Visite Nocturne

La belle blonde en nuisette


Je suis fatigué. Étant étudiant, on pourrait croire que je serais dehors à festoyer joyeusement en ce vendredi soir, mais les joies de la prépa m'ont accordé un devoir surveillé le lendemain matin. Dommage, hein ? Mon coloc' d'internat est sorti et dort chez un pote, donc j'ai la chambre libre. Youpi. Il est vingt-trois heures, j'ai fini de bosser mon devoir il y a une heure et depuis je suis allongé sur mon lit à rien faire, les yeux fixés au plafond, casques vissés sur les oreilles. Je soupire. Je me lève et vais me laver les dents. Je fixe mon reflet d'un regard sacrément ennuyé. Comment je suis tombé dans cette apathie ? Sûrement mes cours. Ils ont le don de m'endormir rien qu'en y pensant...

Je finis de me débarbouiller, puis je m'observe une nouvelle fois dans le reflet. Je suis uniquement vêtu d'un caleçon et d'un short de pyjama. Rien de surprenant, vu l'heure. Mon physique est plutôt commun: ni gros, ni maigre, je suis mince sans être musclé. Une des rares choses que j'aime chez moi, c'est mes yeux bleus. Ils sont apparemment "profonds". J'ai jamais vraiment compris ce compliment, mais ça me plaît. Je soupire à nouveau. C'est pas avec le peu de motivation que j'ai que je vais révolutionner tout ça...

Je retourne me coucher, je m'endors assez rapidement. Je me réveille tout aussi vite, à peine une heure plus tard. Je m'interroge: qu'est-ce qui m'a réveillé un vendredi soir à minuit et demie ? La réponse logique serait le brouhaha des jeunes ivres dans la rue sur laquelle donne ma fenêtre, mais je m'y suis habitué depuis longtemps. A force. La chaleur ? Probable. Mais la réponse m'est servie sur un plateau: des coups doux à la porte. Je soupire encore. Je me relève, grognon. J'ai un devoir demain, merde. Enfin, c'est pas comme si j'allais le réussir...J'ouvre la porte et mon "Qui c'est ?" s'interrompt de lui-même tellement ma surprise est grande.

"Anne ? Mais.

..Tu fous quoi ici ? Comment t'es entrée ?"

Comprenez ma surprise. Vendredi, minuit et demie, une des plus belles femmes de ma classe se présente à ma porte: longs cheveux blonds en chute libre tels une élégante cascade dorée, yeux noisettes, un visage fin et doux surplombé d'un large sourire; le tout surmonte un corps mince et grand, parfaitement en harmonie avec le visage. J'avoue, je l'ai déjà observée. Bon, d'accord, matée. La poitrine est moyenne – probablement un 85 B - mais tout à fait attirante, au même titre que son petit postérieur rebondi. Donc, je reprends: cette magnifique créature qui, je le précise, ne vit pas à l'internat – et ne peut donc pas y entrer après vingt heures – et possède son propre appartement, se tient dans l'encadrement de ma porte. La conversation qui suit est presque surréaliste:

"C'est comme ça que tu reçois une amie ?"

Je déglutis. Son air narquois me rassure. Je la laisse entrer et le regarde s'installer sur mon lit, sans aucune gêne. Inutile de dire que mon état d'esprit est aux antipodes du sien. Je déglutis à nouveau et me lance:

"Euh...C'est pas que je suis pas content de te voir, mais...Pourquoi t'es là ?

- Oh, t'es content de me voir ? C'est gentil, je suis contente de te voir aussi !

- Euh...Oui, donc, euh...Enfin, qu'est-ce que tu fais ici ?

- Je m'ennuyais chez moi, alors j'ai décidé de passer faire coucou. Et toi, tu faisais quoi ?"

Avant que je puisse répondre, je remarque pour la première fois sa tenue pour le moins étrange. En plein mois de juin, elle porte un long manteau boutonné jusqu'au cou. Il lui arrive aux genoux, ne me laissant voir que le bas de ses jambes et ses pieds, délicatement posés dans des escarpins presque indécents. En relevant les yeux, je constate qu'elle a remarqué mon regard qui la détaillait. Je rougis brutalement. Je m'apprête à bredouiller une excuse, quand soudain elle lance:

"Il fait vraiment chaud ici, ça te dérange si j'enlève mon manteau ?"

Encore une fois, sans attendre ma réponse, elle déboutonne son manteau et, tout en se relevant, elle l'ôte et le pose sur le lit de mon coloc'.
C'est là que j'ai su que ma nuit de sommeil que j'avais prévue était foutue. Et pour cause; Anne était vêtue d'une simple nuisette. Je sens ma bouche s'ouvrir. Il faut que je la ferme, je pense. Au lieu de quoi, je bredouille une quelconque excuse et me précipite dans la salle de bain. Penché au-dessus du lavabo, je fixe le miroir, le rouge aux joues. Il se passe quoi, là ? Je rêve, hein ? Je me tape doucement le bras. Rien. Je regarde mon short. Eh merde, je bande. J'y crois pas, c'est quoi cette histoire ? J'actionne le robinet et m'asperge la figure d'eau. Je me sèche et relève les yeux vers le miroir.

Je n'ai jamais été aussi proche d'avoir un infarctus qu'à ce moment précis, quand mes yeux ont croisé les siens dans le miroir. Je sursaute, me retourne brusquement et me retrouve d'un coup à moins de cinquante centimètres de son corps, son corps si élégant, dissimulé par une misérable nuisette. Et à nouveau, elle remarque mon regard fixé sur sa tenue. Je remarque le sien descendre vers mon entrejambe. Le rouge me vient aux joues. Je me crispe en voyant sa main s'approcher de mon short et s'immobiliser à seulement quelques millimètres de mon sexe. Je sens de la transpiration sur mon front alors qu'elle se rapproche doucement. Ses lèvres frôlent les miennes avant de venir près de mon oreille et de murmurer :

« Je suis toute à toi, ce soir. Si tu en as envie, évidemment... »

Ses lèvres s'éloignent, reculent loin de mon visage. D'un coup, je saisis son poignet près de mon entrejambe et l'attire vers moi. Je plaque ma bouche contre la sienne et l'embrasse furieusement tandis que ma langue se fraie un passage vers la sienne. Sans interrompre notre baiser, je la pousse et la plaque contre le mur. Je faufile une main sous sa cuisse et la soulève pour enrouler sa jambe autour de mes hanches. De l'autre, je commence à lui caresser les seins à travers son vêtement. Je sens ses mains baisser mon short et mon caleçon et saisir ma verge, puis commencer à la branler lentement.
Je malaxe ses seins des deux mains maintenant, mais j'en descends une entre ses cuisses et relève légèrement la nuisette pour atteindre plus facilement sa chatte seulement protégée par une fine toison blonde. Je commence à la masturber, mais ne tarde pas à enfoncer un, puis deux doigts à l'intérieur, tout en laissant mon pouce sur son clitoris. C'est quand elle lève sa deuxième jambe pour l'enrouler à son tour autour de mes hanches que je comprends qu'elle ne veut qu'une chose : que mon vît la pilonne. Et que puis-je faire, sinon satisfaire sa volonté... ? Elle guide de ses mains mon sexe vers le sien. C'est fort qu'elle gémit quand elle me sent en elle. Je commence par de lents et doux mouvements qui la font geindre, alors que j'enfouis mon visage dans son cou pour y déposer des baisers qui la font se cambrer. J'en profite pour descendre mes mains et les poser sur ses magnifiques fesses et les serrer avec force pour la faire monter et descendre sur ma queue. Par souci de discrétion, je l'embrasse brutalement pour atténuer ses gémissements rendus plus intenses par ma violente grippe sur son fessier.

Commençant à fatiguer, je la porte tout en la baisant et l'assoit sur le lavabo. Mon sexe toujours dans le sien, je reprends des va-et-vient cette fois beaucoup plus rapides et violents: cependant, je me retire rapidement. Ses protestations s'éteignent d'elles-mêmes quand je la retourne et l'incline contre le lavabo, ses fesses cambrées contre ma verge pleinement bandée. Je la frotte lentement entre ses globes, la taquinant et l'excitant pour la punir de m'avoir allumé. Je la sens bouger son cul contre ma queue, le cambrer encore plus pour que je la pénètre à nouveau : elle gémit déjà, mouillant du désir qu'elle a pour mon membre. Je la pénètre alors brutalement, enfonçant mon sexe jusqu'aux couilles, percutant violemment le fond de sa chatte à chaque coup de reins, causant chez elle une série de petits cris plus aigus les uns que les autres. Terriblement excité par la situation, je saisis ses poignets d'une main et les maintiens fermement dans son dos, tandis que je plaque son visage contre le meuble de l'autre main.
J'accélère alors mes mouvements de reins dans son antre, la faisant hurler de plaisir contre le meuble jusqu'à ce qu'elle explose dans un cri encore plus violent que les autres, le corps secoué de soubresauts, sa chatte serrée comme un étau autour de ma queue. Je parviens à me retenir de jouir et reste à l'intérieur, faisant de petits mouvements avec mon membre, la faisant gémir encore malgré son violent orgasme.

Ses mains et sa tête toujours sous mon contrôle, mes yeux se posent sur son merveilleux fessier. Quand elle sent ma queue se poser sur son œillet, elle se met à ronronner, à cambrer encore plus ses fesses pour que je la sodomise au plus vite. Je me penche alors à son oreille et me mets à l'insulter d'une voix doucereuse, presque menaçante ; je la traite de salope, je l'allume en frottant ma verge contre son petit trou. Je lui demande ce qu'elle veut. N'entendant pas sa réponse, je lui demande de répéter ; elle crie alors d'un coup : « Je la veux ! Je la veux dans mon cul ! Mets-la moi, pitié.. » Trop heureux de la satisfaire, un sourire pervers sur mon visage, je l'encule alors brutalement : comme je m'y attendais, elle est une habituée de la sodomie. Je pose une main sur sa hanche et de l'autre je maintiens toujours ses mains dans son dos : je pousse mon sexe toujours plus profondément dans son cul que je pilonne sans pitié, déclenchant chez elle des vagues de plaisir et de longs cris aigus à chaque fois que ma queue percute le fond de son petit trou. Puis une idée me traverse l'esprit : je me retire, la saisis par le bras et l'emmène vers la fenêtre de la chambre, qui donne sur la rue, parsemée de petits groupes d'ivrognes et de jeunes faisant la fête. J'enlève d'abord brutalement la nuisette pour la laisser nue et me permettre d'enfin admirer son corps dans sa totale nudité, puis je la penche sur le rebord de la fenêtre. Son excitation et son désir la retiennent de protester : la sensation de ma verge pénétrant à nouveau son fondement termine de lui faire accepter ce châtiment. Quand ma queue atteint le fond de son cul, elle pousse un cri encore plus puissant et aigu que les autres, comme si elle voulait que tous les passant sachent qu'elle prenait son pied, qu'elle se faisait sodomiser et qu'elle adorait ça. Je commence alors à la labourer de plus en plus fort, lui faisant pousser des gémissements saccadés et de plus en plus aigus. Les jeunes ne tardent pas à trouver l'origine de ces cris et se mettent à nous hurler des encouragements ponctués d'applaudissements et de quelques insultes à l'encontre d'Anne. Je sens sa main frôler mon sexe et comprends qu'elle se masturbe, trop excitée par la situation. Je serre les dents : je vais bientôt venir. Je saisis alors ses cheveux d'une main et tire brutalement vers l'arrière, renversant sa tête et tournant ses yeux pour les fixer sur les miens. Je passe mon autre main devant elle et la pose sur un sein que je malaxe avec force, je la fais gémir encore, de plus en plus fort. Je continue de la baiser de toutes mes forces, je continue même quand j'entends son hurlement de plaisir, quand je sens son corps s'écrouler, retenu seulement par mes bras, quand je sens son orgasme serrer ses entrailles autour de ma queue. Je me laisse alors aller et me libère au fond d'elle.

Épuisé, je titube vers l'arrière et tombe heureusement sur mon lit, Anne toujours dans mes bras. Je ferme les yeux et tente de calmer ma respiration. Je pense y arriver quand je sens mon cœur repartir à vive allure et une intense sensation autour de mon sexe. J'entrouvre un œil et la vois agenouillée entre mes jambes, la langue se promenant sur le bout de ma queue enserrée à la base par sa main droite, tandis que sa main gauche s'active entre ses cuisses. Mon pénis reprend rapidement de la vigueur. Je tente de me relever mais Anne me repousse directement. Je comprends le message : je la laisse s'occuper de moi. Sa langue parcourt toute la longueur de ma hampe, descends jusqu'à mes testicules qui se font soudainement mordiller, m'arrachant un gémissement. Je sens sa langue s'éloigner, rapidement remplacée par la chaude douceur de sa bouche englobant mon membre. Je relève la tête et observe sa tête descendre le long de ma queue, puis remonter lentement. Elle reprend les mêmes mouvements mais en accélérant à chaque fois ; elle me pompe vigoureusement et avec application, stimulant à fond tout ce qui se trouve sur son chemin, n'hésitant pas à sucer mes couilles. C'est quand elle décide d'avaler la totalité de mon membre que je commence à gémir de plus en plus fort ; quand son nez se retrouve collé à mon pubis, je l'avertis dans un gémissement que je vais pas tarder à jouir. Elle prend le temps de se retirer puis viens se placer au dessus de moi. Je l'observe sans bouger alors qu'elle descend brutalement sur mon sexe, empalant son vagin d'un coup et m'arrachant un nouveau gémissement. Elle se met alors à me baiser comme jamais, bougeant ses haches de long en large et de bas en haut, rebondissant parfois sur mes hanches et adoptant un rythme désespérément lent, tout en me gardant plaqué contre le matelas. Résigné à me laisser faire, je place tout de même mes mains sur hanches et finis par les poser sur son fessier. Elle gémit en sentant mes doigts qui s'enfoncer dans la chair de ses fesses. Son gémissement devient un petit cri quand deux de mes doigts retournent dans son œillet, elle se remet alors à me baiser à un rythme endiablé, poussant son cul vers mes doigts pour les sentir au plus profond d'elle-même. Elle descend une main sur sa chatte et se masturbe sans freiner ses mouvements déments, je me mets à gémir. Je sens que je vais jouir, alors j'enfonce un troisième doigt entre ses fesses juste avant de me libérer à nouveau, cette fois dans son vagin. Anne est secouée par un violent orgasme quelques secondes après, sa main frottant vigoureusement son entrejambe. Elle s'écroule sur mon torse en sueur, haletant doucement. Je pose ma main sur ses cheveux, les caresse un moment avant de sombrer dans un sommeil paisible.

C'est mon réveil qui me sort de ma torpeur, le lendemain matin. J'ouvre difficilement les yeux et regarde l'heure : sept heures et demie ! Merde, je suis en retard ! J'att des vêtements, les enfile, prépare mon sac à toute vitesse et descends rapidement prendre mon petit déjeuner, prenant quand même le temps de remarquer qu'Anne n'est pas là. En descendant les escaliers, je réfléchis à toute vitesse : ai-je rêvé ? Probablement. Après tout, le fait même qu'elle ait réussi à entrer dans l'internat est si improbable...Bref. Je secoue la tête pour chasser ces pensées et me concentre sur mes cours pour le devoir qui arrive.

La chambre est en désordre : les draps sont défaits, le bureau est légèrement décalé et la fenêtre est ouverte. Sur ledit bureau, plusieurs feuilles volantes. Le vent s'engouffre dans la pièce et balaie la plupart des papiers. Un en particulier se retrouve projeté sur le lit. Dessus sont inscrits les mots suivants : « A la prochaine <3 »

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