Souvenirs / 4
Ah ! Enfin nous y voilà. Depuis le temps que j'attendais ce moment.
Tu es courbée, pliée en deux sur le dossier de ce gros fauteuil. Tes mains sont attachées aux pieds de devant, ta tête au-dessus de l'assise, tes pieds reposent à peine sur le sol, et ton fessier s'offre à moi. Ta robe noire remonte un peu sur tes cuisses à cause de la position.
Je l'espérais ce moment, depuis plusieurs jours, t'avoir à mes désirs, mes envies de te donner la fessée.
Après m'être assuré que tu étais à peu près confortablement installée, je reviens derrière toi admirer et caresser à plein main ton cul cathédrale. Ma main glisse d'une fesse à l'autre, légère, insistante parfois, et d'un coup se rabat fortement t'arrachant un cri de surprise et de douleur tant le coup fut cinglant.
Comme ca tu voulais me quitter ? Tiens, tiens, deux coups plus mesurés tombent à nouveau, sur l'une, sur l'autre fesse. Ton bassin roule un peu sur le dossier et je t'invite à ne pas bouger sinon je tape plus fort !
Je caresse à nouveau te laissant dans la crainte d'un nouveau coup. Je prends le bas de ta robe que je coince dans ta ceinture, puis une nouvelle fessée sur ta culotte. Je baisse cette dernière à hauteur de tes genoux. Je glisse un des miens entre tes jambes pour te forcer à écarter les tiennes...
Magnifique, sublime, j'effleure ton cul et je vois ta peau frissonner. Je prends un chaise et m'assieds derrière toi, fascinée par la vision de cette scène obscène. Ta fente, tes orifices accessibles. Je m'approche un peu et te fesse à nouveau, encore et encore. Mes coups sont gentils, mais font se teinter ta peau d'une jolie couleur, uniformément.
Je me défais de mon pantalon et caleçon, pour donner de l'air à Hernanie qui bande comme une folle. Combien de fois elle s'est dressée dans mon pantalon à la simple idée de cette vue. Je me branle doucement devant ce spectacle, et je lui parle :"Tu vois Hernanie, elle voulait nous quitter, à la première turbulence elle veut nous abandonner.
Nouvelle fessée pour que ton cul soit bien piquant, et la caresse qui suit te paraisse douceur et volupté. Mon doigt glisse dans ton sillon et tes lèvres s'écartent au passage. Elles sont déjà humides, de fines gouttelettes les rendent scintillantes, attirantes. Je me penche légèrement et ma bouche prend possession de ta fente, elle glisse, elle lèche, elle lape. Tu gémis légèrement. J'écarte tes globes de mes deux mains et à grands coups de langue je te dévore. Tu m'appartiens ! Tu m'entends ? tu m'appartiens. Je mange tes fesses, ton petit trou n'échappe pas à ma langue fureteuse, je te pénètre l'anus avec, tu ne veux pas, mais tu n'y peux rien. Un doigt investit ton vagin, te ramone, ta liqueur arrive en flots continue. Tes rales m'indiquent que je suis sur la bonne voie, et d'un coup tu inondes mon visage de ta liqueur délicate. Tu sembles fatiguée, mais je ne fais que commencer. Je passe devant toi, et te relevant la tête légèrement, j'investis ta bouche de ma queue bien raide. Suces moi bien amour ! Tu vas garder le gout de ma bite à jamais... Satisfait de ton travail, je retourne vers ton cul offert, ouvert. Je prends mon téléphone au passage et prends une ou deux photos de ce spectacle que je veux immortaliser à jamais.
Ma queue en main, je glisse sur tes lèvres qui sont à hauteur idéale. J'écarte un peu plus tes jambes... Je pénètre ta grotte impatiente. Je t'embroche lentement, profondément, intensément, dans un râle de bonheur absolu. Je gonfle ma queue, afin que tu la sentes bien te remplir. Je reste un moment collé contre tes fesses chaudes des fessées administrées. Je me retire pour t'investir aussitôt, faisant claquer nos deux corps. Je reviens à la limite de tes lèvres, y reste un instant avec de venir buter au fond de ton vagin.
J'alterne pénétration d'hermione de ma queue et pénétration de ton anus par mon doigt... J'aimerais te fesser, te fouetter encore pour toute la souffrance que j'ai eue, mais je t'aime tant que je n'ai qu'une envie, te faire jouir de ma queue dans ton corps. 4 jours encore avec toi, à t'aimer, te faire jouir.
Tes gémissements ravissent mes oreilles, une, deux claque encores sur tes fesses, et je te burine consciencieusement, inexorablement... Je vais jouir je le sens, pour retarder ce moment, je sors de ta chatte et je la remplit de mes doigts. Je trouve sans difficulté ton point G et à nouveau Hermione ruisselle de sa rivière féconde, trop longtemps contenue, te laissant épuisée. Hernanie se perd un peu dans ce marécage quand elle reprend sa place dans ta chatte accueillante. Quel bonheur, quel nirvana, tu ne peux pas me priver de çà. Je te baise intensément, sentant ma liqueur monter. Je voudrais te la donner à boire, inonder ta bouche, mais Hermione me retient dans des contractions insensées et je me déverse dans ton temple... Salope je t'aime. Si fort.
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