R-Evolution Sensuelle 1

Je me souviens du moment où nous avons plongé.
Mariés depuis 15 ans, approchant la quarantaine notre vie sexuelle était satisfaisante mais manquait d’intensité.
Mais les s avaient grandi, nos sens se réveillaient, nos envies se faisaient plus pressantes.
En ce qui me concerne en tous cas.
Mes hormones qui me rappellent que je suis encore en état de procréer même si je n’en ai aucune envie peut-être, j’avais envie de sexe intense.
J’avais envie d’être prise, d’être possédée…
De baiser plutôt que de faire l’amour.
Petit à petit j’ai donc exprimé mes envies.
J’aimais qu’il me tienne les poignets pendant qu’il me prenait, j’ai demandé à les avoir attachés.
J’aimais qu’il m’écarte les jambes d’un coup de genou avant de me prendre, je les ai serrées afin qu’il doive systématiquement forcer pour les ouvrir.
J’aimais qu’il me parle crument, je me suis donc mise à lui demander si il me trouvait bonne à baiser, si ma chatte était bonne.
Je lui envoyais des sextos lui proposant de venir le sucer à son bureau sur la pause-déjeuner, des photos de moi dans des positions sans équivoque.
Et il a apprécié de me bousculer ainsi, de plus en plus en souvent c’est lui qui prenait les devants.
Il m’attachait, me traitait de salope, me disait que j’avais une bouche à pipe, me caressait parfois les fesses ou les seins, en pleine rue.
Ce jour-là il m’avait envoyé un texto.
« Que fais-tu ? 
- Je finis un rapport ensuite j’irai me caresser aux toilettes, j’ai envie de ta queue.
- Photo »
J’ai aussitôt foncé aux toilettes et là assise sur la cuvette les jambes grandes ouvertes je me suis enfilé plusieurs doigts dans la chatte, et même un dans le petit trou et lui ai envoyé une première photo.
je suis retournée à mon bureau passablement émoustillée.
La réponse est arrivée dix minutes plus tard.
«Salope tu me fais bander »
Je le savais !
« Je suis en rendez-vous toute la journée, ne me chauffe pas comme ça »
Bien entendu tout le reste de l’après-midi j’ai continué à lui envoyer les photos que j’avais prises.


La seule réponse qu’il m’envoya fut
« ce soir je vais te baiser comme la chienne que tu es »
Le reste de ma journée fut tendu, je l’imaginais à peine rentré du travail me plaquer sur la table du salon et me tringler comme une vulgaire catin, qui sert de vide-couilles.
Il est allé ce soir-là un peu au-delà de mes espérances.
J’aurais dû m’en douter.
C’était la première fois qu’il m’appelait chienne…

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