Ma Jeune Collègue

Nous sommes en 2013, j’ai 52ans, je suis superviseur sur un accueil téléphonique.
C’est un centre de relation clientèle d’une grande entreprise française. Nous sommes une centaine de personnes, répartis en 6 équipes de 15 à 20 collaborateurs. Beaucoup de femmes, surtout des jeunes.
Régulièrement les superviseurs tournent, et changent d’équipe, ce qui permet de mieux appréhender le travail, et d’entreprendre un nouveau challenge avec de nouveaux collaborateurs.
En 2013 j’avais déjà 7 ans d’ancienneté, et certaine jeunes femmes, je les avais connues, alors qu’elles avaient à peine 18 ans, embauchées en tant qu’étudiantes en alternance qui préparaient un BTS.
Parmi elles, Valérie, brune coiffée au carré, de grands yeux verts, un visage fin, une poitrine de 90b,
De jolies fesses légèrement rebondies, et des jambes fines et galbées, souvent misent en valeur par des talons et des jupes ou robes courtes.
Je l’ai connue elle avait 17 ans, j’ai été invité à son mariage, j’ai fait des cadeaux à la naissance de ses s, avec ma femme nous lui avons rendu visite à la maternité. A chaque fois qu’elle est revenue après ses congés, elle était dans mon équipe, nous sommes devenus amis, sans aucune arrière-pensée pour moi, surtout que nous avions 28 ans d’écart
Un jour du mois de février 2013, comme toutes les semaines le mercredi nous déjeunons ensembles.
Puis nous reprenons le boulot. Vers 14h ayant un léger coup de barre je lui fais le message suivant
Moi : coucou, j’irais bien faire une petite sieste
Valérie : moi aussi mais pas toute seule
Moi : avec ton chéri
Valérie : non même pas
Moi : avec ton ours en peluche
Valérie : encore perdu
Moi : je donne ma langue au chat
Valérie : non c’est à ma chatte que tu donnes ta langue, c’est avec toi que je veux faire la sieste.
Moi (surpris) : ça ne te dérangerait pas de dormir à coté d’un vieux, qui ronfle.


Valérie : d’abord tu n’es pas vieux, et je suis certaine que tu dois être très doux avec une femme.
Moi : toi tu dois avoir la peau très douce, et ce doit être un plaisir de caresser ton corps, mais ce n’est pas pour moi
Valérie : si je te dis que j’ai envie de toi, je ne plaisante pas
Moi : arrêtes tu sais je suis un vieux monsieur au cœur fragile
Valérie : ok comme tu veux, bonne sieste
Moi : je n’ai plus envie de dormir, tu es chiante
L’après-midi se passe, vers 17h je suis appelé en assistance, c’est Valérie qui me passe un client difficile. Je règle le problème, mais notre procédure, nous oblige après une assistance d’aller réécouter l’appel avec le téléconseiller concerné.
Nous nous retrouvons tous les deux dans un salon d’écoute. Petite pièce au fond de l’open space.
Sans revenir sur nos échanges, du début d’après-midi, nous faisons le débriefing de l’appel. Il est 18h15, la journée est finie
Valérie : bon c’est tout, je peux partir
Elle se lève pour sortir, tout le monde est parti, nous sommes seuls dans les locaux
Moi (en lui prenant la main): attends 2 minutes, j’aimerais revenir sur ce que tu m’as écris toute à l’heure
Valérie (un peu agacée) : rien à dire, je t’ai fait part de mes envies, tu n’as pas l’air intéressé, donc on en parle plus.
Moi (lui tenant toujours la main) : essaie de comprendre une superbe jeune femme me fait des avances, j’ai de quoi être surpris et dérouté.
Valérie (avec un petit sourire) : désolé j’ai été un peu brutale, je vais te le dire plus délicatement.
Elle me lâche la main, éteint la lumière, nous sommes juste éclairés par les lampadaires de la rue .
Toujours le sourire aux lèvres, elle passe devant moi, s’assied sur mes genoux, m’enlève mes lunettes
Moi (l’air innocent) : arrête qu’est-ce que tu fais ?
Valérie (en déboutonnant ma chemise) :je te dis délicatement que j’ai envie de toi
Je me laisse faire, ses lèvres se posent sur ma bouche, ses mains passent sous ma chemise ouverte et me massent les seins.

Son baiser devient plus fougueux, sa langue écarte mes lèvres et vient chercher la mienne.
J’essaie de la prendre par la taille, elle repousse mes bras,
Valérie : ne bouge pas
Elle enlève précipitamment sont pull-over, dégrafe son soutien-gorge, elle se colle à moi, nos lèvres sont toujours soudées, je sens sa poitrine contre la mienne, je sens son bassin onduler contre le mien. J’ai une sérieuse érection, j’essaie de nouveau de la prendre dans mes bras, elle me repousse encore.
Valérie : laisses tes mains ou elles sont, de toute façon tu ne peux rien me faire aujourd’hui, tu te rattras plus tard.
Elle prend ma tête entre ses mains et nous entamons un long baiser ou nos langues et nos salives se mélangent, sont pubis frotte de plus en plus fort contre le mien. Sa main droite se détache de ma nuque, elle passe entre nous, ouvre sa ceinture de jean, et va se caresser. Elle respire fort, soupire, se frotte et tout à coup elle se raidit, se cambre, et retombe sur moi, en me serrant dans ses bras, la tête dans mon cou.
Nous ne bougeons plus, je la laisse reprendre ses esprits, et j’apprécie ce corps jeune coller contre moi. Elle se relève doucement, me regarde avec un grand sourire.
Moi : ça va ? tu es magnifique quand tu jouis
Valérie (rougissante) : merci , j’avais trop envie, je n’ai pas pu me retenir
Moi : ne t’excuse pas c’était très beau à voir, bien on rentre
Valérie : non restons encore quelques instants, tu n’es pas bien ?
Moi : si très bien
Valérie (en commençant à se laisser glisser vers le sol et en touchant mon entre cuisse) :je ne peux pas te laisser partir dans cet état-là. Laisses toi aller
C’est vrai que mon érection se voit fortement. Je la regarde défaire ma ceinture, ouvrir mon pantalon et sortir mon sexe tendu, le prendre en main et en me regardant droit dans les yeux le gober. Je soupire d’aise en le voyant disparaitre dans cette bouche chaude et accueillante.
Je sens sa langue tourner autour de mon gland, sa bouche descendre le long de ma tige pour faire une gorge profonde.
Remonter. De nouveau la langue tourne autour de mon gland, elle l’aspire en le serrant entre ses lèvres. Elle descend le long de ma verge pour venir cueillir mes bourses, et remonte en me léchant comme une glace. Me reprend en bouche, recommence à jouer avec mon gland.
Moi (au bord de l’explosion) : si tu continues je vais jouir dans ta bouche
Valérie (en me prenant entre ses seins) et comme ça tu vas jouir où ?
Je ne réponds pas, je ferme les yeux et savoure la cravate espagnole. A chaque fois que mon gland ressort, elle le gobe. Je gémis, je vais jouir entre ses seins.
Moi : j’adore ce que tu me fais, je vais gicler attention ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, continue de me branler ouiiiiii vas y vas y et j’éjacule à grand jet de sperme qui viennent s’écraser dans sa gorge et sur sa langue.
Car voyant que je ne pouvais plus me retenir, elle m’enfourna goulument pour ne rien perdre de ma semence
Le temps que je reprenne mes esprits, elle m’avait nettoyé entièrement, c’était rassise sur moi et m’embrassait à pleine bouche pour me passer un peu de se quelle avait récolté.
Une fois rhabillé,
Valérie : tu vois ma proposition n’était pas si terrible, réfléchi bien, je suis en vacances une semaine, à mon retour tu me diras si tu veux bien faire la sieste avec moi.
Et elle partit en me plantant là.

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