Un Été Naturiste 4

Après nos ébats à 4 sur la plage, nous avons décidés de nous baigner tout simplement dans l’océan puis de rentrer, comme si de rien n’était. Nous étions tout simplement dans un état un peu second, et n’avions pas encore pleinement réalisé la perversion de notre après midi de sexe débridé où 2 quinquagénaires avaient couché avec deux jeunes d’une vingtaine d’année, où un fils avait laissé son amant à son père, et où un père avait joui aux côtés de son fils.

Julien alla retrouver ses parents, Thierry retournait à sa caravane et Thomas et moi reprenions le chemin de notre chalet. Sur la route, >Thomas me demandait ce qu’il allait se passer désormais.

-Je ne sais pas mon grand, laissons aller nos envies. J’espère que nous pourrons revivre d’autres moments à quatre d’ici la fin de notre séjour. Et toi, de quoi aurais tu envie ?

-J’aimerais bien recommencer aussi. J’ai adoré faire l’amour à Thierry, c’est un excellent amant. Et j’aimerais avoir d’autres occasions de te voir avec Julien ou d’autres hommes.

-Tu sais que Thierry et moi avons l’habitude de passer nos après-midis ici dans les dunes, depuis plusieurs années maintenant. Bien sûr, ta mère n’en sait rien. Je pense que Thierry sera ravi que tu te joignes à nous et personnellement, je ne demande pas mieux que d’approfondir l’éducation de Julien, si tu veux bien me le laisser quand vous ne baisez pas ensemble. Et peut-être as-tu d’autres amants au club de surf ?

-Malheureusement non, Papa. À dire vrai, Adrien me plaît beaucoup et on se connaît depuis l’enfance, un peu comme Julien. Malheureusement mes tentatives n’ont rien donné. Je pense qu’il est 100% hétéro.

-Y-a-t-il d’autres hommes qui t’attirent ici ? Tu sais, dans les dunes tu as le choix : il y a des allées venues permanentes d’hommes de tous âges, des gay, des bi, des célibataires et des pères de famille bien rangés.

-Il y a un homme qui m’attirerait bien, c’est le papa de Julien.

Après tout, Julien a couché avec mon pap, je pourrais bien en faire autant avec le sien, dit-il en riant.

-C’est vrai qu’Éric est bel homme. Moi-même je ne dirai pas non si l’occasion se présentait….

Nous arrivions chez nous. Valérie, mon épouse, était déjà rentrée et lisait sur la terrasse. Nous voyant revenir ensemble, elle nous apostropha : tiens ? vous rentrez en même temps ? Thomas répondit qu’on s’était rencontré sur le chemin de retour.

-au fait, ma chérie, continuais-je, tant pour détourner la conversation que parce qu’une idée me vint en tête, cela fait longtemps que l’on n’a pas vu Eric et Sophie, les parents de Julien. Nous pourrions peut-être les inviter un de ces soirs pour un apéro dinatoire ? dis-je en faisant un clin d’œil à Thomas. Celui-ci rougit et, sans réagir, rentra pour aller se doucher.

-Oui c’est une bonne idée. J’appelle Sophie à l’instant. En attendant de passer à la salle de bains après Thomas, je l’entendis papoter avec Sophie. Quelques minutes plus tard, Valérie revient me confirmer que c’était arrangé pour demain soir. Ils étaient ravis de nous retrouver.

La soirée en famille et la matinée du lendemain se déroulèrent sans rien de remarquable. Si je n’avait pas vraiment envie de sexe avec Valérie compte tenu de mes exploits de l’après-midi, cela n’empêcha pas un long moment de tendresse et de sensualité ce soir-là, avec une excitation redoublée en passant à ce que j’avais vécu quelques heures avant.

Le lendemain matin j’envoyais un SMS à Thierry pour lui annoncer que je le retrouverai à nouveau à l’endroit habituel et que Thomas voulait se joindre à nous. C’est par des smileys de sourire et de diable que Thierry répondit. Un peu plus tard, Thomas vint m’annoncer que Julien ne venait pas. Un peu déçu, je m’interrogeais si finalement Julien regrettait ce qui s’était passé la veille. Thomas me rassura : Julien était « embarqué » par ses parents pour une journée touristique et il en éprouvait un dépit certain. Mais qu’à cela ne tienne puisque nous allions accueillir toute la famille ce soir à l’apéro. Ils pourront nous raconter leur journée.

En début d’après-midi, Thomas et moi nous nous mettons en route pour les dunes, en partant séparément et en prétextant pour Thomas son après-midi de surf et pour moi ma promenade habituelle. Nous retrouvons Thierry, qui visiblement est très pressé de nous retrouver. C’est avec une demi-molle qu’il nous accueille et qu’il s’empresse de nous faire la bise.

Thierry n’est pas décidé à en rester là et Thomas non plus. Très vite leur embrassade s’échauffe, devant moi. Ils se caressent. Thomas palpe les pectoraux de Thierry, passe les doigts dans ses aisselles, pendant que Thierry, tout en embrassant Thomas à pleine bouche, lui caresse les fesses et entreprend de fouiller sa raie poilue avec les doigts.

Le spectacle commence à m’exciter mais je me sens un peu con à regarder mon fils et mon ami prendre leur pied. Thomas s’allonge au sol, sur le dos. Je me place alors au-dessus de lui et maintiens ses jambes bien écartées et bien tendues vers le haut, dégageant ainsi la voie à Thierry, qui peut alors lécher et bouffer le cul de mon fils avec délectation.

Thomas gémit sous les assauts de la langue de Thierry, qui passe de sa rosette au périnée, puis et couilles, à sa queue et redescend. Bien évidemment, cette scène m’excite et je suis maintenant complètement bandé, à genoux au-dessus du visage de Thomas. Un filet de liquide pré-séminal s’écoule de mon gland, comme toujours quand je suis très excité.

Je finis par m’apercevoir que Thomas à ouvert grand la bouche et tend la langue pour recueillir le fluide de son papa. Je suis partagé entre l’excitation perverse et la réticence à aller plus loin avec mon fils, mais il semble se régaler et je constate que sa queue est aussi baveuse que la mienne. Pour ça aussi, nous nous ressemblons.

C’est à ce moment que j’aperçois un homme en train d’observer notre trio. 35/40 ans, brun, plutôt râblé, bien bronzé et de type latin, il a une superbe marque de maillot de bain : ce n’est pas un résident du centre naturiste, mais sans doute un dragueur qui vient en « touriste » de l’extérieur. Peu importe, je le trouve bien à mon goût. Je lui fais signe d’approcher et sans lui demander son avis, j’approche ma bouche de sa queue.

Ma langue a vite fait de le faire bander complètement, même si je le vois regarder fixement le corps de Thomas. Visiblement, il préfère la jeunesse. T’inquiète pas, tu pourras proposer à Thomas d’aller plus loin avec toi, mais pour l’instant j’ai envie de déguster devant et derrière.

Abandonnant Thomas et Thierry à leurs ébats, je poursuis ma pipe du bel inconnu, et lui caresse les couilles, qu’il a rasées, l’intérieur des cuisses, les fesses, la raie. Je sens qu’il apprécie aussi qu’on s’occupe de son cul. Je le fais rapidement mettre en levrette pour mieux continuer à lui bouffer le cul pendant quelques minutes.

Thomas et Thierry viennent alors nous rejoindre. Thomas s’agenouille et offre sa queue à mon partenaire toujours en levrette, pendant que Thierry, debout, les pieds de chaque côté du torse de mon fils, lui offre sa queue pour se faire pomper. Pendant ce changement de position, j’en ai profité pour enfiler un préservatif et enduire le cul du petit brun de gel (Thierry apporte toujours tout ce qu’il faut), et je commence à le pénétrer lentement, sans forcer. Une fois ma queue complètement en lui, j’augmente le rythme et fait lentement monter mon plaisir, pendant que je le masturbe de ma main libre et qu’il continue à pomper mon fils. Encore un mec bien viril et macho qui se révèle être un passif accompli, comme je les aime.

Nous sentons tous les quatre notre jouissance monter et quand Thomas annonce qu’il va jouir, sans doute pour donner à notre passif l’occasion de se retirer, celui-ci continue de plus belle : il veut le prendre en bouche. Thomas jouit en un râle de plaisir qui nous donne le signal. Je me lâche dans la capote et Thierry, par délicatesse sans doute, sort sa queue de la bouche de Thomas pour jouir sur son visage. En même temps, comme je continue à branler mon passif, je sens mes doigts devenir poisseux. Je poursuis ma branle pour lui faire sortir les dernières gouttes de sperme pendant que je me retire de lui. Nous avons joui quasiment en même temps.

Nous nous allongeons sur nos serviettes, nous nous nettoyons sommairement et reprenons nos esprits pendant quelques minutes, sans parler. Malheureusement notre beau brun, une fois remis de ses émotions, nous quitte sur un simple « c’était super, merci, peut être une prochaine fois, salut ». Nous ne saurons donc ni son prénom ni son pédigrée. Quel dommage, car je l’aurais bien convié à d’autres parties de bronzage dans les dunes. Mais je suis prêt à parier que femme et s l’attendent sur la plage à quelque centaine de mètres. J’espère pour lui qu’il prendra un bonbon à la menthe avant d’embrasser sa femme pour cacher le goût du sperme de mon fiston.