Un Agent Immobilier Peu Ordinaire.
(récit véridique écrit en 08.2007).
Il y quelques années, jai vendu La maison dans laquelle je vivais depuis une dizaine dannées. Vivant seul, je navais plus besoin dautant de place et je recherchais un grand studio ou un appartement avec deux chambres dont une serait destinée à installer mon bureau avec le matériel informatique et les nombreux volumes de ma bibliothèque. Pour cela, jai fait appel à une agence immobilière de la ville, réputée pour son sérieux. Le rendez vous pour lestimation de ma maison était fixé pour le vendredi suivant à 18 heures. Il mavait été indiqué que la personne à laquelle jaurais à faire se prénommait Virginie.
A 18 heures précises, je vois sarrêter devant le portail de la cour un coupé sport. Une femme vêtue très élégamment dune veste courte en fourrure en descend. Cest certainement Virginie. Lorsquelle traverse la cour pour venir jusquà lentrée de la maison, jai tout le temps de la détailler. Grande avec des cheveux châtains clair tombant sur les épaules, elle porte une jupe à mi cuisses et des bottes à hauts talons en peau de couleur fauve. Lorsquelle se présente en me tendant la main, je lui donne environ 40 ans. Des yeux gris et une bouche souriante aux lèvres minces légèrement maquillées dans un visage à lovale parfait, japprécie beaucoup.
Nous entrons et je lui offre de se mettre à laise. Lorsquelle pose sa veste sur un des fauteuils, je découvre sa silhouette. Une poitrine menue est masquée par un chemisier en soie de couleur ambre foncé au décolleté discret mais qui ne demande quà souvrir. La taille est marquée par une ceinture en cuir fauve et la jupe sévase doucement sur ses hanches et ses jambes gainées de bas de soie ultra fine. Cest une belle femme et elle le sait.
La visite dure un certain temps car je nai jamais eu les plans de la maison, aussi Virginie doit mesurer toutes les pièces avec un boîtier laser et reporter les chiffres sur un croquis destiné à refaire un plan sommaire.
Pour achever de noter les données mesurées, Virginie sassoit sur le lit et me dit :
Humm ! Confortable !
Oui, on y dort bien !
Et là, elle me surprend en disant que dans un lit on ne fait pas que dormir. Serais-je tombé sans le savoir sur une coquine ? Sa jupe courte est remontée sur ses cuisses croisées quand elle a réalisé son croquis. Elle découvre sa pose dans une des portes miroirs qui lui fait face et au lieu de décroiser ses jambes et rabaisser la jupe, elle accentue en rejetant son buste en arrière. La jupe remonte un peu plus pour découvrir le haut des bas. Elle décroise enfin ses jambes et les écarte largement. Je me suis assis près de Virginie sur le lit. Dans le grand miroir, japerçois le compas de ses cuisses ouvertes mais, surprise, cette coquine ne porte pas de culotte ! Sa chatte est à lair libre. Waouuhh ! Cest vraiment une coquine ! En ouvrant deux boutons de son chemisier, elle dit soudain :
Il fait chaud chez vous, je me mets à mon aise pour continuer.
Je ne sais pas si elle sest rendu compte de leffet quelle me fait dautant que la chaleur la fait transpirer et fait ressortir son parfum capiteux. Je nai pas fait lamour depuis bientôt un mois et ma bite commence à sagiter sérieusement dans mon boxer.
Je réponds immédiatement à son invitation tacite. Je passe ma main droite entre ses cuisses et je remonte jusquà sa vulve en lui demandant si cest une habitude chez elle de ne pas porter de culotte. Oui, elle apprécie de sentir le courant dair lui chatouiller lentrejambe. Je masse doucement son mont de Vénus avec un doigt replié pour passer entre les lèvres de son vagin. Elle est toute chaude et déjà trempée de mouille. En massant ses seins les mains passées dans lencolure du chemisier, elle soupire :
Humm ! Continue ! Tu me fais du bien !
Maintenant, jai la bite complètement dressée. Virginie se relève et emprisonne ma main dans la fourche de ses cuisses, jai deux doigts dans sa chatte. Elle fait voler son chemisier et son soutif en les envoyant sur le tapis. Elle se dégage et se met en levrette en remontant sa jupe sur ses reins. Je quitte rapidement mon sweat-shirt, mon pantalon et mon boxer. Jatt un préservatif sous loreiller et me couvre. Avec une inconnue, on ne sait jamais ! Je nai pas besoin de préparation. Un mois dabstinence et son manège ont fait déployer ma queue dans toute sa splendeur malgré mes 60 ans bien sonnés.
Je me place derrière elle, je vois ses fesses rondes et la raie culière qui sévase doucement. Je mapproche et dune seule poussée je lui donne lestocade qui me conduit au fond de sa chatte brûlante. Je reste ainsi quelques minutes, savourant la sensation de ce fourreau de chair qui commence à masser mon sexe avant dentreprendre le va-et-vient.
Elle halète doucement et pousse de petits cris lorsque jarrive un peu plus brutalement au fond. Notre plaisir monte peu à peu et elle commence à sagiter en faisant tournoyer ses hanches pour mieux sentir ma pénétration. Notre jouissance arrive, soudaine et brutale. Virginie part la première et immédiatement je la rejoins, déversant au fond du préservatif une bonne dose de sperme. Nous basculons sur le côté et nous restons imbriqués lun dans lautre de longues minutes avant que ma bite sorte delle-même de son fourreau.
Ce soir là, nous avons encore baisé une fois.
Avant la vente de ma maison, jai revu Virginie à plusieurs reprises chez elle ou chez moi. A chaque fois, çà a été des parties de baise chaudes et inventives. Cest est une vraie coquine, libertine, bisexuelle. Elle lavoue et en est fière. Puis nos routes se sont sépar
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