La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°815)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°814) –

Ils rejoignent Walter qui a fait préparer cinq chevaux, ils sont scellés prêts à partir, maintenus par cinq esclaves mâles préposés aux écuries. Ils sont totalement nus, sauf qu’ils portent tous un collier de cuir ainsi qu’une solide et épaisse cage de chasteté métallique protégeant leur appareil génital

- Walter, toujours un temps d’avance, c’est parfait, merci bien, mon vieil ami fidèle…
- Vous satisfaire est ma priorité Monsieur le Marquis, répond humblement le Majordome.
- Bien, nous partons pour l’après-midi, je te laisse t’occuper de ma nouvelle chienne, la nourrir et la mener là où tu sais.
- Entendu Monsieur le Marquis, j’y veillerai personnellement.

Les cinq amis montent sur les chevaux et disparaissent au pas dans le grand bois se trouvant à l’orée du parc. Keira MDE se retrouve donc seule avec Walter. Celui-ci s’accroupit à sa hauteur et prend son menton entre ses doigts pour plonger son regard dans le sien.

- Eh bien soumise, je ne peux que te féliciter, c’est un sans-faute pour le moment, tu as su te montrer digne du Maître et de l’éducation du Commandant, je ne puis que t’encourager à continuer ainsi.

La jeune femme voudrait le remercier mais doute qu’elle puisse prendre la parole pour répondre, et se contente donc de l’écouter.

- J’espère que tu sauras te comporter aussi bien là où je dois t’emmener. Pour cet après-midi, tu vas être livrée au chef des gardes forestiers du Domaine, c’est un homme pervers et sadique, c’est aussi un bisexuel mais plutôt homosexuel. Et donc il n’a pas souvent l’opportunité d’r des esclaves femelles du Maître, donc il usera certainement de toi sans aucune limite. Je viendrai te chercher après le repas du soir, le garde me fournira le compte-rendu de ton comportement en sa présence, je devrai le remettre au Maître, j’espère que je n’aurai pas à lui transmettre des informations décevantes.

Le Majordome se relève, file dans les écuries et revient avec une gamelle remplie de la nourriture préparée par Marie pour les esclaves du Domaine, qu’il pose devant la jeune femme.

- Allez, mange vite, tu as besoin de forces pour le reste du weekend.

Keira MDE ne se fait pas prier, elle n’a pas mangé depuis la veille et son estomac réclame depuis quelques heures maintenant. En quelques minutes seulement, elle termine la gamelle.

- Parfait, aller, suis-moi.

Le Majordome avance doucement dans les allées du parc pour permettre à Keira MDE de le suivre à quatre pattes, jusqu’à une habitation située à l’orée du bois, c’est une véritable maison au crépissage ancien. Arrivé devant la lourde porte de bois massif, il frappe au heurtoir et patiente… Un homme apparait, soumise Keira MDE ne voit que ses rangers et le bas de son treillis, mais à la taille de ses chaussures, elle se doute que l’homme est grand.

- Ah voici un présent de Monsieur Le Marquis ! Quelle délicate attention ! Tu voudras bien lui présenter mes remerciements, Walter ?

- Je n’y manquerai pas, cher Gérard.
- Parfait, tu reviens la chercher à 20h, comme convenu ?
- Exactement, profite bien, répond Walter d’un ton amical en tournant les talons.

Le garde forestier regarde un instant la jeune femme, puis sans dire un mot la tire par la queue de cheval pour la faire entrer dans la maison. Il la mène jusqu’au salon où il la jette devant la table basse.

- Voici donc la dernière trouvaille de Monsieur Le Marquis ! Un vrai prodige parait-il, j’ai hâte de vérifier ces rumeurs. Allons, monte sur cette table, chienne, et montre-moi ton cul.

Sans attendre Keira MDE obtempère, elle se positionne à quatre pattes, la tête posée sur la table basse, ses deux mains tenant sans aucune pudeur les globes de son fessier pour dévoiler sa rosette, en écartant bien ses fesses de ses doigts.

- Hum, on ne m’a pas menti sur la marchandise, je vais me faire un plaisir de t’enculer, mais avant tu vas lubrifier ma queue qui commence à grossir, car tu m’excites trop, belle salope !.

L’homme passe devant soumise Keira MDE, tire sur sa queue de cheval pour relever sa tête, et s’enfonce sans ménagement dans le fond de sa gorge pour se retirer à moitié, quand il lui lança !

- Suce-moi et applique-toi, je veux la meilleure pipe que tu n’aies jamais faite, salope.

Keira MDE obéit, mettant en œuvre tout le savoir-faire qu’elle a acquis auprès de son éducateur et amant. Avec application, elle prend la verge dressée du garde, l’enserrant entre ses douces lèvres, allant et venant, n’oubliant pas de jouer de sa langue doucement. Mais la verge droite s'enfonce jusqu'au fond de sa gorge de nouveau, presque à Vanessa qui serre alors ses lèvres à la base, sentant les testicules du garde forestier qui frottent contre son menton. Il se met ensuite à baiser la bouche de la soumise, et de ses lèvres, de sa langue, Keira MDE s’active à donner du plaisir. Elle sent le sexe de l’homme qui durcit encore plus. L'homme bande et étouffe un peu plus encore la cavité buccale de la jeune femme... La queue avec toute sa rigidité et sa vigueur prend possession de cet orifice buccal, chaud et humide. Et l'homme accentue les vas et viens entre ses lèvres, s'enfonçant profondément dans sa bouche et jusqu'au plus profond, frottant contre le fond de son palais, allant et venant sans aucune retenue, ne tenant aucun compte des râles d’ qu’elle laisse échapper en essayant de retrouver l'air dont elle est privé à chaque fois qu'il s'enfonce ainsi si profondément... Et c’est seulement après quelques minutes que le garde se retire, sentant son plaisir proche, et ne voulant pas éjaculer de suite. Alors il se place derrière la jeune femme, et sans aucune préparation s’enfonce dans son fondement telle une saillie. soumise Keira MDE n’a pas mal, ses orifices étant encore largement ouverts par les diverses pénétrations subits quelques heures plus tôt…

Puis, il a comme un rictus, il se retire aussi vite qu’il est rentré dans son cul et la prend par la nuque, tenant et tirant ses cheveux en arrière, la retournant et allant la plaquer contre la paroi murale. Alors l’attirant brusquement à lui avec force, il s’introduit de nouveau d’un coup puissant entre ses fesses, appuyant brusquement sans faiblir son bas-ventre contre le cul de la soumise… Arrivé au fond de son cul, il remue doucement, caressant son bouton et toute sa fente, ses cuisses et son pubis d’une main, pinçant et serrant ses seins de l’autre, elle sent le plaisir monter. Tandis qu’il la baise avec forces, allant et venant dans son fourreau brûlant et étroit, le garde grogne et râle de plaisir, elle-même commence à sentir la jouissance déferler, depuis le fond de son ventre, accentuée par les caresses et pincements sur son corps… alors elle est presque secouée de spasmes sous l’ouragan de plaisir qui commence à l’enivrer, envahissant de haut en bas tout son corps de vibrations et de secousses de sensations extrêmes, elle est à deux doigts de jouir mais Vanessa est obligée de faire un effort quasi surhumain afin de se retenir car elle sait qu’elle n’est pas autorisée à avoir un orgasme… Après de longues minutes l’homme quant à lui éjacule au fond de son cul, râlant et grognant encore, giclant par de fortes saccades son sperme chaud qui l’inondèrent aux fonds de ses entrailles, et de mots crus et insultant, rabaissant qui accentuent ses sensations… Il faut quelques minutes à l’un comme à l’autre pour reprendre leur souffle quand le garde lui lance :

- Tu as un cul très accueillant, la chienne ! Bien maintenant que j’ai découvert le corps, je vais découvrir l’esprit.

Sur ces mots, le garde ramène la soumise sur la petite table et quitte la pièce, laissant Keira MDE à quatre pattes sur la table basse, du sperme s’écoulant de son anus. Il revient une verge de bois vert à la main, qu’il présente à la jeune femme.

- Je vais te poser des questions, pour chaque réponse que je ne trouve pas parfaitement sincère, ce sera un coup. As-tu bien compris, interroge l’homme.
- Oui Monsieur.
- Parfait, alors commençons. Que dirais-tu de la soirée d’hier soir ?
- Que ce fut le plus beau jour de ma vie Monsieur, et qu’il restera gravé à jamais dans ma mémoire.
- Hum, je veux bien te croire, et que penses-tu du Commandant ?
- Difficile d’avoir une réponse objective Monsieur, je l’aime, il est mon compagnon de vie, et si je n’ai pas encore pu juger de toutes ses compétences en tant que Maître, il est un éducateur très performant.
- Et que penses-tu de la sévérité de Monsieur Le Marquis ?
- Le Maître est sévère, très sévère et exigent même, mais il est toujours juste.

A peine a-t-elle terminé sa phrase qu’elle ressent une vive morsure sur son fessier.

- Je veux des réponses sincères, sans mensonges, gronde l’homme.

Keira MDE ne comprend pas, elle était sincère, elle ne voit pas ce que l’homme attend d’elle, aussi elle ose recommencer sa phrase.

- Ma réponse était sincère Monsieur, Le Maître est sévère et exigent, mais toujours juste.

Un deuxième coup vient zébrer ses fesses.

- Ça c’est la phrase qu’on attend d’une soumise du Domaine, je veux entendre ce que tu penses et ressens réellement.
- Monsieur, je le pense réellement, je respecte Le Maître, et si je le respecte tant ce n’est pas par ma position, mais parce qu’il est un Grand Maître qui sait se montrer impartial et intègre en toutes circonstances.
- Tu n’as jamais reçu un seul coup qui n’était pas mérité ? interroge l’homme en zébrant de nouveau son fessier.
- Jamais sur ordre de Monsieur Le Marquis, Monsieur.

L’homme se place devant Keira, il lève sa tête en la prenant par les cheveux, plonge son regard austère dans le sien, et lui dit très calmement :

- Je sais très bien ce que tu penses réellement, je veux t’entendre la dire, la vérité, je veux t’entendre dire que le Maître n’est pas un bon Maître, qu’il est injustement sévère, et que si tu lui appartiens ce n’est pas par choix mais par obligation. Je te conseille de me l’avouer rapidement avant que ton fessier soit plus ardent que le foyer de ma cheminée.
- Monsieur, je parle en toute sincérité, ce que je dis est la stricte vérité, si vous ne me croyez pas vous pouvez continuer de me fouetter, mais aucun mensonge ne sortira de ma bouche aujourd’hui, encore moins concernant Le Maître que je respecte et vénère profondément.
- Ah oui, tu penses réellement que je ne suis pas capable de faire plier une jeune chienne comme toi ? interroge l’homme d’une voix fâchée en abattant plusieurs coups d’affilé.
- Vous n’avez pas besoin de me faire plier, je vous dois obéissance, et je vous obéirai, mais je ne peux le faire si vous me forcez à renier le Maître.

Comme seule réponse la jeune femme reçoit une dizaine de coups qu’elle reçoit stoïquement, sans aucune réaction, même si la douleur qu’elle ressent devient intense.

- J’attends, gronde l’homme.

Mais soumise Keira MDE ne répond que par le silence, refusant délibérément d’obéir à un ordre qui va à l’encontre de ce qu’elle est, de ce qu’elle ressent, de ce qu’elle pense. Elle reçoit encore un nombre incalculable de coups, avant que l’homme ne stoppe. Il observe un instant le fessier strié de la jeune femme, passé du rouge au violet, il sourit avec perversité, puis décide de s’arrêter là.

- Tu as conscience que je dois faire mon rapport au Maître, et que je saurai lui parler de ton refus d’obéir ? dit-il d’un ton calme une pointe de sadisme dans la voix.
- J’en accepterai les conséquences, Monsieur.
- Hum, soit, nous verrons bien. Je dois aller voir mes hommes pour suivre leur travail de coupe, tu vas m’accompagner, tu sauras bien récompenser les plus méritants, il y a longtemps qu’ils n’ont pas eu de femelles, et ils commencent à se lasser des mâles soumis et de leur petit trou du cul de lopettes...

(A suivre …)