Baise-Moi Devant Mon Mari ! 3

Lorsque j’étais gamine mon père m’accompagnait souvent en club jouer du tennis. À l’adolescence je troquai ma raquette contre des ballerines et cette fois ce fut ma mère qui me servit d’accompagnatrice. Nous sommes une famille sportive. Juste avant mon mariage avec Sylvain, j’avais alors une vingtaine d’année, je courrais régulièrement pour entretenir ma ligne, j’avais un corps fin, un corps qui me rendait fière, un corps qui faisait que les hommes se retournent sur mon passage, un corps que j’assumais complètement. Puis je me suis mariée avec Sylvain, mon nouveau rythme de vie de femme mariée, de salariée, me laissa au fils du temps de moins en moins de temps à consacrer au sport, de moins en moins de temps de prendre soin de moi, il faut dire aussi que la flegme des efforts physiques s’était installée en moi. J’ai commencé à prendre du poids. Sylvain dit que je ne suis pas si grosse que ça, que je ne suis pas obèse, qu’il m’aime comme ça, c’est surement vrai, mais chaque fois que je me regarde dans le miroir je me trouve trop grosse. Alors quand Romain m’a tendu la carte de visite de sa salle de sport je me suis dit : ma chère Élisa voilà l’occasion de te remettre au sport comme dans ta jeunesse !

Je me suis maquillée. J’ai enfilé un jogging noir et un t-shirt un peu défraichis. J’ai pris une banane, une bouteille d’eau, une petite serviette, j’ai introduit le tout dans un sac à dos style cartable d’écolière. Avant de partir j’ai dit au revoir à Sylvain, il m’a conseillé de ne pas trop forcer physiquement, de bien m’hydrater, quant à moi je lui ai ordonné de ne pas tenter d’ôter sa cage de chasteté durant mon absence, de ne pas tenter de se masturber, encore mois d’éjaculer, et surtout de me faire à manger pour mon retour. Nous avons échangé un bisou puis je suis sortie.




Il était à peine dix heures du matin mais le soleil illuminait déjà tout à l’extérieur. La chaleur commençait à tomber du ciel.

J’ai envoyé un SMS à Romain dans lequel j’annonçai mon départ. Il m’a répondu en m’écrivant de lui envoyer un nouveau message dès mon arrivé. J’ai roulé durant une demi-heure puis je me suis garée au parking. Romain m’attendait. Il portait un débardeur vert, un jogging noir, des baskets noirs, et un sourire éclatant. Nous nous sommes faits la bise.

-J’suis content que vous soyez là !
-Moi aussi ! J’ai hâte de découvrir votre salle.

Nous sommes entrés dans l’immeuble. Nous avons monté quelques séries d’escaliers. Nous avons débouché dans une salle moyenne dans laquelle des gens transpiraient sur des machines de sport. « C’est une nouvelle. Elle vient découvrir ! » a dit Romain à l’intention de la dame souriante à l’accueil. Nous nous sommes dit bonjour. J’ai observé la salle, j’ai remarqué qu’il y’avait beaucoup plus de femmes que d’hommes, des femmes pour la plupart avec des beaux corps, des corps qui me rappelait celui que j’avais durant mon adolescence.

« Avant de commencer vous allez vous échauffer un peu. Un petit échauffement de rien du tout. Vous n’avez qu’à m’imiter ». Il fit un mouvement de rotation avec son pied gauche puis à un moment donné il passa au pied droit ; il dessina des cercles avec sa hanche cela me rappela l’époque gamine où nous faisions tourner mes cousines et moi des cerceaux autour de nos hanches ; il passa aux poignets, il les fit l’un après l’autre tournoyer comme des hélices, je l’imitai sans parvenir à faire craquer les miens comme il faisait craquer les siens ; ensuite nous passâmes aux épaules, nous les firent tournoyer de l’avant à l’arrière, enfin nous échauffâmes nos cous.

« Pour aujourd’hui comme ça fait longtemps que vous n’avez plus fait de sport, vous allez courir sur le tapis de course à un rythme lent. Quand je dis lent, c’est courir à un rythme qui vous permette à la fois de courir et de parler. N’oubliez pas de respirer, d’expirer profondément surtout. Aujourd’hui c’est normalement mon jour de repos musculaire mais comme vous êtes là pour vous motiver je vais courir avec vous ».
Je suis montée sur le tapis de course. Il l’a réglé pour moi à une lente allure puis il est monté sur le sien à coté de moi. J’ai regardé autour de nous. C’est alors que je me suis rendue compte que la plupart des femmes présentes nous regardaient. Je me suis sentie rougir à l’idée qu’elles nous imaginaient Romain et moi amants. Cette idée me plaisait bien ! Elles devaient m’en vouloir de m’accaparer leur coach sportif.

Alors que je courrais je sentais à chaque nouvelle foulée sur le tapis de course les secousses du sport se répandre un peu plus profondément en moi et faire fondre un peu plus les graisses qui squattaient ma viande. J’ai regardé Romain, il courait beaucoup plus vite que moi mais ça semblait n’être pour lui qu’une balade tandis que moi qui courait lentement je souffrais à chaque pas.

-Pourquoi avez-vous acceptez de venir ? Je veux dire… vous auriez pu refuser de venir souffrir dans cette salle comme l’aurait fait et comme le font la plupart des gens.
-C’est pour essayer que je suis venue. Ça fait longtemps que je n’ai plus fait de sport. Dans mon enfance j’ai même fais du tennis.
-Pourquoi avez-vous arrêté ?
-Parce que je n’étais pas la plus forte !
-Sérieux ?
-Non ! Parce que ça ne me plaisait plus.
-Vos parents vous mettaient trop de pression ?
-Un peu, pas beaucoup…
-Je voudrais savoir si les parents des petits tennismans sont aussi fous que ceux des footballeurs ?
-Non ça va.
-Comme vous le savez mon petit frère joue au foot. Je l’accompagne souvent pour voir ses matchs. Chaque week-ends c’est un truc de dingue ! Il faut voir ça. Un jour son équipe a joué dans la région un tournoi catégorie U13 Benjamin.
Son équipe avait bien joué, très bien joué même. Elle aurait pu facilement remporter le tournoi, elle aurait pu parce que malheureusement le tournoi a été annulé à cause d’une bagarre. L’entraineur d’une équipe de la région s’est emboucané avec un parent de l’équipe Corse.
Ils en sont venus aux mains. Manque de pot pour le coach, le parent était un boxeur. D’une droite il a allongé le coach, puis l’adjoint de ce dernier qui est venu en renfort. Les deux se sont retrouvés K.O devant les minots. Quand le coach a repris connaissance la première chose qu’il a dit c’est : « attends ! Je vais appeler mes gars qui habitent ici. T’es morts ! » Il s’est mis à téléphoner. Tout le monde a conseillé au corse de s’en aller. On l’a emporté dans une voiture. Une quinzaine de minute plus tard les sauvageons du coachs ont déboulé. Ils avaient des battes de baseball, des sabres, des cailloux, tout ça contre un seul homme. Comme ils n’ont pas pu choper le type, ils se sont défoulés sur le mobilier. Ils ont tout cassé. Dès que la gendarmerie a débarqué ils se sont enfuis. C’est l’histoire de trop qui a fait en sorte que le district annule pour de bon les championnats en U13. Trop de tension.
-Hé bein ! J’ai pas souvenir d’une violence similaire, en tout cas à l’époque où je jouait encore au tennis.
- Y’a trop d’argent dans le foot. C’est ça qui rend les gens fous.

Nous restâmes silencieux. D’habitude lorsque je cause avec une personne et que le silence s’installe, cela me gène, mais là, sur le moment, avec Romain, je me suis sentie bien, la dopamine du sport y était peut-être pour quelque chose. Nous avons couru pendant une quarantaine de minutes, à causer de tout et de rien, à ne pas voir le temps passer, à ne pas sentir la fatigue s’installer. Au final Romain m’a conseillé de marcher encore une dizaine de minute après la fin de mon footing sur le tapis de course. Ensuite il m’a accompagné aux vestiaires. Comme c’était les vestiaires pour femmes il est resté à la porte. Je voulais qu’il entre. Mais il est demeuré devant la porte. Il transpirait un peu du front, ses pectoraux ressortaient sous son débardeur, ses abdos aussi, à la devanture de son jogging son pénis gonflait à vu d’œil. Je voulais qu’il entre, qu’il ferme la porte derrière lui, qu’il déchire mes habits, qu’il me viole, qu’il mélange sa sueur à la mienne en se foutant de tout ! Mais il a seulement parlé de loin en s’appuyant contre l’encadrement de la porte : « Madame je voudrais faire plus amplement connaissance avec vous.
Acceptez-vous de diner avec moi un de ces soir ? » Ma tête tournoyait. Je crois que j’ai répondu oui. Je crois.






Nous nous sommes rendus dans le nord pour assister au baptême de l’ de ma sœur. C’était l’occasion de revoir la famille, de se rendre compte qu’on a vieilli, un peu pour certains, beaucoup pour d’autres, de découvrir les nouveaux membres de la famille, d’évoquer la mémoire de ceux qui nous ont quittés trop tôt. Pendant la durée de notre séjour, un week-end, pour des raisons de discrétions, j’ai autorisé Sylvain à enlever sa cage de chasteté. Si quelques unes de mes copines savent que je domine mon mari personne en revanche de ma famille ne le sait. Je trouve que c’est bien comme ça. J’allais oublier ! Pendant que nous étions là-bas, le copain d’une de mes nièces m’a regardé avec insistance, je crois qu’il regardait surtout ma poitrine généreuse qui émoustille les hommes. Un moment donné j’ai cru que nous allions le faire mais au dernier instant ma nièce est arrivée. J’aurais aimé coucher avec lui. C’est dommage. C’est pas grave. Peut-être qu’on le fera une autre fois.

Lorsque nous sommes retournés chez nous, Sylvain et moi, j’ai envoyé un SMS à Romain. Nous avons convenu de nous rencontrer le week-end suivant. Ce week-end est arrivé. J’étais excitée. Au crépuscule j’ai commencé à me préparer, ou plutôt mon cocu a commencé à m’apprêter pour Romain.

L’eau qui chutait sur nos silhouettes nues répandait sa tiédeur et son humidité sur nos épidermes clairs. Sylvain ne portait pas de cage de chasteté, de ce fait sa petite chose pendait comme un ver. Lorsqu’il finira de se laver je l’encagerai de nouveau. Avant de raser le duvet qui recouvrait son entrejambe il m’a savonné, à l’aide d’un rasoir il a débarrassé mon pubis de poils, ensuite avec une serviette blanche il a essuyé mon corps, enfin il m’a oint. Nous entrâmes dans notre chambre. Il m’enfila un string rose et un soutient gorge de la même couleur. Lorsqu’il voulut me mettre la robe rouge je refusai, je préférai attendre Romain ainsi vêtue.

Mon amant black arriva. Il avait apporté avec lui des fleurs. Je trouvai le geste charmant. Je l’embrassai sur la bouche. Nous nous dirigeâmes directement vers la chambre. Chaque fois que je fais l’amour pour la premier fois avec un de mes amants dans mon lit conjugal devant mon cocu c’est toujours assez spécial émotionnellement pour moi, mon désir, mes sensations, ma jouissance sont tous exacerbés surtout si ça fait longtemps que mon cocu n’a plus éjaculé et qu’il porte sa cage de chasteté.

Totalement nue comme Romain, je monte sur le lit. Il m’y rejoint. Il suce l’un de mes seins ronds. J’ai envie d’humilier mon cocu devant lui. « Viens ici Sylvain ! Tu vas me lécher pendant que Romain va me baiser ! » comme le toutou bien dressé qu’il est Sylvain s’exécute. Il s’allonge de dos sur le lit. Je l’enjambe à quatre pattes, j’écarte mes cuisses, ouvrant par ce geste ma chatte au dessus de son visage. Mon amant black me saisit par le cul puis il enfonce son vît dans mon vagin. Il me prend au dessus de mon mari comme si je lui appartenait. Ça me procure du plaisir.

Romain.-Est-ce que ton cocu de mari peut te baiser comme ça ?
Moi.-Non il ne peut pas ! La plupart du temps sa petite queue est enfermée dans sa cage de chasteté. C’est à cause de ça que j’ai besoin des amants pour me donner le plaisir qu’il est incapable de me donner.

Romain accéléra la cadence. Pour mon plus grand plaisir c’était comme si mes paroles l’avait excité. Je ressentais entièrement les impacts de sa puissante verge contre les parois et le fond de ma matrice. Et ça me faisait mouiller de savoir que Sylvain assistait aux premières loges de son cocufiage sans pouvoir se branler grâce à sa cage de chasteté. Prendre en la main la sexualité de mon mari est l’une des meilleurs choses qui me soit arrivé. Je crois que s’il me demandait un jour de redevenir un couple normal, je refuserais ! La domination féminine une fois qu’on y a goûté on ne peut plus s’en passer. Soudain Romain s’est figé durant quelque seconde au fond de moi. J’ai ressenti entièrement son braquemart au fond de mon ventre. Un écoulement aussi. Il a aussitôt continué à me faire l’amour, chose qui aurait été impossible pour mon cocu de mari. Un moment donné Romain se détacha de moi. Il voulait me prendre dans une autre position. J’en ai profité pour humilier une fois de plus mon mari :« déshabille-toi Sylvain ! Il faut que tu montres ta petite bite en cage à Romain ». Il a quitté le matelas Sylvain. Il s’est déshabillé. On voyait bien sa cage de chasteté transparente qui lui serrait les couilles et qui enfermait sa petite bite, ainsi que le cadenas qui la condamnait, cadenas dont la clé était accrochée en collier sur mon généreuse poitrine.

Romain monta sur moi. Je gardai les cuisses ouvertes pour l’accueillir au fond. Mon cocu avec sa petite bite en cage nous observait prendre du plaisir. Le long membre de mon amant black fouillait ma chatte pendant que mes mains caressaient son dos puissant. Cette nuit là Romain et moi nous avons baisé pendant des heures. Mon cocu de mari a nettoyé avec la bouche le sperme de mon amant dans ma chatte. En raccompagnant Romain auprès de sa voiture nous nous sommes dit que la prochaine fois Sylvain sucera sa bite.

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