La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°818)
Le Marquis dEvans dominant lO Episode N°1 (1/2) La fête donnée pour le départ du Marquis dEvans -
Cétait donc décidé, Monsieur le Marquis dEvans allait quitter la Noble résidence de Ses ancêtres pour une durée indéterminée et cest pour cela quil avait eu envie de donner avant Son départ une fête en Son Château, en réunissant lensemble de Sa maisonnée, tous les serviteurs salariés et également tous Ses esclaves, en particulier ceux qui resteraient à demeure après son départ et ne pourraient plus avant longtemps se réjouir de la présence du Patron pour les premiers et Maître Vénéré pour les autres, mais qui seraient heureux de le savoir parti pour des vacances salvatrices qui lui permettrait de revenir plus reposé et encore plus Dominant que jamais. Tous les esclaves du Château avaient été réunis dans la Grande Salle de réception. Seuls les soumis et soumises punis au cours des dernières 24 heures ne seraient pas des réjouissances et ils seraient affectés aux tâches matérielles pour lorganisation de la fête, que ce soient le service, la cuisine, le rangement, le ménage, ou toutes autres obligations incontournables. Les esclaves punis portaient tous une chaine avec des pinces aux seins et une ceinture de chasteté munie dun plug anal, les mâles étant de surcroit encagés tandis que les femelles avaient la chatte munie dun envahissant et large gode.
Pour encore plus marquer dans leur esprit le courroux du Châtelain, déçu à la veille de son départ par tous ceux et celles qui avaient fauté avant cette soirée, qui auraient dû être un divertissement pour tous, les esclaves fort blâmables et contrits avaient été installés en deux rangées devant la porte de la salle à manger, positionnés à genoux et de dos, le front posé contre le sol. Ils nauraient même pas lopportunité et la chance de pouvoir apercevoir les pieds du Maître Vénéré qui, volontairement de surcroît, ne daignerait même pas venir fesser leurs croupes exposées ou marquer du moindre signe un quelconque intérêt pour ceux qui navaient pas su faire honneur à Son éducation.
Quatre croix de Saint-André montées sur estrade avaient été positionnées sur chacun des côtés de la table qui avait été dressée pour que le Noble puisse prendre Son repas tandis que Ses esclaves pourraient se préparer à forniquer sous ses yeux. Ils avaient été, à lexception de quatre dentre eux, installés à genoux, le dos droit, devant chacune des croix encore vides. En attendant patiemment larrivée du Maître des Lieux, les quatre esclaves MDE les plus méritants qui bénéficiaient de places privilégiées dans les Cachots et le Chenil du Château du Marquis dEvans, se tenaient debout près de la porte dentrée de la Salle à Manger, avec les jambes écartées et les mains derrière la nuque, position qui faisait gonfler le torse musclé de lesclave Endymion MDE et ressortir les poitrines généreuses aux mamelons turgescents des chiennes femelles, soumise Aphrodite MDE, soumise Laïs MDE et esclave Phryné MDE. Le Châtelain après avoir franchi à toute allure, sans même y prêter la moindre attention la haie de « déshonneur » des croupes des esclaves punis, entra dans la pièce où tout le monde lattendait.
Les quatre esclaves furent ensuite conduits pour être installés sur les quatre croix de Saint-André, attachés face à la salle, bras et jambes écartés, retenus par des bandes de cuir étroitement sanglées. Les trois femelles portaient des guêpières à la taille, également solidarisées par une ceinture de cuir qui partait du centre des deux barres en croix de léquipement Domination/soumission. De fait, tout mouvement leur était totalement impossible sauf au niveau de la tête qui restait libre de tourner de droite à gauche, sans la moindre contrainte, pouvant profiter intégralement du visuel sur lensemble de la pièce. Monsieur le Marquis dEvans sassit dans un grand fauteuil et tour à tour chaque autre esclave du Cheptel fut autorisé à sapprocher en se déplaçant en quadrupédie pour venir rendre hommage au Maître Vénéré et déposer chacun à leur tour un simple baiser à un pied du Noble et ceci dans un lent défilé pour ensuite aller se replacer toujours à quatre pattes à lendroit doù chaque esclave était parti. Cela dura donc un certain temps, mais Monsieur le Marquis dEvans avait tenu à ne pas occulter cette marque de déférence quil Lui serait rendu individuellement, car IL savait combien il était important que le souvenir du Dominant reste présent et fortement ancré dans la mémoire de chacun, tout en leur permettant dattendre Son retour au Domaine ancestral. Une fois terminé le défilé de tous les soumis mâles et soumises femelles, le Châtelain se leva pour faire le tour de la salle et saluer dune poignée de mains lensemble des serviteurs, gardes et autres employés par un signe de bienveillance qui se transforma même en une longue accolade destime pour les deux fidèles de toujours, les plus proches du Noble : Marie la cuisinière, et Walter le Majordome.
- Ma petite chienne, tu es encore là pour apprendre sur le chemin de la soumission. Il ne sera rien exigé de toi en particulier pour ce soir. Profite du spectacle et également de tout lenseignement que tu retireras en voyant comment se comportent tes frères et surs de soumission qui sont à Mes pieds depuis plus longtemps. Sache que tu feras partie de ceux qui auront le privilège de maccompagner pour aller à la première soirée inaugurale donnée en lhonneur de mon nouveau petit « jouet flottant ».
La soumise Aphrodite MDE ne comprit pas à quoi correspondait lallusion du Maître Vénéré. Mais comme Le Maître le lui avait appris, elle était là pour obéir sans se poser de questions, et elle ne chercha pas plus que cela à se préoccuper de savoir ce quétait le jouet en question et pourquoi le Châtelain avait dit quil était « flottant ». Le Marquis dEvans sapprocha par la suite tour à tour de soumise Laïs MDE et esclave Endymion MDE, à qui IL leur tint le même discours à loreille, à la variante près quil avait une chienne et un chien.
- Ma fidèle chienne MDE, profite bien de cette soirée en visuel. Aucun plaisir ne te sera autorisé ce soir et pendant les 48 h à venir, car je te veux chaste et totalement sevré jusquà la soirée inaugurale donnée en lhonneur de mon nouveau petit « jouet flottant ».
Là encore, ni Laïs MDE, ni Endymion MDE ne comprirent ce dont il sagissait, et ce dautant plus que personne au Château nétait au courant de la fameuse construction du paquebot « LOdyssée ». A chaque fois quil venait de terminer de parler à lun des esclaves qui avait bénéficié dune place dhonneur sur lune des quatre croix de Saint-André, Le Maître Vénéré attrapait la laisse qui pendait au collier du dominé attaché et faisant face à lassemblée desclaves regroupés aux pieds de la croix, il leur faisait signe de lever les mains en lair comme pour ovationner tant le Maître en Domination/soumission que lesclave MDE méritant, dans une sorte de « öla » festive, qui commençait à mettre un peu danimation et dexcitation dans la soirée à venir.
- « Phryné ... »
.. - laissant un long espace vide et muet avant de reprendre dun ton lourd -
.., il me faut maintenant te prévenir que ceci est ta dernière soirée au sein de ce Château, qui a vu défiler de multiples générations de Marquis dEvans en près de 4 siècles.
Lesclave Phryné MDE commença à se crisper, se demandant avec effroi ce que Le Maître Vénéré avait bien voulu dire. Son cur sétait déjà serré lorsquelle avait entendu que le Noble lavait appelé tout simplement « Phryné
». Comment cela se pouvait-il ? Le Maître avait lhabitude de la nommer toujours de son pseudo complet comprenant les Nobles Initiales MDE quIL lavait autorisé à porter depuis trois ans. De plus très souvent, il préférait lappeler « Ma chienne » quand il sadressait à Son esclave-femelle, allant même parfois jusquà des termes tels que « Ma belle chienne », voire « Ma chienne adorable » lorsquIL se voulait plus affectueux et prêt à la récompenser de sa soumission exemplaire. Et là, à linstant, rien de cela ! Plus rien qui marquait son appartenance au Cheptel MDE et sa soumission servile au Maître Vénéré, un simple prénom qui sonnait vide et creux et qui résonnait encore au tréfonds de son âme terriblement inquiète par cette interpellation des plus surprenantes. La fidèle chienne ne tarda pas à culpabiliser en se demandant ce quelle avait bien pu commettre comme grave faute qui pourrait justifier un tel bannissement, qui ne lui était même pas expliqué comme si cela devait couler de source. Dautant plus quelle commençait à réfléchir sur la portée des mots qui avaient suivi ce nom volontairement écourté. Non, elle navait pas rêvé, pas simplement pu imaginer quau milieu des chuchotements le « MDE » avait peut-être été prononcé trop bas à son oreille pour quelle ait pu lentendre. Monsieur le Marquis dEvans venait bien de lui dire que ce serait sa dernière soirée au Château. Son cur battait de plus en plus fort, sa respiration devait profonde et lourde.
Quavait-elle donc pu faire pour quil en soit ainsi ? Cela voulait-il dire quelle serait renvoyée dès la fin de la soirée, sans plus dexplications. Elle ne put sempêcher de laisser une première larme couler de ses yeux quelle tenta de masquer en courbant encore plus la tête. Elle savait quelle avait expressément renoncé à toute liberté et que les exigences du Maître Vénéré nétaient pas négociables. Elle naurait donc pas laffront doser ouvrir la bouche, démettre le moindre désagrément et de venir solliciter une quelconque explication sur ce que le Châtelain venait de lui glisser à loreille. Monsieur le Marquis dEvans examinait avec beaucoup dattention les réactions de Son esclave qui tentait tant bien que mal de masquer son profond désarroi, mais il voulait la pousser dans ses derniers retranchements et sans le moindre ménagement, il reprit en attrapant la laisse qui pendait au collier de Sa chienne-femelle, histoire denfoncer un peu plus le clou.
- Lève la tête, profite au moins du spectacle. Cest un ordre ! Et je te conseille de ne pas songer à me désobéir. Dailleurs, il ne te sera rien exigé de plus que dêtre une spectatrice passive pendant toute cette dernière soirée que tu passeras en ces Nobles lieux. Tu vas juste être privée dès à présent de louïe, mais tu pourras te repaître à loisir de la vue des plaisirs jouissifs que je veux offrir à tous Mes serviteurs et aussi à certains de Mes esclaves. Cela te fera de bons souvenirs lorsque les murs anciens du Château te manqueront.
Le Marquis dEvans glissa deux doigts sur les joues humides de sa chienne pour y recueillir les gouttes de liquide et il força sa bouche pour lui enfourner profondément les doigts trempés :
- Et cesse immédiatement ces larmes de crocodile, car elles sont une offense à Ma Noble personne.
La soumise se ressaisit comme elle put pour ne plus laisser sortir les larmes quelle ravalait maintenant de lintérieur. Le Dominant posa un casque sur les oreilles de Son esclave Phryné MDE qui ne put plus rien entendre de la suite du déroulement de la soirée festive et de toutes les nouvelles qui allaient être annoncées. Le Maître Vénéré souleva le menton avec force de laplat de la cravache quIL venait dattr pour obliger sa soumise à garder la tête droite et lui faire comprendre à laide de petites tapes sur le haut du cou et le bas des joues quelle navait pas intérêt à modifier sa position après Son départ. Lesclave Phryné MDE ne comprenait rien de ce qui se passait et le silence dans lequel elle était plongée sous le casque devenait encore plus pesant et inquiétant dans son esprit. Pourquoi, les esclaves lovationnerait-elle si elle devait être répudiée dès le lendemain, comme cela lui semblait de plus en plus probable eu égard aux propos sans équivoque du Noble qui lui avait annoncé que cétait sa dernière soirée dans les murs (anciens) du Château (sauf que lesclave Phryné MDE navait vraiment pas pu comprendre la subtilité de cette petite précision, nayant jamais entendu parler du paquebot privé en construction appartenant au Maître et encore moins de ce que seul le lecteur a pu découvrir au sein du prologue précédemment écrit)
La chienne finit par se reprendre dans ses pensées déferlantes en se disant quelle manquait dhumilité chaque fois quelle simaginait être au centre de lintérêt des uns ou des autres, et du Maître à fortiori. Là, devant elle et sous ses yeux, les esclaves ne saluaient pas dune ovation leur sur de soumission en croix, mais tout simplement le Maître auquel chacun et chacune rendait hommage. Ni les uns, ni les autres, ne songeaient à se soucier une seule seconde de son sort, et ne se chagrineraient outre mesure (pas plus quils ne se réjouiraient) de la voir répudiée, pensant que si Le Maître avait été contraint de prendre une telle décision, cest quelle lavait, soit personnellement désirée puisquelle était libre de partir à tout moment comme chaque esclave, soit dans le cas contraire bien méritée par un comportement inadapté envers Monsieur le Marquis dEvans. Le Châtelain était reparti sasseoir à Sa table, la laissant avec toutes ses pensées confuses qui étaient bien à lopposées de ce quIL avait dans lesprit, puisque loin dêtre répudiée et abandonnée lesclave MDE méritante aurait le bonheur de pouvoir laccompagner pendant tout son périple en Mer Méditerranée. Mais le Maître Vénéré, calculateur et un tantinet plus que pervers sur ce coup, avait tout manigancé dans son fertile esprit pour laisser Son esclave mariner dans les doutes et les craintes, aussi longtemps quIL avait décidé quil en serait ainsi, surveillant le moindre de ses faits et gestes ou le plus petit mot qui trahirait une défaillance dans sa Dévotion extrême
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!