Le Chantier (66)

J’étais avec Christian dans le lit de l’appartement du club quand un rêve où je naviguais sur une vague de sperme me réveille me retrouvant seule car Christian a dû partir faire son jogging quand le fils d’Angélina, Antonin entre dans la chambre la verge en flèche car il a envie d’uriner.
Il est en train de m’expliquer sa vie dans le mouvement scout depuis ses 8 ans jusqu’à aujourd’hui.

• Excuse-moi Valérie, tu m’as tellement excité en me caressant que j’ai éjaculé sans pouvoir me retenir.
• Aucun problème mon grand, j’adore le sperme et j’ai bien aimé récupéré ce que tu m’as envoyé sur l’œil, regarde j’en ai encore sur le sein.

Je prends mon doigt et comme pour mon œil je racle ce que je peux et je le porte à ma bouche en sortant le plus possible ma langue.
J’ai le sentiment d’être une belle cochonne mais si c’est-moi qui suis responsable de ce changement, sur mon lit des plaisirs cet été qui est dans la grande salle de la piscine j’ignorais que Gaétan me trompait quand j’ai accepté de baiser avec tous les ouvriers venus se baigner dans ma piscine.
Ce soir-là et les soirs suivants j’ai certainement découvert ma vraie nature malgré mon âge comparé à Nadia qui est une cochonne comme moi mais qui est tombée dans la luxure dès sa prime jeunesse.

• Tu en étais quand tu étais « Compagnon » âgé de 19 ans quand la sodomie t’es tombée dessus.
• Tombé dessus, les mots sont exacts, je venais d’accepter d’encadrer une équipe de 6 jeunes de 8 à 14 ans avec Zidane qui avait 18 ans.
• C’est avec lui.
• Au départ, nous sommes partis de Béthune par le train avec nos sacs à dos, j’avais le costume traditionnel avec le short les chaussettes et les grosses chaussures.
Maman était sur le quai presque en pleure, comme dans le film avec Jugnot et c’est avec un grand soulagement que le train s’est mis en marche en direction de Chalon-sur-Saône où un mini-car attendait pour nous conduire dans un petit castel de Bresse où une dame nous permettait de monter nos tentes et de nous baigner dans les eaux de la Seille.

J’avais des directives dont une marche habituelle pour des scouts qui devaient nous conduire dans un village de 2 500 habitants et où un employé municipal nous a conduit dans les vestiaires du club de foot où il y avait des douches et où nous pouvions dormir.
Vers 17 heures le président du club est venu, nous étions dans les vestiaires du terrain d’entraînement très vétuste et il a souhaité nous installer dans les vestiaires du nouveau terrain avec des vestiaires neufs.
Il a sorti des tables et des bancs pour que nous puissions manger avant de me laisser les clefs et repartir chez lui.
Vers 22 heures sa voiture est revenue, tous les autres étaient couchés même Zidane et j’étais en train de lire en slip sur l’un des bancs.
Il est entré dans la buvette et nous a apporté deux canettes de bières, c’était la première fois que je buvais de l’alcool maman veillant à ce que je boive que des boissons sans alcool.
Je sais qu’il s’est levé du banc où nous étions installés et a dû rapporter deux autres canettes, à un moment il m’est impossible de me souvenir de ce qu’il s’est passé mais sa main était sur ma cuisse.
Il me regardait intensément guettant ma réaction, j’ai eu le sentiment du mal tant prôné par le curé mais quand sa main a atteint mon sexe, j’ai constaté que je bandais comme je recommence à bander depuis que tu m’as repris ma queue dans ta main.
• Excuse mais ton histoire commence à m’exciter moi aussi.
• Sa main a atteint mon sexe par-dessus mon slip mais il a tiré dessus et ma verge est sortie, il s’est penché et sa bouche m’a aspiré, j’ai eu l’impression que je passais dans une lessiveuse jusqu’au moment où j’ai éjaculé et qu’il a bu mon sperme.
Attention Valérie, je vais jouir.

Précipitamment je me penche comme le président du club de foot la fait et j’arrive juste à temps pour me régaler avec le sperme qui gicle dans ma bouche.
Je me régale avalant tout jusqu’à la dernière goutte et léchant contentieusement sa verge pour bien la nettoyer.

• Putain salope, c’est vrai que tu aimes cela.
• Encore ce mot de putain salope oui, putain peut-être.

Nous éclatons de rire.

• Se faire sucer est loin de faire de toi un homo, la suite.
• Lui bandait et il m’a fait relever m’a couché le torse sur la table et j’ai senti qu’il passait derrière moi, j’ai senti mon slip glissé et quelques secondes après son gland forcer ma rosette.
J’ai poussé un cri de surprise quand il m’a pénétré car j’ai légèrement souffert, il m’a limé pendant un temps interminable avant de lâcher son sperme qui a inondé mes intestins m’apportant une sensation extraordinaire.
Je suis resté le cul en l’air quand j’ai entendu sa voiture partir.
• Çà a été ta seule expérience depuis ce jour-là ou plutôt avant Benoit.

Il éclate de rire.

• Sûrement pas, l’histoire de cette soirée est loin d’être terminé, j’étais en train de remonter mon slip quand Zidane est sorti des vestiaires lui aussi en slip, il s’est approché de moi et m’a pris par la taille me plaquant contre son sexe.

Reprenant son récit sa main vient ce porter sur mon sexe, je me tourne légèrement pour que ma chatte lui soit disponible, rapidement il s’empare de mon clitoris entre deux de ses doigts, je sens que mon corps réagi et que je commence à m’humidifier.

• J’ignorais que tu aimais te faire enculer, sinon il y a longtemps que dans notre tante depuis presque huit jours que nous dormons ensemble tu y serais passé, j’adore cela.
• Ce soir avec cet homme c’était la première fois, il m’a fait boire deux canettes de bières et il a pu faire de moi ce qu’il voulait.
• Et sans canette tu serais capable de me sucer la bite.
• Faut voir, son dard m’a réveillé quand il m’a pénétré mais même si j’ai un peu souffert j’ai aimé.
• Alors suce-moi.

C’est incroyable pour sa première il fait un doublé un peu comme moi au bord de ma piscine où je me suis rapidement fait prendre en double pénétration dès que Christian a rejoint Petrov.

• Je me suis agenouillé, à mon tour j’ai tiré sur l’élastique de son slip, j’en ai sorti une grosse à me faire peur surtout qu’il commençait à bander et que je voyais le volume de son sexe grossir à vue d’œil.
Il m’était impossible de le faire entrer dans ma bouche, j’avais devant moi pour mes débuts dans le sexe un objet monstrueux à m’occuper.
• Qu’as-tu fait ?
• Je l’ai simplement sucé tout au long de sa tige, ma langue montait et descendait me faisant baver, ma salive dégoulinait sur le sol mais comme je voyais que j’étais assez efficace pour une première fellation j’ai continué craignant qu’il ne veuille lui aussi me coucher le torse sur la table.

Ses doigts semblent indépendants de son corps car il me titille le clito sans se rendre compte que je suis à la limite de la jouissance entre ses doigts qui me maltraitent divinement et son récit plein de suspense.

• Je voulais retarder le moment où j’étais sûr qu’il me prendrait comme le président l’avait fait me défonçant par sa tige hors du commun.
• L’a-t-il fait.
• Au oui mais la peur était inutile son gland est entré en moi comme-ci il avait été gros comme une tête épingle.
Comme je le pensais il m’a fait relever placé sa main sur mon sexe qui bandait aussi fort que le sien m’a fait retourner, m’a mis un pied sur le banc et est entré en moi.
Sa main est passée devant moi et a repris mon sexe.
Il m’a taraudé me faisant pousser de longs cris de plaisir jusque quand dans une parfaite union nous avons déchargé simultanément.
• Vous vous êtes embrassé, j’adore embrasser mes partenaires Nadia ou Éliane ou Ange l’ex-hôtesse de l’air sans oublier Hilda ou bien d’autres encore.

Ses doigts deviennent diaboliques, mon clito va exploser.

• Non, c’est étrange, autant j’aime que l’on m’encule mais enculer un autre homme serait incongru pour moi, j’aime baiser une femme ou des femmes depuis que tu m’as permis de m’émanciper de maman dans cette maison. J’espère que tu seras compréhensive si je te dis que j’adore par-dessus tout baiser tes filles l’une après l’autre car leur corps tellement similaire me fais bander deux fois plus.
• Tu fais ce que tu veux avec mes filles mais quand tu es sur le point de me faire jouir tu pourrais éviter.
Ah, ah, ah.
• Trop tard ma belle tu viens de jouir.

Je suis incapable de lui répondre car il a raison, mes yeux ont dû se révulser et je suis partie dans mon délire sexuel, je suis fière de l’avoir recruté, il va faire du bien à nos clientes s’il arrive à me faire jouir avec deux doigts.

• Avec Zidane, as-tu recommencé ?
• Bien sûr, dans la deuxième semaine ou nous avons rejoint nos tentes l’étant devenue moi-même.
• Quoi ?
• Une tantouse.
• Non, ce mot est vulgaire comme l’est le terme de putain que tu as employé au début de ta confession.
Tu as eu le terme exact, tu es bisexuelle, tu aimes faire plaisir aux femmes en leur faisant l’amour et aux hommes en les laissant te faire l’amour, ce doit être le côté hermaphrodite de ta maman que tu as en toi, sans que cela se soit traduit par une chatte et une verge visible comme pour elle.
Viens dans mes bras mon joli escargot.
Et depuis cette semaine il y en a eu d’autres.
• Oui, tous les ans nous partions ensemble dans différents séjours en France, nous avons toujours été discret et les Chefs du mouvement scout ont toujours ignoré nos rapports la nuit à l’abri des regards des autres.
La seule crainte que nous avions c’était que je fasse du bruit quand il me remplissait l’anus tellement j’étais devenu accro à ce sexe aussi il était allé dans un sexe chop et avait acheté une boule à bouche qu’il me plaçait et qui étouffait mes cris.
Attention, tu as recommencé à me caresser, je vais jouir.

Simultanément nous avons joui une dernière fois l’un j’autre simplement au contact de nos doigts…