Les Aventures Sexuelles D'Aliénor - Sabine

Nous sommes en plein été, Aliénor profite de sa dernière journée sur Paris, demain elle doit partir pour sa chère Aquitaine où elle va passer un mois. Elle est venue passer quelques heures au « Xéna » pour trouver un dernier coup avant les vacances. Alors qu’elle boit son verre en terrasse une jeune touriste l’aborde. Elle s’appelle Sabine c’est une touriste allemande qui s’est perdue dans le Marais et qui cherchait à retourner à son hôtel. Une allemande typique se disait Aliénor, grande, large et bien en chair avec un visage ni beau, ni laid. Hétéro à coup sûr et pourtant Aliénor était sûre que cette jeune allemande en t-shirt et short en jean serait son coup de ce soir. Parlant un peu la langue de Wagner elle lui propose de la raccompagner. L’allemande accepte avec joie. Arrivées à l’hôtel Sabine remercie vivement sa guide et lui propose pour la remercier de lui offrir un verre dans le bar en face. Aliénor accepte. Comme à son habitude elle prend un Ice Tea tandis que Sabine commande une bière. Déjà fatiguée par sa journée de visite sous le caniculaire soleil parisien, la bière que consomme Sabine ne l’aide pas vraiment à aller mieux. Aliénor l’aide donc à retourner à son hôtel et en profite pour entrer avec elle dans sa chambre. Sabine s’écroule sur le lit comme une masse. Aliénor se dit « C’est raté. Je vais la mettre correctement dans son lit et attendre qu’elle désaoûle un peu. Peut-être qu’après j’arriverais à quelque chose. ». Vers 20h Sabine se réveille et trouve Aliénor en train de jouer sur son portable.
« Qu’est-ce qui s’est passée demande l’allemande.
- Vous étiez fatiguée par votre journée et avec la bière vous avez eût du mal à regagner votre chambre je vous ais aidée et je vous ais installée correctement sur le lit.
- Merci mais vous auriez pu partir. Je ne veux pas vous empêcher de faire ce que vous avez à faire.
- Vous savez je pars demain chez mes parents et mes valises sont faites.
- Pourquoi êtes vous restés ? Sans hésiter Aliénor répond
- Je vous trouve jolie et j’ai envie de vous faire l’amour.

- Quoi … . Vous savez je ne suis pas homosexuelle.
- Je sais et alors ? Je ne vous plaît pas ?
- Non mais … » Sans attendre la réponse de Sabine Aliénor se jette sur elle et l’embrasse avec fougue. Sabine tente de la repousser mais sa défense faiblit rapidement.
Sabine faisait 1,80m et était bien en chair, mais cela ne rebutait pas Aliénor qui n’avait pas couché depuis plus d’une semaine. Elle était en manque de sexe et elle n’avait jamais fait l’amour à une femme du gabarit de Sabine, encore moins étrangère. Elles se retrouvèrent nues à la vitesse de l’éclair. Dernier vêtement de Sabine à rejoindre le sol, le soutient gorge. Ce soutient gorge était plein de promesse sur ce qu’il contenait alors qu’il était encore attaché. Aliénor n’a pas été déçue. Les seins de Sabine étaient gros et lourds. Elle avait toujours rêvée de coucher avec une fille bien pourvue, même s’ils tombaient un peu, Aliénor s’en fichait, ils avaient la taille qu’elle voulait. Véritable lionne Aliénor était déchaînée. Non seulement elle était en manque de sexe mais elle se rendait compte que ce corps à l’opposée du sien ou de ses précédentes conquêtes lui plaisait terriblement. Ses mains caressaient le corps charnue de son amante avec une délectation sans fin. Sabine jouit sous les assauts de langue de sa partenaire. Après avoir jouie elle lançait sa langue à l’assaut du corps d’Aliénor. Malheureusement Sabine n’était pas vraiment douée elles durent refaire l’amour plusieurs fois pour qu’Aliénor arrive enfin à jouir. Après l’avoir fait une partie de la soirée et de la nuit les deux femmes s’endormirent. Réveillée la première Aliénor s’habille discrètement avant de s’éclipser en laissant son numéro de portable sur un bout de papier. Sabine lui enverra un message quelques heures plus tard pour lui dire qu’elle avait adorée et qu’elle regrettait qu’elle soit partie. Les deux jeunes femmes ne se reverront pas, mais cette rencontre avait profondément marquée Aliénor. Elle avait adoré le corps de Sabine, elle avait été troublée par ce corps loin des canons de beauté, de ses différentes amantes. Et si c’était ce type de femme qui lui plaisait ? La question va tarabuster encore la belle aquitaine quelques temps, avant que la réponse ne lui tombe dans les bras.