester ainsi, bien ouverte, l'un de mes esclaves mâles va venir nettoyer tes trous de sa langue râpeuse. Mais saches déjà que tu as reçu dans tes orifices un peu plus de onze mètres de sexes mâles et que j’ai compté cinquante orgasmes sur les 83 pénétrations que tu as eu le plaisir évident de subir. Je crois que ce sera là une performance bien difficile à dépasser et même à égaler...

Et le père du Marquis quitte la pièce, tandis qu'un valet entre, tenant en laisse un bel esclave noir musclé à la carrure impressionnante qui est tout de suite dirigé entre les cuisses de la femelle. Il met de suite sa longue langue râpeuse droit vers l'intérieur des cuisses de l'esclave brune, nettoie et lape sur sa chair intime la saveur de tant de plaisirs qui dégoulinent...

(A suivre …)

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