La Folie Du Pleutre 11 Et Fin
Pour moi le temps s'arrête, c'en est trop. Le spectacle auquel je vient d'assister m'a anéantit. Ma douce et belle épouse en train de prendre un plaisir fou à se faire baiser par un con inconnu d'elle encore une semaine auparavant ! Le coup de poing que je viens de recevoir m'a coupé le souffle. J'ai du mal à récupérer.
L'image de son visage déformé par la jouissance est gravé à jamais dans ma mémoire. Ses cris, ses gémissements résonnent encore dans mes oreilles. Je ne l'ai jamais entendue jouir aussi fort et aussi intensément.
Et le mensonge ! L'adultère, la trahison. Tout y est. Nous nous étions juré de ne jamais nous mentir ! C'est vrai, qu'en la jetant dans ce piège uniquement pour mon intérêt, je ne suis pas au dessus des reproches.
Et maintenant, cette pose langoureuse, amoureuse contre son amant qui vient peut-être de la féconder et de détruire à jamais notre couple et notre amour ! Je ne peux empêcher mes larmes envahir mon visage. Je voudrais être mort.
Monsieur David est nu jusqu'à la ceinture il a enlevé son pantalon mais a gardé sa chemise, ses chaussures et ses chaussettes. Quelle élégance ! Sa bite débande. Marion est lovée contre lui, nue. D'une main, il lui caresse le dos et de l'autre il lui tient la nuque pour la calmer car elle sanglote doucement. Ils sont enlacés de profil par rapport à moi et je vois que Marion lui caresse la nuque avec une tendresse pleine de sentiments. Je comprends maintenant qu'elle est amoureuse. Amoureuse de ce con, ce rustre que j'ai voulu mettre à mes pieds et qui m'enlève ma femme, mon amour. Je reconnais ses gestes quand ils me sont destinés et qu'elle veut me déclarer son amour pour moi. Je suis Meurtri, abattu.
Il fait signe à son complice de patienter. Il reste planté derrière elle qui ne s'est encore aperçu de rien. Marion a redressé sa tête et lui tend ses lèvres pour un baiser. Ils échangent un long baiser mêlant leurs langues. Je la vois qui descend une main entre leur deux corps enserrés pour lui prendre la bite.
Alors, il fait un signe au grand black de s'approcher. Ce black à lair dun dealer ! Il me fait peur, le regard froid et agressif. Il porte un jogging et des baskets. La casquette de travers sur son crâne que je devine rasé. J'ai envie de crier : "Marion sauve toi vite, vient je te protège
" Les mots restent coincés dans ma gorge. Je n'ai pas le courage. Je suis un pleutre.
Comme il arrive à la toucher je remarque une bosse phénoménale qui déforme son jogging. Lui, bande et il me semble prêt pour la saillie. Visiblement lui aussi ne connaît pas les slips.
Marion réagit violemment quand elle sent des mains se poser sur ses hanches nues. Elle veut fuir, mais Monsieur David la serre fermement contre lui, l'empêchant de réagir. Il lui parle doucement à l'oreille tout en lui caressant la nuque. Marion a des soubresauts. Elle est raide et n'ose bouger. Petit à petit son corps montre des signes de détente. Elle n'ose toujours pas se retourner pour voir son assaillant.
Un espoir fou me vient. Et si elle réagissait pour refuser ce nouvel accouplement annoncé ? Si elle disait NON ! Je sais à ce moment là que je la reprendrais. Je pourrais à nouveau l'aimer. Le cur qui bat à tout rompre, je scrute le moindre de ses gestes, regards à l'affût d'un signe de réaction. De refus. Alors une épée me transperce ce cur déjà bien amoché.
Lentement, Monsieur David l'écarte de lui et la tourne vers son complice. Et Marion se laisse faire. Face à lui, elle met quelques secondes pour réaliser ce qu'il est, elle qui a toujours eu peur des noirs. Lentement, Monsieur David la pousse devant lui à la rencontre de celui qui va être certainement son nouvel amant.
Je reviens à la réalité quand je vois un sourire s'inscrire sur le visage de Marion, comme un sourire de bienvenue.
Monsieur David me regarde au travers du miroir et me fait un signe pour me faire comprendre que ma femme est "bonne" !
Le black a pris les petits seins devant lui et les malaxe en soufflant d'excitation. Voir les seins blancs menus, fragiles, délicats ballottés par ces pattes noires est d'un effet surnaturel. Je dois me rendre à l'évidence je bande à nouveau devant ce tableau irréel.
Une nouvelle surprise m'attend. Marion ne reste pas insensible à cette caresse et je la vois glisser une main sous l'élastique du jogging et caresser la bite. Je perçois nettement le vêtement se déformer sous l'impulsion des mouvements de la main branleuse. Le black abandonne un instant les seins de ma bien aimée pour lui prendre la tête et approcher ses lèvres pour l'embrasser pleine bouche, langues mêlées. Cette fois encore, le contraste des deux couleurs de peau est d'une extraordinaire beauté.
Pas de doute, Marion plonge dans la lubricité. Elle a dégagé le sexe du jogging. Il est encore plus gros que celui de son premier amant. Je n'en crois pas mes yeux. Marion s'arrête un instant pour contempler cette queue avec un regard cupide rempli d'envie et de folie. D'elle même, elle se met à genoux et englobe cette queue dans sa bouche pour lui prodiguer une pipe. De ses mains libres elle lui caresse les couilles comme elle sait que j'adore cela. Puis je la vois glisser une de ses mains entre les cuisses ébène. Je devine qu'elle l'encule de son majeur. Comme avec moi. Je saisis cela comme une ultime trahison. Le noir, les yeux fixes, jette des regards vers le miroir comme pour savourer le supplice qu'il imagine me faire supporter. Il semble me dire : " Alors cocu, tu vois comme ta femme blanche suce ma queue toute noire !".
Alors il la fait se relever. Monsieur David a approché discrètement une table à côté du couple.
- Dis moi petite pute blanche, tu la veux ma bite toute noire ?
- Oui Monsieur
- Tu vas faire cocu ton mari non ?
- Oui je sais mais j'ai trop envie.
- Je vais te jouir dedans hein ? C'est ça que tu veux !
- Oui, Monsieur.
- Je peux te faire un noir, tu le sais ?
- Oui Monsieur.
- Alors demande moi de t'engrosser
- Baisez-moi, engrossez moi Monsieur, tant pis pour mon mari, j'ai envie de vous sentir dedans.
Le noir ne s'encombre pas de préliminaires ni du plaisir de sa proie. Il baise. Il enchaine les va et vient de plus en plus rapides. Marion qui est toute rouge gémit de plus en plus fort. Elle a du mal à respirer, elle grimace, les lèvres pincées. Soudain alors que le noir se déverse en elle pour la remplir à son tour et à son tour lui faire un bébé, elle pousse des cris de jouissance qui me font peur. La petite-mort, voilà ce qu'elle vient de vivre et que je n'ai jamais pu lui faire connaître. Cette fois elle n'a manifesté aucune retenue ni remord à se laisser féconder.
C'est fini. L'homme se retire. Du foutre jaillit de son sexe béant. Du foutre qui l'a fécondée sans doutes. Il ne préoccupe plus d'elle. Il a rejoint Monsieur David et tous les deux échangent une poignée de mains signifiant, complices, "qu'ils avaient bien profité de ma femme".
Marion qui sanglote à nouveau se redresse péniblement. Va rechercher seule sa robe. La passe et veut venir rejoindre les deux hommes. Monsieur David la prend par la main et la reconduit sans cérémonie à la porte de la boutique après lui avoir rendue sa petite veste.
Il est 19h30. Toute cette horreur n'a duré qu'une heure. Une heure durant laquelle ma femme si douce, timide est devenue accroc du sexe. Je l'ai bien vue jouir d'être prise comme un objet sexuel. Une heure pour briser à jamais notre couple et ma vie.
Je m'aperçois que j'ai joui une deuxième fois.
Monsieur David vient me délivrer, sans omettre de me féliciter d'avoir une femme qui est une bombe du sexe, un vrai canon. Il me console qu'elle va me revenir et que je suis plus qu'un peu responsable de sa déchéance.
- Tu n'as pas le droit de la laisser tomber. Elle va avoir besoin de toi. Si elle est enceinte, dis toi bien que le petit ne sera en rien responsable de ta veulerie. Vous déciderez ensemble de la suite à donner à cette aventure. Un conseil, baise la ce soir pour mélanger ton sperme au notre. On ne sait jamais ! Je vois que cette fois encore tu as pris du plaisir de la voir prise par d'autres. Je pense que pendant quelques semaines elle va encore avoir besoin de grosses bites. Je te fais signe si elle me contacte. Elle a aimé ça et ce n'est pas ta petite queue qui va lui faire retrouver les sensations de ce soir.
J'étais complètement KO debout. Incapable de lui répondre et même de comprendre ce qu'il me disait.
Je suis resté figé sur le trottoir. Il faisait encore jour. Je n'avais pas envie de rentrer retrouver la catin que j'ai vu sucer, branler et recevoir dans sa chatte ce foutre fécondateur. Pour moi elle était morte. Je ne voulais plus de ce ventre que j'ai vu profané par deux fois. Souillé de foutre et de tromperie.
Je l'entends encore crier pour qu'il la défonce, l'entendre dire que j'étais cocu et qu'elle aimait cette bite noire en elle. Il lui faisait dire des tas d'insanités qu'elle répétait simplement pour qu'il continue de la baiser. Jusqu'à la jeter comme un mouchoir sale quand son plaisir a été assouvis.
J'entrais dans un bar et demandais un double scotch. Comme ça, sans réfléchir.
Il est 20h quand mon tel m'annonce un SMS. C'est encore Monsieur David.
- Marion vient de me demander si elle peut revenir maintenant, ce soir ! Je l'ai envoyé paître. Elle n'est pas chez toi. Rentre vite la récupérer. On a fermé la boutique.
Décidément rien ne me sera épargné. Affolé je regarde dans la rue devant la boutique. Marion est là, droite sur ses talons à attendre qu'on lui ouvre ! Mais personne ne vient. Au bout de cinq minutes, la vois alors s'éloigner, frêle silhouette bafouée, rejetée.
J'ai soudain pitié d'elle. La pitié ne fait pas bon ménage avec l'amour dit-on. Je la suis des yeux, elle hèle un taxi. Je pense qu'elle rentre chez nous. Chez nous ?
.
Plusieurs mois ont passé. Les règles sont venues. J'ai pardonné. Je ne l'aime plus comme avant, mais je l'aime toujours. Petit à petit nous nous sommes retrouvés.
Un soir, elle m'a tout avoué en larmes, se culpabilisant d'avoir failli me perdre, nous perdre. Elle a justifié ses paroles à mon égard par le fait qu'elle avait complètement perdu ses repères devant l'envie de se faire prendre à cet instant. Qu'elle avait vécu un enfer jusqu'à la libération des règles.
Une petite fille est aujourd'hui attendue. Nous sommes heureux. Nous faisons l'amour souvent. Parfois elle me demande de la baiser. Je me laisse aller à croire qu'elle ne feint pas ses gémissements et cris de jouissance. Elle n'a plus peur des noirs.
Plus aucune nouvelle de Monsieur David. Je l'ai juste revu une fois dans le train. Nous avons fait semblant de ne pas nous connaitre.
J'y ai gagné aussi une chose : Marion consent de se laisser tripoter les seins, les fesses ou la chatte par des inconnus dans des endroits publics mais en ma présence. Pour ma seule jouissance
FIN
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