Mon Père Ce Salaud

Mon père ce salaud
Cette histoire est arrivée l'année dernière. J'étais en première année de fac et j'en avais plus qu'assez d'entendre les profs déblatérer depuis le début de la matinée. Alors j'ai décidé de rentrer chez moi. En chemin vers la maison je regardais à l'occasion mon reflet dans les vitrines des magasins et je me disais à chaque fois que la nature ne m'avait décidément pas gâté. Pourquoi n'avais-je pas repris davantage de mon père? J'en demandais pas tant, mais juste un peu! Mais non, au lieu de ça je devais me contenter d'une gueule de gamin imberbe et d'un physique de crevette anémique. Chacun de mes regards sur mon image apportait son lot de soupirs.
Je suis enfin arrivé chez moi, le moral à zéro. La voiture de mon père était là. Bagnole de sport. Bagnole de frimeur avaient dit quelques potes de la fac. C'était pas faux...Quand je suis entré je ne l'ai pas vu. Et je n'avais pas envie de le voir. Pas envie de voir cette image qui me renverrait à la mienne. Alors je suis directement monté dans ma chambre et j'ai allumé une clope que j'ai fumée à la fenêtre. C'est alors qu'est arrivée une camionnette bleu gris: le boulanger faisait la distribution de pains. Le véhicule s'est immobilisé dans l'allée et une fille en est sortie. Etait-elle la fille du boulanger? Une apprentie, je n'en sais rien. Toujours est-il que quelques instants plus tard mon père a ouvert la porte d'entrée et que la jeune fille l'a suivi à l'intérieur pour déposer la commande. J'entendais que leur conversation s'éternisait alors j'ai ouvert la porte de ma chambre avec précaution. Et sur la pointe des pieds j'ai descendu quelques marches pour écouter plus distinctement.
- Vraiment je suis confus mademoiselle - fit mon père-, généralement c'est ma femme qui s'occupe de ça. Je ne devrais même pas être ici, je suis rentré récupérer un dossier, je ne sais pas où ma femme a pu ranger la monnaie, je...
- Ne vous inquiétez pas monsieur, j'ai le temps.

..
- J'arrive, je monte à l'étage, je vais regarder s'il me reste un peu de monnaie dans la chambre.
J'ai eu tout juste le temps de bondir dans la mienne pour ne pas croiser mon père qui montait l'escalier à toute allure...
J'entendais mon père fouiller les tiroirs à la recherche de quelques euros...soudain j'entendis la voix de la boulangère sur le pallier et j'entrebâillai ma porte:
- Alors, vous avez trouvé? demanda la jeune fille
- Je cherche, je cherche, répondit mon père
De ma chambre, par l'embrasure de ma porte, je voyais et entendais distinctement ce qu'il se passait.
- Vous êtes du genre costaud on dirait - fit la boulangère à l'adresse de mon père. Sportif je veux dire...ou alors c'est votre chemise qui est trop petite. Hi hi.
Faut dire que mon père avait une fois de plus misé sur la chemise moule biceps et pectoraux avec trois boutons ouverts sur une toison débordante.
- Euh, oui, je m'entretiens on va dire...
- C'est plus que de l'entretiens on dirait. Mon copain fait de la muscu et il est pas comme vous! Vous en faites aussi?

Mon père n'eut pas le temps de répondre que la jeune fille s'approchait de lui et posa une main assurée sur son torse.
- ça a l'air bien musclé tout ça, dit-elle, en ouvrant un à un les boutons de la chemise noire.
D'où j'étais, toujours derrière la porte entrebâillée de ma chambre, je ne pouvais manquer une miette du spectacle: les bras ballants, mon père se dressait, chemise ouverte, musculature offerte, devant cette jeune femme en émoi.
Elle finit par lui enlever complètement sa chemise et la jeta sur le lit. Doucement, très doucement, elle commença à caresser les pectoraux puissants et velus et passa la langue sur les tétons durcis de mon père. Mon père quant à lui semblait interloqué mais aussi plutôt satisfait de la situation. Moi, de mon côté j'enrageais, comment pouvait-il ne pas la repousser? Pensait-il à ma mère à cet instant? Mais il soupirait d'aise de par les effleurement buccaux que lui prodiguait cette jeune garce.

- J'adore votre corps, lâcha-t-elle soudain. C'est beau. C'est fort. C'est puissant. C'est magnifique un corps d'homme viril, musclé et poilu!
N'en pouvant plus, mon père la saisit par la taille et lui roula une pelle monumentale qui sembla durer une éternité tandis que cette jeunette pétrissait avec envie les pectoraux gonflés à bloc.
Je devenais fou. Fou de rage mais aussi fou d'excitation. Des sentiments se mêlaient en moi. Je bandait comme un fou et en même temps je voulais hurler que ces choses ne m'arrivaient jamais à moi, pauvre type en physique ingrat.
Mais le pire était encore à venir. La jeune inconnue descendit la langue le long du torse de mon père, grignota les abdominaux saillant et vint blottir sa joue sur l'entrejambe gonflée du paternel. Elle s'y arrêta net en laissant échapper un long soupir.
- Oh mon dieu, fit-elle, qu'est-ce que je fais là? Je perds la tête. Mon copain...je veux dire, je peux pas faire ça. C'est la saint Valentin en plus!
Mais déjà un rictus se dessinait sur le visage de mon père qui défit sa ceinture, déboutonna son pantalon et offrit le spectacle de son corps d'athlète uniquement drapé d'un slip détendu par une érection monstrueuse.
En cet instant, mon père ne semblait plus interloqué par l'attitude de la jeune fille, il avait compris ce qu'elle attendait de lui et, fier de son physique, conscient de sa virilité, il allait lui faire comprendre qu'il était différent de jouer avec un home plutôt qu'avec son gamin de petit ami.
A pas lents, mon père s'approcha de la jeune garce et lui fit comprendre d'un regard qu'il était temps pour elle de s'occuper du pieu de chair qui palpitait depuis déjà trop longtemps. Elle glissa donc deux doigts de part et d'autre du slip masculin et le fit descendre sur les cuisses rudement charpentées. Le gourdin, comme monté sur ressort, vient claquer avec force contre la joue de l'inconnue. Celle-ci, après un moment d'hésitation, le pris en main et puis en bouche.
Mon père commença a émettre des râles d'excitation.
- Qu'est-ce qu'elle est longue est épaisse, fit-elle, c'est la première fois que je suce un truc pareil, elle est énorme, c'est presque pas humain ça!
Mon père sourit, fier de son sexe dressé, sa "machine à jouir".
La boulangère semblait à présent avoir oublié ses remords, et le souvenir de son mec était maintenant bien loin, vu l'ardeur qu'elle mettait à gober le chibre paternel. A plusieurs reprises elle s'étrangla sur le sexe qui, de ma chambre, paraissait déjà énorme. Elle du également souvent essuyer les larmes qui lui montaient aux yeux.
Ah, ce père tant haï, tant détesté d'avoir plus de succès auprès des femmes que moi, son fils. Ce père qui était là, à quelques mètres, qui se laissait aller à ses instincts primaires de mâle dominant avec une jeune trainée du quartier, qui ne pensait pas à sa vie de famille, à sa femme. Qui ne pensait qu'à son plaisir et au plaisir qu'il allait prodiguer.
Après un bon quart d'heure de suce, mon père en eut visiblement marre et décida de passer aux choses sérieuses. Il débarrassa la jeunette de ses quelques loques, lui arracha la culotte et la fit mettre à 4 pattes...à même le sol. Celle-ci protesta un peu mais face à une armoire à glace poilue d'un mètre 90, les protestations ne servent guère...
Mon père vint se poster derrière la jeune trainée et d'une poussée s'introduisit dans son vagin et lui arracha un premier cri de plaisir. La scène dura de longues minutes puis, sans savoir pourquoi, mon père se redressa alla fouiller dans le revers de sa veston. Il revint avec une capote et la ceinture de son pantalon. Il en profita pour s'allumer une clope au passage.
il reprit sa position de départ, enfila la capote sur sa queue de taureau ,passa la ceinture autour de la taille de la soumise et approcha lentement son phallus noueux du puits froncé. Au contact du gland turgescent, la demoiselle eut un mouvement de recul, presque de panique. Elle se débattit mais déjà mon père tirait d’une main sur la sangle de la ceinture et de l’autre la blonde chevelure…d’une poussée du bassin, le gland pénétra l’œillet qui fut bientôt dilaté entièrement par le pieu de chair palpitant.
La jeune fille ne put retenir un cri de douleur mais n’y avait-il pas déjà dans ce hurlement des prémices de plaisirs inconnus ? Rivé aux fesses rebondies de la jeune garce, mon père ressemblait à ces cowboys que l’on voit dans les westerns d’un autre âge : cigarette au coin des lèvres, le torse bronzé et luisant de sueur, il donnait le rythme par saccades profondes et puissantes. Tel un cowboy donc, il s’essayait au rodéo sur cette jeune jument qu’il comptait bien dresser. La femelle quant à elle commençait à se laisser aller et semblait accepter de se faire marquer au fer rouge : elle acquiesçait la mâle domination sans mot dire, mais en se mordant toutefois les lèvres, les yeux hors de la tête. Pensait-elle à son copain en cet instant ? Pensait-elle à leur rendez-vous pour la Saint-Valentin ? Quoi qu’il en soit, les pénétrations se faisaient plus brutales, plus rudes, plus animales. Mon père, la tête rejetée en arrière, émettait des gémissements qui en disaient long sur le plaisir électrique qu’il ressentait en ce moment. Entre ses pectoraux puissants perlait de la sueur qui se frayait un chemin sur ses abdominaux ciselés et finissait sa course sur son sexe veineux.
Mon père n’était à présent plus un homme mais bien une machine…une machine lancée à 100 à l’heure ; une machine de muscles équipée d’un piston hydraulique de 23 cm bien décidée à déchirer et à faire jouir sa partenaire. La gamine gueulait de plaisir en ce moment, ravie de découvrir des plaisirs qu’elle avait jusqu’alors refusés à son copain. D’un coup d’un seul, mon père s’arrêta net.
Il le retira et arracha le préservatif qui alla terminer sa chute dans un coin de la chambre. Mon paternel retourna la jeunette sur le dos et vint se positionner les genoux de part et d’autre du visage de l’innocente jeune fille. Il glissa une main derrière sa nuque et ramena les lèvres boudeuses vers son bas ventre…de l’autre, il engagea le pieu dilaté et noueux profondément dans la gorge. Je voyais donc mon père pénétrer cette bouche à toute cadence, exultant son plaisir en beuglant comme un taureau, se jetant de temps à autre un coup d'oeil dans le miroir, satisfait de sa musculature démentielle qui s’activait là, sous ses yeux. Les va-et-vient se faisaient à présent plus profonds et plus rapides. Là, sous mes yeux, mon père se déversa à longues rasades de sperme. De la glu blanche, chaude et collante zébrait le visage adolescent de la boulangère mais mon père réserva les dernières doses pour la bouche gourmande. Les bajoues envahies de foutre, la demoiselle semblait cependant peu encline à avaler. Mon père, frustré (ou voulait-il montrer encore davantage qu’il était un mâle alpha ?) décida alors de l’embrasser goulument : un baiser qui força la gamine à déglutir la mâle liqueur. Ils se rhabillèrent sans mot dire et j’eus juste le temps de refermer la porte de ma chambre pour qu’ils ne me croisent pas à leur sortie. Cependant, mon père brisa le silence et laissa tomber une déclaration qui tomba comme un couperet : « J’espère pour toi que ton petit ami te fera un cadeau de saint-Valentin à la hauteur de ce que je t’ai fait vivre ». Elle ne répondit rien et sortit. Mâle alpha jusqu’au bout.

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