La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°811)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°810)
Je remerciais la vie qui avait fait que je vivais à la campagne, au milieu des champs et des prés emplis de vaches ! Car le Maître, qui alternait changement de rythmes, de viriles pénétrations multiples et surtout dorifices, me fit jouir cinq fois de suite, et ces orgasmes, tous plus puissants les uns que les autres, me firent hurler de bonheur jouissif de nombreuses fois ! Lorsque le Maître se fut vidé entre mes fesses, malgré mes membres tremblants, je nattendis pas un ordre pour me retourner, me prosterner devant Lui, et le remercier pour ces fulgurants orgasmes, pour le poste dun emploi qui mavait été attribué, pour Sa volonté de me soumettre encore plus aisément en entrant aussi dans une partie de ma vie vanille, celle qui est professionnelle...
- Bien Ma chienne ! Et si maintenant tu me faisais visiter ta maison ?
En disant cela dune voix douce, le Maître me caressait la croupe tendrement, avant de masséner une claque sur chaque fesse. Je reprenais ma laisse entre les mains, et les tendis vers Monsieur le Marquis, à genoux, tête et yeux baissés, dans une supplique silencieuse. Il me caressa la tête et la joue, puis la saisit enfin dans Ses mains.
- Pour une fois, tu es autorisée à me devancer mais uniquement en quadrupédie. Cest chez toi et je ne connais pas les lieux, autrement de ce que jen ai entrevu lors des vidéos que nous avons faites ensemble.
Je lui faisais donc visiter ma maison qui nétait pas très grande. Je Le sentis ralentir en passant devant la tablette où javais disposé mes accessoires.
- Humm, intéressant ! (jentendais un sourire dans sa voix.) Nous verrons le temps quil nous restera après le repas et la discussion sérieuse que nous devons avoir tous les deux !
Je sentis un frisson me parcourir léchine ! Quavait donc le Maître à me dire de si important ? Avais-je déjà fauté, si peu de temps après avoir eu lhonneur dintégrer le Cheptel de Monsieur le Marquis dEvans, après quIl mait autorisé à porter Ses Nobles initiales ? Et quoi était assez important pour prendre un temps assez conséquent pour le faire douter davoir encore du temps pour un moment plus D/s ?
Point de vue de Monsieur le Marquis :
Je la regardai avec délectation se raidir ! Jaimais laisser planer le doute chez Mes soumis et soumises, il ne fallait pas quils puissent savoir sur quel pied danser ! Sciemment, je tirais un petit coup sec sur la laisse, et dis assez froidement « Bien, voyons ce que tu mas préparé ! Continue à te déplacer à quatre pattes, sauf si tu ne peux faire autrement, et reste le moins de temps possible sur tes deux pieds ! »
Point de vue de soumise Marion MDE :
Ayant fait le tour de la maison, lorsque je voulus me déplacer devant Lui toujours en quadrupédie, le Maître tira à nouveau un coup sec sur ma laisse.
- Quoique je fasse, JAMAIS, tu entends jamais, tu ne dois me fixer ainsi dans les yeux, sauf si je ty autorise ! dit-Il dune voie glaciale. Au lieu de nous laisser déjeuner tranquillement, tu mobliges à te punir !, Je ne peux laisser passer un tel affront. Tu auras deux sortes de punitions, la première pour avoir osé me fixer ainsi, la seconde pour ne pas avoir respecté la position en quadrupédie que javais exigée !
Je restais immobile, écoutant les paroles du Maître, des frissons me parcourant tout le corps ! Si tout à lheure, je doutais davoir fauté, là je reconnaissais que javais fait fort en quelques dizaines de secondes, à ma grande déception ! Jattendais, appréhendais et acceptais donc que la sentence tombe. Le silence était pesant, il me sembla durer une éternité, lorsque le Maître reprit la parole toujours glaciale mais calme, froidement calme :
- Eh bien, Jattends ! Et tu sais quil nest pas bon de me faire attendre, ta sanction risquerait de salourdir ! Ne me dis pas que tu nas pas idée de ce que tu dois faire, je devrais alors rajouter une troisième sorte de punition qui serait encore beaucoup plus sévère !
Me rappelant alors, ce que je devais faire en cas de punition, je me prosternais à Ses pieds, sans les Lui toucher, et je commençais dune voix fort hésitante et bien faible tout en balbutiant juste deux mots, étant trop stressée davoir fauté :
- Maî
Maître
je
je
je
»
- Je te laisse 10 secondes de réflexion, pour me sortir une phrase claire, nette, audible et articulée ! Sinon ta sentence sera amplifiée !
Je respirai alors aussi profondément que possible, je savais ce que javais à faire.
- Les 10 secondes sont écoulées, je técoute ! dit-Il dune voix toujours glaciale.
- Maître, je reconnais avoir commis deux fautes, en ne gardant pas la position exigée de quadrupédie et en ayant osé Vous fixer dans les yeux. Je Vous supplie de bien vouloir minfliger les deux sanctions que Vous jugerez bon de mimposer.
Javais répondu dun seul souffle, et jattendais maintenant à ce que le Maître daigne me punir, avec un mélange dimpatience, afin de pouvoir être pardonnée, et dappréhension ! Monsieur le Marquis aimait faire durer le suspense, et là, Il ne sen privait pas ! Je commençais à laisser couler des larmes silencieuses et à trembler durant ce long silence pesant où Il me regardait de ses yeux dominants, avec son visage impassible, quand Il se décida à sexprimer :
- Bien, ta première sanction va têtre appliquée ! Pour Mavoir fixé du regard, je vais commencer par te bander les yeux. Lève-toi, chienne !
Cest ce que je fis de suite, gardant les yeux et la tête baissée, Il me banda donc les yeux avec un bandeau quIl sortit de Sa poche :
- Et maintenant, débrouille toi pour retrouver le centre de ton salon, tient-toi debout, jambes écartées, mains derrière la nuque et va très doucement pour ne pas te blesser à un éventuel obstacle. Je vais chercher, dans la voiture, un accessoire que tu nas pas. Quoiquil arrive, je ne veux pas te voir bouger une fois que tu estimes être au centre de cette pièce, ni entendre le moindre son !
Et tandis quIl quittait la pièce, je me replaçais à quatre pattes et, à tâtons, regagnais le salon où, touchant la table basse, je reconnus le centre de la pièce, et je me mis alors dans la position exigée debout, jambes écartées, mains derrière la nuque. Jentendais dehors le bruit dune portière de voiture qui souvrait et se refermait, puis la porte de lentrée. Je savais que le Maître, revenu, était proche de moi, mais Il restait immobile et silencieux, laissant monter la tension en moi.
- Les seuls sons que je veux entendre, ce sont le décompte des coups que tu recevras, et tu devras me remercier à chaque fois en disant « Merci Maître Vénéré ! » dune voix claire et audible. Je ne te dirais pas combien de coups tomberont !
Jappréhendais beaucoup le premier coup, ne pas savoir où il va tomber, ni quand, ni avec quelle force. Et je devais me concentrer pour être sûre de ne pas crier, de ne pas gémir, mais réussir à compter et à Le remercier dune voix aussi claire que possible. Le premier coup tomba, assez fort sur la fesse gauche, puis le second, un peu moins fort sur la fesse droite et à chaque fois, malgré la douleur, jexprimais comme exigé, mes remerciement à être corrigée. Je ne sais pas ce qui se produisit en moi dans mon cerveau mais force était de constater que mon bas-ventre shumidifiait dune façon fulgurante à chaque coup reçu. En effet, cela mexcitait fortement, la douleur se mélangeait au plaisir excitant et cela incroyablement intensément... Plus il frappait, plus je le remerciais et plus jétais excitée. Les coups se succédèrent donc, jamais de la même force, jamais au même endroit, dans une logique totalement maitrisée par le Maître, qui savait doser parfaitement chaque impact, sur ma peau, des lanières du fouet. Logique qui méchappait et mempêchait de prévoir le prochain coup. La tension devenait douloureuse dans mes bras, mon corps se mettait à trembler, ma voix était tendue. Le Maître semblait ne jamais vouloir sarrêter. Les coups étaient assez espacés pour me laisser le temps de reprendre mon souffle et de le remercier entre chacun deux jusquau cinquantième. Et là javais à peine fini de Le remercier, que Monsieur le Marquis enchainait sur le suivant. Les larmes coulaient sans discontinuer, javais peine à continuer de compter, dans ma voix sentendaient les sanglots que je retenais, jusquà arriver au soixantième et dernier coup de fouet.
- Humm, toujours en chaleur Ma petite chienne ! Lèche le manche de Mon fouet, je le veux propre, comme sil venait dêtre acheté !
Et je sentis presser contre mes lèvres buccales quelque chose qui ressemblait à un sexe de taille assez modeste pour être maintenu et manier facilement. Mais je le léchais et le nettoyais comme sil avait été un vrai sexe de chair et de sang.
- Bien ! dit-Il dune voix sèche. Maintenant jai faim ! Tu vas apporter tout le repas sur la table. Et voici le commencement de ma deuxième punition
(A suivre
)
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