Souvenirs / 2
Trop d'attente ! trop envie ! trop de besoins.
Besoins de tendresse avant toi, besoins de bras de l'autre autour de soi. Cela fait presque une heure, la porte de chez ma fille refermée, ils sont en vacances au Mexique, que nous nous embrassons. Les yeux dans les yeux ! Oh, pas besoin de paroles tout est dit dans nos regards. Tant d'amour, de tendresse, de désir.
Nous nous sommes enfin assis sur le canapé, bouches soudées, langues caressantes, salives débordantes. Trop bon ! Toujours aussi belle, tes yeux pétillent de bonheur, de douceur. Ces instants nous appartiennent, rien qu'à nous. Moments d'éternité, où le temps s'arrête. On se touche, on explore, mais toujours habillés, comme pour repousser à l'infini ces minutes extraordinaires.
L'envie est là, forte, mais nous pourrions aussi nous en passer. Ta main dans la mienne, mon cou que tu serres pour investir plus encore ma bouche. Yeux rieurs, toujours. Tendresse infinie, bonheur sacré. Je suis là avec toi, tu es là à mes cotés, contre moi... Et nos corps qui nous appellent de toute leur force...
J'entreprends de te dévêtir, tu t'abandonnes à mes mains, chaussures, jean, t-shirt. En sous vêtements je t'admire. Désirable. Tu as abandonné tout tes remparts avec moi depuis plusieurs mois. Tu sais que je ne te juge pas, que je ne compare pas. Mon regard est toujours amoureux, raide dingue des délices que tu vas m'offrir. Je les prends comme un cadeau, un super cadeau que tu me fais ma Nana. Je te couvre de baisers papillons, virevoltants, d'un sein à l'autre, sur ton mon de vénus. Ta culotte glisse sur tes cuisses, entrainée par mes mains. Ma bouche se pose sur ton calice, ma langue dessine ta fente, l'ouvre précautionneusement. Hermione m'attend, je le sais, je le vois déjà. Humide, tremblante... Je tombe à genoux entre tes jambes, mes lèvres quittent ton trésor que pour venir couvrir de baisers l'intérieur de tes cuisses. Je te tire au bord de l'assise, je te veux prête pour mon festin.
tes trésors. Comme tu es belle, offerte ainsi, impudique à mon regard. Ma queue est raide dans mon pantalon. Je plante mon regard dans le tien... Je te sens soumise et j'aime cela. Enfin ma bouche revient sur ta fente et ma langue te dévore. Je lèche, je suce, j'aspire, je me délecte de ton nectar,....
J'enlève mon polo que je glisse sous tes fesses et je joins mes doigts à ma langue, je te fouille profondément de l'index et du majeur. Tu râles, tu gémis, Hermione est liquide, se contracte autour de mes doigts, ma langue s'enroule sur ton clitoris... Plusieurs minutes de ce supplice pendant lesquelles tu m'as honoré de ta rivière sacrée...
Je me redresse pour me mettre nu à mon tour, tu martyrises mes tétons pour m'entendre râler, te dire encore, que j'aime que tu me fasses mal...
D'un commun accord tu t'installes à quatre pattes, la tête dans les coussins, le cul tendu comme une offrande. Je ne vois que lui, attirant, bandant, excitant. J'approche mes lèvres et je lape. tout le long de tes lèvres, sur ton périnée, ton anus y passe aussi, ma langue s'insinue, appuie sur ta corolle, tabou absolu que je n'ai fait à personne d'autre. la pointe de ma langue avance un peu, tu te raidis et je cesse immédiatement. Quand ma queue touche tes lèvres, tu émets un long gémissement qui durera tout le temps de la pénétration. Immobile au fond de ton cratère, je gonfle ma queue dans ton vagin que tu contractes, comme un salut d'amour que s'adresse nos sexes. Mes mains crispées sur tes hanches, doucement je mets en mouvements, lents, larges et profonds, faisant claquer mon ventre sur ton cul sublime au bout de la pénétration. Je ferme les yeux de bonheur absolu. Moments magiques où nous ne sommes qu'un. Je sais que ce soir tu
vas m'offrir ton plaisir, comme un cadeau unique. Je te traite de salope, ca intensifie mon plaisir, je sens tes lèvres sur chaque millimètre de ma queue. Ton bassin vient maintenant à la rencontre du mien, notre rythme s'accélère.
Ma sève monte je le sens, j'accélère la puissante de mes coups de boutoir dans ton ventre accueillant, dégoulinant, Le cri de fauve blessé que tu pousses, m'arrive comme un chant de victoire, et je lache prise aussitot... tu dois sentir les jets de ma liqueur dans ton ventre... Affaissé sur ton dos, nous reprenons souffle, mes yeux trouvent les tiens, et j'y lis tant d'amour, que des larmes glissent sur mes joues...
Tu es Ma M.., mon formidable amour... Demain nous irons main dans la main nous promener en vallée de chevreuse.
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