Je Me Suis Trouvée Un Nouvel Amant
Cela fait quelques mois que je n'ai plus eu l'occasion d'écrire des histoires sur ce site, et j'avoue que cela m'a manqué. J'ai eu un emploi du temps de folie, et également une période de disette, et oui cela arrive... rires.
Depuis la dernière histoires, il s'est passé plusieurs choses du point de vue de ma vie sexuelle. Mon amant Pierre est parti vivre à Londres en début d'année, ayant trouvé un stage dans le domaine du journalisme. Il y a fait la rencontre
d'une femme de son âge, et sont désormais en couple. Je sincèrement heureuse pour lui, car bien que notre histoire sexuelle fut merveilleuse en tous points de vue, elle n'avais pas d'avenir pour lui sur le long terme.
Puis je me suis trouvée un nouvel amant, qui se trouve être mon nouveau voisin. C'est cette histoire réelle que je souhaite mettre par écrit dans ce récit.
Pierre étant parti durant le mois de novembre, je me suis totalement investie dans le travail depuis ce moment. J'ai eu la chance de décrocher une promotion et je me suis dévouée afin de ne pas décevoir mes supérieurs. Les journées furent longues et intensives,
et je n'avais plus trop le courage de chercher une nouvelle compagnie masculine. J'ai quand même passé quelques weekends avec Isabelle, la mère de mon désormais ex-amant, pour garder la forme... sourire.
A la fin du mois d'avril, l'appartement d'en face s'est libéré. Le couple assez âgé y habitant est parti, et de nouveaux locataires sont arrivés début mai. Il s'agissait de Martine, mère divorcée de 45 ans, et de son fils Mathieu, 19 ans. Nous avons sympathisé sans plus,
nous bornant à nous dire bonjour lorsque nous nous croisions, et à parler de la météo, comme nombre de voisins le font. J'étais encore totalement en mode travail, et je n'avais toujours pas eu d'homme depuis janvier. Je passais bien quelques soirées à me faire du bien,
mais ce n'était pas pareil. Puis lors du mois de juin, tout changea.
Un soir du mois de juin, c'était un jeudi en fin d'après-midi, je m'en souviens très bien, je me trouvais sur ma terrasse, dans le plus simple appareil, à profiter de la chaleur et du soleil couchant, sirotant un verre de rosé. Les appartements du dernier étage ont
les deux une grande terrasse, séparée par un haut mur et il serait donc difficile pour les voisins de m'observer. Il y avait toutefois eu des travaux sur la terrasse des voisins, et un morceau de mur s'était cassé. Cela avait été réparé, du moins le pensé-je.
Alors que j'étais allongée dans mon transat, je me suis surprise à laisser mes pensées aller à Pierre et à notre dernière nuit ensemble. Mes mains se sont naturellement dirigées vers mon entrejambe, pour parcourir ma fente humide. Ecartant les jambes de chaque coté du siège,
j'ai commencé une masturbation en règle, alternant les doigts entre mon clito gonflé et mon vagin qui acceuillait bien volontiers les va-et-vient de mes doigts. Au bout de quelques minutes j'ai senti la jouissance poindre, et je me suis abandonnée à
cette merveilleuse sensation.
Récupérant mes esprits, j'ai entendu comme un bruit de chaise déplacée sur le sol, et j'ai vu une plante d'ornement qui dépassait du mur bouger légèrement. J'ai tout de suite pensé à Mathieu, qui avait du me mater par le trou dans le mur. Avant de rentrer chez moi, je
suis allée regarder de plus près, mais je n'ai rien remarqué de spécial, il ne me semblait pas possible de voir quoi que ce soit par ici. Toutefois s'il avait pu me voir, je ne m'en sentais pas offusqué outre mesure, puisque j'ai
des tendances exhibitionnistes et un moment pareil ne peut que me faire plaisir.
Le lendemain il faisait toujours aussi beau et chaud, et je suis retournée sur la terrasse en rentrant du travail. Je me suis de nouveau allongée dans mon transat, mais cette fois-ci je l'ai un peu tourné afin de faire plus ou moins face au mur séparant les balcons.
également gardé mes lunettes de soleil afin de pouvoir observer tout en étant discrète. Je me suis masturbé comme une folle et je n'ai pas tardé à jouir sous l'assaut de mes doigts, et de l'idée qu'une personne me regardait faire. Cette fois je n'ai rien entendu ni vu de suspect, et
je suis retournée à l'intérieur.
Samedi fut encore une belle journée. Je me suis dite que j'irais faire quelques brasses à la piscine afin de me détendre un peu. J'ai trouvé un coin d'herbe pas trop peuplé, et m'y suis allongée tout en lisant un magazine. J'ai fais quelques longueurs, puis je suis
revenue m'essuyer et profiter du soleil. Puis un groupe de jeunes gens est venu s'installer pas très loin de moi. Ils étaient assez bruyants et j'ai bien remarqué qu'ils jetaient des regards appuyés en ma direction, tout en discutant entre eux. Je ne pouvais pas entendre
le contenu de leur conversation, étant juste trop loin. Puis un autre jeune homme est venu se joindre à eux, et surprise, c'était mon voisin Mathieu. Il a bredouillé un "bonjour" avant de se coucher sur son linge. Ses amis ont vu qu'il me connaissait, et cette fois je les
ai entendus lui demander des questions quant à notre degré de relation, et d'autres questions plus ou moins intimes. Mathieu n'appréciait guère l'exercice, et au bout d'un moment il a mis ses écouteurs en enfoncant sa tête entre ses bras. Ils sont partis se baigner et en
revenant ne m'ont plus prêté d'attention. J'ai du somnoler un moment, puis je me suis réveillée sous le regard que je devinais lubrique des jeunes d'à coté. Ils se sont levés pour partir, mais Mathieu leur a dit :
- Allez-y, je vous rejoins plus tard.
- Tu restes avec elle c'est ça ?
- Non non je viens plus tard, c'est bon.
- Ouais ouais c'est ça, tu veux te faire la vieille ?
Ils sont partis, laissant Mathieu seul sur son linge. Il avait l'air sincèrement désolé pour ses amis, puis s'est levé pour partir lui aussi.
Mes pensées se sont tout de suite faites plus chaudes, et c'est divagante, vers les casiers devant les vestiaires, que je suis tombée sur Mathieu qui en sortait après s'être changé. Il m'a bredouillé :
- Je suis désolé, ils sont stupides quand ils sont comme ça, je me demande ce que je fais avec eux des fois.
- Allons ce n'est pas grave, ne le sois pas, je ne suis pas fâchée. Je vais rentrer, voudrais-tu que je te dépose en même temps ?
- Euh... oui je veux bien, nous allons de toute façon au même endroit.
Nous sommes allés à ma voiture afin de rentrer dans nos demeures respectives. En m'asseyant j'ai fait exprès de remonter ma jupe d'été un peu plus haut que nécessaire, découvrant le haut de mes cuisses. J'ai vu que Mathieu n'y était pas indifférent, puisqu'il a mis son sac
sur ses jambes, pour sûrement cacher son début d'érection. Je ne m'en sentais que plus excitée de savoir que je lui faisais cet effet. Arrivés dans le garage de l'immeuble, je lui ai proposé :
- Voudrais-tu prendre un verre avec moi sur la terrasse, j'ai un très bon rosé.
- C'est-à-dire... je dois aller voir ma copine plus tard, mais vite fait alors.
Mince, il avait une copine. Qu'importe, nous sommes allés tout de même chez moi, j'ai pris une bouteille et deux verres, et nous sommes sortis sur le balcon. Je me suis assise sur le transat et nous ai servi le vin. Puis, ayant une pensée coquine, je me suis dite que
j'allais tester sa réaction. Je me suis remontée la jupe à la taille et j'ai écarté les jambes, exhibant ma culotte sur laquelle j'ai passé un doigt. Je lui ai dit :
- Alors tu as apprécié le show de hier et d'avant-hier ?
- Mais .. quoi ? Quel show ? De quoi parlez-vous ?
Il cachait bien son jeu, le petit coquin. Je l'ai pris par la main afin de l'approcher de moi, et j'ai passé une main à son entrejambe, par dessus son short.
- Montre-moi ça, il n'y a pas de raison que tu sois le seul à regarder.
J'ai défait sa ceinture et baissé son short, suivi du caleçon. J'ai eu sous les yeux un magnifique sexe, pas aussi long que celui de Pierre, large également, et surtout chapeauté d'un gland très grand, on aurait dit
un gros et beau champignon. J'ai décidé à ce moment qu'il me fallait son sexe, malgré ce qu'il pourrait me dire à propos de sa copine. J'ai fait quelques va-et-vient avec une main, avant de déposer un baiser au bout du gland, puis je l'ai pris par la main pour l'entraîner dans
ma chambre à coucher. Je l'ai mis à nu en retirant rapidement ses vêtements, puis j'ai retiré ma culotte et je me suis allongée sur le lit, en écartant mes jambes. Je l'ai fait venir sur moi, il était un peu trop bas et je sentais son gland à l'entrée de ma chatte. Il m'a dit :
- J'ai une copine, je ne peux pas faire ça...
Je sentais bien qu'il hésitait, mais j'étais déterminée à égoïstement profiter de son sexe tendu. Il est resté au dessus de moi, sans me pénétrer. Pendant un moment qui m'a semblé une éternité, mais qui n'a pas du durer plus
d'une minute, nous nous sommes regardés dans les yeux. J'ai bien essayé d'avancer le bassin afin de happer sa queue, mais il à reculé à chaque fois. Je voulais aussi que l'intiative vienne de lui, et que ce soit lui qui me pénètre
et pas l'inverse. Je désespérais de le sentir en moi, lorsqu'il a finalement craqué, émettant un long soupir. Puis il m'a pénétrée, je sentais son gland volumineux écarter mes lèvres et se frayer un chemin en moi, jusqu'au fond. Il a commencé les mouvements, son sexe allait et venait en moi de plus en plus rapidement. Je
sentais les picotements envahir mon corps entier, tout en espérant que sa jouissance n'arrive pas trop rapidement. M'abandonnant totalement à lui, je me laissai aller, savourant son gland qui faisait des bruits de succion
lorsqu'il sortait entièrement de mon vagin, avant d'y replonger de plus belle.
Il m'a serrée le torse de ses mains et je sentais que sa jouissance n'était plus très loin. Il m'a regardée dans les yeux, comme pour y chercher une permission, et pour toute réponse je lui ai souri et fait un petit hochement de
la tête. Après encore quelques va-et-vient il s'est laché, me permettant de vivre un orgasme merveilleux lorsque j'ai senti son sperme envahir mon intimité de longues saccades. J'ai même émis quelques petits cris de plaisir, moi qui suis d'habitude relativement silencieuse
lors de la jouissance. J'étais encore aux anges lorsqu'il s'est retiré, et a enfoncé son visage dans le coussin. Je lui ai dit :
- Que se passe-t-il, ça ne va pas ?
- C'est que.. pourquoi j'ai fait ça ? Je n'aurais pas du...
- J'avoue que je t'ai la main.. j'en suis désolée.
Je ne l'étais pas le moins du monde. Je ne voulais qu'une chose, recommencer le plus vite possible. Et je n'ai sincèrement jamais pensé à me protéger, sachant qu'il devait être sûr s'il était avec une copine.
J'ai entrepris de faire la toilette de sa queue avec ma langue. J'ai commencé par lécher sa base, remontant doucement comme si je léchais un cornet de glace. Je me délectais de son
sperme mélangé à ma mouille, et j'ai pompé son gland de ma bouche afin de n'en perdre aucune goutte. Sa queue avait désormais repris vigueur, et je me suis mise à quatre pattes, lui présentant ma croupe et ma chatte ouverte
comme une fleur, toute mouillée. Je lui ai dit :
- Ce qui est fait est fait... on continue ?
- Mais.. je ne sais pas.. je...
- Prends-moi.
Cette fois il eut moins de scrupules, et m'a prise d'un seul coup, n'ayant aucun problème pour entrer en moi. Il m'a aggrippée les hanches et à commencé son travail. Je sentais son sexe aller et venir en moi, je me touchais quelquefois le clitoris
tout en savourant l'effet de sa queue en moi. Il a duré plus longtemps que la première fois, et c'est de nouveau en me serrant les hanches de ses mains que sa jouissance est venue. Un orgasme foudroyant s'est déclenché en moi, et je me suis affalée
sur le lit, alors qu'il m'envoyait les dernières gouttes de sperme sur mon dos. Nous nous sommes couchés sur le lit, cote à cote, mais j'ai bien senti une gêne de sa part. Je lui ai dit :
- Tout va bien ?
- Oui...
- Ecoute, je vois bien que tu ne te sens pas à l'aise. Je t'ai un peu à faire ce que nous avons fait, j'en conviens, mais j'en avais tellement envie, je n'ai pas pu m'empêcher. Maintenant sache que si tu veux le refaire j'en serais la première
ravie, sinon nous n'en parlons plus, tu es d'accord ?
Pour toute réponse il regarda sa montre et s'exclama :
- Ma copine ! Je dois y aller !
Il ramassa ses affaires et se rhabilla en vitesse avant de rentrer en face chez lui. Je ne sais pas comment la suite de sa journée s'est passée, puisque je ne l'ai pas croisé pendant toute une semaine. M'évitait-il ? Avait-il eu des problèmes
avec sa copine à cause de moi ? Je le revis le samedi d'après, dans le garage, en revenant des courses. Il avait l'air désolé, et je lui ai demandé :
- Et bien, ça fait une semaine que je ne t'ai pas vu, tout va bien ? Et avec ta copine ?
- Oui ça va, ne vous en faites pas.
- Me voilà rassurée, je ne voudrais pas te faire du mal.
- Non pas du tout, mais...
- Mais ? Oui dis-moi ?
- Mais je n'ai pas arrêté de penser à vous depuis une semaine, même lorsque j'ai fait l'amour avec ma copine je pensais à vous. J'ai honte...
Je ne sus pas quoi lui dire sur le moment. Il m'a pris la main, et m'a dit :
- Je voudrais recommencer, si vous êtes d'accord bien entendu.
- Bien sur, je le voudrais aussi. Quand ?
- Maintenant ?
- D'accord.
Et nous sommes retournés chez moi.
Cela fait maintenant quelque mois que Mathieu est mon amant secret, et sa copine n'est pas au courant, ni sa mére d'ailleurs. Nous essayons de nous voir le plus souvent possible, mais nos emplois du temps respectifs font que cela n'arrive que
deux fois par mois environ. Si cela ne tenait qu'à moi, nous passerions toutes les nuits ensemble, mais cela n'est hélas pas possible
La prochaine fois je vais raconter la fois ou j'ai revu Pierre, qui est rentré de Londres en juillet, pour une semaine afin de rendre visite à sa famille et à ses amis.
Bisous, Karen.
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