La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°816)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°815) –

Sans dire un mot de plus, le garde forestier accroche une laisse au collier de la jeune femme et la traîne à sa suite dans la forêt du Domaine. Après plusieurs minutes de marche à travers un étroit sentier, ils arrivent auprès d’un groupe d’hommes occupés à couper du bois près d’une clairière. Certains sont habillés de la même tenue du garde, et mènent à la baguette un groupe d’esclaves mâles vêtus d’une simple tenue de protection… Il y a ceux qui ramassent le bois mort, ceux qui taillent les branches à couper, et ceux qui transportent le bois jusqu’à la réserve de chauffage. Keira MDE se doute que tout ce bois permet d’alimenter les grandes cheminées du Château du Maître… A leur approche, si les esclaves imperturbables continuent leur travail, les gardes forestiers s’arrêtent, observant avec envie la femelle qui accompagne leur chef.

- Alors messieurs, où en sommes-nous, le délai que je vous ai fixé va-t-il être respecté ?
- Assurément chef, nous devrions même avoir une heure d’avance, répond un des hommes.
- Parfait, pour récompenser votre travail je vous amène un présent du Maître, sa toute nouvelle chienne. Elle est à vous, vous me la ramènerez à la fin de votre travail, toutefois ne prenez pas de retard à cause d’elle. Dans le cas contraire, vous ne profiterez pas de la prochaine, termine-t-il en attachant la laisse de Keira à un arbre.
- Bien chef, merci chef, on sera dans les temps.

Le chef des gardes repart, laissant la jeune femme à quatre pattes attachée à un chêne centenaire. Il ne faut pas longtemps pour qu’un premier homme s’approche d’elle, il descend son pantalon, se place derrière elle, et d’un coup la pénètre profondément à la hussarde. A son empressement, soumise Keira MDE comprend qu’effectivement peu de femelles sont mises à leur disposition. Elle subit silencieusement les assauts de ce premier et rustre garde forestier, stoïque malgré les violents coups de reins qu’il lui assène bestialement.

En peu de temps l’homme éjacule en elle profondément restant en coït immobile, et repart à sa tâche après lui avoir donné une volée de fessées et avant d’être remplacé par un autre.

La jeune femme subit les assauts de chacun des gardes, un par un, certains reviennent plusieurs fois, tous ses orifices sont utilisés. Ses chairs intimes sont souillées à outrance. Vanessa n’est plus qu’un vide-couilles... Une fois qu’ils se sont vidés plusieurs fois, et que ses orifices n’ont plus d’utilité pour eux, ils continuent de l’humilier en venant lui uriner dessus et en l’insultant en abondance. Elle est souillée, de transpiration, de sperme, d’urine, et patiente inlassablement sans bouger. Le temps lui semble long, elle a hâte de retrouver le Maître, mais sait qu’elle doit patienter la fin de la journée. Le soleil commence à tomber, tout comme la température, elle se dit qu’elle n’a plus beaucoup de temps à tenir, et se raccroche à l’idée qu’elle retournera bientôt au Château. Alors que chacun ramasse les outils, l’un des gardes prend sa laisse et la mène jusqu’à la maison de leur chef. Il frappe à la porte, le chef apparait, il observe la jeune femme souillée un regard satisfait.

- Bien, entre me faire ton rapport, toi la chienne tu es beaucoup trop sale pour entrer en ma demeure, attend sur le paillasson et à quatre pattes, cul bien exposé au cas où quelqu’un passerait, que tu sois prête à l’emploi, bien offerte, la pute !

Les deux hommes grossiers disparaissent dans la maison pendant que soumise Keira MDE patiente sur le pas de la porte en position exigée, le froid commençant à la faire frissonner. Alors que le temps lui semble interminable le Majordome du Maître arrive, il l’observe rapidement, et entre dans la maison. soumise Keira MDE ne doute pas qu’il est en train de prendre connaissance du rapport du chef, et espère que ce dernier ne sera pas trop dur avec elle… Après de longues minutes Walter ressort, il se place devant Vanessa l’observe un instant et prend sa laisse pour la mener au Château.


- J’ai entendu parler de désobéissance, tu confirmes ? lui lance-t-il tout en continuant de marcher.
- Oui Monsieur, répond la jeune femme.
- Tu as conscience que je vais devoir en informer le Maître, et que la sanction pourrait bien être forte désagréable ?
- Oui Monsieur, répond simplement Keira MDE un sentiment d’injustice au fond d’elle.

Ils arrivent aux abords du Château, mais Walter ne prend pas la grande porte, il la mène vers une pièce entièrement carrelée, un tuyau d’arrosage enroulé sur un mur. Il détache la laisse de la jeune femme et n’a pas besoin de parler pour la voir se diriger vers le centre de la pièce, et se mettre debout, les mains derrière la nuque. Il l’asperge d’eau froide, ce qui permet de rincer le plus gros de la boue et du sperme mélangé, avant de lui lancer un flacon de gel douche qu’elle ramasse pour se savonner.

- N’oublie pas tes cheveux, tu pues la pisse, ajoute-t-il en observant Keira MDE se laver.

Une fois terminée, elle replace les mains derrière sa nuque, et Walter reprend le tuyau pour la rincer, insistant sur son entrejambe. Lorsque la jeune femme se tourne, il découvre son fessier nettoyé, marqué plus que de raison, des stries violettes remplaçant le blanc de sa peau. Il estime que le chef des gardes a un peu trop appuyé, hésite un instant à la faire soigner, mais préfère laisser cette décision au Maître des lieux. Il lui lance une serviette, la laisse se sécher, puis rattache la laisse à son collier pour la mener dans le bureau du Maître. Il s’arrête devant la porte, frappe et entre seul, laissant la jeune femme en position d’attente dans le couloir. Après quelques minutes il ressort et fait entrer Keira MDE seule en refermant la porte derrière elle… La jeune femme se prosterne immédiatement au centre de la pièce, attendant le bon vouloir du Maître. Monsieur Le Marquis l’observe, ses cheveux encore mouillés de la douche froide qu’elle vient de prendre, à la vue du fessier de Sa soumise, il constate que Walter n’avait pas exagéré en précisant que le chef des gardes avait un peu trop appuyé.


- soumise, il semble que tu sois plus obéissante en Ma présence, tu aurais manqué de respect au chef de mes gardes forestiers, est-ce vrai ? interroge Monsieur Le Marquis d’un ton solennel.
- Maître, je ne lui ai pas manqué de respect, j’ai seulement refusé de lui obéir, répond tremblante soumise Keira MDE.
- Seulement ! dit le Noble en haussant le ton. Penses-tu que désobéir soit une faute minime ? Penses-tu que désobéir à un Dominant auquel je te confie n’est pas lui manquer de respect ? Et par la même occasion déshonorer mon éducation ?

La voix du Noble est sèche, froide, il semble terriblement mécontent, et Keira MDE consciente d’avoir déçue son Maître, sent les larmes monter en elle.

- Si Maître, répond-t-elle d’une voix penaude.
- Pourquoi lui avoir désobéi ?
- La raison n’est pas importante Maître, j’ai fauté, je vous prie de bien vouloir sanctionner mon comportement comme je le mérite.
- Elle l’est pour moi, j’attends tes explications, insiste Le Châtelain lui faisant comprendre qu’elle n’a pas à juger de ce qui est important ou non.
- J’ai refusé de dire ce qu’il voulait entendre, Maître.
- Et que voulait-il entendre ?
- Il voulait que je lui dise que Vous étiez injuste, Maître, ose soumise Keira MDE d’une faible voix.
- Pardon ? Me prendrais-tu pour un idiot, penses-tu que je vais croire un seul instant qu’un de mes meilleurs éléments ait pu réclamer de telles dires de la bouche d’une de Mes soumises ?
- Non Maître, pourtant je dis la vérité, mais si Vous ne me croyez pas punissez-moi, j’accepterai Votre sanction quelle qu’elle soit.
- Peux-tu me prouver que tu dis la vérité ?
- Je ne le peux pas Maître, c’est ma parole contre celle de votre garde, et la parole d’un Dominant vaut bien plus que celle d’une simple soumise.

Keira MDE tremble de tout son corps, toujours prosternée face contre sol au centre du bureau de son Maître, des larmes coulent le long de ses joues, elle a déçu le Maître, elle sent la colère de l’injustice monter en elle, et cherche désespérément ce qu’elle pourrait dire pour se racheter aux yeux du Maître… Monsieur Le Marquis la regarde satisfait, il estime qu’elle a assez enduré, il s’assoit dans son fauteuil et claque des doigts pour qu’elle vienne se placer entre ses jambes.
Là il prend délicatement son menton, plonge ses yeux bleus dans le regard humide de la jeune femme, et lui sourit tendrement.

- Je suis fier de toi, tu as prouvé que tu méritais ta place à Mes pieds, bien au-delà de ce que j’attendais de toi.

Keira MDE ne comprend pas ce changement soudain d’attitude, qu’a-t-elle dit pour le faire changer d’avis. Son esprit semble perdu, ce qui fait sourire le Maître.

- Penses-tu réellement qu’un de mes meilleurs éléments t’aurait demandé de proférer de telles paroles me concernant, sans que ce ne soit Ma volonté ?
- Euh…Maître je ne comprends pas, avoue la jeune femme.
- Il était chargé de juger de ton niveau de fidélité, et habituellement les soumis qui sont testés craquent bien avant que leur fessier n’ait la couleur du tien.

La jeune femme commence à comprendre qu’elle a été piégée, que cet homme loin de penser à mal du Maître attendait qu’elle tombe dans son piège. Et vu la douleur de son fessier, elle comprend que d’autres soumis puissent craquer et dire ce qu’il demande.

- Maître, bon nombre de personnes auraient dit n’importe quoi pour que cesse la douleur, ce test dépasse la résistance physique. Mon corps me criait de prononcer ces mots, ce n’est que ma volonté à honorer votre éducation et ma totale dévotion que je vous porte qui m’en ont empêché, explique la jeune femme pour excuser ses frères et sœurs de soumission qui ont craqué avant elle.
- Je le sais, habituellement le rapport me donne le nombre de coups qu’il a fallu pour que mes soumis craquent, pas le nombre de coups qu’il a fallu pour que mon garde abandonne le test. Donc pour te récompenser je vais t’octroyer une pause le temps de mon repas, tu reviendras dans mon salon privé au moment du café, file dans le bureau de Monsieur Walter il a les consignes te concernant, termine-t-il caressant doucement le visage de soumise Keira MDE.

Sans dire un mot la jeune femme quitte la pièce et rejoint le bureau du Majordome, là elle frappe et entre sur ordre avant de s’agenouiller au centre de la pièce.

- Ah te revoilà, j’ai fait couler un bain chaud, tu as 30 minutes pour en profiter et récupérer de ta journée, dit le Majordome en lui désignant la porte de la salle de bain.
- Merci infiniment Monsieur.
- Oh ce n’est pas de mon propre chef, c’est la volonté du Maître, visiblement il pense que tu le mérites, mais je dois avouer que je le pense également, sourit le Majordome.

La jeune femme entre dans la salle de bain, retire son collier et plonge dans la baignoire. Elle profite de ce bain salvateur, de cette eau chaude qui l’envahit de bien-être. Après quelques instants, elle se saisit des shampoings et démêlants pour redonner une vitalité à ses cheveux. Puis elle quitte la baignoire, se sèche et remet son collier avant de rejoindre le Majordome dans son bureau.

- Tu vas mieux ? s’inquiète sincèrement Walter.
- Oui Monsieur, merci de vous en soucier.
- Parfait, allonge-toi sur le canapé, sur le ventre.

La jeune femme obtempère, et fatiguée de sa journée elle ne tarde pas à sombrer dans un sommeil réparateur. Elle est réveillée par une douce main qui masse délicatement ses fesses avec une crème cicatrisante.

- Une fois la crème appliquée, tu mettras du maquillage, Le Maître exige que les traces soient atténuées au maximum.
- Bien Monsieur Walter, répond la voix d’une esclave.

Une fois son travail terminé, elle se retire et laisse soumise Keira MDE allongée sur le canapé. Walter se lève, vérifie la couleur du maquillage et attache de nouveau une laisse à son collier.

- Bien, nous ne pourrons pas plus cacher ces marques, elles sont déjà bien atténuées, suis-moi nous retournons voir le Maître ?

La jeune femme traverse les couloirs à la suite du Majordome jusqu’à la porte du salon privé de Monsieur le Marquis, il entre sur ordre. Le Noble prend le thé avec ses amis, parlant de leur balade à cheval. Walter tend la laisse au Noble tout en faisant une révérence.

- Monsieur le Marquis, voici votre chienne soignée selon Votre Volonté.
- Parfait, merci beaucoup Walter, tu peux disposer pour le reste de la soirée.

Le Majordome se retire laissant la jeune femme agenouillée aux pieds du Maître, fatiguée de sa journée, mais fière d’avoir honoré la marque désormais gravée dans sa chair…

(A suivre …)

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