Lundi 28 Septembre 1981
La journée se passa normalement, le chantier avait un bon rythme, par contre comme dhabitude jétais à la bourre pour la paperasse. Je mattelais à ce travail nécessaire, mais barbant, je préférais être sur le tas avec les gars. Le soir AL avait un sourire jusquaux oreilles. Au fait elle venait dapprendre quelle était acceptée comme prof au titre de la coopération, ce qui changeait son statut et surtout son salaire. Dun commun accord on décida que cela serait fêté avec les copains en fin de semaine.
- mercredi 30 septembre 1981
Et la semaine se poursuivit à son rythme tranquille et ce jusquau mercredi ou ma direction me dit de monter dans le nord, où il semblait que le jeune collègue avait des problèmes. Jeudi matin de bonne heure, la route pour 5 à 6 heures. Je pensais pouvoir redescendre en fin de semaine et ce ne fut pas le cas, car jétais de retour le mardi dans la journée.
- Mardi 6 Octobre 1981
Une semaine dabsence et le paperasse saccumule,
jeudi fin daprès-midi, vers 16,30 h, jentendis une voiture, mais bon, quand ma secrétaire vint entra et me dit : « Mme Véro désirerait vous voir »
Moi : « Faites la rentrer » Houlala, quest ce qui pouvait se passer et je me levais
Et Véro entra toute pimpante un large sourire aux lèvres
Véro entendant la porte de la secrétaire se fermer, sapprocha de moi : « Tu aurais pu venir me voir à ton retour,
»
Moi : « Je devais rester un jour,
»
Véro me mettant ses bras autour du cou : « Oui,
je sais, ... les problèmes,
je nai pas pu méchapper,
je connais,
as-tu envie de moi,
»
Moi : « A toi de vérifier,
»
Véro : « Jaime que tu me le dises,
mais je vais vérifier,
» et elle glissa une main entre nous et posa la main sur ma bite qui avait eu lidée de se redresser et elle dit : « Hum,
intéressant,
mais ,
»
Je lui coupais la parole en lui disant : « Et toi,
»
Véro : « A toi de vérifier,
tu sauras retrouver le chemin, depuis le temps,
» Comme elle, je glissais une main entre nous deux, passais par louverture de son kimono et atterrissais dans son entrejambe dénudé et posais ma paume sur son minou, en fait à peine entre ses cuisses, cest elle qui savança et fit en sorte de mettre sa chatte dans ma main.
Véro : « Oui,
cest bon,
jattendais ça,
rentres,
je sens ta place,
» et elle se planta sur mes doigts : « OH,
ne bouges pas,
je suis bien,
cest bon,
OOOOHHH,
OUIIII,
je vais jouir,
» et elle eut un gentil spasme qui la fit se cramponner à moi et resserrer les cuisses sur ma main. Alors que je reprenais possession de ma main, elle me lattrapa et elle prit les deux doigts qui lavaient pénétré et me regardant en souriant les pris en bouche et les suça doucement et pour finir : « Jai aimé ta caresse,
jaime,
gouter au plaisir que tu me donnes,
et maintenant quest-ce que lon fait,
»
Moi : « Tu me donnes un quart dheure et ensuite nous partons,
»
Véro : « OK pour le quart dheure,
mais après,
il faut que tu me ramènes pour 19, 00 heures au magasin que je récupère ma voiture, jai renvoyé le chauffeur,
»
Moi : « Pas de problèmes,
» et avant de partir en salle de réunion je glissais une main dans son corsage, histoire de vérifier la douceur de ses seins
Véro : « OH,
et ensuite on fait quoi,
»
Moi : « Ne tinquiètes,
» réunion terminée, nous prenions le 4*4 et en route pour une ancienne carrière pas loin de laéroport, en principe peu fréquentée. En chemin je lui dis : « Tu peux te mettre à laise,
» elle comprit très rapidement ma suggestion et elle ouvrit largement son décolleté, ses seins faisant deux bosses suggestives et ouvrit sa jupe, découvrant largement ses jambes, légèrement ouvertes. Et je lui dis : « Quest-ce qui ta pris la semaine dernière de déclencher cette affaire,
»
Véro : « Je naime pas être prise pour une conne,
B était sous-lieutenant lors de notre mariage, passé lieutenant, il a été muté en Allemagne, parfait. Mais, la femme du commandant mettait tous les jeunes officiers, nouvellement arrivés, dans son lit. Je lai appris et jai dit à B, que si il recommençait, je me tirais.
Moi : « Félicitations, Jai été le dindon de farce,
»
Véro : « Non,
ma vengeance ma échappée,
»
Moi : « Hein,
quest-ce que tu veux dire,
»
Véro : « Dabord, je fais la connaissance dune autre facette de moi-même,
jai aimée, de me mettre nue sous ma robe et darriver ainsi, ça ma excitée,
puis que tu me sautes, dans ce parking,
oui jai aimée,
oui beaucoup aimée,
incroyable,
alors que je pensais juste mamuser pour me venger,
jétais prise mentalement et physiquement. Je pensais à toi, au moment où tu toccupes de moi,
où jouvrais mon minou pour toi, je tattendais,
jattendais que tu me dises ce que tu voulais de moi,
jétais soumise à tes désirs et,
heureuse de lêtre,
incroyable,
»
Moi : « Tes adorable,
nous arrivons,
»
Je garais le 4*4, dans un coin tranquille et un peu à labri des regards et attirais Véro, pour un long baiser et jen profitais pour glisser une main entre ses cuisses à lassaut de sa chatte.
Je descendais du 4*4 et alors quelle se réajustait un peu pour sortir, javais fait le tour et lui ouvrais la porte. A peine descendue, je la poussais gentiment contre le 4*4, comme elle aimait savoir ce que nous allions faire, non, que jallais lui faire : « Embrasses moi,
» aussitôt, elle mit ses bras autour de mon cou et me tendant ses lèvres sur lesquelles je posais les miennes, aussitôt nous nous collâmes. Ouvrant sa jupe, je glissais ma main dans son entrejambe, elle écarta légèrement les cuisses, et posais ma main sur sa chatte toute chaude, commençais à lui caresser la chatte en lui disant : « Tu vas me sucer,
et tu vas me faire bander dur,
et dans la voiture,
tu vas tasseoir sur ma bite,
et je vais te prendre,
comme ça,
» La réaction fut celle que jespérais, elle se colla contre moi avec dans un souffle : « Oui,
ce que tu veux,
» alors que je voulais me défaire, elle me dit : « Laisses moi faire,
jaime te sortir,
te prendre dans ma main,
et te mettre dans ma bouche,
te sentir devenir dur,
jaime,
»
Lengin sorti, il avait, quand même, belle allure ; ce qui nempêcha pas Véro de le caresser du bout des doigts, excitant au possible, puis quelques coups de langue, le long de la hampe bien dressée et elle prit le gland pour le sucer, le lécher,
Je dus larrêter, car si elle avait continué et sétait mise à me pomper, je naurais pas pu résister longtemps, tellement cétait agréable. Elle se releva, posa ses lèvres sur les miennes : « Je crois que jaurais pu te finir,
jen avais très envie,
» et elle rentra dans le 4*4. Entravé par le short à mi cuisse, je réussis à rentrer et à masseoir.
Véro : « Dans quel sens,
»
Moi : « Assieds toi, sur mes genoux de dos,
» Soulevant sa jupe, elle sinstalla ses fesses atterrir sur mes genoux, javais la bite entre ses fesses, enfin se soulevant elle prit mon sexe et le guida dans son fourreau, chaud et humide à souhait.
Et la vie repris son cours. Cependant certaines choses avaient évoluées. Mes horaires de directeur de travaux étaient relativement réguliers. Les horaires de AL au lycée étaient très réguliers,
il y avait peu de chance que nous puissions nous croiser avec B. Par contre, sans en discuter, quand AL recevait B, ils faisaient leurs galipettes dans la chambre damis. Pour ma part une fois de temps en temps jallais déjeuner avec Véro qui était toujours aussi gourmande.
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