L'Échange

Nous c'est Catherine et Alain, nous partons au moins 2 week-end par an, visiter une ville ou une région de notre beau pays.
Nous partons avec un couple d'amis, Christelle et Hervé.
Nous avons a peu près le même âge, les mêmes physiques. Pour les hommes, 170 cm, 73 kg, poivre et sel. Pour les dames 160 cm, 55 kg, pour ma femme un carré court châtain, pour Christelle, des cheveux noirs qui tombent en ondulant sur les épaules. Toutes les 2, ont des physiques agréables.
Il n'est pas rare que nous plaisantions sur le sujet, en voyant dans la rue, les hommes, jeunes ou moins jeunes, se retourner sur leur passage.
Donc il y a 3 ans, nous avions décidé, d'aller passer le We de Pâques, à Aix les bains. Christelle se charge des réservations dans un bel hôtel au bord du lac.
Le jour j, nous partons en début d'après midi, pour un we de farniente. Nous sommes sur l'autoroute quand la radio 107.7 annonce un ralentissement suite à un incident. En guise d'incident, c'était un très grave accident, qui nécessita l'intervention d'un hélicoptère. Le ralentissement dura en fait presque 4h.nous arrivons du coup un peu tard, pour profiter du lac, mais, ils nous restent la piscine.
Nous sommes, tout joyeux à la réception de l'hôtel, la réceptionniste semble un peu perdue, mais c'est peut-être une nouvelle. Après 5 bonnes minutes elle s'excuse, et part dans le bureau situé juste derrière elle. Elle en ressort rapidement, accompagnée d'une jolie femme de 40 ans environ.
Sur sa veste il y avait écrit manager.
Nous nous regardons, tous les 4, l'air étonné, après l'après-midi que nous venons de passer plus rien ne peut nous surprendre.
La manager : messieurs dames, je suis désolée de vous annoncer, qu'il y a eu un problème ou plutôt une incompréhension à la réservation. Il n'y a pas 2 chambres de réservées, mais une chambre avec deux grands lits.
Christelle : mais pourtant je suis certaine d'avoir bien précisé que nous étions 2 couples.


La manager : messieurs dames, je comprends votre déception. si ça peut vous consoler, la chambre est grande et les lits sont séparés par une cloison. J'ai aussi le plaisir de vous annoncer que vous êtes les invités de l'hôtel pour ces 2 jours, avec accès illimité à l'ensemble des activités proposées. Spa, piscine, restaurant.
A cette annonce, le sourire revient et nous montons prendre possession de la chambre. Elle est spacieuse. En entrant un petit couloir qui dessert à gauche une grande salle de douche, à droite les toilettes, une salle d'eau avec baignoire et au bout une grande pièce, coupée en deux par une demie cloison. de chaque coté de la cloison un lit king size. La chambre étant au dernier étage en bout de bâtiment, elle est entourée sur ses 3 côtés, d'une large terrasse aménagée.
En galant hommes nous laissons les femmes choisir leur lit. La mienne choisit la première le lit de gauche. Après une installation rapide, nous descendons diner et faire une balade près du lac.
Après cette journée pleine de surprises, nous sommes un peu fatigués. En rentrant ma femme me dit : nous ne pourrons pas faire comme en 2003.

Flash back
Aout 2003, c'est la canicule, il fait sur toute la France une chaleur intense. Les s chez les grands parents. Nous sommes venus passer un we à Aix les bains, espérant trouver au bord du lac un peu de fraicheur. Nous avons pris un forfait hôtel Spa et repas nocturne sur le lac.
Le bateau restaurant est agréable car climatisé, nous avons un repas avec boisson à volonté. Nous profitons du repas et surtout du rosé bien frais. A près le café, il reste encore une vingtaines de minutes avant l'accostage. En montant sur la terrasse, pour essayer d'avoir un peu d'air, il est presque minuit
Cathy : vas y, je te rejoins, je vais aux toilettes je monte seul, et choisis une place un peu à l'écart des 3 autres couples présents. Je regarde ma femme s'approcher, elle est superbe dans sa robe courte, qui se boutonne dur le devant.
le regard qui brille, un sourire coquin sur les lèvres. Elle avance lentement en regardant autour d'elle. En arrivant vers moi elle m'embrasse et me dit :
Cathy : j'ai trop bu et j'ai très chaud partout
Moi (souriant) : vraiment partout ?
Elle (se glissant entre le bastingage et moi) : regarde par toi même.
Je me colle à son dos, je l'embrasse dans le cou, je passe mes mains sur son ventre. j'observe du coin de l'œil les autres couples, qui sont tous occupés à plus ou moins fleurter.
Discrètement, je défais deux boutons pour passer ma main en direction de son sexe.
Moi (surpris) : mais tu n'as plus de culotte ?
Cathy : non j'avais trop chaud. mais j'ai envie sue tu me caresses.
Je ne me fais pas prier, je glisse, deux doigts vers son clitoris, que j'effleure, elle pose sa tête en arrière sur mon épaule, offrant son cou à ma bouche. Elle avance son bassin contre, la balustrade, ce qui plaque, mon majeur, sur son bouton gonflé de plaisir. Je ne bouge pas, je laisse mon doigt, elle se donne du plaisir juste en frottant son bassin sur ma main coincée sur son ventre.
Nous accostons, elle est à peine remise de ce petit plaisir. elle remet un peu d'ordre à sa robe.
En arrivant à l'hôtel, elle m'entraine dans le parc, vers la piscine, il y a des transats sous des arbres qui nous protègent de la vue du bâtiment.
Elle me pousse, sur un transat, se plante devant moi les jambes légèrement écartées. Elle déboutonne bouton par bouton, sa robe, qui s'ouvre sur son corps complètement nu.
Elle laisse tomber le frêle vêtement, se caresse doucement les seins, le ventre, le sexe. Son regard brulant ne me quittant pas un instant.
Elle se penche, m'enlève mes chaussures, s'allonge sur moi, nos bouches se soudent, ses mains glissent sur mon torse, elle ouvre ma chemise, défait ma ceinture, sa main vient se poser sur mon sexe tendu à faire mal. Elle se recule, m'embrasse en descendant sur le torse, le ventre. M'enlève rapidement mon pantalon et mon slip.
Je suis moi aussi entièrement nu. Sa langue tourne autour de mon gland, avant de me gober entièrement en gorge profonde. Elle remonte en léchant ma tige, rejoue avec mon gland. elle me suce en douceur, je vois la salive couler de ses lèvres. Après quelques instants, elle se relève et vient s'empaler sur ma bite. Elle reste sans bouger, je sens sa mouille couler, sur mes parties et mes cuisses. Elle commence à donner de légers coups de reins et à frotter son pubis contre le mien. Elle pose ses mains sur mes cuisses se cambre. je peux admirer sa magnifique poitrine. Elle gémit, revient sur moi. m'embrasse tendrement, pendant que je commence à la pilonner avec de furieux coups de reins.
Elle va jouir, elle étouffe ses gémissements en se mordant la main. je ne tiens plus, j'éjacule à grands jais dans sa chatte trempée, qui laisse échapper nos plaisirs réunis. Nous reprenons nos esprits, sans bouger durant quelques minutes. Puis nous rentrons nous coucher. le lendemain matin au petit déjeuner, un très vieux monsieur s'approche de notre table. le vieux monsieur: Bonjour madame, bonjour Monsieur, cette nuit vous étiez magnifique dans le jardin.
Surtout vous (en se tournant vers ma femme). Votre nudité et vos gémissements m'ont rappelé d'agréables souvenirs. Encore merci
Nous : bonne journée à vous et merci ma femme : je suis heureuse de vous avoir donné un peu de bonheur.

Retour en 2018
moi : Non nous ne ferons pas comme en 2003 ma chérie.
Pendant que les femmes papotent allongées sur des transats, nous prenons une bonne douche. nous avisons les dames qu'elles peuvent à leurs tours aller faire un brun de toilette. Et là nouveau problème, le Vanity de ma femme est resté dans la voiture. Voyant que je ne me précipite pas pour aller le chercher, elle demande à Christelle de l'accompagner. Au moment ou elles sortent
Hervé : vous faites doucement en rentrant, car nous dormirons surement.
elles partent en pouffant de rire.
Hervé (une fois seuls): on va leur faire une farce, on va éteindre les lumières, et changer de lit et faire semblant de dormir.

Moi : ça va pas, si elles ne voient pas la supercherie, et si elles nous font des avances croyant être avec leurs maris
Hervé : mais non, ça ne veut pas arriver, et puis si ça arrive, et bien je me serai tapé
Catherine et toi Chrystelle, nous serons quittes.
après un silence
Hervé : tu vas pas me dire que tu n'as jamais pensé à sauter ma femme ? parce que moi j'ai souvent pensé à la tienne en me branlant.
moi(un peu décontenancé) eh bien faisons comme ça, nous verrons bien.

Ma VERSION

Je dois avouer, que je suis à la fois anxieux, intrigué et pressé de connaitre la réaction de nos épouses quand elles vont s'apercevoir de la supercherie, si elles s'en rendent compte.je me dis aussi que Hervé à raison, je butinerais bien Christelle.
Nous n'attendons pas longtemps. La porte s'ouvre.
Chris: mais c'est vrai qu'ils ne nous ont pas attendu
Catherine : ils sont gonflés, puisque c'est comme ça, il n'aura pas de petit câlin.
Et je les entends partir en rigolant doucement, dans leurs salles de bain respectives.je suis nu, allongé sur le ventre, j'essaie de respirer doucement, j'entends une porte s'ouvrir, mais personne ne vient dans mon lit. C'est donc ma femme, qui sans le savoir vient de s'allonger vers Hervé. je tends l'oreille il n'y a pas de bruit.
2eme porte, je suis tendu, le lit bouge, Christelle entièrement nue vient se coller contre moi.
Je sens son corps chaud, ses seins, sa jambe qui passe par-dessus mes fesses.
Christelle (a mon oreille) : caresse moi doucement
Osant à peine bouger, je mets ma main sur sa fesse et commence à descendre délicatement, le long de la cuisse jusqu’au genou, et je remonte. Après quelques allés et retour.
Christelle (doucement mais légèrement irritée) : mais c’est quoi ces caresses. Tu as peur que les voisins nous entendent ?
Elle me serre encore plus fort, et commence à me faire des bisous dans le cou. Sa main droite ne reste pas inactive, elle descend le long de mon torse, mon ventre, et vient se poser sur mon sexe, qui bande mou.
Christelle(irritée) : si c'est tout l'effet que je te fais elle s'écarte de moi, et dans le même temps me tire en arrière. je me retrouve sur le dos. Direct elle me monte dessus, ses fesses au niveau de mon sexe, et son visage tout près du mien. à ce moment là tout se passe très vite.
Même si la chambre est dans la pénombre, il y a assez de clarté, pour qu'en voyant mon visage, elle s'aperçoive que je ne suis pas son mari.
Elle est tellement surprise, qu'elle en reste muette et figée.
Dans le même temps, j'entends venant du lit à côté, la respiration de ma femme, qui est plus forte et plus rapide. Je reconnais cette respiration, c'est quand elle commence à avoir du plaisir. je me dis: la vache il est en train de baiser ma femme.
Instantanément, ma bite qui bandait mollement, c'est durcie d'un coup. elle est venue taper la raie des fesses de Chris toujours sans réaction à califourchon sur moi. elle sursaute au contact de mon sexe, sort de sa torpeur. Toujours en silence, elle fait mine de vouloir descendre de mon ventre.
Sans réfléchir, mais très excité, je passe ma main droite sur sa nuque, tire sa tête (qui se trouve à quelques centimètre de la mienne) vers moi, et plaque mes lèvres sur les siennes. Ma main gauche se plaque sur son dos.
Surprise, elle essaie de se dégager. Mais elle bouge doucement, j'ai l'impression qu'elle ne veut pas faire de bruit, pour ne pas alerter nos voisins, qui eux s'en donnent à cœur joie.
Elle refuse d'ouvrir la bouche pour un baiser plus chaleureux. Je descends ma main gauche des épaules aux reins. j'appuie fortement, pour que son bassin s'abaisse et que ma verge en érection vienne se placer au niveau, de son sexe.
Une nouvelle foi surprise, elle dessert les dents pour parler, mais instantanément, ma langue vient chercher sa langue.
je la sens soupirer, son corps se relâche. elle me rend le baiser. Son pubis se colle à mon ventre.
Elle passe une main entre nous, empoigne mon sexe, qu'elle porte à l'entrée de sa grotte, et s'empale sans retenir son gémissement de plaisir.
Elle se redresse, pose ses mains en arrière sur mes cuisses. Je suis au plus profond de son intimité.
Elle donne de léger coups de reins, elle frotte son clitoris sur mon pubis. je vois dans la pénombre ses seins qui bougent lentement. Je les caresse et les masse doucement. Après quelques minutes, elle accélère le mouvement, une de ses mains, vient se poser sur son petit bouton, qu'elle caresse, avec vigueur.
Très vite son plaisir monte, et elle a un plaisir intense, qu'elle essaie de cacher, en retombant sur moi, et en venant mettre sa tête dans mon cou, pour ses gémissements.
Nous ne bougeons pas pendant quelques instants, il n'y a plus de bruit dans la pièce.je me dis qu'avec tout ça je n'ai pas entendu ma femme jouir.
Chris se redresse, me regarde avec un sourire coquin.
je suis toujours planté en elle, je n'ai pas joui. En me faisant des petits bisous, elle se dégage,
Chris (chuchotant): qu'est ce qu'on à fait ?
Moi : comme ceux d'à côté
Chris : tu crois qu'ils l'on fait aussi?
Moi : certain, les soupirs de Cathy tout à l'heure, ne faisaient aucun doute.
A cet instant, on entend des craquements, il n' y a pas de doute, un couple fait l'amour, et y va de bon cœur. j'entends Cathy gémir, et Hervé souffler fort.
Moi : tu as encore des doutes ,
Chris : non tu as raison, ils baisent.
Aux gémissement, au bruit du sommier, aux paroles entendues, on sait qu'ils approchent du plaisir.je suis toujours en érection. Christelle toujours avec son sourire coquin, commence à me branler.ma femme dans un dernier râle de plaisir jouit très fort en disant qu'elle a adoré la grosse bite
d'Hervé dans sa chatte en feu. Hervé qu'en à lui jouissait, en lui disant d'écarter ses cuisses au maximum, pour qu'il puisse juter dans sa chatte de salope.
Puis plus rien sauf des respirations de personnes essoufflées par un effort physique intense.
Christelle n'est pas restée inactive, sa bouche a remplacé sa main. elle lèche ma tige de bas en haut et de haut en bas. Sa langue s'attarde à chaque passage sur mon gland. Puis elle me gobe. Sa langue se frotte sur mon gland qu'elle bloque contre son palais. Elle m'enfourne à fond en gorge profonde délicieuse.
Après plusieurs passage de se traitement, je lui pose la main sur la tête, et lui impose mon rythme.
elle se laisse guider. Je sens ses lèvres bien envelopper mon sexe. avec une main elle me malaxe les testicules. La sève monte vite, je lui dis que je vais jouir, mais en me regardant elle accélère ses va et vient.
Moi: (au bord de l'explosion) ouiiiiiiiiiii ouiiiiiiiiiii vas y suce moi, ouiiiiiiiii je vais gicler
Et j'éjacule à grand jets dans sa bouche. Je lui retiens la tête. elle se retire lentement, du sperme, coule de ses lèvres sur son menton et ses seins. Elle me reprend, et comme un chaton qui boit son lait, elle me nettoie entièrement.
Une fois terminé, elle remonte à ma hauteur, met sa tête sur mon épaule et nous nous endormons repus.
la dernière chose que j'entends c'est la respiration régulière de personnes en train de dormir de l'autre côté de la chambre.

La VERSION de ma Femme.

Quand nous revenons Chris et moi, la chambre est dans le noir, tout est calme et les hommes semblent dormir. déçue je dis à ma copine : puisque c'est ça il n'aura pas de câlin.
Et nous rentrons chacune dans notre salle de bain.
Je suis la première à sortir de la douche. L'eau fraiche m'a fait du bien. je sors doucement
je regarde Alain qui dort. je le trouve bizarre. Mais c'est surement la pénombre. En m'allongeant je lui fait un bisou sur l'épaule, il ne bronche même pas. Je soupir, ferme les yeux, repense à notre soirée du mois d'août 2003, et machinalement ma main droite vient se poser sur mon sexe. je commence à me caresser. Mon majeur va et vient le long de ma chatte.au dessus il appuie sur mon clitoris, en bas il pénètre doucement mon vagin pour constater qu'il s'humidifie doucement. Je sens que mon plaisir va venir crescendo. j'entends Chris et Hervé chuchotés. L'idée qu'ils sont peut-être entrain de faire des coquineries m'excite encore plus.
Toute à mes caresses, je n'ai pas vu que mon mari c'était retourné vers moi. Tout à coup je sens une main se poser sur mes seins et pincer les tétons. Je me dis : tien il est réveillé.
Sa main quitte ma poitrine, et vient prendre la place de la mienne sur mon sexe. Il caresse mon petit bouton. Ma respiration s'accélère, son doigt accélère aussi. J'entends Chris gémir.
Au moment de jouir, je serre les cuisses très fort, en emprisonnant la main de mon mari. Je me tourne vers lui et l'embrasse à pleine bouche. Nos langues, se retrouvent. j'ai libéré sa main, je me colle contre lui. Ma main descend entre nos corps. Arrivée à son pubis, je sursaute. IL EST COMPLETEMENT RASE.
Ce n'est pas mon mari. Stupéfaite, paralysée par la découverte que je viens de faire. je viens de prendre du plaisir sous les doigts d'un autre homme que mon mari.
je réalise dans le même temps, que le couple qui fait l'amour à côté c'est Alain et ma copine Christelle, qui sans aucun doute possible vient d'avoir un orgasme.
J'ouvre les yeux que j'avais gardé fermé, pour savourer ma jouissance. et je vois le visage d'Hervé, à quelques centimètres du mien. il me regarde avec un sourire coquin.
Hervé : ça va ? tu as aimé ? tu es belle quand tu jouis.
Moi (essayant de me dégager):qui a eu cette idée ? tu as entendu mon mari à baisé ta femme ?
Hervé (me regardant avec un sourire encore plus grand) : pourquoi tu chuchotes ? tu as peur qu'ils nous entendent baiser aussi ?et en disant ces mots, il me pousse, je me retrouve sur le dos, il me tient les bras au-dessus de la tête. je me débats, mais dans la position ou je suis, avec son corps sur le mien, je ne peux pas bouger. Je sens son érection sur mon ventre
Hervé : laisses toi faire, je n'ai pas eu de plaisir. Et je rêve de toi depuis si longtemps.
Moi (un peu perdue) : mais que va dire ta femme ?
Hervé : pour l'instant ma femme elle ne pense pas à moi
En même temps qu'il prononce ces mots, sa main droite lâche mes poignets, seulement maintenus par sa main gauche. Il s'écarte légèrement, prend sa verge tendue entre ses doigts, et vient la placer à l'entrée de mon vagin, qu'il pénètre d'un léger coup de reins.je sursaute, prête à me rebeller, mais dans le même temps une bouffée de chaleur m'envahie. Et quand j'ouvre la bouche c'est pour lui dire de me baiser fort, il ne se fait pas prier. il me lâche
les poignets , il me relève les jambes les genoux sur la poitrine, et il me lime avec violence. Dès le début de ses va et vient, je mouille comme une folle. Entendre ses couilles taper mes fesses, entendre ma mouille faire de clapotis, et surtout entendre le lit grincer, accroit mon envie de jouir. Nous sommes en sueur, Hervé me tenant toujours le cul en l'air me besogne de plus en plus fort et tout à coup c'est l'orgasme.
Moi : ouiiiiiiiiiii je jouis, j'adore ta grosse bite, rempli ma chatte en feu ouiiiiii, ouiiiiiiivas y fais moi du bien ouiiiiiiiiii
Hervé : ouiiii, je jouiiiiiiiis, écarte les cuisses fort fort que je jute dans ta chatte de salope
Puis s'écrasant sur moi dans un dernier râle de plaisir.
Hervé : hooo Catherine tu es vraiment trop bonne.
Je sens sa semence se répandre en moi.
Nous restons l'un dans l'autre quelques instants. Délicatement il se retire, son sperme et ma mouille coulent le long de ma raie.
Nous nous faisons un dernier bisou, puis nous nous endormons collés l'un contre l'autre. Avant de sombrer dans le sommeil, j'entends la respiration régulière de personnes qui dorment sur le lit d'à côté.

9h tout le monde se réveille presque en même temps. Et là surprise les couples sont reconstitués les femmes durant la nuit ont retrouvé leurs maris, comme si rien ne s'était passé.

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