Voyage De Noce. Cache-Cache (6/X)

Je suis en forme cet après-midi malgré la nuit que je viens de passer, il y a longtemps qu’au réveil ma verge n’avait bandé si fort malgré que je sois allé aux toilettes.
Le plus drôle c’est que je m’aperçois que je suis dur mais presque insensible au toucher.
Comme elle me l’a dit la comtesse m’emmène un étage plus haut dans une autre chambre où j’entends du bruit provenant de ce qui doit être la salle d’eau.

• Rejoint ton copain et prenez votre bain je reviens m’occuper de vous habiller, nos invitées sont proches d’arriver.

J’entre et Gaétan est là assis dans l’eau d’une baignoire plus classique que celle dans laquelle j’étais dans la chambre de la comtesse.

• Salut mon pote que penses-tu de nos amis, Giacomo est formidable et il est aux petits soins pour nos épouses.
• Il peut, depuis que nous sommes arrivées notre voyage de noces consiste à nous occuper de plein d’autres femmes que les nôtres.
• Es-tu jaloux ?
• Pourquoi l’être après notre nuit dans le train où pour la première fois elle m’a montré sa vraie nature et les perspectives que cela nous ouvre pour notre vie future, quand je me suis marié j’avais un peu peur de perdre ma liberté avec les autres femmes et grâce aux roues des trains qui passent sur les aiguillages je peux m’éclater ?
Il sera toujours temps que je retrouve sa chatte et son cul sans risque de divorce car je me serais fatigué de la baiser.
• Je crois avoir compris quand on m’a demandé de venir ici après un copieux petit déjeuner que cette nuit verra pour nous une autre expérience que nous apprécierons.
Giacomo est resté muet sur la finalité de cette soirée, la seule chose que je constate c’est que depuis comme toi je bande comme un salop.

Il se lève et je peux voir que sa flamme est aussi tendue que la mienne.
Je le rejoins et comme l’a demandé notre hôtesse je me lave pour sentir bon par l’eau agrémentée d’un certain nombre de parfums.


Nous sortons et nous nous essuyons.

• C’est bien, je vois que vous êtes en pleines formes mes invitées vont être satisfaites d’avoir deux beaux étalons à leur disposition toute la nuit.
• On peut savoir pourquoi l’un et l’autre nous bandons comme des taureaux !
• Bien sûr, depuis hier les gâteaux que nous vous avons fait manger agrémentés d’aphrodisiaque vont vous permettre de tenir toute la nuit auprès des 11 femmes qui sont mes invitées, vous allez baiser autant que vous le pourrez.
Dès que le gong se fera entendre vous aurez 8 heures pour chasser le maximum d’entre nous et aussi les baisers à travers toute ma maison.
• 12 avec toi, nos femmes en feront partie.
• Non, elles sont dans le palais de Giacomo et devront assouvir 12 hommes dont certains sont les maris des femmes qui seront ici.
Vous vous chassez elles et nous serons le gibier.

Elle ouvre un tiroir et en extrait deux colliers de cuir.

• Je vais vous mettre chacun un de ces colliers sommes tout banal, regardez, j’ai le même autour de mon cou.
Chaque fois que l’un de vous retrouvera l’une de mes invités et la fera jouir elle lui donnera une pierre précieuse que vous voyez sur le mien et que vous placerez sur le vôtre, aujourd’hui le jeu consiste à déterminer celui de vous qui est le meilleur amant et au coup de gong final nous nous réunirons.
Celui des deux qui aura le plus de ces pierres rentrera dans notre confrérie et participera à nos soirées suivant ses disponibilités.
Attention il y a des codes, si vous refusez trois invitations de suite celui ou celle qui sera élue ce soir se verra éliminée,
Je dis celle car de leur côté vos femmes auront pour obligation de se cacher et si les hommes les trouvent ils leur donneront des pierres après qu’elles se seront fait enfiler.
Un point de notre règlement oblige chacune des femmes que vous devrez trouver de se cacher une seule par cachette même si 2 d’entre elles peuvent tenir.

Le dernier jour du carnaval les 30 femmes et les 30 hommes qui forment notre confrérie nous nous réunissons au palais du Grand-Duc de Venise et nous compterons le nombre de pierres, le gagnant ou la gagnante deviendra Grand-Duc pour une année et présidera la confrérie et juge en cas de litige, cette année et pour la dixième fois je suis la Grande-Duchesse.
• Pourquoi avons-nous l’honneur d’être choisi pour entrer parmi vous ?
• Gaétan est devenu l’ami de Giacomo qui nous a dit qu’il souhaitait qu’il nous soit présenté, Gaétan t’a invité avec ta femme pour votre voyage de noces et la nuit dernière nous t’avons testé pour voir si tu étais digne de rejoindre la confrérie.
• Mais Jennifer et moi sommes venus parmi vous au dernier moment, pourquoi me retrouve ici ?
• Les imprévus sont prévus, quand Casanova m’a appelé pour me dire que Gaétan et Jenny vous avait invité nous avons décidez de voir si la soirée de ce soir prévu avec un autre couple pouvait se tenir avec vous, comme Grande-Duchesse j’ai été chargé de te tester et Giacomo Grand-Duc sortant de tester ta femme, vous avez passez l’épreuve avec succès plutôt deux fois qu’une et vos deux couples sont la sur la ligne de départ.
• Si l’une de nos femmes passe l’épreuve alors que l’autre perd que se passe-t-il ?
• C’est leur bon vouloir de venir prendre leur place sans le conjoint et pour le respect de chacun chaque membre peut prévenir le Grand-Duc de son absence.
C’est pour cela que nous avions prévu d’organiser cette sélection.
Je vous rappelle que s’il y a litige je suis la seule juge.
Êtes-vous d’accord d’attendre le gong ?
• Je suis partant Gaétan et toi.
• Il est sûr qu’après ce que nous avons découvert ici et surtout dans le train où tout a commencé je suis certain que ma douce est elle aussi partante.
• Alors, je vais vous redonner quelques gâteaux que j’ai moi-même cuisiné en mangeant un de temps en temps car il va vous falloir vous dépasser ce soir.


De vrais gosses, au risque d’avoir un accident nous nous empiffrons de nombreux autres de ces pâtisseries.
Et comme prévu le gong se fait entendre.

• Excusez, il faut que j’aille me cacher, les gâteaux semblent faire effet, tu as déjà pu le constater hier Nicolas.

Je comprends mieux comment à son âge elle a pu tenir si longtemps quand je la baisais, au risque de faire un arrêt cardiaque.

• Bonne chance Nicolas.
• Bonne chance Gaétan.
• Que le meilleur gagne.
• Que le meilleur gagne.

Nous nous étreignons ce qui fait se toucher nos queues.

• Gaffe mec mon collier est vide de pierre.
• Le mien aussi.

Je vais vers le bas, il va vers le haut.
Je descends à l’embarcadère où je sors nu, j’ai décidé de visiter l’immeuble de la cave au grenier, la cave étant dans l’eau je commence par l’embarcadère.
Le carré est étroit et plusieurs gondoliers fument sans tourner leur tête, derrière une colonne je trouve une jolie femme aussi nue que moi, inconnue elle porte un collier et fait partie de cette soirée de débauche vénitienne, je m’approche, elle se baisse et commence à me sucer.
La faire jouir et repartir en chasse car je suis un joueur impulsif et je déteste perdre.

• Relève-toi je bande assez, je vais te prendre l’une de tes pierres.
• Si.

C’est le seul mot que nous échangeons en italien et je la plaque ses seins sur la colonne pour mieux la pénétrer par sa chatte en lui écartant les jambes et entrant par-derrière.
Ma tige gonflée par les aphrodisiaques fait rapidement office et elle jouit sans pour autant que les hommes qui attendent ces dames se retournent certainement habitués et ayant des consignes de discrétion quand ces dames prennent leur pied.

Fort de ma première pierre que j’arbore fièrement sur mon collier je cherche la possibilité d’en gagner une deuxième.
J’espère que Gaétan tombera sur la comtesse et qu’il comprendra pourquoi elle est Grande-Duchesse comme j’ai pu le constater toute la nuit dernière, c’est drôle je l’ai bien baisé hier mais je serais pour avoir la chance de retrouver sa chatte si accueillante, surtout quand ma main a retendu la peau de son ventre.

Le reste du rez-de-chaussée étant vide de toute chatte, je monte d’un étage, je me dépêche de retrouver mon deuxième coup, je profite tout de même des jolies boiseries qui ornent chaque pièce.
Au premier que j’atteins en courant dans l’escalier, ma bite toujours tendue dépassant son maximum, j’entre dans la première pièce à droite, rapidement je m’aperçois que derrière chaque meuble ou tenture et même dans 2 coffres assez grands pour en contenir plusieurs il n’y a personne.
Certes le Palais contient de nombreuses pièces mais la phrase de la grande-duchesse me revient à l’esprit, une cache par jeune femme aussi j’ai dû manquer une étape et je m’assois remangeant quelques gâteaux posés sur la table posée dans une assiette.
Je regarde autour de moi analysant chaque partie de la pièce, il y a de grands tableaux représentant des personnages anciens, certainement les dignes prédécesseurs de la Comtesse, certaines femmes présentant leur poitrine nue à l’œil du peintre.
Et à un moment un détail m’intrigue, les panneaux de bois qui semblent appliqués sur les murs présentent à un endroit des couleurs légèrement différentes comme si l’un d’eux refait et changé, les peintures nouvelles étant moins résistantes à l’humidité ambiante de la maison.
Je m’approche et je vois que si tout est magnifiquement fait sur le plan de la continuité il y a une petite fente, il y a quelque chose derrière.
Je colle mon oreille à la porte et j’entends de petits gloussements.
Deux minutes et j’ouvre une petite cache ou une magnifique rousse se trouve assise au sol dans un réduit de 50 centimètres de large.
Je l’aide à la relever et contiens que le temps que j’ai mis à trouver cette rousse peut avoir donné un avantage à Gaétan s’il connaît les surprises que ces panneaux de bois décèlent.
Je la fais approcher de la table, la couche le dos dessus, elle a une toison rousse jamais vue depuis que je sexe des femmes aussi pour la faire commencer à jouir et gagner ma pierre je mets mon nez dedans humant son odeur de rousse si spécifique.
Son clitoris est proéminent, je le prends en bouche, je le suce pour commencer et je finis par le mordre les mains de la fille venant se poser sur mon crâne pour me faire aller plus loin au risque que je lui coupe…

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